I-Média n°345 – Sécurité. Le coup de com’ de Macron

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

00:00​​​​​​ Introduction 01:46​ L’image de la semaine Comme de nombreuses villes françaises, Tourcoing est secouée par des nuits d’émeutes contre la police dans les quartiers « sensibles ». Une drôle d’image pour Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur qui est l’ancien maire de la ville et qui reste conseiller municipal. 05:01​ Sécurité. Le coup de com’ de Macron Entretien axé sur la sécurité dans Le Figaro, déplacement auprès des policiers à Montpellier… Emmanuel Macron semble décidé à faire de la sécurité un axe de sa campagne présidentielle pour 2022. Mais derrière les effets de manche, la réalité est cruelle. L’État français n’arrive pas à juguler la délinquance. 22:59​ Revue de presse 37:24​ Derek Chauvin, victime sacrificielle ? Aux États-Unis, le jury chargé de juger la culpabilité ou non de Derek Chauvin, accusé du meurtre de George Floyd, a rendu son verdict. Le policier de Minneapolis a été déclaré coupable. Nous reviendrons sur les éléments qui remettent en cause ce verdict.

Suède. Les Suédois de souche minoritaires en 2065, l’islam religion dominante à partir de 2100 ?

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Les Suédois de souche pourraient être minoritaires dans leur pays à l’horizon 2065 selon certaines projections. Tout comme l’islam pourrait devenir la religion majoritaire en Suède à partir de 2100.

Grand Remplacement en Suède : les autochtones minoritaires dans 45 ans ?

Les projections démographiques des prochaines décennies n’augurent rien de bon pour les peuples européens, menacés purement et simplement de disparition. La Suède n’échappe pas au phénomène. En 2019, une enquête publiée par Polémia se penchait sur la question et indiquait, entre autres, que la population étrangère en Suède depuis deux générations était passée de 20 % de la population totale en 2002 à 30 % en 2017.

Une dynamique de « Grand Remplacement » qui a été confirmée par un chercheur finlandais. Kyösti Tarvainen, professeur associé émérite en analyse des systèmes à l’université Aalto d’Helsinki, démontrait dans un bulletin publié en 2018 que, si le niveau actuel immigration devait se maintenir en Suède à l’avenir, les Suédois autochtones deviendront une minorité dans leur propre pays d’ici 45 ans, soit en 2065.

Selon les derniers chiffres accessibles, plus un tiers des résidents suédois sont désormais d’origine étrangère, tandis que le faible taux de fécondité parmi la population suédoise « de souche » tend à accélérer encore davantage cette bascule démographique.

Par ailleurs, selon le modèle de projection utilisé par le chercheur finlandais, il pourrait y avoir autant de musulmans que de Suédois autochtones en 2100.

88 % des immigrés étaient d’origine extra-européenne en 2019

En l’espace d’un demi-siècle, la Suède, l’un des pays les plus homogènes d’Europe jadis, a donc vu son visage radicalement changer. Et ce n’est qu’un début si l’on prend en compte les perspectives évoquées précédemment, lesquelles annoncent ainsi de multiples changements à venir pour la société suédoise. Avec une telle dynamique démographique, la culture de cette dernière pourrait donc à terme être remplacée par d’autres cultures extra-européennes. Ce qui ne serait pas sans ironie puisque la Suède est aussi réputée pour être l’un des pays européens les plus obsédés par le multiculturalisme. « On est puni par où l’on a péché »

Dans ces travaux, Kyösti Tarvainen indique que d’ici 2065, le nombre total de Suédois de souche aura diminué de quelques centaines de milliers par rapport aux chiffres actuels, pour atteindre environ 7 364 000, tandis que le nombre de musulmans (3 903 000 selon les prévisions) et de personnes nées à l’étranger ou de deux parents nés à l’étranger (3 791 000) aura considérablement augmenté par rapport aux niveaux actuels. L’étude met aussi en exergue la différence du taux de fécondité entre la population musulmane et non-musulmane en Suède : il est supérieur de près d’un point à l’avantage du premier groupe.

Enfin, le 13 avril 2021 cette fois, le chercheur finlandais écrivait dans le journal suédois Folkbladet qu’en 2019, 88 % des immigrés ayant gagné la Suède étaient des extra-européens. De plus, 52 % étaient musulmans. À titre de comparaison, Kyösti Tarvainen a rappelé qu’en 1975, les Finlandais voisins représentaient alors plus de 40 % de l’immigration vers la Suède avec une assimilation très facile à la société suédoise compte tenu de la proximité culturelle entre les deux peuples.

