Macron reconnaît le caractère centrale de la « race » dans la société française et annonce vouloir « déconstruire » l’histoire de France

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Macron était interrogé par la chaîne américaine CBS. Dans un anglais bancale, il a rallié la gauche intersectionnelle US et expliqué son intention de passer en mode « déconstruction » du racisme systémique.

Le plus intéressant, c’est que Macron a admis que la race était désormais une question centrale en France en la liant explicitement à l’immigration, notamment africaine. « Nous sommes un ancien état colonial. Nous avons été et nous sommes encore un pays d’immigration. Nous avons beaucoup de gens qui viennent de nos anciennes colonies, notamment du continent africain. Nous avons clairement cette poussée de la race, qui est au cœur de notre société et qui crée beaucoup de tensions » a-t-il notamment déclaré avant d’enchaîner sur les personnes qui « tiennent des discours racistes » et que Macron assure vouloir faire taire.
Parmi les solutions invoquées pour régler la question blanche, la « déconstruction » de l’histoire de France.
« Déconstruire » l’histoire de France est la formule marxiste habituelle pour évoquer sa réécriture par les allogènes et les gauchistes afin de préparer le Grand Remplacement. Il ne s’agit pas de « déconstruire » mais de détruire. Avant d’anéantir les Blancs collectivement, il faut détruire leur légitimité historique sur la terre de leurs ancêtres.
Disclaimer : la France est un pays peuplé de Blancs depuis sa fondation

Le coming out racialiste de Macron est une réelle satisfaction.

En 2018, on en était encore à supprimer le mot race de la constitution.

Maintenant, la question raciale est admise au plus haut niveau.

Il ne restera bientôt plus que la droite française pour maintenir que les races n’existent pas.

Captain Harlock, D.P.

Christophe, 45 ans, égorgé, Pierre, 68 ans, lynché : 2 morts sur ordonnance

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Il y a 15 jours, dans le Nord de la France, Christophe Fauquenoy, 45 ans, était retrouvé égorgé dans le hall de son immeuble. Il vivait dans un quartier où les dealers, en toute impunité, faisaient la loi, et ne supportait plus la situation. Le crime est signé, par le mode opératoire. Pas un article dans la presse nationale, ils s’en foutent, c’était un Français !

Visite de nos merveilleuses régions, aujourd’hui la région lyonnaise.

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« Wollah – La Mecque – Wollah – La Mecque » : les magnifiques algériennes de Lyon sont irrésistibles

Le bon vieux parlé lyonnais : y’a rien qui va j’suis mort

Quatre jeunes hommes et une jeune femme ont été interpellés par la police judiciaire jeudi soir et ce vendredi matin. Ils sont soupçonnés d’être les auteurs du meurtre d’un sexagénaire

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19/04/2021

Une information judiciaire est ouverte par le parquet de Bordeaux pour meurtre. L’autopsie, pratiquée à l’Institut médico-légal de la ville, conclue à un décès dû « à un œdème cérébral post-traumatique suite à un fracas facial majeur », selon le parquet. Plusieurs fractures ont été relevées sur son visage.

Les cinq personnes sont sans emploi et originaires des communes de la rive droite, Lormont, Cenon et Floirac. L’une d’entre elles, connue pour des faits de violence, serait récemment sortie de prison. Selon un proche de l’enquête, les quatre garçons auraient reconnu leur présence sur les lieux et avoir porté des coups de pied à la victime. Les quatre agresseurs présumés ont justifié leur acte en représailles à un propos qu’ils ont jugé déplacé de la part de la victime. En revanche, ils ont nié avoir eu l’intention de tuer.

Le Parisien


18/04/2021

Dans un communiqué, le parquet de Bordeaux annonce la mise en examen et le placement en détention provisoire de quatre jeunes hommes, après le meurtre d’un sexagénaire à Floirac, le 10 avril dernier. Une cinquième personne, une femme, est placée sous le statut de témoin assisté. 

(…) D’après le communiqué de la procureure Frédérique Porterie, “l’hypothèse d’une mauvaise rencontre avec une personne qui aurait été dérangée et surprise par la présence de la victime [est] rapidement privilégiée, l’homicide de la victime ayant manifestement été commis avec soudaineté et brutalité.”

(…) Mardi 13 avril, l’enquête progresse rapidement grâce à un témoignage anonyme fourni aux policiers. Selon cette personne, un jeune homme de 21 ans, habitant à Cenon, se vante d’être l’auteur du meurtre. (…)

France 3


17/04/2021

La victime de 68 ans aurait croisé ses meurtriers dans les parties communes de son immeuble, rapporte Sud-ouest. Cinq suspects ont été interpellés.

(…) Selon les éléments de l’enquête, des voisins ont souligné la présence régulière de jeunes dans les locaux, fumant et buvant. À partir des indices recueillis, quatre suspects âgés de 19 à 21 ans ont été identifiés, soupçonnés d’avoir tué Pierre Sourgen de façon gratuite, ainsi qu’une jeune femme qui aurait également été impliquée dans le lynchage. La victime avait l’habitude d’effectuer une balade avant de dîner. Il aurait alors croisé les jeunes et aurait fait une banale réflexion, suffisante pour déclencher leur courroux puis un déchaînement de violence. Les jeunes l’auraient fait chuter puis l’auraient roué de coups de pied, avant de l’abandonner à son sort et de prendre la fuite.

