Articles : Juil. 2025 – Juin 2025 – Mai 2025 – Avril 2025 –
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#webtube : “Pour ne pas augmenter les tensions“ répond,”sans honte” en effet, cette alliée nihiliste du djihadisme global lorsque la journaliste d’Europe 1 et CNews (deux médias visés d’ailleurs également par la censure “en marche”…) Sonia Mabrouk lui demande pourquoi cette militante si hargneuse sur “les droits” (en général) a-t-elle pu voter sans pâlir de honte contre la libération de Boualem Sansal ; or, elle justifie ce vote (de soutien en réalité à la dictature de la Régence d’Alger canal historique) en expliquant, sur un ton bien plus obséquieux que docte, la nécessité de ne pas condamner plus qu’il ne faut celle-ci ; pourtant sa « justice » vient en appel de le condamner à cinq ans ; bonjour le doigté de la diplomate Aubry ! Alors que c’est précisément en instaurant un rapport de forces, revendiqué d’ailleurs par la même s’agissant d’Israël, que l’on peut souligner des limites à ne pas dépasser.
Mais une nihiliste ne connaît pas de limites. Surtout lorsqu’il s’agit de défendre des régimes les plus rétrogrades tout en adoptant la dialectique léniniste bien connue du “un pas en avant deux pas en arrière“, un pas en avant je soutiens, deux pas en arrière j’émets même des réserves sur telle ou telle pendaison : était-il si “gay” que cela ? Était-il réellement un “espion sioniste” ? Cette femme méritait-elle qu’on l’a brûle et la viole alors qu’elle n’était même pas d’extrême-droite ? Des questions évidemment pas aussi littéralement dites et ce tout autant par cette nihiliste que les têtes de la Pieuvre (et son écran d’encre : tribunes, coup de gueule “la République c’est ma pomme“) mais bien pensées ainsi en filigrane…
Aussi qu’est-ce qui différencie cette Manon Aubry non plus en degré mais sur le fond avec un chef djihadiste ? Rien sinon la forme du “en même temps” puisque l’Idée en sourdine consiste bien à redjihadiser les populations susceptibles de voter pour elle en leur imposant des comportements pourtant bien rétrogrades très peu “progressistes” ; en plus ces dernières n’en veulent pas, du moins dans leur grande majorité, comme l’ont montré d’ailleurs diverses élections locales en France ; certes, ce refus se voit bien moins en Alsace (conflit d’arrière-garde dans les piscines, perdu ailleurs y compris à Marseille, Lyon…) tout comme en Allemagne, en Belgique ou en UK bien plus atteints par ce nihilisme agressif et suicidaire par ailleurs soutenu en haut lieu par la Secte SHAA (A) partisane elle aussi de l’abolition des frontières des sexes des ethnies et des cultures réduites à du folklore et à leur embaument “conservateur” dans d’innombrables musées…
Mais il semble bien que cette OPA soit en perte de vitesse au profit par contre d’un mix wesh-wesh lorgnant bien plus vers Dubaï que Kaboul qu’il suffirait cependant de remettre sur les rails s’il y avait une volonté de dissiper sur ce « mixte » la pression pan-djihadiste des néoléninistes s’habillant en queer couleur verte histoire de, et ce en l’affrontant réellement, lui coupant les vivres la manne de milliards que l’on préfère aller chercher dans la poche des pôvres (par la hausse des prix) des retraités ou des 0,00001 % pour la forme…
Sauf que cette force politique qui pourrait la contrer reste dispersée ; certes des fragments tentent de relever la tête mais restent bien incapables de contrer ne serait-ce que sur d’autres plans les folles dépenses en éoliennes au lieu par exemple d’équiper les foyers de climatiseurs intégrés comme en Italie, en Espagne, dans le Sud de la France et dont les populations sont d’ailleurs bien loin d’émigrer vers le nord malgré le matraquage actuel ayant remplacé “été” par “canicule” ; d’où la tentation plutôt de faire valider des plans anti-Gueux (comme les ZFE) par le Conseil constitutionnel agissant de plus en plus contre la France, contre son peuple, son Souverain paraît-il…
Lucien Samir Oulahbib, Riposte Laïque
. Après Sansal, un autre journaliste français emprisonné par Alger !
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#webtube : Encore un Français victime du régime autoritaire algérien. Christophe Gleizes, journaliste sportif français de 36 ans, est le nouveau visage de la répression infernale qui sévit en Algérie. Emprisonné à Tizi Ouzou, ce reporter pour le magazine So Foot a écopé d’une condamnation à sept ans de prison. La Justice algérienne lui reproche notamment une « apologie du terrorisme » et la « possession de publications nuisant à l’intérêt national ». Une sentence absurde, qui accable ce reporter après treize mois de contrôle judiciaire. Arrêté en mai 2024 lors d’une enquête sur la Jeunesse Sportive de Kabylie (JSK), il est accusé de contacts avec un dirigeant du club lié au Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie (MAK), classé terroriste par Alger en 2021. Plus largement, cette affaire s’inscrit dans un climat de tensions franco-algériennes, exacerbées par la reconnaissance, en 2024 par Emmanuel Macron, d’un plan d’autonomie pour le Sahara occidental sous souveraineté marocaine.