Malgré cette situation alarmante, le sujet est toujours un tabou en Suède, aveuglée par les injonctions du politiquement correct. Comme un air de déjà vu…


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Immigration clandestine : les voyants sont au rouge

Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

La Police aux frontières a récemment communiqué au Figaro le nombre d’arrestations et de refoulements d’étrangers en situation irrégulière à la frontière franco-espagnole et à la frontière franco-italienne entre novembre 2020 et mars 2021. Il en ressort une forte augmentation par rapport à la même période de l’année précédente, les arrestations et les refoulements étant passés de 13 746 à 35 825. Le journaliste en conclut que « les frontières ont été verrouillées avec l’Italie et l’Espagne ».

Selon plusieurs indices, ce constat est non seulement excessif, il apparait très éloigné de la réalité. Le renforcement des contrôles aux frontières annoncé fin 2020 par le président de la République après le triple meurtre commis par un clandestin tunisien à la basilique notre Dame de l’Assomption à Nice a certes probablement contribué à augmenter le nombre des refoulements aux frontières. Mais, d’autres éléments amènent à penser que ces chiffres traduisent non seulement une pression accrue à nos frontières, mais également une augmentation des entrées clandestines en France.

Si le ministère de l’intérieur est très prolixe concernant le nombre de refoulements de clandestins aux frontières nationales, il est par contre beaucoup plus discret sur le nombre d’étrangers en situation irrégulière recensés comme entrant en France. Le Pôle d’analyse migratoire rattaché au ministère de l’intérieur ne communique en effet plus ce chiffre depuis 2017, alors qu’il s’établissait pour cette seule année à 79 562.

D’autres indices montrent que les voyants sont au rouge et que le gouvernement manie essentiellement la communication.

Près de la frontière franco-espagnole, ce sont des dizaines de clandestins qui arrivent chaque jour à Perpignan. Le Préfet des Pyrénées orientales reconnait qu’à la frontière pyrénéenne, la pression migratoire est en augmentation depuis plusieurs années.

A la frontière franco-italienne, le vice-président du conseil départemental des Alpes maritimes, Éric Ciotti, faisait état en novembre dernier qu’« entre le 1er janvier et le 15 novembre dernier, la police aux frontières a ainsi remis 2335 mineurs non accompagnés supposés aux services du département des Alpes-Maritimes contre 1871 pour toute l’année 2019 ».

Parmi les explications à cette pression migratoire, la crise économique dans les pays africains joue certainement un rôle important. Mais les consignes données aux douaniers par les autorités françaises et le manque d’effectifs sont également à souligner.

Ainsi, selon une avocate pro-migrants citée par le Figaro, les douaniers français ne refouleraient plus les jeunes migrants à la frontière franco-italienne, mais les orienteraient vers les services de l’Aide Sociale à l’Enfance des départements ou les associations.

Autre difficulté : le faible nombre de douaniers affectés au contrôle de la frontière franco-italienne. Les brigades douanières de Nice et de Menton n’auraient selon un douanier interrogé récemment par Valeurs actuelles chacune qu’un effectif de 30 agents. Or les policiers ponctuellement amenés en renfort ne disposent pas des mêmes moyens juridiques pour refouler les clandestins.

L’immigration clandestine est également un risque sanitaire. Un syndicat de police souligne qu’en cas de défaut de présentation d’un test PCR lors du franchissement de la frontière nationale, le contrevenant est verbalisé mais pas refoulé !

Pendant ce temps, le nombre des éloignements des étrangers en situation irrégulière s’est effondré en 2020 par rapport à 2019 (–47%). Il est passé de 23 700 en 2019 à …12 300 en 2020.

Paul Tormenen  Breizh-info.com,

Dès que Macron parle à l’étranger, il faut qu’il salisse notre France millénaire

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Une fois de plus, monsieur Macron vient de cracher sur la France et sur le peuple français, déclarant sur la chaîne américaine CBS : “Nous devons déconstruire notre propre histoire”. C’est sidérant.

