« Le prénom Pierre existe-t-il ? » La mixité sociale, cache sexe de l’immigration imposée

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Pierre a disparu du quartier de La Mosson à Montpellier. C’est en tout cas ce que dit cette femme, musulmane, à Emmanuel Macron en visite dans une ville rongée par la violence et l’insécurité. « Mon fils m’a demandé si le prénom de Pierre existait vraiment. Cela m’a vraiment choquée. Il faut davantage de mixité dans ce quartier », lui dit cette habitante, membre du Conseil de quartier.

LE RÉSULTAT DE DÉCENNIES D’IMMIGRATION MASSIVE ?
LES FRANÇAIS ONT ÉTÉ CHASSÉS D’INNOMBRABLES QUARTIERS, ET UN ENFANT DE 8 ANS SE DEMANDE SI LE PRÉNOM « PIERRE » EXISTE VRAIMENT.
LE « GRAND REMPLACEMENT », C’EST MAINTENANT ! PIC.TWITTER.COM/I2ROKTAEDD 

— STÉPHANE RAVIER (@STEPHANE_RAVIER) APRIL 20, 2021

Par contre, ce qu’Emmanuel Macron, qui écoute béatement cette femme, ne lui répond pas, c’est que Pierre, comme Paul, ou Jean, ont tout simplement quitté le quartier depuis belle lurette. Parce qu’on leur a justement imposé, depuis des décennies, des populations majoritairement extra-européennes, au nom de la sacro-sainte « mixité sociale », et que les Gaulois, que les Autochtones, que les Desouche, ont, majoritairement, quitté les lieux à force de devenir minoritaires dans ces quartiers.

Minoritaires, et pour beaucoup ne supportant plus de l’être, et de devoir continuellement s’adapter aux mœurs et aux revendications des nouveaux enfants chéris de la République (et de la gauche comme de la droite), qui ont bénéficié en quelques décennies de sommes d’argent, via la la politique de la ville, qui feraient envie à beaucoup de ces oubliés qui crèvent la gueule ouverte, sans rien demander à personne, dans la ruralité et dans la France profonde (il faudrait un jour que nos ministres se déplacent dans la ruralité profonde, avec des anciens qui vivent encore sur des sols en terre battue, des moins anciens dans des logements sociaux d’un autre siècle…)

Car si aujourd’hui en France, il existe encore des territoires abandonnés, des habitats dignes de Germinal, ce n’est pas dans les « quartiers populaires » — dont certains membres ont par ailleurs la fâcheuse tendance à saccager tout ce qui leur est bâti — mais bien dans la France périphérique qu’il faut aller les trouver.

Et cette France périphérique, c’est celle qui accueille de plus en plus désormais, les Pierre, Paul, Jacques, et autres autochtones qui parfois été littéralement obligés de fuir les endroits dans lesquels ils avaient pourtant grandi, vécu, travaillé. Ils ne veulent plus  vivre là…demandez leur bon sang !

Parce que justement, n’en déplaise à nos autorités, la « mixité sociale », c’est à dire encore une fois l’immigration imposée, n’offre aucune perspective, seules quelques minorités communautaires parvenant éventuellement à « vivre ensemble ».

Lorsque l’on écoute cette dame déplorer que Pierre ne soit plus à La Mosson, on se dit tout de même que c’est un peu fort de café : on en viendrait presque à reprocher d’être partis à tous ceux qui ont déserté des quartiers littéralement abandonnés à ceux qui ont eu l’autorisation étatique d’y venir, puis d’y habiter en imposant petit à petit de nouveaux systèmes de mœurs, de cultures et de valeurs que Pierre ne supporte plus.

Quel est le programme à venir Madame Wargon, vous qui clamez que « Les Français veulent de la mixité sociale » ? Imposer, y compris dans la ruralité, les mêmes populations que de plus en plus de Pierre, de Paul et de Martine fuient ? Les poursuivre jusqu’au seuil de leurs refuges, eux dont le seul crime est d’aspirer à une vie paisible, en sécurité, et avec des gens « comme eux », pour mieux vivre ensemble justement ?

EMMANUELLE WARGON : « LES GENS SONT EN DEMANDE DE MIXITÉ SOCIALE », DANS #HDPROS PIC.TWITTER.COM/PA5CVAYQ3R 

— CNEWS (@CNEWS) APRIL 20, 2021

Mais quand est-ce qu’enfin, les responsables politiques prendront conscience que leur « vivre ensemble » ne fonctionne pas ? Qu’est-ce qu’il faut de plus que toutes les horreurs quotidiennes découvertes dans la presse quotidienne régionale (et souvent peu colportée par une presse mainstream aux ordres) pour comprendre qu’il y a effectivement beaucoup de gens en France qui ne veulent pas de « mixité sociale » imposée ? Qui veulent que leurs enfants grandissent dans des espaces sains, dénués de bandes violentes et de menaces permanentes sur leur propre sécurité ? Des citoyens qui veulent parler la langue de leurs parents, et vivre comme des Européens en Europe ? Est-ce si insupportable à vos yeux, messieurs les dirigeants, que de refuser votre société du « mourir côte à côte » ?

