La hausse du prix des carburants va coûter très cher à Macron

Publié le 30 octobre 2018 – par Alain Marsauguy (Riposte Laïque)

Les Français sont d’autant plus en colère que l’augmentation ininterrompue des taxes ne servira pas à la transition énergétique mais viendra remplir les caisses de l’État.

Cette fois la coupe est pleine. Les automobilistes n’en peuvent plus. Le prix des carburants ne cesse de grimper. Le plein coûte de plus en plus cher à la pompe. Une hausse de 23 % depuis le début de l’année. Si celle-ci est due en partie à l’augmentation du prix du baril de pétrole, la décision du gouvernement d’augmenter les taxes sur les produits pétroliers (TICPE) est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase de la colère des usagers de la route.
Ceux-ci ont en effet la désagréable impression d’être depuis quelques mois la cible des pouvoirs publics. La limitation de la vitesse à 80 km/h appliquée depuis le 1er juillet sur l’ensemble des routes départementales avait soulevé une vague de protestations dans toute la France par son côté dictatorial. Elle devait, nous a-t-on dit, réduire le nombre d’accidents de la circulation. Or, après quelques mois, les statistiques ne montrent pas une diminution de la mortalité sur les routes. Par contre, la machine à cash que sont les radars n’a jamais autant fonctionné.

Trompeur également l’argument selon lequel les moteurs diesel seraient les grands responsables de la pollution atmosphérique. De très importants progrès ont été réalisés au fil du temps et de la réglementation par les constructeurs dans ce domaine. Avec l’entrée en vigueur des normes Euro 5 et les filtres à particules, les émissions dues aux échappements sont passées de 50 à quelques milligrammes. À l’inverse, l’introduction de l’injection directe pour les moteurs à essence a eu pour conséquence d’augmenter considérablement l’émission de particules. La norme Euro 6b de 2015 a imposé de nouvelles limitations identiques pour les moteurs qu’ils soient diesel ou à essence.

Les moteurs ne sont pas seuls en cause. Une part très importante des émissions de particules fines (41 % selon une étude de l’observatoire de la qualité de l’air de Paris en 2015) provient de l’abrasion des pneus, du freinage et de la route. Une pollution qui est la même que le véhicule soit équipé d’un moteur diesel ou à essence, qu’il soit hybride ou électrique.

Certes, la campagne menée au nom de l’écologie contre les véhicules diesel n’est pas récente. Déjà, à la fin des années 90, Dominique Voynet, la ministre Verte en charge de l’aménagement du territoire et de l’environnement sous Chirac, avait tenté de taxer à la pompe les véhicules diesel par une augmentation progressive de sa fiscalité sur plusieurs années. Elle avait dû renoncer à son « plan de rattrapage de la fiscalité du gazole » devant l’opposition des routiers. Quelques années plus tard, Raffarin annonçait une augmentation de 2,5 centimes par litre de la taxe sur le gazole. Les 800 millions d’euros de recettes générés devaient être consacrés « au financement de nouvelles infrastructures ferroviaires ».

Campagne acharnée contre le diesel

Aujourd’hui, sous le fallacieux prétexte de l’environnement, les pouvoirs publics mènent une campagne acharnée contre le diesel au profit des véhicules électriques encensés comme étant la solution d’avenir pour diminuer la pollution par les gaz d’échappement. On voudrait nous faire croire que les pouvoirs publics agissent dans l’intérêt général. On nous rebat les oreilles avec la transition énergétique. Mensonges que tout cela ! Le rapport spécial du Sénat sur la transition énergétique au PLF 2018 est très clair : « Sur les 3,9 milliards d’euros de recettes supplémentaires en 2018, seuls 184 millions de TICPE seront alloués au compte d’affectation spécial « transition énergétique » pour financer les engagements passés au titre du développement des énergies renouvelables ». Le produit de ces taxes ne servira donc pas à l’entretien du réseau routier – qui en aurait bien besoin – comme cela était initialement sa raison d’être, mais viendra abonder le budget de l’État. La TICPE représente en effet la 4e plus importante recette fiscale. Une manne pour Bercy !

