. Thomas assassiné : La colère monte (Le Média Pour Tous)

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++ WEBTUBE : Dans la nuit du samedi au dimanche 20 novembre 2023, Thomas Perotto, un adolescent de 16 ans vivant dans la Drôme, est lâchement assassiné lors d’un bal de village par des jeunes descendus d’une cité voisine. Le cri “On vient planter du blanc” aurait été lancé par les assaillants, selon plusieurs témoins. Reportage Vidéo ci-dessous :

. Sur notre sol, il y a désormais un racisme anti-Français qui, désormais, se voit et s’entend !

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++ WEBTUBE : Tout est dans le titre. Rien à dire de plus.

. Dernières nouvelles d’Italie. Plus de 1 000 clandestins en plus à Lampedusa, les ONG poursuivent leur manège

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++ WEBTUBE : Tandis que l’Italie vient de franchir le cap des 150 000 clandestins débarqués sur ses côtes en 2023, la petite île de Lampedusa a été de nouveau prise d’assaut par une dizaine d’embarcations de migrants en début de semaine. De leur côté, certaines ONG pro-migrants poursuivent leur « repêchage » de clandestins avant de mettre le cap sur l’Italie… La suite ci-dessous :

Plus de 1 000 migrants supplémentaires à Lampedusa

Les débarquements de clandestins sur les côtes italiennes n’ont pas cessé ces derniers jours. Sur l’île de Lampedusa, handicapée par une situation géographique plaçant cette dernière en première ligne face aux côtes africaines (l’île n’étant située qu’à un peu plus de 300 kilomètres du littoral tunisien), ce sont quelques 1 087 migrants qui ont débarqué via 12 embarcations lundi 20 novembre.

L’un des navires comptait à lui seul 576 migrants originaires d’Égypte, de Syrie, d’Irak, du Maroc, du Pakistan et du Bangladesh. Avant d’accoster au port de Lampedusa, ce bateau de pêche ayant pris la mer depuis la Libye au soir du 19 novembre a été pris en charge par les garde-côtes italiens et les vedettes de la police douanière et financière.

Le bateau de pêche en question, avec à son bord 576 migrants. Source : Ansa

Selon l’agence de presse italienne Ansa, à bord d’une autre embarcation quand elle partie de Sfax, en Tunisie, dans la nuit du dimanche 19 au lundi 20 novembre, se trouvaient 43 clandestins en provenance de Gambie, de Guinée, du Mali et du Sénégal.

Des transferts de clandestins vers la Sicile

Par ailleurs, c’est également de Sfax qu’ont appareillé huit navires comprenant au total 372 clandestins avant de rejoindre Lampedusa.

Selon les données indiquées par les autorités italiennes, la structure d’accueil pour migrants dont dispose l’île hébergeait 768 individus (dont 77 migrants dits « mineurs non accompagnés ») à l’aube du 21 novembre tandis que dans la nuit du 20 novembre, 187 clandestins ont été transférés vers le port sicilien de Porto Empedocle à bord d’un ferry pour soulager le hotspot de Lampedusa.

Puis, au matin du 21 novembre, un autre transfert de 141 migrants était de nouveau organisé vers Porto Empedocle sur ordre de la préfecture d’Agrigente, en accord avec le ministère italien de l’Intérieur.

Les ONG pro-migrants poursuivent leur manège

Lampedusa n’aura donc connue que quelques jours d’accalmie quant à l’invasion migratoire dont elle est la cible, puisque ces arrivées font suite à l’épisode des 14 et 15 novembre, lors duquel l’ile italienne avait déjà fait face à un afflux massif de clandestins, avec plus de 1 200 arrivées en 26 heures, saturant une fois de plus les structures d’accueil.

N’oublions pas non plus la situation dantesque qu’avait connue Lampedusa au début du mois de septembre dernier, lorsqu’en l’espace de quelques jours, près de 12 000 migrants illégaux y avaient débarqué.

Enfin, l’Italie peut aussi compter sur les navires des ONG pro-migrants pour continuer à battre des records en matière d’immigration illégale. Pas plus tard que le 22 novembre, le Geo Barents, navire affrété par Médecins Sans Frontières, a accosté dans le port de Ravenne, dans la région d’Émilie-Romagne, avec 57 clandestins à son bord dont 14 présentés comme « mineurs ». Des extra-européens originaires du Pakistan, du Bangladesh, de l’Égypte, de l’Érythrée, de l’Éthiopie et du Soudan du Nord. Si les « mineurs » en question sont censées rester à Ravenne, les 44 autres migrants illégaux doivent être transférés vers divers centres d’accueil de la région.