RSF dénonce une Justice sous influence
Mobilisée, l’ONG Reporters sans frontières (RSF) dénonce la décision de justice d’un régime de plus en plus autoritaire alors que Christophe Gleizes était en Algérie pour un reportage sur la JSK, club mythique, et les commémorations du footballeur Albert Ebossé, mort tragiquement en 2014. Les autorités lui reprochent des échanges en 2015 et 2017 avec un responsable du club, antérieurs à la classification du MAK comme organisation terroriste, et un contact en 2024 pour son enquête. « Sa condamnation à sept ans de prison n’a aucun sens et ne démontre qu’un fait : rien n’échappe à la politique aujourd’hui et la Justice algérienne a manqué une importante occasion de sortir par le haut dans cette affaire », martèle Thibaut Bruttin, directeur de RSF, qui annonce un appel pour octobre, lors de la prochaine session criminelle.
À ce sujet — L’Algérie surenchérit ? Le pays adopte une loi sur la mobilisation générale
Le groupe So Press, employeur du journaliste, dénonce de son côté une sanction « totalement injuste ». Dans une tribune, sa rédaction affirme que leur journaliste est puni pour avoir « fait son travail » avec rigueur, rappelant son engagement à raconter la ferveur populaire autour de la JSK. Son dirigeant, Franck Annese, exhorte la diplomatie française à agir pour libérer Gleizes, enfermé dans des conditions dénoncées comme inhumaines.
La France, une nouvelle fois molle face à l’Algérie
Après Boualem Sansal, toujours détenu et en attente d’un verdict en appel le 1er juillet, la condamnation de Gleizes enfonce le clou. Dans un communiqué publié dans la foulée de la condamnation du journaliste sportif, le Quai d’Orsay a fait le service minimum, déclarant que « la France regrette vivement » cette « lourde condamnation » et qu’une « demande de permis de visite a été déposée aussitôt la condamnation connue ». Une déclaration qui fait certainement trembler l’Algérie, d’autant que la France a « rappelé son attachement à la liberté de la presse partout dans le monde »….
Sur X, François Ruffin, Fabien Roussel et Valérie Hayer espèrent que le cours des choses va rapidement évoluer en faveur du journaliste. Plus cocasse, Aurélien Saintoul et Aymeric Caron, tous deux membres de La France insoumise, réclament eux aussi la sortie de prison de Christophe Gleizes au moment où Sébastien Delogu, député du même parti, entame une tournée séduction en Algérie, allant jusqu’à déclarer sur une chaîne de télévision nationale : « J’ai pour ma part embrassé le drapeau de l’Algérie. » Tout est dit.
Julien Tellier, dans BV
. Réforme de l’audiovisuel public : beaucoup de bruit pour rien !
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#webtube : Cette nouvelle tentative (la quatrième !) sera-t-elle la bonne ? La réforme de l’audiovisuel public, qui vise à créer une holding chapeautant France Télévisions, Radio France et l’INA, sera débattue à l’Assemblée nationale à partir de ce lundi 30 juin. Validé en première lecture au Sénat en 2023, le projet avait manqué d’aboutir, au palais Bourbon, par trois fois. Il avait été repoussé pour cause de dissolution, de chute du gouvernement Barnier puis d’obstruction parlementaire combinée à un calendrier restreint. Rachida Dati compte désormais se rattraper et, enfin, mener à bien sa réforme. « 62 % des Français s’informent sur les réseaux sociaux. L’audiovisuel public doit s’adapter à ces nouveaux usages par des investissements massifs dans le numérique, estime le ministre. Le statu quo n’est plus une option ! Le statu quo, c’est le déclin. »
L’audiovisuel public appartient à tous les Français, pour près de 4 milliards d'euros.
— Rachida Dati ن (@datirachida) June 26, 2025
Pourtant, les jeunes et les catégories populaires s'en détournent. 62% des Français s'informent sur les réseaux sociaux.
L'audiovisuel public doit s’adapter à ces nouveaux usages par des… pic.twitter.com/zXX0kMzq1z
L’objectif annoncé de la future holding serait d’« adapter » le service public audiovisuel aux usages, sans pour autant remettre en cause « l’indépendance des rédactions ». « Il est urgent de rassembler les forces de l’audiovisuel public, c’est notre combat pour éviter son affaiblissement et son déclin que certains espèrent », jure Rachida Dati. Nul doute qu’à moins d’un an des élections municipales, la candidate à la mairie de Paris souhaite marquer les esprits et faire de cette réforme une victoire personnelle…
En grève !
Pas de quoi enterrer les traditions… Sans attendre le début des discussions parlementaires, une grève « illimitée » a débuté, à Radio France, dès le 26 juin, à l’appel de six syndicats. Ces derniers dénoncent un projet qui « reste la plus grande menace pour nos missions de service public ». « Sous prétexte de réforme, c’est une déstabilisation et un affaiblissement organisés », dénoncent-ils. Ces syndicats sont très critiques envers un « montage bureaucratique et politique » qui « menace gravement l’indépendance de Radio France, sa mission de service public et l’existence même de certaines antennes ». Des rassemblements de contestation sont d’ores et déjà prévus.