(…) Le Figaro


Quatre jeunes hommes et une jeune femme ont été interpellés par la police judiciaire jeudi soir et ce vendredi matin. Ils sont soupçonnés d’être les auteurs du meurtre d’un sexagénaire

Moins d’une semaine après la découverte du corps sans vie de Pierre Sourgen, un habitant de Floirac de 68 ans, les enquêteurs de la police judiciaire (PJ) de Bordeaux ont identifié une bande de jeunes gens d’une vingtaine d’années qui serait à l’origine des coups ayant causé la mort du sexagénaire.

Samedi dernier, vers 19 heures, c’est un habitant de la résidence Le Hameau-de-Bourbon, rue Edgar-Degas à Floirac, qui a découvert Pierre Sourgen, au sol, le visage ensanglanté. Il gisait dans un couloir desservant les locaux techniques d’un immeuble. C’est là qu’il aurait croisé la bande de jeunes habitant Lormont, Cenon et Floirac et leur aurait fait semble-t-il fait une réflexionCes derniers, en réponse, se seraient jetés sur lui pour le faire tomber et le rouer de coups de pied.

Les quatre jeunes pourraient avoir participé chacun à leur tour aux gestes mortels. La jeune femme aurait été témoin passive mais elle n’a pas porté secours ni donné l’alerte.

(…) Sud Ouest

Reconstruction de Notre-Dame : vive les Verts !

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Événement historique ! Le 5 mars 2021, Mme Bachelot, ministre de la Culture, a marqué le premier chêne, haut de 20 mètres, destiné au « tabouret » de la flèche de Viollet le-Duc. C’était dans la forêt domaniale de Bercé (Sarthe). Huit premiers chênes furent ainsi marqués, que suivraient bientôt mille autres, tous numérotés. La forêt de Notre-Dame, refaite à l’identique, durerait huit à dix années de plus que celle qui a brûlé ! Adieu aux concurrents en acier et en béton ! Les écolos n’assistaient pas à la cérémonie mais l’émotion était en rendez-vous. Julien Denormandie, ministre de l’Agriculture, dit combien « notre patrimoine culturel prenait racine dans notre patrimoine naturel ». Et Mme Bachelot de citer une phrase apocryphe, très tendance, de Chateaubriand : « Les forêts précèdent les hommes et les déserts les suivent. Les forêts nous suivront grâce à Bercé. »

À la pétition de 41.000 personnes adressée à Barbara Pompili fustigeant un écocide – toujours le mot juste, les écolos -, Mme Bachelot avait coupé court. « Une forêt, ça se gère et les coupes étaient prévues en tout état de cause… Aucune flibuste, aucun piratage, aucune amputation du patrimoine. » Mille chênes pris dans « une forêt d’exception » représentent 0,1 % de récolte annuelle destinée à la construction et à l’artisanat.

À cette forêt, toutes les forêts de France ont voulu donner leur arbre. Mille trois cent vingt-quatre chênes, centenaires voire bicentenaires, venus des forêts de l’État et des propriétaires forestiers furent sélectionnés. Initiative solidaire inégalée ! Magnifique élan cathédral ! Trente communes de Haute-Sarthe répondirent à l’appel. Cinquante-quatre propriétaires, adhérents à la coopérative forestière de l’Unisylva, firent don de 388 chênes. L’ONF (Office national des forêts) abattit des chênes mesurant jusqu’à 21 mètres. Quelle fierté, pour les régions où la filière du bois représente cinq pour cent des emplois ! Pour concourir, il suffisait d’être un chêne non vrillé, avoir le tronc droit, être âgé de 150 ans à 300 ans, mesurer 5 à 14 mètres de haut et avoir un diamètre de 50 à 90 cm. N’est pas chêne cathédral qui veut !

Apparu il y a 150 millions d’années, le roi de la forêt a fait les charpentes de nos maisons, de nos navires, de nos cathédrales. Au lieu d’être le chien d’Obélix, Idéfix, qui pleure chaque fois que son maître déracine un chêne, les écolos devraient lire le joli livre, Le Chêne, de Jean-François Clémence, ancien forestier de Bercé. Ils apprendraient que l’exploitation n’est pas la déforestation et que le chêne se reproduit et croît extrêmement vite – c’est pourquoi il a colonisé (il n’y a pas d’autre mot) si rapidement l’Europe entière. Que les oiseaux sont des reboiseurs naturels, tout particulièrement le geai, qui met des glands dans sa poche buccale, les enterre en terrain meuble, en perd un peu partout. Heureux présage : à la messe de la Saint-Hubert du 18 novembre 2018 célébrée à Notre-Dame, le compositeur Sylvain Oudot mit en musique une prière, écrite par un académicien – amoureux, s’il en est, de notre langue -, Sir Michael Edwards : La cathédrale à la haute futaie.

Marie-Hélène Verdier, Boulevard Voltaire