Et comme si cela ne suffisait pas à alimenter la colère des automobilistes, voilà qu’on nous parle d’instaurer des péages urbains à l’entrée des grandes agglomérations dès l’année prochaine. Limiter la circulation automobile, « lutter contre la pollution et les nuisances environnementales », les « bonnes » raisons ne manquent pas. L’État laissera le soin à la collectivité de déterminer le périmètre. Et c’est l’autorité organisatrice de la mobilité (AOM) c’est-à-dire la ville ou la communauté de communes qui récupérera les bénéfices de cette nouvelle taxe désignée officiellement sous le nom de « tarif de congestion ». Un piège diabolique tendu aux édiles qui devant la diminution constante des dotations de l’État seraient tentés par la perspective de nouvelles recettes, mais qui doivent aussi tenir compte du ras-le-bol fiscal des automobilistes-citoyens à l’approche des élections municipales de 2020.

Il n’y a donc pas lieu de s’étonner du succès de la pétition lancée il y a quelques jours par une habitante de Seine-et-Marne qui a dépassé le demi-million de signatures. La hausse du prix du carburant cristallise à elle seule tous les mécontentements du pays. Des appels au blocage des routes et à la mobilisation se multiplient, sur Facebook notamment. La grogne des automobilistes, mais aussi de tous les professionnels de la route taxis, VTC, livreurs et chauffeurs routiers prend de l’ampleur. Toutes les régions sont concernées. Le 17 novembre, pour la journée nationale de protestation le pays tout entier sera bloqué. Apolitique au départ, le mouvement est soutenu par le Rassemblement national de Marine Le Pen et Debout la France de Nicolas Dupont-Aignan. Nul ne peut dire sur quoi la colère des automobilistes peut déboucher. Le gouvernement qui se veut « droit dans ses bottes » semble avoir sous-estimé le symbole fort que représente la voiture pour chaque Français. Il risque d’avoir à le regretter. La forte hausse du prix du pain entre 1787 et 1789 avait entraîné des émeutes dans les campagnes françaises. Une crise alimentaire qui a débouché… sur la Révolution.




Gérard Collomb se lâche sur l’immigration : « D’ici à 5 ans, la situation deviendra irréversible. Je crains la sécession. Les gens ne veulent pas vivre ensemble »

Dialogue inédit avec Gerard Collomb, quand il était ministre de l’Intérieur, exhumé par @Valeurs en kiosque demain.

« Les rapports entre les gens sont très durs, les gens ne veulent pas vivre ensemble… »

– Quel est la part de responsabilité de l’immigration ?

« Énorme (…) »

– Vous pensez qu’on n’a plus besoin d’immigration en France ?

« Oui, absolument »

« Des communautés en France s’affrontent de plus en plus et ça devient très violent… »

« Je dirais que, d’ici à 5 ans, la situation pourrait devenir irréversible. Oui, on a cinq, six ans, pour éviter le pire. Après… »




Depuis le début de cette année, 1 552 mineurs marocains ont été interpellés à Paris, 806 conduits devant la justice mais seulement 21 placés en détention provisoire et 6 expulsés

C’est un sujet particulièrement sensible qui ne manque pas de diviser l’État et la mairie de Paris. La gestion depuis près de deux ans des mineurs présumés marocains non accompagnés (MNA), auteurs de vols et/ou de violences dans le quartier de la Goutte d’or dans le 18e arrondissement à Paris mobilise, chaque jour, de nombreux intervenants. Parmi eux, trois agents consulaires marocains, spécialement chargés d’identifier les jeunes délinquants originaires du royaume chérifien et d’établir leurs liens familiaux au Maroc. (…)

Selon une note d’octobre des services de la préfecture de police de Paris que Le Point a pu consulter, huit d’entre eux se sont finalement vu signifier une obligation de quitter le territoire français (OQTF), assortie d’un placement dans un centre de rétention administrative (CRA). Six de ces faux mineurs ont été reconduits dans leur pays d’origine. Un septième se trouverait toujours dans un CRA, tandis que le huitième est parvenu à « fuguer » fin septembre. Il fait l’objet d’intenses recherches.