Radio France : six syndicats appellent à une grève illimitée à partir du 26 juin contre les mesures d'économie et contre la réforme de l'audiovisuel publichttps://t.co/2GufBmy6bx
— franceinfo (@franceinfo) June 19, 2025
Sur X, de nombreux contribuables voient au contraire l’interruption des programmes du service public d’un bon œil. « Excellent. C’est quand ils sont en grève qu’ils ont les programmes les moins pourris ! », observe ainsi un internaute. « Les contribuables vont faire grève aussi pour arrêter d’alimenter un service public pas à la hauteur, très partial, qui ne fait que de la propagande gauchiste ! », abonde un autre, tandis qu’un troisième appelle à « privatiser ce pseudo service public qui n’est plus qu’un outil de propagande gauchiste ».
À quand la privatisation ?
Les internautes ne sont pas les seuls à exiger la privatisation de l’audiovisuel public. Cela fait plusieurs années que le Rassemblement national le demande. La restitution de l’audiovisuel public au secteur privé figurait dans le programme porté par Marine Le Pen, lors de la campagne présidentielle de 2022. Sarah Knafo y est également favorable. Lundi 30 juin, en direct sur CNews, l’eurodéputée Reconquête a remis en question la légitimité de l’État à « financer Cash Investigation, Fort Boyard, les salaires de Patrick Cohen ».
L'eurodéputée Sarah Knafo revient sur la réforme de l'audiovisuel et affirme avec sarcasme que «L'Etat, avec l'audiovisuel, me fait penser à un homme au RSA» #HDPros pic.twitter.com/RHd9z84xQE
— CNEWS (@CNEWS) June 30, 2025
On peut en effet s’interroger sur le bien-fondé de la réforme proposée par Rachida Dati qui, si elle souhaite mettre fin au « statu quo » ou à un certain « élitisme », semble passer à côté du sujet. Certes, la création d’une holding permettrait sans doute de supprimer certains doublons et réaliser à terme quelques économies, mais le problème majeur de l’audiovisuel public est ailleurs : il s’agit de son militantisme politique. Depuis de trop longues années, les Français de droite majoritaires en France financent à grands frais des chaînes et des radios de gauche, aux opinions opposées aux leurs.
En quoi la fusion des antennes permettra-t-elle de lutter contre cette mainmise idéologique ? En rien, hélas.
Jean Kast, dans BV
. TV-Libertés dénonce la dictature bancaire et donne la parole à Riposte Laïque
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#webtube : On sait que nos amis de TV-Libertés ont subi la fermeture de leur compte bancaire. Dans cette émission de « Contre-Enquête », Lucas Chancerelle explique les conséquences pour un média, mais aussi pour une association d’une telle décision.
Philippe Milliau, le président fondateur de TV-Libertés, raconte comment les choses se sont passées. C’est un choix idéologique d’un directeur de banque qui a permis ce coup bas. Il a dû ensuite consulter 8 banques, avant de s’adresser à la Banque de France. Il nous apprend qu’il y a un an, une loi a été votée à l’Assemblée nationale, protégeant les associations, partis et citoyens contre les dérives des banques. Mais la loi est partie au Sénat, et elle y est toujours ! Le préjudice pour TV-Libertés est de 300.000 euros. Les fidèles d’une chaîne qui progresse tous les ans sont donc appelés à sauver TV-Libertés, qui depuis douze ans ne peut vivre que par les dons de ses soutiens.
Ligne éditoriale libre. Perte prévisionnelle de 300.000 euros.
Les banques utilisent souvent l’alibi de la lutte contre le trafic de drogue ou le blanchiment pour se montrer de plus en plus intrusives dans la vie de nos compatriotes. Elle détournent la loi au profit d’une véritable discrimination politique menée contre la mouvance patriote, et à ce jour, aucun recours n’est possible.
Romain Petitjean, de l’Institut Iliade, témoigne à son tour. Il a reçu deux courriers, sans explication, lui donnant deux mois pour partir. Il a réouvert un compte bancaire dans une autre banque, mais cela n’a pas duré longtemps, encore renvoyé. Iliade en est réduit à utiliser les service d’une Banque en ligne, qui ne remplit pas toutes les fonctions d’une banque classique. Les conséquences sont préoccupantes pour l’ensemble des activités d’Iliade, entre ses conférences et ses formations de cadres politiques.
D’autres ont été victimes de ces pratiques : Némésis (qui dénonce le Crédit Mutuel, et signale que c’est en décembre, moment clé pour les finances associatives, que leur compte a été fermé), Frontières, TV-Libertés, Iliade, Omerta, et Riposte Laïque.
On entend Pierre Cassen qui explique dans quelle situation notre site s’est retrouvé. Pendant 15 ans, aucun souci, et il y a un an, fermeture autoritaire d’un de nos deux comptes. Pierre explique que des personnes très bien introduites dans le milieu bancaire lui ont conseillé de ne pas faire de vagues, pour ne pas attirer l’attention sur le deuxième compte. Mais un an plus tard, c’était la fermeture du 2e compte, et là, plus qu’un seul mois pour trouver une solution. Une dizaine de refus, une solution à l’étranger, le Luxembourg, finalement refusée, et au dernier moment, une solution étrangère et une solution française mise en place. Jusqu’à quand ? Pierre explique la situation semblable connue par Résistance républicaine et Christine Tasin, qui n’avait qu’un compte, et a failli perdre son association, après une dizaine de refus qui l’ont épuisée et minée.
À l’étranger, c’est pareil. En Grande-Bretagne, Nigel Farage, qui sera peut-être bientôt Premier ministre, a vu ses comptes brutalement fermés. Au Canada, sans procès, Trudeau a fait fermer 200 comptes bancaires appartenant à des personnes membre du Convoi des libertés, en pleine crise du Covid.