Macron interrogé par la chaîne américaine CBS : “Nous devons déconstruire notre propre histoire”

https://www.fdesouche.com/2021/04/19/macron-interroge-par-la-chaine-americaine-cbs-nous-devons-deconstruire-notre-propre-histoire/embed/#?secret=gnJxaMIMsd

C’est plus fort que lui. Dès que notre Président est à l’étranger, c’est pour salir notre France millénaire, pour la dénigrer, pour l’humilier. Il ne se contrôle plus. Il a la haine des nations et son vœu le plus cher est d’être réélu pour pouvoir poursuivre son œuvre machiavélique de démolition.

Mais dès qu’il voit que ses propos ignobles scandalisent et blessent les Français, ses services de communication tentent aussitôt de déminer le terrain en nous expliquant que nous n’avons rien compris à son message. Pitoyable !

Mais le message est pourtant clair : Macron n’a jamais aimé la France ni son peuple. C’est un Européen et un citoyen du monde avant d’être un Français.

Ce qu’il vient de dire dépasse l’entendement. Après avoir nié la culture française, Macron crache sur l’héritage que nos ancêtres nous ont légué.

Un héritage d’une valeur inestimable, construit dans le sang et les larmes au fil des siècles. C’est une ignominie de plus.

Il est clair que les habits de la magistrature suprême sont trop grands pour lui, tant il est petit dans ses comportements.

Les plus illustres personnages de notre histoire, qui ont forgé les siècles de grandeur de notre chère France, doivent se retourner dans leur tombe en l’écoutant cracher sans cesse sur notre pays, c’est-à- dire le pays qu’il est censé protéger et faire rayonner.

Emmanuel Macron nous parle de race, d’inégalités et de discours de haine.

Mais ce n’est pas en faisant l’éternel procès de la France que nous réussirons l’intégration. Avec Macron, c’est le seul peuple français qui est raciste. Mais qui diffuse la haine de la France ?

Qui a chassé les Juifs de nos banlieues ?

Qui organise des ateliers interdits aux Blancs ?

Qui a chassé les autochtones des cités, tout en se plaignant aujourd’hui qu’il n’y ait plus de mixité ?

Qui a mené de multiples attentats sanglants au cri de “Allahu akbar” ?

Qui est parti combattre la France sous la bannière noire de l’État slamique ?

Quand 74 % des jeunes musulmans préfèrent la charia à la loi républicaine, il est où,  le crime des Français ?

Quand un sans-papiers est mieux soigné qu’un natif qui travaille et cotise, il est où, le privilège d’être blanc ?

Quand un immigré de 65 ans perçoit une retraite de 900 euros sans avoir jamais travaillé ni cotisé en France, il est où, le racisme institutionnel ?

Quand un paysan crève de faim avec 350 euros par mois, alors que chaque mineur isolé coûte 50 000 euros par an au contribuable, elle est où, l’inégalité ?

Alors, faut-il déconstruire notre Histoire pour mieux vivre ensemble ?

L’esclavage ? 

Mais tous les peuples l’ont pratiqué depuis l’Antiquité. La France l’a aboli en 1848 et a reconnu que c’était un crime contre l’humanité. Quel pays arabe ou africain en a fait autant ?

L’esclavage est le crime le mieux partagé de l’humanité. Il perdure en Afrique et au Moyen-Orient mais seule la France est coupable.

La colonisation ?

J’aimerais savoir si les Arabes ont dit aux Berbères et autres peuples qu’ils ont soumis que la colonisation était un crime contre l’humanité.

Il y a deux sortes d’immigrés, quelle que soit leur race ou leur religion.

Ceux qui veulent s’intégrer et veulent devenir des Français de cœur.

Et ceux qui quittent leur pays en perdition, viennent en France pour mieux vivre, mais refusent de s’intégrer et nous reprochent d’être blancs !

Et le plus anti-Blancs de tous, c’est Macron qui donne des gages au discours décolonial et indigéniste.

Nous avons élu un mondialiste qui considère les patriotes comme une menace pour la cohésion nationale.

C’est un total renversement des valeurs, où les natifs sont coupables de ne pas s’effacer devant d’autres cultures, au nom du “vivre-ensemble”.

Mais si le “vivre-ensemble” signifie la destruction de la civilisation occidentale et le reniement de notre patrimoine culturel, cela ne peut que mener au chaos.

