Articles : Avr. 2021 – Mar.2021 – Fev.2021 – Jan.2021
“Nous ne cèderons rien” vient de déclarer Macron après la mort de Stéphanie, policière égorgée par un clandestin tunisien régularisé.
Déclaration grotesque quand on sait que notre Président démissionnaire a déjà tout cédé, comme il a cédé aux lobbies immigrationnistes, comme il a cédé aux racailles des cités, comme il a cédé aux séparatistes, comme il a cédé aux zadistes de Notre-Dame-des-Landes. C’est le renoncement permanent dès qu’il s’agit de restaurer l’ordre républicain et la sécurité.
Depuis des années, sur les réseaux sociaux, on assiste à un torrent de haine anti-flics sans précédent, encouragé par un pouvoir totalement passif.
Les appels collectifs à la haine et au meurtre de policiers n’ont d’égal que le silence des autorités. Preuve que pour le pouvoir, la vie d’un flic ne pèse pas bien lourd. “Un flic mort devient une réjouissance”.
C’est l’ensemble du pays qui part en vrille avec cette délirante politique mondialiste qui va tout emporter.
Immigration musulmane de masse, ratage de l’intégration, laxisme judiciaire et discours décolonial et indigéniste sont le terreau de l’islamisme et du terrorisme.
Rien ne changera si on ne ferme pas les frontières. Macron est bel et bien coupable de ce déchaînement de violence contre la police.
Le véritable responsable de ce nouvel attentat contre la police, c’est bien évidemment l’exécutif qui n’a cessé de lâcher les forces de l’ordre par peur des émeutes dans les banlieues. Macron ne fait rien car il est devenu l’otage des minorités. Il en a peur.
Hollande et Macron portent une lourde responsabilité par leurs comportements et leur déclarations aussi lâches qu’irresponsables.
On a vu l’ignoble François Hollande se précipiter au chevet du délinquant Théo, blessé au cours de son interpellation parce qu’il s’était rebellé.
Mais le même Président avait superbement ignoré les policiers hospitalisés dans un état grave après avoir été brûlés vifs à Viry-Châtillon par une bande de sauvages. Un véritable coup de poignard dans le dos des forces de l’ordre.
Quand la justice se contente de condamner 5 des 16 barbares qui ont tenté d’assassiner quatre policiers dans leur voiture, c’est une insulte à la police.
Quand Macron dénonce les contrôles au faciès et les violences policières sur le site Brut, en annonçant la création d’une plate-forme de signalement des discriminations, il insulte et jette l’opprobre sur la police en la traitant de raciste.
Quand il tolère le discours décolonial accusant la police de racisme structurel, Macron cautionne et défend l’indéfendable.
Quand il accuse la France de crime contre l’humanité devant les Algériens, il attise la haine dans le cœur des immigrés.
Il ne faut donc pas s’étonner que l’on compte 24 000 refus d’obtempérer par an et 100 actes de violence par jour contre les forces de l’ordre.
Selon le syndicat Unité SGP Police78, au cours de la semaine du 14 au 21 avril, on a recensé 48 faits de violences urbaines dans douze communes différentes et 34 attaques de policiers aux mortiers d’artifice. Que fait l’État ? Rien, à part brailler “pas d’amalgame” !
La liste des policiers et gendarmes tombés sous les coups des islamistes s’allonge depuis 2015.
Ahmed Merabet, Franck Brinsolaro, Clarissa Jean-Philippe, Jean-Baptiste Salvaing et Jessica Schneider, Xavier Jugelé, Damien Ernest, Anthony Lancelot, Brice Le Mescam, Aurélia Trifiro, Arnaud Beltrame.
L’immigration est devenue le cancer qui ronge notre société. Assez de “pas d’amalgame” larmoyants. Tout est lié.
C’est bien l’immigration qui nous apporte l’islam, c’est bien l’islam qui nous apporte l’islamisme, c’est bien l’islamisme qui nous apporte le terrorisme.
Darmanin s’est déplacé à Rambouillet pour soutenir les policiers. Mais il s’était précipité également à Rennes, à 350 km de Paris, pour soutenir la communauté musulmane en émoi après trois tags sur une mosquée !
Pour le pouvoir la vie d’un flic ne pèse pas plus lourd que trois tags sur une mosquée. Ignoble.
C’est dire combien Macron est tétanisé par les minorités ! Il ne fera rien qui puisse les braquer.
Jacques Guillemain, dans Riposte Laïque