Pourquoi Madame Wargon ne va pas habiter dans une cité, à la Mosson ou à La Courneuve, pour vivre au quotidien sa chère « mixité sociale » ? Pourquoi Marlène Schiappa ne va pas dans les quartiers nord de Marseille faire la « chasse aux relous » ? Ne voyez-vous pas, messieurs mesdames les décideurs, que votre « mixité sociale », érigé en quasi-principe de la religion républicaine, fait que les maux qui hier, n’existaient que dans quelques zones bien limitées de France, se diffusent dans tout le pays, par votre faute, par vos politiques du logement arbitraires, par vos politiques de déplacements de population pour « déconcentrer les banlieues », par vos politiques dingues du « logement social » ?

Foutez donc la paix à Pierre et à tous les autres, qui aspirent à une chose et une seule : vivre en paix, et en sécurité, sur la terre de leurs ancêtres. Tout le reste n’est que littérature pour utopistes des beaux quartiers, ou propagande pour idéologues, ennemis acharnés de ce que nous sommes.

Et n’oubliez pas une chose : lorsque vous acculez un animal contre un mur, et qu’il n’a plus aucune possibilité de s’échapper, il finit par mordre, dans un réflexe vital et salutaire.

Julien Dir, source Breizh-info

Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.

Égypte : dans une vidéo, l’État islamique assassine un copte en « avertissement aux chrétiens »

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

La branche du groupe djihadiste au Sinaï a diffusé, samedi 17 avril, une vidéo de 13 minutes d’un chrétien copte de 62 ans tué par balles à bout portant, ainsi que deux autres membres d’une tribu locale. Ce geste se veut une mise en garde aux autres chrétiens du pays, relate l’hebdomadaire Famille chrétienne.

« C’est le prix que vous payez pour soutenir l’armée égyptienne »

Cette vidéo, postée sur le réseau social Telegram, montre l’exécution de Nabil Habashi Salama, un chrétien copte orthodoxe de 62 ans, tué par balles à bout portant dans le désert par les islamistes du Sinaï. Deux autres hommes identifiés comme des membres de la tribu locale des Tarabine subissent le même sort. Ils sont accusés de soutenir l’armée égyptienne dans le combat qui l’oppose à l’État islamique dans la région.

Dans la vidéo, son assassin levant l’index vers le ciel adresse un « avertissement aux chrétiens d’Egypte » : « C’est le prix que vous payez pour soutenir l’armée égyptienne. » Puis l’homme lui tire une balle dans la nuque avec un AK-47, les deux djihadistes qui l’entourent font de même. Ensuite, c’est au tour des deux autres captifs.

Les djihadistes visent de plus en plus les chrétiens coptes

Nabil Habashi Salama, identifié grâce à la vidéo, avait été enlevé dans les rues de Bir al-Abed, en novembre 2020, et séquestré par « des éléments takfiris » (extrémistes islamistes), a expliqué l’Église copte, dans un communiqué publié dimanche 18 avril. Ce chrétien avait participé à la reconstruction des églises détruites par les islamistes dans la région, d’après un porte-parole cité dans le communiqué. Celui-ci ajoute que Nabil Habashi Salama a « gardé la foi jusqu’au moment où il a été tué ».

Cette vidéo publiée rappelle celle des 21 coptes agenouillés en tenue orange et décapités sur une plage de Libye, en janvier 2015. Les chrétiens coptes sont la plus grande minorité religieuse du Moyen-Orient et représentent, en Égypte, entre 10 et 15 % des habitants du pays, majoritairement musulman.

Boulevard Voltaire

À la télévision américaine, l’ultime trahison d’Emmanuel Macron

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Dans son récent débat avec Zemmour, Philippe de Villiers disait l’importance du « roman national » parce qu’il est indispensable à la construction d’un imaginaire collectif, et que celui-ci est nécessaire pour qu’il y ait un peuple, un « démos », conscient de son unité et de sa continuité.