Des personnes physiques sont également touchées. Une jeune étudiante russe, en France depuis 4 ans, a vu son compte bancaire fermé à cause de sa nationalité. Et beaucoup d’autres Russes, vivant en France, se sont retrouvés dans cette situation.
Lucas Chancerelle, auteur de cette remarquable émission, cite pour finir le cas d’une personne virée par sa banque pour avoir fait un don à une association jugée mal-pensante.
La conclusion de l’émission est claire. La décision ne pourra qu’être politique, et il faut interdire, par la loi, toute discrimination idéologique aux banques, sous peine de très lourdes amendes.
Regardez et faites connaître cette émission autour de vous, elle en vaut la peine.
Martine Chapouton, RiposteLaïque
. Il y a la France du policier Florian et celle de la racaille Nahel Merzouk
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#webtube : À l’occasion du deuxième anniversaire de la mort de la racaille Nahel Merzouk, qui a occasionné 6 jours d’émeutes, des centaines de policiers blessés et des pillages et vandalisations dans de nombreuses villes, il s’est trouvé un maire, celui de Nanterre, un nommé Raphaël Adam, pour proposer d’apposer une plaque en l’honneur du délinquant multirécidiviste. Cela à l’occasion d’un hommage qui fut un véritable flop, malgré la médiatisation et la présence des Insoumis et des Traoré.
Dans le même temps, curieusement, on retrouve un écrit du policier Florian – incarcéré durant 5 longs mois – durant les quatre premiers jours de sa mise en garde à vue. Manifestement, il avait déjà tout compris, même s’il n’envisageait pas encore tout ce qui allait suivre.
« Je me dis que je vais finir en détention provisoire pour calmer ces pauvres jeunes en colère. Tous les fonctionnaires de police que je croise jusqu’au dépôt sont dépités, ils se sentent trahis, abandonnés, livrés en pâture aux émeutiers. La colère d’une minorité de la rue l’a emporté, et un message d’impunité est envoyé aux délinquants. Ma tête sera servie sur un plateau aux médias pour calmer les esprits. »
Il ne savait pas encore le temps qu’allait durer son scandaleux emprisonnement, et encore moins que les juges de Nanterre allaient s’acharner contre lui, le traînant devant les assises pour meurtre.
On a vu, à cette occasion, deux France face à face pour reprendre les propos de l’ancien ministre de l’Intérieur de Macron, Gérard Collomb, aujourd’hui décédé. On a vu le camp patriotique défendre le policier Florian. On a vu Jean Messiha mettre en place une cagnotte qui atteindra rapidement 1,6 million d’euros, montrant une révolte populaire énorme qui s’est exprimée par le soutien financier au policier. On a vu les médias alternatifs patriotes rétablir les faits et dénoncer la manipulation de ceux qui pleuraient la mort de la racaille.
Mais en face, on a vu et entendu l’anti-France, la Nouvelle France, la France créolisée, les islamo-gauchistes, mais aussi l’ensemble d’un appareil d’État au service de la destruction de notre pays.
D’abord Emmanuel Macron qui, dès le premier jour, avait décidé que le policier était coupable, avant même que l’instruction ne soit commencée. Voilà qui nous rappelait la rapidité avec laquelle il fut décidé que l’incendie de Notre-Dame ne pouvait qu’être accidentel.
Et puis il y eut l’ensemble de la gauche, derrière les Insoumis, pour souffler sur les braises, hurler que la police raciste tue, et légitimer les émeutes et les dégâts qu’elles occasionnèrent.
Bien sûr, la racaille, celle que Karl Marx appelait la lie de la société, qui se moquait totalement du sort de Merzouk, en profita six jours durant pour mettre la France à feu et à sang, quand les policiers avaient l’ordre de se faire discrets et surtout de ne pas tirer.
Les juges de Nanterre firent leur part du travail, instruisant avec une partialité confondante, montrant leur idéologie et leur haine de la police, en s’acharnant – et ce n’est pas fini – sur le malheureux policier.
La presque totalité des médias de propagande, appartenant à des milliardaires qui arrosent la gauche, victimisèrent également la racaille victime de ses exactions et qualifièrent le policier d’assassin.
Bien sûr, les sportifs, comme Mbappé, et les artistes, comme Omar Sy, nous firent le coup de l’ange parti trop tôt.
Pour avoir fait son travail, et sans doute sauvé la vie de piétons ou d’automobilistes, le policier Florian a vu sa carrière brisée, sa famille menacée, l’obligation de déménager, et sa hiérarchie et le régime de Macron l’abandonner. Dans d’autres pays, il serait un héros.
Ces deux camps, celle de la France profonde et celle des racailles soutenues par toute la gauche, sont inconciliables et totalement antagoniques. L’une devra mettre l’autre hors de combat, et la gauche s’y prépare, en multipliant les agressions contre des patriotes et en cherchant à faire interdire toute parole alternative à sa conception totalitaire du monde.
Si le camp patriote vient à gagner les élections, il devra briser les reins et mettre hors de combat tous ceux qui sont payés pour briser la France. Et il y aura beaucoup de travail, tant ils sont nombreux. Mais ce sera le seul moyen de sauver le pays.