Depuis le début de cette année, 1 552 mineurs marocains ont été interpellés sur le ressort de la Direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (Dspap), principalement pour des faits de vols avec violence et des cambriolages. Un chiffre en hausse de 41 % par rapport à la même période de l’année dernière. Sur l’ensemble de l’année 2017, ce sont 813 mineurs, originaires du Maroc, qui avaient été arrêtés dans le même secteur à Paris. Depuis le 1er janvier, 1 450 ont été placés en garde à vue. Gardes à vue qui ont abouti à 806 présentations devant le parquet des mineurs de Paris. Sur ces 806 mineurs conduits devant la justice, 21 ont finalement été placés en détention provisoire.

www.lepoint.fr




L’islamisation à visage découvert

Depuis plusieurs jours, les journalistes Davet et Lhomme sont invités sur tous les plateaux télé et radio pour faire la promotion de leur livre Inch’Allah, l’islamisation à visage découvert.

Les faits sont là, nombreux, bien décrits. On voit que les interdits religieux conditionnent l’ensemble de la vie quotidienne. On dévoile que des quartiers entiers se ferment dans le communautarisme où l’on mange islam, on s’habille islam, on parle arabe. Dans ces territoires qui ne sont plus la France, on ne se mélange plus aux autres. Les élèves refusent le son des musiques occidentales, ne dessinent plus de visage, n’entrent plus dans des salles au mobilier rouge, n’absorbent que du halal… Les femmes sont reléguées à la place qui est la leur dans le monde islamique. Ces quartiers islamisés sont désormais partout en France, même dans des villes moyennes. Des départements comme la Seine-Saint-Denis font quasiment sécession par rapport au sacro-saint « vivre ensemble »… Tout ça est très bien mené.

Personnellement, je me réjouis que la vérité sur les dangers de l’islamisation de la France soit médiatisée, enfin.

Mais je ne comprends pas. Pourquoi quand deux éminents journalistes parlent de l’islam, ce sont des grands reporters, et pourquoi, quand la « fachoshère » alerte sur des faits similaires, on menace de faire fermer les sites (Jean Jacques Bourdin voulait qu’on interdise le site fdesouche) ? Qui décide, dans les hautes sphères, de qui doit pouvoir parler et qui doit se taire ? Qui décide de ceux qui doivent être considérés comme des héros et ceux qui doivent être désignés comme des salauds ?

Alors, certes, suite au travail de terrain de leurs cinq étudiants, Davet et Lhomme glissent les sempiternelles « pas d’amalgames » lors de leurs interviews promotionnelles. Messieurs, vous avez quinze ou vingt ans de retard sur le constat. Pendant toutes ces années, vous n’avez pas vu ou pas voulu voir la réalité. Cette réalité, 35 % des électeurs français s’en préoccupaient à l’élection présidentielle 2017 (sans compter les abstentionnistes)… Allez-vous mettre quinze ou vingt ans de plus pour faire la bonne analyse ? Allez-vous enfin comprendre que le problème est bien plus fort que les « facteurs socio-économiques » des quartiers et qu’il ne se cantonne pas à « l’islamisme radical ». Quand allez-vous comprendre, vous et vos éminents confrères, que les problèmes que pose l’islam, en tant que religion expansionniste, ne pourront jamais être résolus par les politiques conduites et reconduites depuis des décennies ?

Un petit conseil de lecture : lisez le Coran, lisez l’histoire des chrétiens d’Orient et vous aurez les idées plus claires. Souvenez-vous, également, de cette phrase de Youssef al-Qaradâwî, des Frères musulmans, en 2002 : « Avec vos lois démocratiques, nous vous coloniserons. Avec nos lois coraniques, nous vous dominerons. »

Réfléchissez encore mais, de grâce, n’attendez pas vingt ans pour comprendre, il sera sans doute trop tard…




Saint-Pierre-des-Corps (37) : commerçante dans une « zone de non-droit », Nathalie est insultée et menacée, « être une femme ici, ce n’est pas évident »

Le salon de coiffure de Nathalie est installé au cœur du quartier sensible de la Rabâterie, à Saint-Pierre-des-Corps (Indre-et-Loire). Régulièrement menacée, elle appelle aujourd’hui à l’aide.

