« Meurtre », « assassinat » : Mélenchon et ses amis peinent à prononcer le mot « attentat » après l’égorgement halal d’une infidèle à Rambouillet

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

En ce mois saint du ramadan, Jean-Luc Mélenchon a tenu à ne pas faire d’amalgames.

On préfèrera parler pudiquement de « meurtre » sans donner plus de détails.

On pourra également opter pour « assassinat ».

Ou « acte barbare ».

C’est quoi un « attentat islamiste » ?

Espérons que la oumma sera reconnaissante électoralement de ce flou artistique.

Captain Harlock, dans D.P.

« L’heure est grave, la France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent » : des militaires interpellent la classe politique

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

À l’initiative de Jean-Pierre Fabre-Bernadac, officier de carrière et responsable du site Place Armes, une vingtaine de généraux, une centaine d’officiers  et plus d’un millier d’autres militaires ont signé un appel pour « un retour de l’honneur et du devoir au sein de la classe politique ». Breizh-info reprend bien volontiers cet appel.

Monsieur le Président,

Mesdames, Messieurs du gouvernement,

Mesdames, Messieurs les parlementaires,

L’heure est grave, la France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent. Nous qui, même à la retraite, restons des soldats de France, ne pouvons, dans les circonstances actuelles, demeurer indifférents au sort de notre beau pays.

Nos drapeaux tricolores ne sont pas simplement un morceau d’étoffe, ils symbolisent la tradition, à travers les âges, de ceux qui, quelles que soient leurs couleurs de peau ou leurs confessions, ont servi la France et ont donné leur vie pour elle. Sur ces drapeaux, nous trouvons en lettres d’or les mots « Honneur et Patrie ». Or, notre honneur aujourd’hui tient dans la dénonciation du délitement qui frappe notre patrie.

– Délitement qui, à travers un certain antiracisme, s’affiche dans un seul but : créer sur notre sol un mal-être, voire une haine entre les communautés. Aujourd’hui, certains parlent de racialisme, d’indigénisme et de théories décoloniales, mais à travers ces termes c’est la guerre raciale que veulent ces partisans haineux et fanatiques. Ils méprisent notre pays, ses traditions, sa culture, et veulent le voir se dissoudre en lui arrachant son passé et son histoire. Ainsi s’en prennent-ils, par le biais de statues, à d’anciennes gloires militaires et civiles en analysant des propos vieux de plusieurs siècles.

– Délitement qui, avec l’islamisme et les hordes de banlieue, entraîne le détachement de multiples parcelles de la nation pour les transformer en territoires soumis à des dogmes contraires à notre constitution. Or, chaque Français, quelle que soit sa croyance ou sa non-croyance, est partout chez lui dans l’Hexagone ; il ne peut et ne doit exister aucune ville, aucun quartier où les lois de la République ne s’appliquent pas.

– Délitement, car la haine prend le pas sur la fraternité lors de manifestations où le pouvoir utilise les forces de l’ordre comme agents supplétifs et boucs émissaires face à des Français en gilets jaunes exprimant leurs désespoirs. Ceci alors que des individus infiltrés et encagoulés saccagent des commerces et menacent ces mêmes forces de l’ordre. Pourtant, ces dernières ne font qu’appliquer les directives, parfois contradictoires, données par vous, gouvernants.

Les périls montent, la violence s’accroît de jour en jour. Qui aurait prédit il y a dix ans qu’un professeur serait un jour décapité à la sortie de son collège ? Or, nous, serviteurs de la Nation, qui avons toujours été prêts à mettre notre peau au bout de notre engagement – comme l’exigeait notre état militaire, ne pouvons être devant de tels agissements des spectateurs passifs.

Aussi, ceux qui dirigent notre pays doivent impérativement trouver le courage nécessaire à l’éradication de ces dangers. Pour cela, il suffit souvent d’appliquer sans faiblesse des lois qui existent déjà. N’oubliez pas que, comme nous, une grande majorité de nos concitoyens est excédée par vos louvoiements et vos silences coupables.