Cyrano, Riposte Laïque
. L’Américain Jay Cinco échange avec un Français sur les Champs Élysées
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#webtube : Les deux rives de l’Atlantique ont fini par se rejoindre… Voici le résultat…
🇫🇷🇺🇸 À la suite d’un accrochage, le rappeur américain Jay Cinco s’est fait tabasser par un Parisien en plein live sur Twitch, alors qu’il se trouvait à Paris pour la Fashion Week. pic.twitter.com/6oJF6bKZLe
— Impact (@ImpactMediaFR) June 29, 2025
D.P.
. La droite française est-elle la plus bête du monde ?
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#webtube : Pour Guy Mollet, patron de la SFIO (Section française de l’Internationale ouvrière, ancêtre du Parti socialiste), cela ne faisait aucun doute, comme il l’avait affirmé avec force à Béthune, en 1957. Les choses ont-elles vraiment changé ?
Stupidité confondante
Il faut lire le livre d’Éric Ciotti Je ne regrette rien (Fayard, mai 2025). Généralement les livres commis par les hommes politiques sont inintéressants. Trop hagiographiques ou trop anecdotiques. Celui-ci fait exception. C’est un témoignage à la fois éclairant et désespérant sur l’ardeur avec laquelle la droite conformiste s’est enfermée dans le piège tendu par la gauche, et notamment François Mitterrand, avec le Front national et la ritournelle de l’antiracisme. L’habileté tactique et cynique de la gauche peut être dénoncée. Après tout, elle a joué son jeu politicien, au détriment de la France certes. En revanche, la stupidité de la droite demeure confondante. Et le pire est qu’elle ait duré jusqu’à nos jours, comme l’a démontré son attitude lors des dernières élections législatives, alors même que le Rassemblement national est bien éloigné de ce que put être le Front national dans certains excès de son président-fondateur.
De façon très volontaire, la droite conformiste s’est condamnée à la défaite, tout simplement parce qu’elle voulait se conformer à la doxa de la gauche, comme fascinée par une idéologie néo-marxiste qui a partout échoué, tant sur le plan humain qu’économique ou culturel. Il y a chez la droite embourgeoisée quelque chose qui tient d’une invraisemblable paresse intellectuelle qui la fait invariablement tomber dans le mirage aux alouettes d’une technostructure mondialisée, à la tête bien pleine à défaut d’être bien faite, et qui a conduit la France à l’état dans lequel elle se trouve sur le plan sociétal, financier, moral et culturel. Tout est à relever et tout n’est que ruine, incohérence et dérision. L’État le plus cher du monde est incapable d’assurer ses missions ! Et ces braves électeurs qui votent Macron en songeant à leur portefeuille semblent avoir oublié dans quelle situation financière il a mis la France.
Sans colonne vertébrale
Jamais cette droite sans colonne vertébrale n’a osé revenir sur des mesures désastreuses sur le plan économique (comme les 35 heures), sur le plan stratégique (comme le délaissement de la filière nucléaire au profit de la coûteuse chimère des énergies intermittentes), sur le plan de la sécurité intérieure (comme l’abandon de la mesure accessoire d’expulsion des étrangers délinquants, obtenu de Sarkozy par le gaulliste catholique de gauche Étienne Pinte !)… La liste pourrait être longue.
Si, en 1998, lors des élections régionales, Jacques Chirac, au lieu de se plier aux injonctions de la gauche et du centre, avait laissé en paix ceux qui avaient été élus à la présidence des régions avec des voix d’élus FN, ce dernier serait devenu à terme l’aile droite d’un vaste rassemblement de droite. Il est intéressant de citer l’entretien de Jean-Pierre Elkabbach sur Europe 1, le 27 mars 1998, avec Charles Millon : « Il n’y a que quinze jours, vous étiez, croyait-on, un chrétien social, un homme de conviction, de bons sentiments, sincère à la limite de la naïveté. Aujourd’hui, en acceptant les voix des élus du Front national, c’est-à-dire le tabou majeur, vous êtes vilipendé, blâmé, lâché par vos amis, cerné, coincé. Où est votre porte de sortie ? » À peu de chose près ce qu’Éric Ciotti a subi. Tout était dit du chantage et de l’hypocrisie du système qui défend sa peau. Notons qu’évidemment, personne ne trouvait rien à redire à ce que le PS s’allie avec les communistes, porteurs de l’idéologie responsable de la mort de plus de cent millions d’hommes, de femmes et d’enfants ! Tout comme Édouard Philippe partage sans états d’âme « les mêmes exigences démocratiques » qu’un candidat communiste. Qu’il aille raconter ça à l’est de l’Europe !
Lire le livre d’Éric Ciotti
Éric Ciotti fait la narration intéressante d’une déroute intellectuelle et politique. Au-delà de certaines formules heureuses comme « Chirac, combien de déceptions ? » (p. 104), il a aussi des phrases d’une acuité certaine telle « Maastricht, c’était la fin de l’Europe des nations au profit de l’Europe de l’administration » (p. 107) ou encore « à parler comme la gauche, on finit par penser un peu comme elle » (p. 112). Même beaucoup. Ses pages sur son enracinement niçois parleront au cœur de tous ceux qui sont attachés à un terroir, une culture et une histoire. Quand il en appelle à l’Espérance contre la résignation, c’est à une forme de transcendance qu’il en appelle. Et seule celle-ci donne sens à l’action politique.
