Nice : une enquête ouverte après la diffusion de la vidéo d’une violente agression

La vidéo ultra-violente, largement partagée sur les réseaux sociaux, a été l’objet d’un signalement de la part d’élus du Rassemblement National PACA.
Les images sont d’une violence rare. On aperçoit au moins trois personnes non identifiées, insulter un homme puis le frapper à terre, sans que l’on connaisse la raison de l’altercation. La victime en sang reçoit plusieurs coups à l’abdomen de la part d’un jeune homme, porteur d’une casquette blanche.

Suite à la diffusion sur les réseaux sociaux, depuis vendredi, de cette vidéo de cette agression ultra-violente, la police de Nice a diligenté une enquête, samedi, selon une source policière locale.

« Nous avons visionné cette vidéo sur laquelle on voit une personne se faire agresser par tout un groupe, mais ce n’est pas daté et le lieu n’est pas précisé », ajoute cette source policière. « Cela s’est-il passé cette nuit ou il y a trois ans, à Nice ou aux États-Unis, et qui a posté cette vidéo ? Ce sont tous les points que nous allons essayer d’éclaircir », relève la même source.

«Ici c’est Nice !»
Sur les images, tournées de nuit avec un smartphone, dans ce qui semble être une rue du Vieux-Nice proche du Palais de justice, on entend distinctement un groupe d’hommes se revendiquant de « Nice 06 000 » encourager l’un des siens à en « niquer » un autre. « Je l’ai détruit, il est mort », se vante l’auteur présumé des coups. « Ici c’est Nice !» commente celui qui filme, la vidéo se terminant sur un gros plan où l’on voit la victime gisant au sol, inconsciente, le visage ensanglanté.

Cette vidéo a été relayée notamment par Philippe Vardon, conseiller régional Rassemblement national (RN) de Provence-Alpes-Côte-d’Azur, pour lancer, indique-t-il, « un appel à témoignages » afin de retrouver les auteurs de cette agression. Dans un second tweet adressé à la police nationale des Alpes-Maritimes, l’élu RN alerte ces services sur l’origine du compte Instagram qui a posté cette vidéo.

La vidéo a été notamment diffusée sur Instagram, Twitter et Facebook, où elle totalise plusieurs milliers de vues. A lui seul, le post Instagram a été vu plus de 14 000 fois, selon le compteur du réseau. La vidéo sur Twitter a été vue plus de 19 000 fois.





Marine Le Pen refuse de pleurer sur le sort des migrants de l’Aquarius… et elle a raison !

Jeudi matin, face à Marine Le Pen, on a vu Jean-Jacques Bourdin prendre, une fois de plus, parti pour ses amis de la gauche bien pensante, s’offusquant dans un premier temps de voir la haine transpirer des propos de Moix, Campion et Zemmour. Ah ! Zemmour qu’il aimerait voir interdit d’antenne à jamais, lui le journaliste à qui-tout-est-permis-sauf. Mais ce n’était pas tout. Pour s’émouvoir du sort des « réfugiés » de l’Aquarius, il a absolument tenu à faire dire à Marine Le Pen combien, elle aussi, compatissait au sort de ces malheureux rescapés des flots. Et de citer le cas de cette pauvre femme ayant fui avec ses cinq enfants âgés de 9 à 22 ans parce que son mari avait été enlevé et qui pensait trouver refuge sur cet accueillant sol européen.

Eh bien non ! Marine Le Pen ne s’est pas mise à pleurer. Elle a rappelé sa position sur ces navires allant à la pêche aux migrants. « Ce sont les complices des passeurs. Ils font de la traite d’êtres humains. Ils vont chercher les migrants à vingt kilomètres des rives de la Libye pour des raisons d’idéologie politique et font appeler les ONG par les passeurs pour qu’ils viennent les prendre à leur bord. »

Jean-Jacques Bourdin insiste. Mais cette femme, Malaka, voulait sauver ses enfants, menacés par les ravisseurs de leur père, rappelle-t-il. Et Marine Le Pen de lui répliquer sans frémir que « l’agence de communication Aquarius a dû sélectionner des personnes qui puissent faire pleurer dans les chaumières ». Avec une conclusion évidente : pourquoi cette famille n’a-t-elle pas sollicité un visa dans un consulat à Tripoli ou Benghazi ? Un visa qui, au vu de ses explications, lui aurait certainement été accordé rapidement et lui aurait évité de mettre en péril sa vie et celle de ses enfants, en payant le prix fort. Enfin, si péril il y avait car les passeurs savaient, bien sûr, que l’Aquarius rôdait dans les parages…