Comme le disait le cardinal Mercier, primat de Belgique : « Quand la prudence est partout, le courage n’est nulle part. » Alors, Mesdames, Messieurs, assez d’atermoiements, l’heure est grave, le travail est colossal ; ne perdez pas de temps et sachez que nous sommes disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation.

Par contre, si rien n’est entrepris, le laxisme continuera à se répandre inexorablement dans la société, provoquant au final une explosion et l’intervention de nos camarades d’active dans une mission périlleuse de protection de nos valeurs civilisationnelles et de sauvegarde de nos compatriotes sur le territoire national.

On le voit, il n’est plus temps de tergiverser, sinon, demain la guerre civile mettra un terme à ce chaos croissant, et les morts, dont vous porterez la responsabilité, se compteront par milliers.

Les généraux signataires :

Général de Corps d’Armée (ER) Christian PIQUEMAL (Légion Étrangère), général de Corps d’Armée (2S) Gilles BARRIE (Infanterie), général de Division (2S) François GAUBERT ancien Gouverneur militaire de Lille, général de Division (2S) Emmanuel de RICHOUFFTZ (Infanterie), général de Division (2S) Michel JOSLIN DE NORAY (Troupes de Marine), général de Brigade (2S) André COUSTOU (Infanterie), général de Brigade (2S) Philippe DESROUSSEAUX de MEDRANO (Train), général de Brigade Aérienne (2S) Antoine MARTINEZ (Armée de l’air), général de Brigade Aérienne (2S) Daniel GROSMAIRE (Armée de l’air), général de Brigade (2S) Robert JEANNEROD (Cavalerie), général de Brigade (2S) Pierre Dominique AIGUEPERSE (Infanterie), général de Brigade (2S) Roland DUBOIS (Transmissions), général de Brigade (2S) Dominique DELAWARDE (Infanterie), général de Brigade (2S) Jean Claude GROLIER (Artillerie), général de Brigade (2S) Norbert de CACQUERAY (Direction Générale de l’Armement), général de Brigade (2S) Roger PRIGENT (ALAT),  général de Brigade (2S) Alfred LEBRETON (CAT), médecin Général (2S) Guy DURAND (Service de Santé des Armées), contre-amiral (2S) Gérard BALASTRE (Marine Nationale).

Source, Breizh-info

La femme voilée, Pierre et l’assimilation

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

À Montpellier, une femme voilée a interpellé Emmanuel Macron sur le manque de mixité dans le collège de son quartier. En regrettant le départ des petits Pierre. Voilà donc que la dame reprend, sous l’œil complaisant des médias, l’hymne officiel à la mixité sociale, la nouvelle potion magique qu’Emmanuel Macron va reprendre dans son futur programme présidentiel. Quel heureux hasard !

L’expression novlangue mixité sociale est doublement trompeuse : elle n’a rien de social et ne désigne pas les sexes. Elle signifie, en réalité, la volonté de rendre obligatoire le mélange des personnes issues de l’immigration et des autochtones : dans les écoles (aux États-Unis, cela s’appelait le busing), dans les logements , dans les quartiers, bref, partout. 

Non seulement les promoteurs de cette mixité oublient de demander aux Français s’ils ont envie, eux, de vivre parmi des personnes qui n’ont pas les mêmes mœurs, la même religion ni les mêmes valeurs qu’eux. Mais tous ces beaux discours peinent à cacher une sinistre réalité : l’assimilation des personnes immigrées au destin français ne fonctionne plus. Et c’est justement parce que l’assimilation ne fonctionne plus, alors même que l’immigration ne cesse pas, que la France devient un agrégat de communautés de plus en plus éloignées les unes des autres. 

Pourquoi l’assimilation ne fonctionne-t-elle plus en France ?  

Parce que l’immigration de masse que connaît notre pays depuis des années (450.000 entrées officielles par an, sans compter les immigrants clandestins, soit, rapporté à la population française, un effort bien supérieur à celui des États-Unis) rend illusoire toute assimilation. 