Le singulier de Guy Mollet doit aujourd’hui être décliné au pluriel. Les droites françaises sont-elles les plus bêtes du monde ? Nous ne gagnerons pas de façon isolée. Le pouvoir n’arrive pas de façon mécanique ou inéluctable. Nous l’avons bien vu l’an passé. Plutôt que se disputer le même pré carré, allions-nous pour gagner. La soupe à l’union nie les différences, l’alliance les reconnaît pour en faire des complémentarités. Le temps de la bêtise et de la lâcheté doit faire place à celui de l’intelligence et du courage. Nous le devons à la France et aux Français.
- Stéphane Buffetaut, dans BV
. Immigration : Trump triomphe face à la Cour suprême, Bayrou… sécurise l’apéritif
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#webtube : Trump emporte une victoire décisive sur le dossier migratoire : mais que font Macron et Bayrou ? La semaine qui s’ouvre marque une nouvelle étape dans le renforcement des pouvoirs du président américain Donald Trump. Et une étape supplémentaire dans l’impuissance du pouvoir en France, alors que la catastrophe migratoire et économique approche, toutes sirènes hurlantes. Le contraste parle de lui-même.
Sur son réseau Truth Social, Donald Trump a salué, vendredi, une séquence décisive dans la guerre qui l’oppose aux juges, notamment dans les dossiers qui concernent l’immigration. Un cri de joie sous forme de message triomphal sur son réseau Truth Social : « Gigantesque victoire à la Cour suprême américaine ! », lance Trump. Pour une fois, le président des États-Unis ne survend pas l’événement. Il franchit en effet un pas décisif dans la difficile reprise en main de l’immigration, exigée par ses électeurs mais bloquée par les juges fédéraux, la gauche et d’innombrables lobbies. Tout rapprochement avec la situation française… Explications : jusqu’ici, les juges fédéraux américains pouvaient tranquillement bloquer à l’échelle nationale les décisions de l’exécutif qu’ils considéraient comme illégales. Mais pour la Cour suprême, ce blocage des juges relève « probablement » d’un excès de pouvoir. Un véritable coup de tonnerre lancé par la plus haute juridiction américaine, qui a voté en ce sens par six voix (celles des conservateurs) contre trois (celles des progressistes). Et une victoire politique nette de Trump, désireux de limiter drastiquement l’immigration, dans le bras de fer qui l’oppose aux tribunaux.
À ce sujet — Sans surprise : toujours plus d’immigrés en France, nous dit le ministère de l’Intérieur
Révoquer le statut légal qui protégeait ces immigrés.
« Grâce à cette décision, nous pouvons désormais nous pourvoir en Justice pour faire progresser ces nombreuses mesures qui ont été bloquées de manière erronée à l’échelle nationale », triomphe le président républicain, poursuivant : « Nous en avons tellement. » Trump souhaite surtout revenir sur le principe du droit du sol, consacré par le 14e amendement de la Constitution, disposant que tout enfant né aux États-Unis est automatiquement citoyen américain. L’enjeu dépasse largement les États-Unis : il s’agit de savoir si Trump peut décider de refuser l’octroi automatique de la nationalité américaine à des milliers d’immigrés. Et envoyer un coup fatal aux innombrables lobbies sans-frontiéristes qui sévissent des deux côtés de l’Atlantique. En mai dernier, la même Cour suprême avait autorisé provisoirement Trump à révoquer le statut légal de 530.000 immigrés cubains, haïtiens, nicaraguayens et vénézuéliens. L’instance va permettre de révoquer le statut légal qui protégeait ces immigrés. Dans cette résistance, Trump emporte une bataille décisive qui n’a pas fini de retentir aux États-Unis et au-delà.
Trump décisif en Iran. Trump toujours agressif sur les droits de douane. Trump à l’offensive contre les excès de pouvoir des juges. Trump implacable sur l’immigration… Comment le tandem au pouvoir en France regarde-t-il ce combat acharné, mené pied à pied pour respecter le vœu des électeurs et rendre à l’Amérique sa grandeur, comme le promet Trump ? Comment voit-il les efforts accomplis avec un certain succès pour tirer l’État le plus puissant du monde du mauvais pas migratoire où il est lui aussi engagé ? Le contraste avec la paralysie française est tragique. Le même dossier migratoire fait en France l’objet d’infinies palabres, alors même que les chiffres donnés récemment par le ministère de l’Intérieur confirment une situation dramatiquement hors de contrôle. Le combat mené par Trump n’est pas mené en France, faute de volonté pour Emmanuel Macron. Faute d’autorité et de volonté pour François Bayrou. Le gouvernement Bayrou est à peu près désormais assuré de passer l’été. Rendez-vous, donc, au mois d’octobre pour la rentrée parlementaire. Il ne s’est rien passé cette année, il ne se passera rien avant l’automne. Tandis que Trump secoue le système sans ménagement, Bayrou glisse sur les chiffres du désastre économique (3.346 milliards d’euros de dette), évoque la proportionnelle (bienvenue au serpent de mer), ne touche en rien au pouvoir des juges et poursuit l’invasion migratoire. Macron, lui, fait le tour des monarchies. Surtout rester à la barre pour… ne rien faire, ne rien décider, ne rien changer. Le naufrage en douceur. Surtout, ne dérangez pas le capitaine Bayrou, il prend l’apéritif !