Face à ce roc, il y a eu l’inconsistant Président que les Français subissent. Entré dans un véritable délire de la repentance par rapport à l’Algérie ou au Rwanda, Macron a prétendu, dans les pages du Figaro, qu’il n’était « ni dans la repentance, ni dans le déni ». Dans le plus « pur » style mitterrandien du ni-ni, c’est-à-dire d’un mélange de rouerie et d’impuissance, il a voulu rassurer l’électorat modéré dont il souhaite bénéficier de l’aveuglement une nouvelle fois. Mais il est, au contraire, passé aux aveux sur la chaîne américaine CBS en osant proclamer qu’il fallait « déconstruire » l’Histoire de France, autrement dit, qu’il fallait passer notre roman national, notre identité à la grande lessiveuse de cerveaux.

La première réaction devant une telle énormité est la stupeur. Comment les Français ont-ils pu élire un homme qui trahit à ce point la mission qui lui a été confiée ? Un homme d’État à la tête d’une nation se doit de viser à l’unité et à la continuité de celle-ci, à la fierté de ses membres fondée sur la richesse d’une Histoire capable de soulever l’espérance, de générer un avenir commun. Les Français découvrent leur « Président » allant sur une chaîne étrangère dire qu’il faut jeter leur Histoire par-dessus bord parce qu’elle est vraiment trop moche.

Emmanuel Macron est le porte-parole local d’une idéologie, le mondialisme progressiste, qui prétend unifier le monde en l’américanisant. Pour aller dans cette direction, il faut faire sauter le verrou des exceptions françaises, et le culte de l’Histoire en est une. Criminels en Algérie, complices du génocide au Rwanda, héritiers de l’esclavage et de la colonisation, il faut que les Français dégurgitent leur Histoire, n’en conservent qu’une mémoire souffrante et coupable afin de devenir de simples humains dans un espace juridique sans frontière pour l’instant plus ou moins limité à l’Europe. L’arrivée massive d’autres humains facilitera le mélange et le broyage des identités.

Avec le terme de « déconstruction », le « Président » se gargarise comme d’habitude d’un mot précieux, philosophique dont il doit être ravi, et sans songer, semble-t-il, que ce n’est pas du tout ce qu’on lui demande. Mais derrière ce mot, il révèle une ignorance, une incompétence qui font frémir. Ainsi donc, la France souffrirait comme les États-Unis du racisme, mais elle n’y aurait pas répondu de la même manière parce qu’elle est une ancienne puissance coloniale qui n’est pas libérée de son passé colonial.

Il est vrai que la France subit l’influence actuelle des modes idéologiques américaines du « wokisme », de la cancel culture, du racialisme. Cette importation est artificielle car, précisément, les États-Unis et la France sont totalement différents. La France a été marginalement coloniale, les États-Unis sont une colonie où les colons sont devenus la population.

Les Noirs sont des descendants d’esclaves, pour la plupart, qui ont subi longtemps une discrimination y compris juridique alors qu’ils n’ont pas choisi d’être là. Leur « identité » réside, au premier chef, dans la couleur. À part dans les îles, où les Noirs sont majoritaires et occupent souvent le pouvoir local, rien de tel n’existe en France. La couleur n’est pas une identité. En revanche, dans la diversité des immigrations, qui n’ont rien de nécessaire, il y a des identités différentes, avec une difficulté principale qui repose non sur l’apparence physique mais sur la culture, essentiellement déterminée par la religion. Et c’est en ne saisissant pas cette différence que Macron se trompe lourdement : on peut lutter contre le racisme lorsque celui-ci est univoque. Lorsqu’il s’agit d’un séparatisme qui dresse des communautés mues par des cultures opposées, l’action unilatérale aura un effet destructeur.

Comme le montre Malika Sorel, lorsque l’Occident chrétien croit faire preuve de compassion en se battant la coulpe et en s’agenouillant, beaucoup d’autres civilisations y voient une faiblesse contraire à la fierté et à l’honneur qui les animent. Qu’un chef de l’État ne comprenne pas ça est affligeant !

Christian Vanneste, Boulevard Voltaire

Après la visite de Macron à Montpellier, Emmanuelle Wargon promet la ventilation maximale de l’immigration jusque dans « la ruralité »

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Après le déplacement scénarisé de Macron cette semaine à Montpellier où il s’est notamment mis en scène avec une musulmane voilée […] pour réclamer le maintien de force des Blancs dans les zones grand-remplacées, la ministre Emmanuelle Wargon a précisé les projets du gouvernement dans le domaine du « vivre ensemble ».

Le mot d’ordre est clair : A terme assignation à résidence des Blancs et ventilation des migrants allogènes dans les campagnes.

Emmanuelle Wargon n’innove pas, c’est la suite de la « politique de peuplement » de Manuel Valls il y a quelques années.