En Italie, ce sont désormais 150 000 clandestins qui sont arrivés depuis le début de l’année d’après les dernières données du ministère de l’Intérieur. Contre 94 000 à la même période l’an dernier.
 Breizh-info.com

. Journée internationale contre les violences faites aux femmes, ou comment viser toujours à côté de la cible.

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++ WEBTUBE : Aujourd’hui 25 novembre, c’est la journée internationale contre la violence faite aux femmes. Une bien noble cause, qui repose sur un drame on ne peut plus réel. Or, en se trompant de cible et en ignorant de nombreuses causes qui la génèrent, on risque encore une fois de prêcher dans le désert. Les violences conjugales sont le lot de bien des Françaises, c’est presque tous les deux jours que l’une d’entre elles meurt sous les coups qui lui sont portés. Les agressions sexuelles et les viols augmentent, la prostitution est bien là et dans de nombreuses parties du monde on pratique encore mariage forcé et mutilations génitales… parties du monde qui s’invitent volontiers chez nous. Il peut donc paraître louable de marquer un temps d’arrêt pour se focaliser sur un si vaste et tragique phénomène. Or, la grande majorité des débats et des initiatives de la journée en est réduite à un procès au mâle : tout homme serait un assassin ou un violeur en puissance. Peu de chance, donc, de retenir quelque chose de cette journée. La suite de l’article ci-dessous :

Au lieu de regarder l’actualité en face, on divague encore et toujours sur le fantasmagorique patriarcat, cette main invisible et omniprésente qui pousserait les hommes à battre ou à assassiner leur compagne, leur ex, ou la femme convoitée. On radote, sans jamais évoquer l’absence d’une véritable éducation. Pas celle qui se propose de rééduquer le mâle, de le démasculiniser, de briser les stéréotypes et autres balivernes dont on entrevoit tous les jours les conséquences, mais son contraire absolu : celle qui prépare à la vie. Celle qui forme, celle qui apprend à se contenir, à maîtriser sa force, qui inculque les limites à ne jamais franchir. En Occident, le moteur des violences faites aux femmes n’est pas le « patriarcat », ni la délirante « culture du viol », mais la culture capitaliste, celle de la satisfaction immédiate, du «oui» à chaque caprice, la culture du «tu auras ce que tu voudras dans la vie», conséquence du «mon enfant doit tout avoir» dans laquelle nous baignons depuis un demi-siècle. C’est la frustration évincée des contes de fées, c’est le passage en classe supérieure des fainéants qu’on ne fait plus redoubler pour ne pas les froisser… Comment peut-on prétendre que des enfants élevés dans l’abondance, dans l’absence de refus et de contrariété sauront se comporter une fois adulte? Comment pourront-ils affronter le moindre échec, le moindre rejet? Les faibles d’esprit sombreront plus aisément dans la violence, chacun le sait… mais il est à parier que nous ne l’entendrons pas aujourd’hui.

Par contre, on nous dira qu’il faut «traquer le sexisme ordinaire». En langage de tous les jours, cela signifie mettre sur le même plan une blague lourde et un viol. Non, la plaisanterie du blaireau de la machine à café n’a pas la même portée que la gifle reçue dans la rue parce que « Wallah, tu avais qu’à me filer ton 06! » Non, le type qui écarte un peu trop les jambes assises dans le métro n’est pas de la même nature que le pervers qui vous suit dans un parking. Il faut remettre les choses à leur place. Cette confusion ne débouchera sur rien. Sinon à dévaluer les véritables violences que des femmes subissent chaque jour. Des femmes. Car là aussi, faire de toutes les femmes des victimes revient à nier celles qui le sont à un moment ou à un autre. Comment une génération qui compare un «regard appuyé» à une agression sexuelle serait-elle prête à affronter la rue? La plupart des filles ne savent même plus comment répondre à un commentaire déplacé. Apprenons-leur la répartie. À se défendre. À se mettre en situation. Cela aura sûrement plus d’impact que de leur inculquer le recours au tribunal ou à quelque risible numéro vert.

Pour lutter contre le harcèlement et les agressions de rue, véritable plaie à laquelle les citadines sont quotidiennement confrontées, il faudrait penser aussi à réapprendre à nos garçons à réagir. Car ces violences ont aussi lieu parce que la plupart des messieurs tournent le dos ou le regard lorsqu’une femme est brutalisée devant leurs yeux… normal quand on les éduque comme des eunuques depuis 70 ans. Mais le fait est là : certaines populations qui ont une vision de la femme radicalement différente de la nôtre et une bien piètre opinion des Occidentales, attaquent, violent, frappent les filles dans la rue, parce qu’ils savent bien qu’elle leur appartient, parce qu’ils savent que personne ne la leur barrera. Et parce qu’ils jouissent d’une immunité totale. À quoi bon porter plainte contre « un jeune de type exotique en survêt’ » ? Quelle chance de le voir arrêté et puni, si tant est qu’on le retrouve jamais ? Aucune. Voilà encore une bien triste vérité qui ne sera pas dite aujourd’hui.