La France, c’est un peuple avec ses racines et sa culture, une langue, un territoire, une longue Histoire et des traditions ancestrales.

Déconstruire l’Histoire de notre France millénaire, c’est oublier ce que nous sommes, c’est un génocide culturel absolu. C’est donc un crime.

Repentance et génuflexions permanentes sont des aveux de faiblesse porteurs de lendemains tragiques.

En 2022, dans l’isoloir, il conviendra de se souvenir de cette énième trahison d’Emmanuel Macron.

Jacques Guillemain, dans Riposte Laïque

Nos dirigeants ont leurs gardes du corps, le peuple peut bien crever !

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Le prénom de Pierre existe-t-il vraiment ?

En visite à Montpellier, Emmanuel Macron semble avoir découvert l’eau chaude en entendant une mère immigrée lui déclarer que son fils s’interrogeait sur la réalité du prénom Pierre, vu qu’il n’en connaissait aucun dans son quartier. Ce gamin vit en vase clos, ne découvrant la France que par l’école !

Car dans ces quartiers de non-France, du nord au sud, les natifs ont totalement disparu, ne supportant plus la loi des caïds, n’en pouvant plus de baisser la tête et de raser les murs, d’encaisser les insultes et les menaces, sans le moindre soutien des autorités.

Un Darmanin, ça se déplace en urgence pour trois tags sur une mosquée située à 350 km, mais ça laisse crever les Français de souche, persécutés par des racailles qui ont la haine de leur pays d’accueil. C’est ça, la société que nous prépare Macron !

Nos dirigeants ont leurs gardes du corps. Le peuple peut bien crever !

Cette question d’un enfant immigré à sa mère est la parfaite illustration du naufrage absolu du “vivre- ensemble”, cette grande illusion des mondialo-multiculturalistes.

Il est vrai que quand on lit quelques prénoms français dans les livres d’école, alors que dans la rue on n’est entouré que de Rachid, Mouloud, Moussa ou Mamadou, il est permis de s’interroger sur la réalité des prénoms gaulois. Pour ce jeune immigré, Pierre a tout du Martien et les livres d’école sont de la science-fiction.

Bien entendu, les immigrationnistes en profitent pour dénoncer le manque  de mixité, se gardant bien de nous expliquer pourquoi les natifs ont fui les banlieues et pourquoi tous les commerces ont baissé le rideau, ruinés par la violence et le trafic de drogue impuni.

https://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/l-enfer-des-quartiers-de-non-197629

Mais dès qu’il s’agit de désigner les coupables du désastre, qui ont transformé toutes ces banlieues jadis fleuries et souriantes en bande de Gaza, c’est l’omerta et nos élus se couchent.

Toutes ces banlieues du nord de la région parisienne, je les ai bien connues dans les années 60. Des cités HLM neuves, avec des logements modernes, des commerces vivants, des parterres fleuris, où vivaient des Gaulois, des Italiens, des Espagnols et des Portugais, chrétiens et juifs, tous en parfaite harmonie et dans une sécurité absolue.

La mixité était totale. Quand un Gaulois épousait une Espagnole ou quand un Italien épousait une Française, leurs enfants adoptaient des prénoms français. Même les quelques Arabes  déjà présents francisaient leur nom pour mieux se couler dans le moule républicain.

Personne n’allait chercher sa femme au bled pour se marier. Dès l’école, les enfants s’assimilaient et apprenaient “Nos ancêtres, les Gaulois”. Pas d’exigences communautaristes, pas de bêlements au racisme à tout propos, pas d’ateliers interdits aux Blancs, pas de crimes au cri de “Allahu akbar”.

Pas de mouvement décolonial et indigéniste. Et pas de Macron pour nous dire qu’être blanc était un privilège !

Puis, quelques illuminés croyant avoir la science infuse, enseignants en tête, ont décrété qu’il était stupide d’apprendre ce genre de sornettes à des enfants arabes ou africains, au nom de “droit à la différence”. Et on a commencé à déconstruire l’école.

Le résultat est là. L’école est devenue une usine à cancres, où le maître n’a plus aucune autorité, se fait insulter, tabasser, sans aucun soutien de sa hiérarchie.

Le droit à la différence a mené à la différence des droits et à l’anarchie. Sans parler de l’islamisation de cette école républicaine qui faisait notre fierté.