Et c’est bien là le drame de cette migration maritime, qu’encouragent nos dirigeants, et notre « champion de la Terre » en premier. Le jour où passeurs et ONG seront considérés à égalité sans possibilité d’opérer leur sinistre besogne pour les premiers et leur fausse compassion pour les seconds, quel migrant aurait l’audace d’affronter une traversée de la Méditerranée problématique ?

Les consulats sont omniprésents sur le continent africain. Passer outre leur fonction, c’est entrer dans l’illégalité, la clandestinité, parfois et trop souvent, la mort anonyme par noyade ou déshydratation. Alors, oui, Marine Le Pen, entre autres, a raison de souligner qu’encourager ces navires complices de traite humaine, c’est donner l’illusion que l’Europe continuera à accueillir toute la misère du monde. Et à subir une invasion, en majorité musulmane, d’hommes à 95 %, à qui l’Europe ne pourra pas offrir un toit ou un travail sans léser leurs propres citoyens.





Pendez les Blancs : ce racisme anti-blanc que toute la gauche ose contester

LIEN VERS LA VIDEO : http://rutube.free.fr/video/Rutube Nick Conrad Rapp PLB.mp4

PLD, “Pendez les Blancs” !

“Je rentre dans des crèches, je tue des bébés blancs, attrapez-les vite et pendez leurs parents !”

Voilà le clip barbare que le rappeur français Nick Conrad, un triste inconnu qui a besoin de se faire un nom, diffuse chez les jeunes immigrés.

Voilà où nous a menés la politique migratoire démentielle de nos élus.

Voilà où nous ont conduits l’idéologie mondialiste et le multiculturalisme des illuminés qui ont le destin de la France entre leurs mains : au désastre !

Ils ont littéralement détruit l’avenir des générations futures, détruit la France.

Nous lèguerons à nos enfants une société totalement disloquée où la haine des Blancs risque de mener, tôt ou tard, à des conflits inter-ethniques et inter-confessionnels de grande ampleur.

C’est ça, la société multiculturelle paradisiaque que nous ont vantée les ayatollahs du politiquement correct.

C’est ça, la diversité qui fait la richesse de la France.

C’est ça, le droit à la différence et l’acceptation de l’Autre !

Voilà maintenant 40 ans que les politiques, les pseudo-intellectuels, les faiseurs d’opinion de la presse de gauche, bref toutes ces élites auto-proclamées, voilà 40 ans qu’elles mentent au peuple français et imposent leur dictature tiers-mondiste qui détruit la nation.

Car ce genre de clip monstrueux, ce sont nos élites qui en sont responsables.

La haine des Blancs, le racisme anti-Blancs, nous les avons importés, nous les avons encouragés par le laxisme judiciaire, la tolérance à sens unique, la repentance à tout propos.

Quand Macron va dire aux Algériens que la colonisation fut un crime contre l’humanité, il sème la haine dans le cœur de nos jeunes immigrés et brise toute possibilité d’intégration.

Quand il accuse nos soldats d’avoir pratiqué la torture, sans jamais évoquer la barbarie FLN, il sème les germes de la désintégration de la nation.

Au nom de l’antiracisme à géométrie variable, les gardiens de la morale de gauche ont toujours fermé les yeux sur l’intolérable, défendu l’indéfendable, pour ne pas “stigmatiser”, mais surtout pour ne pas marcher sur les plates-bandes du Rassemblement national et apporter de l’eau au moulin des opposants à l’immigration de masse.

Et aujourd’hui, ils sont où, ces modèles de vertu, ces humanistes bon teint, ces nobles chevaliers de l’antiracisme qui ont accablé Zemmour pour avoir dit à Hapsatou Sy que le prénom “Corinne” lui irait très bien ?

Ils sont où, ces journalistes qui ont monopolisé les plateaux TV pendant 8 jours pour cracher sur Zemmour, pour le traiter de raciste, de salaud, de fou, de malade et de semeur de haine ?