Marc Baudriller, dans BV
. Marine Le Pen et Bruno Retailleau préparent leurs partis à toute éventualité…
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#webtube : Ce dernier week-end de juin, à moins d’un an des municipales et deux de la présidentielle, est d’ordinaire l’occasion pour les partis politiques et leurs leaders de prendre date, de tester un slogan et de bien montrer qui est le patron. C’est bien ce qu’ont fait Bruno Retailleau, qui vivait son premier conseil national LR en tant que nouveau président, et Marine Le Pen, présidente du groupe RN à l’Assemblée lors d’une « convention de l’Union nationale », réunissant des parlementaires nationaux et européens de l’alliance RN-UDR (ciottistes).
Bruno Retailleau rode son discours et impose sa ligne
Tout auréolé de son élection triomphale, il y a un mois, à la présidence LR qui a affermi encore une popularité acquise à Beauvau, Bruno Retailleau a profité de ce premier conseil national pour renouveler les instances du parti et y placer ses proches à des postes clefs : Othman Nasrou en tant que secrétaire général, François-Xavier Bellamy au poste de vice-président délégué et Pierre Danon comme trésorier. Il a repris son discours sur et à destination de « la France des honnêtes gens », « cette France qui ne pille pas, n’agresse pas, n’attaque pas mais qui paie cher le coût de la sécurité, qui travaille dur et paie cash le prix de l’assistanat ». Ensuite, dans la perspective des municipales, Bruno Retailleau a clairement désigné l’ennemi : « la gauche mélenchonnisée » : « La gauche insoumise ou soumise à LFI, voilà nos adversaires », a-t-il lancé. Quant aux macronistes, il a tenu à clarifier son positionnement en justifiant l’entrée au gouvernement des LR depuis Barnier. Selon Retailleau, c’était un « défi qui n’était pas gagné » d’avance. « Nous sommes et nous étions des opposants à Emmanuel Macron », a-t-il rappelé, en écho au « Nous ne sommes pas devenus macronistes ! » lâché avec force par Gérard Larcher, quelques minutes plus tôt.
À ce sujet — [ÉDITO] Macron, « au bout du bout » !
Question de responsabilité, la même certainement qui fait que le RN ne votera pas la censure du PS : « C’était un choix pour éviter le pire, éviter le chaos budgétaire et la crise financière », mais pour éviter aussi « la gauche mélenchoniste ». Et les accords locaux LR-macronistes pour les municipales ? « Hors de question de leur offrir des victoires. » « Nous voulons faire élire des maires LR partout où nous pouvons et imposer nos couleurs », précise Otman Nasrou. Il n’empêche qu’au niveau local « pour les municipales, ça négocie de partout et ça va continuer », comme le confie un cadre au Monde. Enfin, Bruno Retailleau a bien pris soin de ne jamais évoquer le Rassemblement national. Il n’en est pas encore au « pas d’ennemi à droite », mais il parle de faire « barrage »… à la gauche ! On progresse ! Pas évoquées, non plus, d’éventuelles législatives ou présidentielle anticipées. De toute façon, désormais, avec un leader populaire incontesté en son sein qui est aussi présidentiable crédible, et un parti qui engrange les adhésions et a retrouvé une dynamique, LR peut aborder toutes ces échéances plus sereinement que ces dernières années.
Marine Le Pen et son « Ne procrastinez pas ! »
Il y avait le « Il faut donner du temps au temps » de Mitterrand. Il y aura désormais le « Ne procrastinez pas ! » de Marine Le Pen. Lors d’une réunion des parlementaires RN et UDR à l’Assemblée, elle a appelé les élus à se tenir prêts à une nouvelle dissolution : « N’oubliez pas que notre pire ennemi, c’est le temps. » Citant le général MacArthur, pour qui « les batailles perdues se résument en deux mots : trop tard », elle lance aux parlementaires : « Ne procrastinez pas ! À partir du moment où il y a une possibilité de dissolution, notre devoir, c’est de nous y préparer. » Pour Marine Le Pen, il s’agit d’éviter que se renouvelle la contre-performance des dernières législatives où les sondages promettaient une majorité au RN.
Que fera Macron, une fois Bayrou tombé ?
La fin du gouvernement Bayrou est dans toutes les têtes. Le PS est désormais prêt à le censurer, le RN a fixé l’échéance lors du budget et même Bruno Retailleau a prévenu, samedi, lors du conseil national : « Si demain il y avait, soit par des actes, soit parce que les uns ou les autres voudraient nous engager sur un chemin qui serait contraire à nos convictions ou qui serait contraire aux intérêts fondamentaux de la nation, alors nous pourrions en tirer les conséquences. Il n’a jamais été écrit que nous appartiendrons à ce gouvernement ou à un gouvernement pour l’éternité. » Tout est désormais l’affaire de quelques semaines, et des circonstances. Du kairos, aurait dit un certain Emmanuel Macron, au temps où il se prenait pour Jupiter. De Jupiter, il ne conserve plus que deux éclairs : le pouvoir de dissolution et la démission. La dissolution, qui serait une dissolution imposée, consacrerait l’abaissement absolu du Président. Et elle n’accoucherait pas forcément d’une majorité… Devant cet échec final, la démission s’imposerait. À moins que ce ne soit l’option qu’Emmanuel Macron active en premier ressort. Les appels en ce sens se multiplient, ces derniers jours. Et la démission lui permettrait d’éviter de s’abîmer définitivement. En tout cas, LR et RN sont prêts dans les deux cas. Et la question du « Trop tard » se pose aussi à Emmanuel Macron…
Frédéric Sirgant, dans BV
. La guerre civile au quotidien : exemple en Lorraine…
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#webtube : La guerre civile au quotidien s’ajoute à la spoliation des Français de ce qu’ils ont déjà payé et qui donc leur appartient. Ainsi l’État et ses prétendues « valeurs de la République » ne sert plus qu’à nous voler et à nous laisser massacrer. Plus rien ne justifie que nous lui accordions notre confiance, notre argent et le futur de nos enfants, dans aucune de ses institutions.