L’assimilation ne peut fonctionner qu’à six conditions, en effet :

– que la personne ait vraiment la volonté de s’assimiler à la culture et aux mœurs de son pays d’accueil ;

– que le pays d’accueil ait suffisamment confiance dans son identité et ses valeurs pour offrir quelque chose à quoi s’assimiler ;

– que l’écart culturel entre le pays d’accueil et le pays d’origine de l’immigrant ne soit pas trop grand ;

– que l’immigrant rompe ses liens avec son pays d’origine ;

– que les flux d’immigration restent raisonnables et étalés dans le temps ;

– qu’il n’y ait pas déjà une forte communauté de personnes issues de l’immigration dans le pays d’accueil.

Aucune de ces conditions n’est remplie aujourd’hui. L’assimilation individuelle reste possible, mais pas celle de populations entières.

Comme animal social, l’homme préfère vivre avec ceux qui lui sont proches. L’immigration de masse encourage donc la concentration des immigrants dans les zones où résident déjà d’autres immigrants. Et il provoque, en sens inverse, ce qu’on appelle outre-Atlantique le white flight : les autochtones qui en ont les moyens quittent les quartiers où la population change du fait de l’arrivée d’immigrants.

Les belles âmes qui réclament aujourd’hui la mixité sociale veulent, en réalité, l’imposer à la France d’en bascelle qui n’a pas voix au chapitre. Mais elles se gardent bien de se l’imposer à elles-mêmes comme à leurs familles.

Vouloir imposer la mixité sociale sans arrêter l’immigration de masse ne résoudra rien.

Michel Geoffroy, dans Boulevard Voltaire

Stéphanie, policière, égorgée par un clandestin tunisien régularisé !

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Stéphanie, policière, égorgée par un clandestin tunisien régularisé !

“On n’en peut plus” a déclaré Marine Le Pen.

“Les mêmes horreurs se succèdent, la même infinie tristesse en pensant aux proches et aux collègues de cette policière assassinée, les mêmes profils coupables de cette barbarie, les mêmes motifs islamistes”.

Le tueur, un clandestin tunisien régularisé, a frappé dans un commissariat de Rambouillet, au cri de “Allahu akbar”, égorgeant sa victime avant d’être abattu par les tirs d’un policier.

Cette mère de famille de 49 ans laisse derrière elle ses deux filles de 18 et 13 ans.

Mais combien de crimes barbares faudra-t-il encore endurer avant qu’un Président se décide enfin à agir et à frapper au cœur la mouvance terroriste ?

Car c’est l’impunité qui engendre la terreur.

Et il est temps d’interdire les régularisations, devenues automatiques alors que les expulsions sont anecdotiques. Tout empire. Il n’y a plus d’État.

Plus le sang coule et plus Emmanuel Macron reste les bras ballants, rabâchant ses éternels messages de condoléances aux familles des victimes et son soutien aux policiers. Mais ce sont des actes que les français attendent. Rien n’est fait pour protéger les Français.

Des centaines de terroristes revenus de Syrie ont été et seront libérés entre 2020 et 2023. Leurs peines ? Insignifiantes pour des traitres qui ont combattu la France sous la bannière de l’État islamique.

La France est bien le pays le plus dangereux d’Europe avec son immigration de masse et ses islamistes embusqués, attendant leur heure pour répandre la terreur.

Il y a 22 000 fichés “S” dont 8 000 étrangers dont 400 clandestins. Que font ces 8 000  tueurs potentiels en France ?

En trois ans il y a eu 44 000 attaques au couteau, soit une moyenne de 120 par jour.

On décapite les enseignants, on égorge les policiers et les prêtres, on éventre les passants et rien ne bouge.

On continue d’accueillir massivement des bombes potentielles sans jamais expulser les clandestins.

Ils sont 1 million à errer dans nos rues. Le même nombre qu’en Angleterre.

Ça suffit !!