Wargon annonce frénétiquement toujours plus de logements “raciaux”, construits avec l’argent des contribuables “de souche” pour les mixer avec ces nouvelles populations. Elle annonce aussi que les quartiers écologistes ne resteront pas de petites bulles blanches gentrifiées. A bon entendeur salut !

On peut discuter de la faisabilité de ce projet racial mais pas de sa réalité.

On n’est plus très loin du moment où les Blancs n’auront plus la liberté de vivre où bon leur semble. L’Etat aura mis en place un système où le marché immobilier aura été intégralement “planifié” afin de forcer le mélange interethnique. Dans ce monde là il vaudra mieux avoir un peu d’argent pour avoir encore le choix de son lieu de vie….pour les autres il faudra subir.

Mansour Kamardine : “À Mayotte, le grand remplacement a déjà commencé”

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

En France nous souffrons d’un vrai problème : Le non dit ! Il faut savoir nommer les problèmes et les situations.

Qui sont ces quatre hommes qui ont battu à mort un sexagénaire pour une remarque?

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Quatre jeunes ont été mis en examen après le meurtre d’un homme de 68 ans, tué à coups de pied à Floirac en raison d’une remarque. Les derniers moments de sa vie ainsi que plusieurs éléments sur l’identité de ses tueurs présumés ont été révélés par Le Parisien.

Le meurtre d’une rare violence d’un sexagénaire à Floirac, en Gironde, a mis en émoi l’opinion publique. Pierre Sourgen, un «paisible retraité» de 68 ans comme le décrivent ses voisins, a été battu à mort le 10 avril par un groupe de jeunes près de son habitation située loin des cités sensibles.

«Il était très gentil, poli. On est sous le choc de cette horreur. C’est fou!», a déclaré au Parisien un vieil habitant du quartier.

«C’était un monsieur très gentil, je n’arrive pas à y croire», a raconté à Sud-Ouest un voisin.

Son corps battu découvert

Le 10 avril, Pierre Sourgen a passé toute la journée à bricoler dans son garage, situé à une dizaine de mètres de l’endroit de sa mort, relate Le Parisien. Vers 19 heures, Pierre est remonté dans l’appartement voir son épouse pour lui dire qu’il reviendrait rapidement, couvre-feu oblige.

En l’espace de quelques minutes, son sort a été scellé. Son corps mutilé a été découvert par un voisin, qui est sorti après avoir entendu un groupe de jeunes trop bruyants qui fumaient du cannabis et buvaient de l’alcool. Rapidement alertés, les sapeurs-pompiers n’ont pas pu sauver le retraité, malgré un long massage cardiaque. Pierre Sourgen est mort près de son immeuble, à quelques dizaines de mètres à peine de chez lui.

Une enquête facilitée par un sondage anonyme

Le parquet de Bordeaux a lancé une enquête pour meurtre. Selon les conclusions de l’autopsie, Pierre Sourgen est mort en raison d’un «œdème cérébral post-traumatique suite à un fracas facial majeur»; son visage avait plusieurs fractures, des traces de sang ont été découvertes sur les murs.

La procureur de la république de Bordeaux Frédérique Porterie a décrit sa mort comme un «homicide commis avec soudaineté et brutalité».

Grâce à un témoignage anonyme, l’enquête a établi qu’un des auteurs se serait vanté d’être directement impliqué dans la mort de Pierre Sourgen, ce qui a facilité aux policiers l’identification des suspects.

Une remarque qui aurait amené à sa mort

En début de semaine dernière, la police a commencé à surveiller les domiciles et leurs points de chute. Le 15 avril, trois jeunes hommes âgés à peine d’une vingtaine d’années ont été interpellés. Un jeune couple, également au début de la vingtaine, s’est rendu le lendemain.

D’après le média, il s’agit de cinq personnes sans emploi et originaires des communes de la rive droite, Lormont, Cenon et Floirac. L’une d’entre elles, connue pour des faits de violence, est récemment sortie de prison.

Quatre jeunes hommes ont reconnu leur présence sur les lieux et avoir porté des coups de pied à la victime, selon une source proche de l’enquête. En guise de motif donné pour ces violences, ils ont évoqué une remarque qu’ils ont jugée déplacée de la part de la victime. Les hommes ont nié avoir eu l’intention de tuer. Quant à la jeune femme, elle a nié avoir frappé le sexagénaire.

Samedi 17 avril, les hommes ont été mis en examen pour meurtre et placés en détention provisoire, la femme a été placée sous le statut de témoin assisté.

 Anna Dedkova

Sputnik : https://fr.sputniknews.com/faits_divers/202104201045498307-qui-sont-ces-quatre-hommes-qui-ont-battu-a-mort-un-sexagenaire-pour-une-remarque/