La semaine dernière j’ai dû me rendre en Lorraine pour des obsèques. J’ai donc réglé les péages de ces autoroutes déjà payées par nos impôts (Montpellier-Nancy). Une heure de stationnement à l’hôpital de Nancy coûte 4,50€, soit environ 30 francs de notre ancienne monnaie. Pourtant cet hôpital avec son parking a aussi déjà été payé par nos impôts. Mis à part le gavage éhonté des politiciens, le fauteuil du gros goitreux Larcher au prix exorbitant et les subventions pleuvant comme vache qui pisse sur les associations gauchistes et immigrationnistes, les millions donnés à Zelensky pour faire la guerre à la Russie – notre alliée des deux guerres mondiales – on se demande où passe notre argent tandis que les fermetures d’entreprises se multiplient et que les Français de souche sont de plus en plus nombreux à devenir pauvres.
Dans cette jolie Lorraine, où j’ai rencontré des gens fort sympathiques, vient de se produire l’une de ces agressions devenue si dangereusement banales que beaucoup de gens n’y font même plus attention, tandis que d’autres préfèrent ignorer les informations. À Uckange, dans cette Moselle que nos glorieux Poilus avaient eu tant de mal à reprendre aux Boches, des individus – devinez lesquels – ont organisé une attaque* un peu à la manière des westerns, sauf que là c’était « en vrai ». Ni la première du genre, ni la dernière sans doute. Ils ont empêché un autobus de circuler, le conducteur a appelé un contrôleur. À peine arrivé, celui-ci a été attaqué sauvagement par une dizaine d’individus, plaqué à terre et roué de coups au visage. L’intention de tuer est là évidente. Deux semaines d’incapacité totale de travail pour lui, qui ne faisait justement que son travail.
L’exploitant des transports urbains annonce que la zone concernée ne sera plus desservie, sans limitation de durée. Une bonne manière de faire comprendre que tout n’est pas permis aux habitants de l’endroit. Mais cette mesure pourrait n’avoir que peu de portée. Les habitants de Gaza ne se débarrassent pas du Hamas qui, après avoir semé le vent, leur fait récolter la tempête. Comment des parents dont les enfants se comportent en barbares feraient-ils mieux ? Quelle éducation leur ont-ils donnée ? Ils vont se déplacer à pied et protester contre les transports urbains que leurs descendants s’appliquent à empêcher de travailler, pire encore agressent avec volonté de tuer. Au bout d’un temps, des élus de gôche prétendront que ces gens sont discriminés, hurleront au racisme (tiens pourquoi donc ?) et exigeront la reprise de la desserte de la zone. Tout recommencera comme avant. Jusqu’à la prochaine fois.
Parmi ces habitants se trouvent malheureusement encore des gens ordinaires, des travailleurs qui se lèvent tôt, qui paient des impôts afin que l’État entretienne des millions de ces parasites qui, eux, ne travaillent pas, sont assistés, et en plus leur gâchent la vie à longueur de temps. S’ils vont se plaindre à la police, on leur répond qu’ils n’ont qu’à changer de quartier. Facile à dire quand on a une adresse justement située dans un « mauvais quartier » dont les autres ne veulent pas hériter. Parce qu’il faut bien savoir que les individus coupables de ces exactions en commettent d’autres, c’est leur style de vie : tapages nocturnes, rodéos dangereux, boîtes à lettres et caves dégradées, vente de drogue, provocations verbales et physiques, ascenseurs sabotés, poubelles et voitures brûlées, etc.
Qui paie à chaque fois ? Il y a vraiment là de quoi désespérer de travailler. Ainsi le travail, l’une des valeurs fondamentales de toute société civilisée, est-il une fois de plus dévalorisé au profit d’un « vivre-ensemble » qui n’est que pure chimère et d’un laisser-aller généralisé conduisant à la ruine.
Pendant ce temps, les flics multiplieront les procès envers ceux qui fumeront devant les écoles, sur les plages ou dans les parcs. Il faut dire que ce sujet est de première urgence ! Protéger nos enfants et nos anciens, assurer la sécurité des gens qui travaillent, déloger les squatteurs, arrêter les voleurs de métaux, supprimer les points de vente de drogue, intercepter les trafiquants d’armes ou protéger les exploitations agricoles ne sont pas les priorités sécuritaires de l’État français. Ses dirigeants sont décidés à laisser se développer la ruine de la France et des Français, la guerre civile jusque dans les endroits les plus éloignés des métropoles peuplées de gauchistes citadins, à laisser s’amplifier le chaos pour justifier toujours plus de mesures coercitives contre le peuple de souche et au bénéfice des envahisseurs. Il faut que cela soit dit.
Daniel Pollett, Riposte Laïque