Et freinons ce féminisme nocif, agressif, hypocrite, qui crétinise nos filles et les rend insupportables et hargneuses ! En roue libre, se croyant tout permit. Dont le seul rapport avec les garçons et plus tard les hommes est un rapport de force. Parce que cette idéologie leur a fait croire que nous sommes identiques, interchangeables, au centre d’une vaste compétition avec eux. Rien n’est moins vrai. Nous sommes différents et surtout, incomparables. Ce fléau les persuade que nous avons une revanche à prendre sur ces derniers. Or, cette guerre entre homme et femme est le mouvement le plus mortifère qui soit, plus stérile que la stérilité qu’il induit : puisque au lieu de formuler quelques propositions constructives, le féminisme 2.0 se propose simplement de déconstruire l’homme.

Il ne fait qu’accroître ce contre quoi il prétend lutter. Car à mesure qu’il augmente, augmente aussi le dit masculinisme, sa conséquence logique et mathématique. Beaucoup des misogynes qui le composent n’étant autres que de simples gars qui en ont ras-le-bol de se voir accablés de tous les maux de la planète par des femmes qui ne valent rien (et oui, mesdames, il y en a aussi !), toujours plus nombreuses et plus bruyantes.

Il y aurait encore beaucoup de choses à dire et à dénoncer. Mais les discours divergents resteront inaudibles et ne seront pas relayés par les médias de masse. Ce genre de célébration restera ce qu’il est : un entre-soi où l’on ressasse des banalités — graves, mais connues de tous — s’adressant à des personnes déjà convaincues.

Audrey D’Aguanno
[cc] Breizh-info.com

. Arradon (56). Des étudiants à la rue après la tempête Ciaran ? Un témoignage

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++ WEBTUBE : Dans la nuit du 1er au 2 novembre 2023, la tempête Ciaran a arrachée une partie du toit d’une résidence universitaire à Arradon, une commune proche de Vannes. Une vingtaine d’étudiants se sont retrouvés à la rue, du jour au lendemain, sans possibilité de relogement. Des membres du mouvement An Tour Tan sont partis rencontrer l’un d’eux, Ilario, pour qu’il explique la situation… Ce dernier indique par ailleurs que malgré le fait qu’il soit à la rue, on lui réclame…un loyer. Il s’agit en l’occurence de…. la mairie d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), propriétaire et gestionnaire du lieu. On vous laisse découvrir l’interview.

Breizh-info.com

. Romans : Honneur au Livre Noir, à Erik Tegnér et aux jeunes qui ont marché sur La Monnaie

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++ WEBTUBE : « Le Livre Noir », vous connaissez ? Non ? C’est bien dommage ! Parce que justement, en un moment où « le monde entier semble marcher sur la tête », et particulièrement en France, devenue prisonnière depuis des décennies, de la dangereuse secte nommée « bien-pensance » ayant réussi par de constantes magouilles à s’approprier le pouvoir dans tous les endroits stratégiques, le moral des citoyens se noie de plus en plus dans un marasme économique et humanitaire, dont il a grand-peine à se sortir. Il faut dire qu’ils font très fort les petits soldats de la pensée unique, dont l’unique but est d’imposer à tous leurs stupides idéologies, boiteuses, déclarées « humanistes » quand elles ne sont que lâches, malhonnêtes et intolérantes… tout en se posant en grands donneurs de leçons devant l’Éternel, quel que soit le sujet du jour.

Alors, sans avoir besoin de me prétendre plus altruiste que ces imposteurs, je vous transmets tout simplement un document étonnant, apte à remonter d’au moins un cran votre moral défaillant en vous démontrant qu’il existe encore de vrais journalistes n’ayant pas peur d’aller chercher les infos sur place plutôt que dans les ragots des coulisses du pouvoir…

Et en plus, à Riposte, on vous a trouvé une véritable pépite, puisque cumulant le courage avec l’authenticité !

Cette perle rare, que l’on croyait définitivement passée dans les oubliettes, au rayon « espèces disparues », est aujourd’hui honorée par la prestation de Erik Tegnér, directeur de la rédaction de Livre Noir, se rendant, accompagné seulement d’un cameraman, dans la cité d’où sont issus les courageux « petits anges » qui ont fait un carnage à Crépol, tuant sauvagement le jeune Thomas,  sans autre raison que la haine gratuite, infondée, qui les consume envers un pays et ses citoyens qui ont accueilli leurs parents et grands-parents.