« Ça monte crescendo depuis cinq-six ans. C’est vraiment devenu invivable« . Nathalie Ferreira a installé son salon de coiffure il y a plus de 20 ans dans le quartier sensible de la Rabâterie à Saint-Pierre-des-Corps (Indre-et-Loire). Elle ne compte plus les dégâts que son commerce a subis : serrures détruites, obstruées avec du plastique, balle perdue dans la vitrine… La dernière dégradation date d’il y a quelques jours.

« On a des rodéos, des trafics en tous genres. Et par rapport à la clientèle, c’est quelque chose de très nuisible », poursuit la commerçante. Nathalie et ses employées sont aussi régulièrement insultées, menacées… « Quelque part, on est dans une zone de non-droit, être une femme ici, ce n’est pas évident », déplore-t-elle. Dans le quartier, les commerçants ont presque tous déserté. Aucun des magasins ne trouve de repreneur.

(…)

France 3



La France connaît la plus forte proportion d’immigrés de toute son histoire contemporaine

Sur la question migratoire, la France occupe une position singulière, souvent mal perçue dans les débats publics. Didier Leschi dans cette note pour la Fondapol intitulée : » Migrations: la France singulière » revient sur la politique migratoire française de manière dépassionnée, s’attachant aux faits en les ancrant dans un cadre européen pour souligner la singularité de la politique française en la matière.

Notre pays connaît aujourd’hui la plus forte proportion d’immigrés de toute son histoire contemporaine : aux alentours de 11% de la population résidente est immigrée au sens de l’Insee, c’est-à-dire composée de personnes nées étrangères à l’étranger, ce qui donc inclut ceux qui obtiennent la nationalité française.

C’est un niveau que l’on retrouve dans beaucoup de pays européens et qui est même dépassé dans certains cas, comme en Suède, où la part de la population née à l’étranger est passée de 7% en 1975 à près de 20% aujourd’hui. Mais la spécificité de la France en Europe ne tient pas tant à la proportion actuelle d’immigrés au sein de la population française qu’aux effets du processus migratoire sur la longue durée.

En effet, nous sommes le pays d’Europe qui présente la proportion la plus élevée de personnes de « seconde génération » issues de l’immigration, c’est-à-dire résidant en France et dont au moins un parent est immigré.

Si l’on ajoute les enfants d’immigrés nés sur le territoire français, c’est près du quart de la population française qui a un lien direct avec l’immigration.

Ce niveau est comparable aux États-Unis (26%), souvent pris en exemple sur les questions d’immigration. Ces évolutions démographiques dues à l’immigration ont un autre effet concret : en 2017, plus de 17% des jeunes de moins de 24 ans en France métropolitaine étaient d’origine extra-européenne, contre moins de 3% en 1968. […]

news.yahoo/atlantico




Trump pulvérise tous les records, Macron enfonce la France dans le rouge

Publié le 27 octobre 2018 – par Jacques Guillemain (Riposte Laïque)

Trump est en train de pulvériser tous les compteurs de l’économie US.
Du jamais vu depuis 60 ans. Il a fait en 6 mois davantage de réformes efficaces que Reagan en trois ans.