On ne les entend plus. Ils sont aux abonnés absents.

L’un de leurs chouchous de la diversité vient de cracher son venin en braillant “pendez les Blancs” et ils sont tétanisés.

Que dire, que faire ?

Certains vont sans doute nous expliquer qu’on n’a rien compris au clip. Qu’il ne faut pas prendre ça au premier degré, que c’est une provocation, certes, mais qui, bien au contraire, dénonce le racisme de tout bord.

Un message artistique de haute volée qui nous aurait échappé, en quelque sorte.

Et pas de frein à la liberté d’expression des « artistes ». Refrain bien connu.

Conrad se fout même de notre gueule, en nous disant que ce n’est pas un appel à la haine, mais qu’il faut aller « chercher en profondeur » !

Il va falloir creuser profond ! Et si le Français moyen n’a rien compris, que dire du jeune public de Nick Conrad qui arrive en 6e sans maîtriser le français ?

D’autres, sociologues en tête, nous expliqueront doctement que c’est la faute de la colonisation, de l’esclavage, de la discrimination, la faute des suprémacistes blancs qui exercent leur domination sur les racisés et les “non-souchiens”.

Éternel discours de victimisation pour bénéficier de l’impunité.

Foutaises que tout cela. Discours hypocrite de la sphère bien-pensante.

La vérité est que l’immigration extra-européenne est une bombe à retardement qui va tout pulvériser dans les années qui viennent si nos décideurs continuent de fermer les yeux sur le naufrage de l’intégration et l’illusion du “vivre ensemble”.

Enquête après enquête, toutes les synthèses des services de renseignement et des acteurs sociaux qui opèrent en banlieue font le même constat :

“Que la violence est de plus en plus enracinée et précoce, que la déculturation de masse fait des ravages et profite tant aux trafiquants qu’aux islamistes qui attisent la haine.” (Figaro)

Rien de bien nouveau. Les services de renseignement tiraient déjà la sonnette d’alarme dans les années 90.

Mais la politique de l’autruche n’a fait qu’aggraver la situation.

On assiste à une explosion des violences antisémites et anti-Blancs, qu’on appelle pudiquement “violences gratuites”, mais qui sont des violences dictées par un pur racisme, just for fun.

Je n’ai pas vu le clip, puisque Gérard Collomb a ordonné, à juste titre, son retrait, mais Stéphane Kovacs, du Figaro, en donne un résumé détaillé.

“Le clip débute par une scène de pendaison d’un homme blanc, la nuit, à Noisy-le-Grand, en Seine-Saint-Denis. L’homme est enlevé, suffoque, la tête recouverte d’un sac-poubelle.”

“Deux hommes noirs lui enfoncent un pistolet dans la bouche et différents actes de torture s’enchaînent”.

“Prouve que t’as de la génétique ! Que t’as un ADN magique ! Est-ce qu’il court vite le Blanc ?” ricanent les deux agresseurs.

“Pendez-les tous ! Pendez les Blancs” !

“Écartelez-les pour passer le temps, divertir les enfants noirs de tous âges, petits et grands. Fouettez-les fort, faites-le franchement, que ça pue la mort, que ça pisse le sang” !

Et apparaît sur l’écran une citation de Malcom X, prêcheur musulman afro-américain, assassiné à Harlem en 1965.

“ Le prix pour faire que les autres respectent vos droits humains est la mort”.

De quoi donner bien des idées à la jeunesse immigrée déjà révoltée contre la République.

C’est donc bien davantage que de l’incitation à la haine, c’est un clip pousse-au-crime, passible de 5 ans de prison.

Cette barbarie est le fruit du renoncement permanent et de la lâcheté de nos politiques, qui ont toujours nié l’échec de l’intégration et refusé de stopper une immigration de masse dévastatrice.

La haine de la France se répand dans nos banlieues où des milliers de jeunes en situation d’échec scolaire sont sensibles au discours victimaire qui les exonère totalement de leurs responsabilités.

“Si tu es dans la détresse, c’est uniquement la faute de ces salauds de Blancs”.

D’un côté, les immigrés nous reprochent la colonisation et l’esclavage, de l’autre, les élites blanches se vautrent dans une repentance sans fin qui ne fait que renforcer la haine des minorités.