Damien Rieu ou Réseau Libre ont bravement révélé le nom des crapules :

Ce qui n’a pas manqué d’ulcérer les islamo-gauchistes, osant parler de « récupération » par l’extrême droite… selon leur refrain favori devenu véritablement indigeste tant ils le mettent à toutes les sauces.

Finalement, aucun de ces « êtres supérieurs » ne fera preuve du même courage (forcément le mot ne fait pas partie de leur vocabulaire) qu’Eric Tegnér, en voulant nous démontrer à quel point la cité en question est un paradis sur terre.

Lequel paradis n’est autre qu’une des nombreuses « zones de non-droit », le mot est prononcé distinctement ; et c’est dans la plus grande confusion (mentale) que journaliste obtiendra de ses interlocuteurs, une litanie de contradictions, telles que le port d’arme blanche alors qu’il n’y aurait aucun danger…

Mais le clou du spectacle si j’ose dire, c’est le sketch final quand, depuis sa voiture, un homme interpelle le journaliste, se lançant dans une superbe démonstration de la richesse du langage commun à toutes les « chances pour la France ».

Vous noterez au passage qu’une nouvelle race est née : « musulman international et humaniste » !

Le gars s’excite tout seul et monte en intensité dans une colère que l’on sent prête à exploser… sauf qu’elle n’a aucune prise sur le calme du journaliste, qui tout au long de sa confrontation, et sans rien céder d’un pouce, les poussant dans leurs contradictions, ne perdra jamais son sang-froid au point d’adopter lui aussi la colère provocatrice de ses interlocuteurs, imperméable aux insultes et menaces des racailles du quartier, au même profil que les assassins de Thomas, dont ils sont proches.

L’évidence glaçante c’est que pour ces jeunes, les assassins sont des héros qu’ils rêvent d’imiter… à coup sûr des millions de djihadistes psychopathes en puissance répartis dans toute la France, prêts à passer à l’action à tout moment…

Avant la totalité du face à face, visionnez le résumé qu’en a fait l’auteur : « C’est la cité qui a tué Thomas, dans le sens où il y a un sentiment complet d’impunité »

Puis préparez-vous à vous émerveiller du sang-froid du journaliste, ainsi qu’à l’augmentation, à la fois de l’inquiétude sur notre avenir commun et de la fureur envers les  sous-hommes qui nous gouvernent en nous menant par la main tout droit vers un précipice sanglant.

Si les parents de ces scélérats ont été plus que défaillants quant à la « non-éducation » de leurs rejetons, j’estime que les grands responsables de cette atmosphère délétère, vis-à-vis de la France et des patriotes, sont au premier rang les pourris qui nous « gouvernent », n’ayant rien trouvé de mieux que nous maintenir dans la peur afin de rester soumis à leur sale dictature mondialiste !  

Logiquement, je trouve donc naturel de prétendre que nous ne devrions plus accorder la moindre once de confiance aux tarés qui font semblant de nous gouverner… tant que les plus arrogants d’entre eux, comme Macron, Darmanin, Mélenchon… n’auront pas annoncé leur visite dans cette cité… bien évidemment dans les mêmes conditions, c’est-à-dire sans leurs armées de gorilles qui les accompagnent partout, pour les protéger,  non pas de ceux qui pour l’instant votent pour eux (rira bien…) mais bel et bien des féroces et méchants racistes blancs !

Affaire à suivre, sans relâcher la pression auprès des pleutres bouffons-félons, de la même façon que les CPF ne cessent de se prétendre victimes, pour mieux instrumentaliser… ceux qui croient eux-mêmes les manipuler.

Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression

Dernière minute : au moment du bouclage, j’apprends que plus d’une centaine de jeunes militants patriotes marchent sur le quartier de la Monnaie, à Romans, aux cris de “Islam hors d’Europe” et “Europe, jeunesse, révolution”. Hommage à leur exceptionnel courage physique, ils sauvent l’honneur de la France.

Partisan d’« une droite réactionnaire et identitaire, intransigeante sur l’islam et anti-étatiste », il soutient les positions de Matteo Salvini et Viktor Orbán, dont il est un fervent partisan, sur la question migratoire. En 2018, il déclare que « sans inversion des flux migratoires, sans politique nataliste active, sans réforme de notre système social qui est devenu une machine à attirer des étrangers, sans définition de la place que nous acceptons – ou non – d’impartir à l’islam, notre civilisation disparaîtra. »

https://fr.wikipedia.org/wiki/Erik_Tegn%C3%A9r

Livre Noir, Riposte Laïque