Tous les experts et les prix Nobel d’économie, qui prédisaient l’apocalypse économique en cas de victoire du milliardaire, sont ridiculisés de jour en jour.
Ces experts n’ont toujours pas intégré le fait qu’on ne devient pas milliardaire quand on est nul en économie. Trump est un renard et un pragmatique plein de bon sens.
Chômage au plus bas depuis 60 ans. Il y a davantage de jobs à pourvoir que de chômeurs. Au point que dans certains Etats, les patrons embauchent des prisonniers bientôt libérables !
Chômage des Noirs à son plus bas historique.
La baisse d’impôts et la dérèglementation ont fait merveille.
Impôt sur les bénéfices ramené de 35% à 21%
Impôt sur les profits à l’étranger ramené de 35% à 15%, ce qui a permis le rapatriement de 4000 milliards de dollars, l’équivalent de 20 mois de PIB français !
Obamacare, subventions à l’éolien et aux véhicules électriques supprimés.
Subventions jugées coûteuses et inutiles.
La mesure phare d’Obama, qui devait soi-disant diminuer les dépenses de santé de 2500 dollars par famille et par an, est un fiasco absolu. Ces dépenses ont augmenté en fait de 2100 dollars !
Plus de 1500 règlementations contraignantes ont été abolies.
L’exploitation pétrolière a été libérée, faisant des Etats Unis le premier producteur mondial de pétrole et un des principaux exportateurs de matières premières.
Primes et salaires ont augmenté avec les bénéfices des entreprises, portant la croissance de la consommation des ménages à 4% au T2.
La bourse bat record sur record.
Et pendant ce temps, Macron enfonce la France dans le rouge.
Chômage au plus haut, dette au plus haut, déficit au plus haut.
La baisse d’impôts promise aux salariés est une illusion, un tour de passe-passe, une escroquerie comptable.
Le résultat est que le pouvoir d’achat a baissé pour la classe moyenne et les retraités dans des proportions alarmantes.
Chez les automobilistes, c’est la révolte, avec des factures qui explosent pour aller travailler. Un record. En 2019, ils paieront 2 milliards de taxes supplémentaires, et trois fois plus en 2022 !
Macron, le chouchou des médias et de Bruxelles, n’a fait aucune économie structurelle. La baisse du nombre de fonctionnaires promise, est passée à la trappe. Le gouvernement a créé 1322 postes de plus que prévu.
La dépense publique va augmenter de 29 milliards en 2018 et de 22 mds en 2019.
Pour financer cette fuite en avant, le gouvernement a décidé de taper sur les retraités en supprimant l’indexation des pensions sur l’inflation. En 2019, avec une inflation de 2,5%, les retraités perdront 2,2% de pouvoir d’achat.
La CSG est passée de 91 milliards en 2017 à 119 milliards en 2019.
Où est le gain de pouvoir d’achat ?
Les cotisations retraite complémentaire ont augmenté de 1,8 milliard !
Selon l’Ifrap, quand on additionne les baisses théoriques d’impôts et les alourdissements, les entreprises en sont de leur poche de 2,5 milliards.
Chez Macron, tout n’est que discours trompeur et entourloupe.
Là où Trump agit et fait du concret, Macron fait de la com et embobine le patronat.
Les impôts à la production vont augmenter de 5 milliards en 2019.
Avec Macron, nos entreprises perdent en compétitivité, contrairement au discours officiel.
Le véritable déficit de l’Etat est de 99 milliards, soit 4% du PIB et non pas 1,9% comme annoncé. En effet, le gouvernement annonce des chiffres très optimistes en tablant sur des excédents sociaux qui n’existent pas. Donc virtuels. ( Ifrap )
La dette publique bat un record. Au T2 elle atteignait 2300 mds, soit 99% du PIB, soit encore 35 000 euros par citoyen, bébés compris.
140 000 euros de dettes pour une famille de 4 personnes !!

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2018/09/28/20002-20180928ARTFIG00082-la-dette-publique-de-la-france-atteint-99-du-pib.php

Macron est le pire des présidents de la Vè République, un illusionniste qui trompe le peuple et le conduit droit dans le mur.
Incapable de combattre la violence et l’insécurité, incapable de nous protéger contre l’invasion migratoire, il se révèle en outre comme étant une nullité en économie. Nous sommes tombés sur un banquier qui ne sait pas gérer le pays !
Un oiseau rare, mais que personne ne nous envie !
En 6 mois, Trump a rallumé tous les moteurs de la croissance dans son pays. Tandis que Macron les a tous éteints. Sa politique est un véritable massacre.
Dans tous les domaines, les chiffres montrent que la France fait deux fois moins bien que ses voisins.
Depuis son élection, Macron a usé et abusé du pouvoir, mais la France n’a vu aucune amélioration, bien au contraire. Le pays est menacé de désintégration et son économie vacille. Bravo !
Etant donné que la croissance mondiale ralentit, que le pétrole remonte ainsi que les taux d’emprunt, nos 2300 milliards de dette vont devenir un fardeau insupportable avec la charge des intérêts, qui atteignent déjà 45 milliards, lesquels partent chez nos voisins pour les 2/3.
De toutes ses promesses de campagne, aucune n’est au rendez-vous. Macron a menti.
En revanche, toutes celles de Trump sont déjà là. Il n’a perdu aucun de ses électeurs, pendant que Macron en a perdu les 2/3.
Il est temps de sanctionner cet incapable dans les urnes.