Une islamisation mortelle largement dénoncée depuis 20 ans, mais mise sous le tapis par la droite puis la gauche.

Au classement Pisa, c’est l’humiliation suprême pour la France. L’école de Jules Ferry est sur un toboggan et tout s’accélère.

Michèle Tribalat nous dresse le bilan chiffré de la situation dans ces quartiers désertés par la natifs, chrétiens et juifs.

Là où l’hypocrite Macron voit un problème social, c’est en fait de mixité ethnique qu’il s’agit. C’est donc un problème racial qui confirme l’utopie du “vivre-ensemble”.

À la fin des années 60, dans les communes de plus de 5 000 habitants, la proportion des moins de 18 ans d’origine étrangère était inférieure à 15 %.

En 2015, dans les communes de plus de 50 000 habitants, ils sont 35 %, majoritairement d’origine extra-européenne.

Dans plusieurs villes d’Île-de-France, cette proportion atteint 80 %.

En refusant de restaurer l’État de droit dans ces zones ensauvagées, l’État n’a fait que chasser les natifs de leur propre habitat. Un véritable Grand Remplacement que nient les élites, mais qui va se reproduire au niveau national dans les trente prochaines années, si nous ne fermons pas les frontières en urgence.

Aucune politique de la ville, aucune rénovation des quartiers, aucune prime à l’installation, aucun allègement fiscal pour les entreprises ne rendra ces quartiers attractifs pour un natif, tant la haine antifrançaise et l’insécurité y sont omniprésentes.

Pour un seul enseignant demandant à être affecté dans le 9-3, cinq demandent à en partir ! Le vivre-ensemble, ça ne marchera jamais.

D’où l’urgence de fermer les frontières, de supprimer le droit du sol et la double nationalité, de restaurer partout l’État de droit sans faiblesse.

Tout retard se traduira par une facture encore plus salée à tous niveaux.

Si nous ne stoppons pas immédiatement ce tsunami migratoire, ce sera le Liban des années 80 et le face-à-face annoncé par Gérard Collomb.

Mais ne comptons pas sur Macron qui prétend réinvestir le domaine régalien. Un domaine qu’il a sciemment abandonné. Il est déjà en campagne pour mieux tromper l’électeur.

Jamais il ne donnera l’ordre à nos policiers de restaurer l’ordre républicain dans les quartiers. Il a eu peur des zadistes de Notre-Dame-des Landes, c’est tout dire.

Quant à la Justice, elle vient encore de faire ses preuves. Selon le témoignage d’un policier, un gamin arrêté 30 fois a eu droit  à un énième sermon d’une magistrate. Résultat ? Le gamin est parti en l’insultant !

Et ce n’est pas Dupond-Moretti, le King-Kong des prétoires, celui que certains surnomment “Acquitator”, qui changera la donne.

Notre garde des Sceaux, acclamé par les malfrats comme un général romain victorieux quand il visite une prison, n’a qu’une obsession à chacune de ses interventions : taper sur Marine et défendre Macron.

Avec ce trio infernal, Macron, Darmanin et Dupond-Moretti, nous roulons vers l’abîme.

Jacques Guillemain, dans Riposte Laïque

Le Danemark a annoncé mardi durcir les conditions de naturalisation. Il exclut tout requérant ayant été condamné à de la prison.

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Le Danemark, qui a l’une des politiques d’accueil les plus restrictives d’Europe, a annoncé mardi durcir les conditions de naturalisation. Il a notamment exclu tout requérant ayant été condamné à de la prison.

“Obtenir la citoyenneté danoise est une grande déclaration de confiance de la part de la société danoise. Il est donc nécessaire de relever la barre pour déterminer qui peut devenir citoyen danois”, a indiqué le ministère des migrations dans un communiqué.

Pour les candidats à la naturalisation, il faudra montrer patte blanche: aucune condamnation, même avec sursis, avoir assuré sa subsistance pendant au moins trois ans et demi sur les quatre dernières années, au lieu de quatre ans et demi sur cinq.

(…) D’après l’institut statistique national, 11% des 5,8 millions d’habitants du Danemark sont d’origine étrangère, dont 58% de citoyens d’un pays classé “non occidental”. En 2020, sur quelque 7000 personnes devenues danoises, plus de la moitié d’entre elles étaient européennes.

(…) RTS