Une aubaine pour les barbus qui recrutent à tour de bras. 50 % des jeunes musulmans préfèrent la charia à la loi républicaine. Belle intégration !

Quant aux patriotes, sites identitaires et autres lanceurs d’alerte, ils sont entre le marteau et l’enclume, subissant depuis des années les foudres d’une justice bien-pensante qui interdit tout débat serein sur l’immigration au nom du politiquement correct.

En conclusion, nous payons au prix fort les délires mondialistes de nos élus qui ont passé les 30 dernières années à diaboliser le Front national, à traîner ses électeurs dans la boue, systématiquement taxés d’incitation à la haine, alors que c’est dans les banlieues que se répandait une haine viscérale à l’égard de la France et du peuple français de souche.

Ce clip n’est pas l’œuvre d’un illuminé. C’est beaucoup plus grave.

Il traduit la haine que des milliers de jeunes immigrés ressentent, à la troisième génération, et annonce des lendemains tragiques pour la France qui va devenir un enfer pour les générations futures.

Tout cela était écrit depuis longtemps. En 1980, JMLP tirait déjà la sonnette d’alarme. On a préféré le diaboliser.

Et jamais la France n’a accueilli autant d’immigrés qu’aujourd’hui. C’est bien la preuve que la destruction de la nation au profit d’une société multiculturelle est parfaitement orchestrée.

L’heure de la facture est arrivée, elle sera salée !

Jacques Guillemain (Dans Riposte Laïque)





Marseille (13) : une bagarre entre migrants armés dégénère devant la faculté d’éco-gestion

Une violente bagarre entre migrants armés de couteaux a éclaté mardi devant la faculté d’éco-gestion de Marseille. Les étudiants se sont réfugiés dans le bâtiment de l’Université. Le doyen demande à ce qu’une solution soit trouvée en urgence pour éviter que ce genre d’incident ne se reproduise.

Panique sur le parvis de la faculté d’éco-gestion à Marseille. Ils sont une vingtaine de migrants à courir dans tous les sens armés de couteaux.

Une scène d’une rare violence qui s’est déroulée mardi, aux alentours de 13h au moment de la pause déjeuner.

Les étudiants, apeurés, ont été obligés de se réfugier dans l’établissement.

[…]

Dans le 1er arrondissement de Marseille, plusieurs camps de migrants se situent dans le secteur de la Porte d’Aix à proximité de l’établissement. Depuis quelques mois, certains d’entre eux ont trouvé refuge sous le préau devant l’entrée de la faculté.

« Au départ, on avait juste des problèmes d’hygiène et d’insalubrité, mais pas des problèmes de sécurité et depuis juin la situation a totalement dégénéré », s’inquiète le doyen de la faculté Pierre Granier.

Selon lui, ce n’est pas la première fois que ce genre d’incident arrive et la situation est devenue intenable.
[…]





Saint-Maur : place aux migrants, 3 500 élèves et sportifs mis dehors en 24 heures

« On a 24 heures pour tout vider. Le club de judo a des locaux ici depuis plus de 30 ans ! » Samedi 14 septembre, c’était la panique au Gymnase Gilbert-Noël de Saint-Maur (94). La ville et les clubs sportifs avaient été mis la veille devant le diktat du sous-préfet. Évidemment, la préfecture ne propose aucune solution de rechange alors que tous les emplois du temps sont bouclés depuis des semaines pour la rentrée.

http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/saint-maur-24-heures-pour-quitter-le-gymnase-requisitionne-pour-100-migrants-16-09-2018-7890420.php

96 migrants ont donc été installés le 21/09 dans le gymnase Gilbert-Noël, rue Didier, en plein cœur de Saint-Maur. Cette décision manifeste un évident mépris pour le millier de sportifs et les 2 500 élèves (écoles élémentaires de Parc-est, Champignol et Michelet, du collège Camille Pissaro, des lycées Condorcet et d’Arsonval) utilisant ces équipements sportifs qui sont donc à la rue.