Pour sauver la France, une seule solution : les urnes !


Publié le 24 octobre 2018 – par Jacques Guillemain

Notre cher vieux pays est gravement malade, malade au point qu’on se demande s’il ne vit pas ses dernières années, en tant que nation libre, une nation fière de ses racines judéo-chrétiennes et de sa culture gréco-latine, fière d’appartenir à cette civilisation occidentale, toujours à la pointe de l’innovation et du progrès scientifique et social.
Submergée par une immigration de masse extra-européenne qui refuse de s’intégrer, trahie par ses élites qui refusent de la défendre et de la protéger, la France que nous ont léguée nos aînés, la France bâtie au fil des siècles dans le sang et les larmes, comme nous le rappelle la commémoration de l’armistice de 1918, cette France riche et prospère, qui était un véritable paradis à la fin des Trente Glorieuses, est en train de disparaître, laissant la place à une société que nous ne reconnaissons plus.
Dans notre société multiculturelle paradisiaque, on agresse les policiers, les profs, les personnels soignants, les pompiers. On compte 1 000 agressions gratuites par jour, le plus souvent commises en toute impunité, puisque notre justice laxiste répugne à infliger les peines prévues par le Code pénal. Un Code pénal suffisamment sévère mais jamais appliqué.
Tout le monde a peur.
http://www.debout-la-france.fr/actualite/1000-agressions-par-jour-en-france-stop-linsecurite
L’islam fait des ravages, détruit la société qui s’islamise de jour en jour, avec la bienveillance des autorités qui refusent de voir le travail de sape des barbus qui ont pris le contrôle des cités dont beaucoup sont devenues des mini-califats.
Le “vivre-ensemble”, c’est le vivre “côte à côte”, comme le dit Gérard Collomb, une société éclatée qui finira dans des affrontements inter-confessionnels violents si la reconquête des quartiers n’est pas décidée très vite.
Alors que faire ?
Je lis souvent que nos généraux devraient se réveiller et nous faire un putsch à la sud-américaine pour rétablir l’ordre dans le pays. Restons sur terre !
Primo, nous ne sommes plus en 1961 à Alger. Secundo, l’armée est respectueuse des institutions et il est impensable qu’elle viole les règles de notre démocratie.
Sa fidélité au pouvoir civil est totale et c’est ainsi que fonctionne une démocratie libérale.
J’entends aussi qu’il faudrait se lancer dans un vaste projet de remigration, avec pour arguments quelques exemples de l’Histoire. Exode des Pieds-noirs, expulsion des travailleurs étrangers en Arabie, quand ce n’est pas l’exemple des Rohingyas chassés de Birmanie.
Mais ceux qui proposent cette solution radicale font l’impasse sur plusieurs points.
Autant le Grand Remplacement est une indéniable réalité, autant la remigration est un leurre.
Le départ négocié est une douce illusion. 90 % des jeunes Maghrébins et Africains rêvent de l’eldorado français pour sortir de la misère. Quel immigré gavé de social en France serait assez fou pour retourner crever de faim dans son pays ?
Reste la manière forte. Expulsion à la saoudienne.
Facile à dire, mais la plupart de nos immigrés sont Français ou binationaux.
On n’expulse pas des Français.
Il faudrait donc supprimer au préalable la binationalité pour expulser les étrangers et les binationaux qui auraient accepté la déchéance de la nationalité française. Combien ? Mystère.
Reste que le gouvernement n’arrive pas à expulser les clandestins et les déboutés du droit d’asile, qui se fondent dans la clandestinité pour 95 % d’entre eux.
Expulser quelques millions d’étrangers est un chantier titanesque sans la coopération des pays d’accueil qui se garderont bien de nous prêter main-forte.
S’ils nous ferment les aéroports et les ports, je vois mal comment nous pourrions expulser des millions d’étrangers.
Départ volontaire ou prison, diront certains. Mais avec nos 60 000 places de prison, saturées au point que 100 000 peines de prison ne sont pas effectuées, on voit mal comment emprisonner des millions d’étrangers.