En 2022, il faudra chasser les immigrationnistes et les ayatollahs du laxisme judiciaire, qui se foutent des victimes et ne légifèrent que pour les droits des criminels.

En 20 ans, les agressions ont doublé, atteignant le chiffre ahurissant de 1000 attaques par jour ou 42 par heure !

Comme le dit Marine, on n’en peut plus !

Jacques Guillemain, dans Riposte Laïque

Macron, mis en place pour génocider les Français, subira le même sort

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Que dire après cet outrage à la nation qu’il commit la semaine dernière en s’en ouvrant à la chaîne américaine politiquement correcte CBS ? Il veut « déconstruire ». Quoi ? L’histoire de France. Comme si elle lui appartenait !

Ce pauvre petit homme riche se trouve dans un cyclone dont il ignore tout. Lui qui, sans avoir connu d’autres émois que domestiques, fut propulsé au plus haut pouvoir français par la conjonction de montreurs de marionnettes (habitués des cénacles  nommés « le forum de Davos », le « groupe de Bildenberg » ou le CFR) et un peuple décérébré par une Éducation dite nationale assassine, cet adolescent attardé lutte contre des vents tournants qu’il ne peut même pas nommer.

Il ignore le tragique de l’histoire tout en étant le commandant en chef de ce qu’il reste de ce qui fut l’armée française.

Il ignore que le génocide que ses maîtres se sont décidés à commettre, et dont ils l’ont fait leur exécuteur pour la France, le concerne personnellement. Qu’il le veuille ou non, on peut dire de lui « il en est » comme on disait autrefois d’un homme hésitant sur sa sexualité. Ces apprentis sorciers sont blancs, d’origine européenne, de culture (lorsqu’il leur en reste une) gréco-latine, et pour certains d’entre eux – encore – de religion chrétienne. À la fin, quand ils seront seuls au milieu de l’océan des autres, on les supprimera.

Il ignore que les traîtres sont détestés par ceux-là mêmes pour qui ils ont trahi.

Il ne sait pas qu’il ne sait rien de l’histoire, ni de la France, ni de la grandeur, ni qu’il n’y a toujours pas loin du Capitole à la roche tarpéienne.

En fait, il veut déconstruire l’histoire de France, donc la France, alors que ce qu’il faut, et urgemment, c’est que les Français déconstruisent Macron.

Georges Clément, dans Riposte Laïque

Depuis le début, les faits donnent raison au Pr Raoult

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

“Quoi que vous fassiez, vous n’arriverez jamais à trouver quelque chose de plus efficace que l’hydroxychloroquine.”

Ainsi s’exprime le Pr Raoult qui persiste et signe sur l’efficacité incontestable de son traitement précoce contre le Covid-19.

À l’IHU de Marseille, 17 000 personnes ont été traitées depuis le début de la pandémie. 16 sont décédées.

En 2020, sur les 8 315 personnes traitées en ambulatoire avec l’hydroxychloroquine associée à azithromycine, 5 sont décédées. En ce qui concerne les personnes hospitalisées, les résultats sont également spectaculaires, avec des courbes de mortalité démontrant l’efficacité du traitement.

Les études favorables à l’hydroxychloroquine s’accumulent, donnant raison à notre génie marseillais, qui déplore que les Occidentaux aient interdit un tel traitement.

Le professeur reste convaincu que tôt ou tard cette molécule ancienne, qui a fait ses preuves, sera réhabilitée.

Pour le Pr Raoult, il n’y a pas eu de diminution de l’espérance de vie en région Paca. Si la mortalité a augmenté chez les plus de 65 ans, elle a au contraire diminué chez les plus jeunes.

La proportion des personnes ayant été  infectées est d’environ 35 %, ce qui, avec le vaccin, assure la protection d’une partie grandissante de la population. Les cibles potentielles pour le virus sont donc en diminution, ce qui est encourageant.

Pour l’infectiologue, il est primordial de traquer les variants, toujours plus nombreux, notamment en surveillant les élevages intensifs de visons.