Sylvain Berrios, le maire de Saint-Maur, n’a rien fait pour empêcher ce diktat préfectoral. Il a seulement été capable de demander des renforts de police car il sait bien que ces hébergements feront exploser l’insécurité (agressions, dégradations, viols, meurtres…). Héritier d’une mairie qui a su préserver pendant plus de 30 ans un cadre de vie qui fait sa réputation, il est en train de le ramener au niveau des villes voisines de Créteil, Champigny ou Bonneuil…

Les dix centres du département sont saturés (Fresnes, Créteil, Fontenay-sous-Bois, Ivry, Villeneuve-saint-Georges, Chevilly-Larue, Villejuif et Champigny). Débordé par l’afflux de migrants transitant par la porte de la Chapelle, le jeune sous-préfet, Fabien Chollet, en a déjà installé dans des gymnases à Nogent, Vincennes et Cachan. C’est maintenant le tour de Saint-Maur, sans concertation et sans solution pour les 3 500 utilisateurs du site. Quoi d’étonnant, dans le dernier département à majorité communiste de France ?

https://94.citoyens.com/2018/vaste-operation-de-mise-a-labri-de-migrants,30-05-2018.html

Au-delà du mépris des sportifs, des professionnels et des élèves, cette réquisition révèle que l’État agit dans l’urgence alors que l’Italie, la Grèce, l’Autriche et la Hongrie ont déjà mis en place une autre politique responsable et durable. Le discours officiel sur les réfugiés passe mal quand chacun peut observer ses conséquences locales.

Il passe d’autant plus mal que la précarité touche de plus en plus de Français (travailleurs et retraités), que des SDF meurent dans les rues, que les priorités et les réquisitions sont en faveur de populations qui ne sont jamais accueillies par leurs coreligionnaires des monarchies du golfe Persique.

À la manœuvre pour l’accueil, une des multiples associations de l’économie sociale. Comme chacun peut le constater, elle vit grassement de subventions : pour sa dernière convention annuelle, elle avait choisi les Folies-Bergère, social et festif !

https://gymnasegilbertnoel.wordpress.com
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Par hasard, à La Baule, j’ai rencontré un vrai journaliste : il m’a même interviewé

Il y a quelques jours, il m’est arrivé une aventure étonnante. De passage à La Baule, avec Christine Tasin, j’étais dans une boulangerie, quand une femme nous reconnut. Surprise, démonstrative, elle nous embrassa spontanément, devant la boulangère un peu interdite. Nous lui fîmes signe qu’on allait payer et parler dehors pour ne pas faire attendre les autres clients.

Nous commençâmes à discuter avec la femme, mais celle-ci était pressée et nous quitta rapidement. C’est alors qu’un autre homme, qui était derrière nous, sortit de la boutique et nous aborda. « Bonjour Pierre, bonjour Christine, ravi de vous voir à La Baule, je suis Yannick Urrien, journaliste, vous vous souvenez de moi ? »

J’ai une bonne mémoire, contrairement à Christine. Je lui dis que je me souvenais de lui, qu’il avait fait une interview de Christine pour son mensuel de La Baule, il y a quelques années, sur les méfaits du halal. Il me le confirma et nous invita à prendre un verre. Le contact fut excellent. Il m’expliqua ses différentes activités. Il avait fondé une radio, Kernews (91,5), il pilotait un mensuel papier, « La Baule Plus », et collaborait également à l’hebdomadaire « Bourse Plus » de Nicolas Miguet.

Il me dit que c’était un miracle que nous nous soyons croisés et qu’il n’allait pas nous lâcher ainsi. Il me proposa tout de suite une interview et me demanda s’il pouvait entrer en contact avec l’auteur du livre « Immigration, le naufrage français », m’expliquant qu’à partir du moment où l’on parlait de trois villes bretonnes, il était intéressé. Il fit savoir à Christine qu’il souhaitait l’interviewer, elle aussi, dans la foulée. Dire que nous n’avons pas mis les pieds sur un plateau de télévision « officielle » depuis 2011, et nous rencontrons par hasard un journaliste qui nous demande tout de suite un entretien !

Nous tombâmes d’accord pour qu’il vienne chez les amis qui nous hébergeaient, dès le lendemain, et l’interview eut lieu, elle dura 25 minutes. Je dois dire que j’étais détendu, je savais qu’il n’y aurait aucune agressivité, aucun traquenard, qu’il me laisserait parler et que l’entretien serait agréable.

