. Gaza et la désinformation : rétablir quelques vérités trop souvent ignorées

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Articles     : Nov. 2023Oct. 2023Sept 2023Aout 2023 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews

++ WEBTUBE : La bande de Gaza, occupée par l’Égypte, à la suite de la guerre de 1948, était alors un repaire de terroristes élevés dans la haine des Juifs et se livrant à des incursions criminelles sur les localités israéliennes avoisinantes, avec des attaques continuelles contre les civils. Le terrorisme meurtrier était pratiquement la seule activité des Gazaouis, financée par les pétro-dollars des pays du Golfe riches de gaz et de pétrole. À la suite de la déroute de Nasser en 1967, les Israéliens y mirent enfin de l’ordre, en y installant des activités touristiques, agricoles et industrielles diverses qui y apportèrent des emplois autres que le crime. La suite de l’article ci-dessous :

La bande de Gaza, occupée par l’Égypte, à la suite de la guerre de 1948, était alors un repaire de terroristes élevés dans la haine des Juifs et se livrant à des incursions criminelles sur les localités israéliennes avoisinantes, avec des attaques continuelles contre les civils.

Le terrorisme meurtrier était pratiquement la seule activité des Gazaouis, financée par les pétro-dollars des pays du Golfe riches de gaz et de pétrole.

À la suite de la déroute de Nasser en 1967, les Israéliens y mirent enfin de l’ordre, en y installant des activités touristiques, agricoles et industrielles diverses qui y apportèrent des emplois autres que le crime.

Mais en 2005, sous la pression de la gauche, des USA et des États européens, un « Plan de désengagement » est mis en œuvre, avec, en août 2005, évacuation forcée de 8 000 Israéliens, qui quittent Gaza jusqu’au dernier, en y abandonnant des infrastructures touristiques, agricoles et industrielles de grande qualité, qui auraient pu faire de Gaza un autre Singapour.

Ces infrastructures sont aussitôt détruites par des meutes d’Arabes endoctrinés à la haine meurtrière.

Financés par le Qatar et l’Iran, les Frères Musulmans du Hamas prennent le pouvoir sur Gaza, en massacrant les partisans du Fatah.

Les terroristes commencent alors à lancer systématiquement des missiles et fusées « Qassam » menaçant indistinctement les populations civiles israéliennes, ce qui constitue un crime de guerre caractérisé.

Le « Blocus » de Gaza qui en découle est le fait des Israéliens qui sont contraints d’y interdire l’importation des armes et produits nécessaires à la production des Qassam.

Mais le « Blocus » est aussi le fait des Égyptiens qui veulent interdire l’entrée des Frères Musulmans, assassins de touristes et de chrétiens coptes.

Les « journalistes » qui sévissent dans les médias et y installent la désinformation ne parlent pourtant que du « Blocus israélien » de la « Prison à ciel ouvert » de Gaza, en se gardant bien d’en expliquer les raisons légitimes.

Le plus souvent infiltrés par la gauche idéologiquement islamophile, les médias entretiennent un narratif victimaire qui présente les Gazaouis comme injustement persécutés par Israël, et qui encourage le terrorisme anti-juif en le justifiant par la prétendue « persécution » des « Palestiniens ».

Ce terrorisme, financé par l’Union européenne, a montré sa sauvagerie inhumaine le 7 octobre 2023, par des pogroms d’une cruauté inimaginable qui ont plongé la région dans la guerre.

À la suite de ces pogroms massifs, un véritable carnage, avec prise de centaines de captifs, femmes, enfants, bébés, personnes âgées, l’Union européenne a récompensé les assassins en triplant ses subventions au Hamas, qu’Israël a entrepris de détruire radicalement pour protéger ses citoyens, tout en évitant autant que possible les victimes civiles collatérales.

L’Union européenne, l’ONU et Macron réclament évidemment un « cessez-le-feu » immédiat qui assurerait l’impunité des tortionnaires pogromistes pillards et l’abandon de leurs captifs.

Les chefs corrompus du Hamas, milliardaires grâce aux subventions de l’Union européenne détournées, se prélassent dans des villas luxueuses, à Doha, au Qatar, à l’abri de la guerre qu’ils ont déclenchée et qui met le feu à la « rue arabe », tout en promettant un 2e, un 3e, un 4e, etc. 7 octobre.

Les Juifs sont menacés dans le monde entier : une vénérable synagogue ancienne est incendiée à Gabès en Tunisie, dont les Juifs ont été victimes de purification ethnique radicale, à 99 %.

Les étudiants juifs des universités américaines, françaises, canadiennes, etc. et les passants à kippa sont livrés par la désinformation à la violence des foules haineuses.

Le narratif du « Blocus israélien » et de la « Prison à ciel ouvert » est imposé par les médias désinformateurs qui reprennent la propagande mensongère du Hamas accusant Israël de bombarder indistinctement hôpital et populations civiles.

« Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du Monde », disait Albert Camus.

Au mépris de toute vérité, les Juifs sont désignés comme responsables de violences, de “massacres” et de guerres causées exclusivement par le totalitarisme islamique haineux et meurtrier, et la désinformation propage la terreur antisémite dans le monde !

Ainsi, l’Union européenne même finance et organise, avec la complicité des médias désinformateurs, la mise en danger d’Israël et la destruction de la civilisation judéo-chrétienne, au bénéfice du Djihad totalitaire.

Jean-Loup Mordekhai Msika, dans Riposte Laïque

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