Et revenant sur le remdésivir, il confirme que ce médicament est non seulement inefficace, mais qu’il est un agent mutagène qu’il faut interdire. Tous les pays qui l’ont prescrit ont vu apparaître des variants. Brésil, Afrique du Sud et Royaume-Uni.

On a observé chez un patient soigné antérieurement au remdésivir et traité à l’IHU de Marseille que le virus avait muté 15 fois durant son traitement.

Chez tous les patients dont le portage viral dure plus de 90 jours, on s’aperçoit qu’ils avaient suivi antérieurement un traitement au remdésivir.

“Je sais que critiquer le laboratoire Gilead me vaut d’être harcelé par les médias, mais nos études sont documentées et publiées”.

Le discours du Pr Raoult n’a donc pas changé. Sérénité et calme sont de rigueur. Détecter, traiter et traquer les variants sans relâche pour voir la situation s’apaiser.

Jacques Guillemain, dans Riposte Laïque

Plusieurs centaines de manifestants ont défilé aux Arcs-sur-Argens suite à l’appel à l’aide de Jean-Philippe Victor et sa soeur, Marie-Françoise. Les squatteurs ont fui.

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Quand le peuple se soulève et dénonce les injustices face aux squatteurs, la situation s’arrange et les intrus fuient…comme quoi il n’y a rien à attendre de la justice ou de la Police. Les Français doivent prendre leur destin en main et régler les problèmes ensemble en se soutenant et en s’entraidant face aux barbares venus d’ailleurs. Une belle leçon pour l’avenir.

23/04/21

17/04/21

Ce samedi 17 avril, plusieurs centaines de manifestants ont défilé aux Arcs-sur-Argens suite à l’appel à l’aide de Jean-Philippe Victor et sa soeur, Marie-Françoise.

Leur maison de famille est investie illégalement par des demandeurs d’asile depuis sept mois et n’arrivent pas à en reprendre possession. D’une même voix, la foule a chanté la Marseillaise et montré son soutien face à une situation qui fait débat.

“Le juge a ordonné, en 2020, l’expulsion des familles installées illégalement dans notre maison et le préfet ne l’a pas exécuté. Il n’a rien fait”, explique le propriétaire des lieux, soulagé de voir une mobilisation de telle ampleur.

“Alors nous sommes tous là pour montrer que nous ne lâcherons pas l’affaire. Que cela peut nous arriver à tous et que ce n’est pas normal que nous soyons ceux qui payent les pots cassés tandis qu’eux sont protégés!”

01/04/21

Depuis sept mois, la maison de Jean-Philippe Victor, sur la commune des Arcs (Var), est squattée par une dizaine de ressortissants de Bosnie-Herzégovine. Or, le sous-préfet de Draguignan refuse de recourir à la force publique pour les déloger malgré un jugement d’expulsion.

Depuis l’automne dernier, Jean-Philippe Victor, un viticulteur varois, se bat pour récupérer sa villa, héritée de sa maman décédée depuis moins d’un an. «Lorsque les squatteurs sont entrés dans la maison, je m’apprêtais à la vendre afin de régler les droits de succession, confie-t-il. J’avais déjà un acheteur mais tout est tombé à l’eau». Ce 28 septembre, des voisins alertent Jean-Philippe que plusieurs individus viennent de s’introduire chez lui. «Ces gens font partie de réseaux, poursuit-il. Ils connaissent bien le droit français. Ils se servent des femmes et des enfants pour échapper à l’expulsion». 

[…]

Depuis, le viticulteur varois fait feu de tout bois en alertant la presse et les élus locaux. Sans résultat. «Les squatteurs font la fête tous les soirs, raconte Jean-Philippe. La gendarmerie a été appelée pour tapage nocturne. Je n’ose imaginer dans quel état je vais retrouver ma maison».

[…]

Le samedi 17 avril, le propriétaire organisera une manifestation devant sa maison aux côtés de plusieurs de ses voisins qui le soutiennent sans relâche

CNews