Quand je pense au sort qui serait le mien si je devais être un jour (je crois que ce n’est pas demain la veille) interrogé par un Bourdin, un Aphatie, une Elkrief ou un Cohen !…

Il avait apporté des exemplaires de La Baule Plus et m’expliqua que sa grande fierté, c’était de donner la parole à tout le monde, des gens de gauche comme de droite, aux entrepreneurs, aux ouvriers, aux associations culturelles ou sportives, mais qu’il refusait d’ostraciser un courant de pensée. Ainsi, il me montra qu’il avait consacré une longue interview de 5 pages à Mario Stasi, qui possède une résidence secondaire à La Baule, mais aussi à Pierre Jovanovic, de passage lui aussi dans le coin. Il me fit voir d’autres interviews, comme celles de Francis Lalanne, de maires socialistes ou LR.

http://www.kernews.com/category/linvite-de-yannick-urrien/

http://www.labauleplus.fr/

Je trouvais sa liberté de ton exceptionnelle, dans ce milieu. Il m’expliqua que La Baule Plus avait 150 000 lecteurs tous les mois, sans la moindre subvention, et qu’il s’auto-finançait par la publicité. Et il m’affirma que sa radio, fondée il y a 11 ans, à laquelle il consacrait beaucoup de temps, émettait dans toute la Bretagne et s’auto-finançait, elle aussi, par la publicité. Tous les matins, il avait un invité qu’il interviewait, en direct ou en différé.

Après l’interview, il nous fit le plaisir de nous inviter à manger et nous fîmes davantage connaissance. Il nous raconta son enfance au Maroc et nous révéla qu’il avait tout appris sur le tas, sans jamais faire la moindre école de journalisme, en commençant, dès 16 ans, à Radio Solidarité. Nous eûmes la possibilité, en toute liberté, d’approfondir amicalement des divergences que nous avions, notamment sur les musulmans modérés, l’assimilation et les questions sociétales. Mais les échanges avec lui furent un régal d’écoute réciproque, dans une bonne humeur contagieuse.

Finalement, Yannick Urrien ressemble, sur sa défense intransigeante de la liberté d’expression, à Frédéric Taddeï (avec le côté entrepreneur en plus) qui est en train de monter des émissions « Il est interdit d’interdire » sur Russia Today. Il est aux antipodes de tous ses confrères, haineux et sectaires, qui veulent interdire Éric Zemmour de plateau de télévision.

Cela fait du bien, même si j’en ai rencontré aussi quelques-uns qui, l’air gêné, m’expliquaient qu’ils étaient d’accord avec ce que nous faisions mais que, s’ils le disaient, ils se feraient virer…

J’ai depuis mis sa radio, Kernews, sur mon autoradio et j’ai commencé à lire les exemplaires de La Baule Plus qu’il m’a laissés. Un régal.

Finalement, j’ai découvert qu’il restait en France, en dehors de la réinfosphère, de vrais journalistes, qui disent ce qu’ils pensent et se donnent les moyens de défendre leur liberté d’expression et celle de leurs invités.

Cela fait du bien…

Pierre Cassen (Riposte laïque)





Baromètre 2018 du taux de prénoms musulmans donnés aux enfants nés en France département par département (étude exclusive)

L’INSEE a publié comme chaque année les chiffres de l’Etat Civil relatifs aux prénoms attribués aux enfants nés en France depuis 1900.
Ces fichiers sont téléchargeables via ce lien.

Pour la 3ème année consécutive, fdesouche publie en exclusivité le baromètre des naissances enregistrées en France sous prénom musulman.

L’analyse de l’octroi de prénoms musulmans pour les naissances en France en 2017 révèle :
• Un taux national qui atteint les 20%, soit 1 enfant sur 5,
• Une croissance est régulière +0,5% de plus que 2016, comme chaque année depuis 1997.
• Pour rappel, ce taux était de 6,5% il y a 20 ans en 1997.

Au niveau départemental, les départements où le taux dépasse la moyenne nationale sont les plus fertiles, soit :
• L’ensemble des départements d’Île de France, hors Paris, avec le record pour la Seine Saint Denis qui dépasse les 50%
• Les départements très peuplés du Sud de la France : Rhône, Bouches du Rhône, Alpes Maritimes, Vaucluse, Gard, Hérault
• Deux départements à tradition industrielle : le Territoire de Belfort et le Loiret.