Reste la réservation du social aux seuls Français. Solution possible, mais avec des effets inconnus chez les millions de bénéficiaires qui se verront privés de la manne sociale du jour au lendemain.
Quant à envisager la méthode musclée de “la valise ou le cercueil”, c’est une solution qui n’est pas crédible dans une démocratie en paix et qui ne pourrait voir le jour qu’en cas de guerre civile. Autant dire que dans ce cas, plus grand-chose ne serait maîtrisable dans le pays.
Je ne crois donc pas à ces solutions expéditives, même si la France est en grand danger.
La solution passe, à mon humble avis, par les urnes, donc par le peuple.
Car si nous en sommes là, une situation dramatique qui annonce des lendemains tragiques si rien ne change, c’est que le peuple en a décidé ainsi. Il est fautif.
En votant pendant 40 ans pour des immigrationnistes, il a creusé sa propre tombe et surtout celle de ses enfants, ce qui est beaucoup plus tragique.
La survie de la France passe d’abord par les élections, en plaçant au pouvoir un Orban ou un Salvini, bien décidé à stopper l’invasion et à restaurer l’autorité de l’État dans tout le pays. Il nous faut un populiste pur et dur, capable de décider contre l’avis de Bruxelles.
Fermeture des frontières.
Suppression de la double nationalité.
Suppression du regroupement familial.
Suppression du droit du sol.
Arrêt des naturalisations en chaîne.
Interdiction de régulariser un clandestin.
Réservation du social aux seuls Français.
Responsabilité pénale abaissée à 14 ans.
Suppression des allocations aux familles de mineurs délinquants.
Suppression du social aux majeurs délinquants après exécution de leur peine.
Tolérance zéro et restauration de l’autorité des policiers, des profs, etc.
Il est évident que ces mesures vont à l’encontre de l’idéologie mondialiste de l’UE.
Soit nous avons un leader à poigne, comme Orban, qui nous rend notre souveraineté nationale, soit nous devrons quitter l’Europe.
En conclusion, il n’y a que deux solutions.
Soit se résigner au laisser-faire actuel qui va mener à la désintégration du pays, avec des lendemains tragiques.
Soit se décider enfin à éjecter par les urnes les immigrationnistes fossoyeurs de la nation qui veulent nous imposer une impossible société multiculturelle.
Et en admettant que le peuple français se réveille pour défendre son identité et l’avenir de ses enfants, ce qui n’est pas acquis, loin s’en faut, les années qui viennent seront de toute façon très difficiles, voire tragiques, compte tenu des mesures radicales qu’il faudra imposer pour reprendre le contrôle de la situation.
Aveuglement du peuple et trahison des élus pendant 40 années ont mené le pays au bord du gouffre. Faire machine arrière ne se fera pas dans la douceur, ne nous faisons aucune illusion.
C’est d’ailleurs bien le message de départ qu’a transmis Gérard Collomb à son successeur. Et qui connaît mieux que lui la situation explosive des quartiers immigrés ?





Zemmour : « Nous n’avons plus d’immigration. Nous avons une invasion et une colonisation. Nous avons d’innombrables territoires qui ne sont plus en France »

VIDEO : https://twitter.com/twitter/statuses/1054820890838478855

“Nous n’avons plus d’immigration. Nous avons une invasion et une colonisation. Une invasion parce que ce sont des gens qui viennent et qu’on ne leur a pas demandé de venir” dit Eric Zemmour sur @BFMTV #NewsAndCo

VIDEO : https://twitter.com/twitter/statuses/1054824371213291520

#Immigration “Est-ce qu’on a besoin de 400 000 étrangers de plus par an alors que nous avons d’innombrables territoires qui ne sont plus en France et qui sont islamisés intégralement ? ” dit Eric Zemmour sur @BFMTV #NewsAndCo

21:58 – 23 oct. 2018





Zemmour/Weil : la transformation de la société française par l’immigration de masse extra-européenne « a déjà commencé »

Débat Éric Zemmour et Patrick Weil – 23/10/2018