Un biais tend à minimiser le comptage des prénoms musulmans, l’INSEE ne publiant pas pour des raisons de secret statistique les prénoms considérés comme « rares » (moins de 3 occurrences par département). De part leur variété orthographique, cela tend à faire « disparaître » bon nombre de naissances de prénom étranger, ceci étant d’autant plus vérifié que les officiers de l’Etat Civil acceptent une multitude d’orthographes différentes pour les prénoms étrangers, ce qui n’est pas le cas pour les prénoms issus du calendrier grégorien.
Bref, ce taux est sous-estimé pour les départements présentant un faible nombre de naissances : il n’y a pas 0% de naissances d’enfants portant un prénom musulman en Lozère ou dans le Cantal !

Méthodologie
Afin de mener cette étude présentant la popularité spécifique des prénoms musulmans comparée aux autres prénoms aux niveaux national et départemental, il a été nécessaire de créer de toutes pièces un « référentiel » des prénoms musulmans.
Si le Coran indique que le prénom du musulman consiste en « une marque distinctive nécessaire pour faciliter la communication entre son porteur et les autres », il n’est pas évident de les identifier parmi les 34000 prénoms de la base de l’INSEE.
Plusieurs listings disponibles sur les sites communautaires suivants ont été passés au crible : www.halalbook.fr, www.prenommusulmanrare.com, www.pageshallal.com, www.katibin.fr.
Un référentiel des étudiants du monde, par pays d’origine www.studentsoftheworld.info a également été utilisé.
Plusieurs états civils de villes françaises ont enfin été examinés afin de valider l’association du prénom à des patronymes particuliers.

Certains prénoms sont systématiquement attribués à des enfants de familles musulmanes, ce sont les « prénoms musulmans certains ».
D’autres prénoms, majoritairement attribués à des enfants de familles musulmanes, peuvent parfois être attribués à d’autres enfants, nous les suivons comme « prénoms mixtes ».
Afin de disposer de chiffres indiscutables, nous ne décomptons les « prénoms mixtes » que pour moitié dans le décompte des prénoms musulmans.

Liste des 100 premiers prénoms identifiés mixtes ou muslims : ADAM, INES, EDEN, MOHAMED, SARAH, NAEL, RAYAN, SOAN, INAYA, YANIS, LINA, IMRAN, NOUR, YASMINE, AYDEN, AMINE, ALI, SOFIA, ELIA, ISMAEL, SOHAN, SOHAN, SARA, AMIR, ISSA, MANEL, IBRAHIM, KAIS, HAMZA, NASSIM, AYA, ILYES, YASSINE, ASSIA, MYRIAM, NAIM, HAYDEN, YOUNES, WASSIM, YOUSSEF, AYOUB, MOUSSA, MAISSA, ADEM, IMRANE, NAHIL, ANIS, SOFIANE, ALYA, RAYANE, MARYAM, YACINE, MALAK, ARYA, ANAS, LOUISA, IMANE, NAHEL, TASNIM, SELMA, SANA, KENZA, ZAKARIA, AYMEN, MEHDI, NORA, ISMAIL, LEILA, SWAN, AHMED, AICHA, NAELLE, ELIJAH, ALIYA, HANNA, AMINA, SAFA, FARAH, AMEL, NAILA, AMIRA, ILYANA, MINA, AIDEN, ALIYAH, RYAN, LILIA, ILYAS, FATIMA, JANA, SAMY, IDRISS, NELYA, HAJAR, MARWA, JAD, HAROUN, ASMA, MOHAMMED, ASSYA, NEYLA





L’Aquarius « en route vers Marseille » demande à la France l’autorisation de débarquer 58 migrants

L’Aquarius est « en route vers Marseille » et les ONG ayant affrété le navire humanitaire ont demandé aux autorités françaises d’autoriser « à titre exceptionnel » le débarquement des 58 migrants à son bord, a indiqué lundi le directeur des opérations de SOS Méditerranée.

« C’est la seule option que nous avons » pour permettre à l’Aquarius, « dernier navire » civil dans la zone, « de continuer sa mission » de sauvetage des migrants, a expliqué Frédéric Penard lors d’une conférence de presse à Paris. « Les autorités françaises ont été informées » de cette demande, a-t-il assuré, en soulignant qu’il était « urgent de mettre les personnes à l’abri » avec 17 femmes et 18 mineurs à bord du navire.

(…) La Dépêche