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++ WEBTUBE : Désolé pour Bruno Guillon mais il faut savoir qu’ en région parisienne, ce sont 3 « homejacking » par jour. Combien en France ? Les chiffres ne sont pas publiés à ma connaissance. Alors on ne pleurera pas sur le sort de M. Guillon parce que personne ne pleure sur le sort de milliers de français qui subissent les mêmes agressions.
Vous, lecteurs, et moi, votre serviteur, nous faisons bien évidemment partie du bas peuple. Nous ne sommes donc que de simples « déplorables » dont la vie de gueux est sans importance aucune. Ça ne se discute pas, puisque cela va de soi pour nos belles élites.
Ce peuple sale, bête et méchant que nous sommes est tous les jours invectivé, insulté, rabaissé, humilié et moqué par les élites artistiques et journalistiques. Et ce même peuple, oh ça alors quelle surprise ! est toujours sommé d’avoir une larmichette à l’oeil lorsque l’une de ces élites est victime d’une malencontreuse rencontre avec des délinquants, pour ne pas dire des chances pour la France !
Pour l’animateur Bruno Guillon, cela a été une rencontre nocturne. Lui et sa famille ont été violemment agressés en pleine nuit par 4 futurs ingénieurs victimes du racisme systémique de la méchante société blanche. Allah en est témoin.
Très étrangement, Bruno et sa famille n’habitent pas là où j’habite : la banlieue parisienne pauvre. Étonnant ! Il habite une petite ville éloignée du tumulte des chances pour la France. L’islamisation des banlieues et la violence quotidienne, il connaît pas, mon Bruno.
Alors les agresseurs entrent en pétant simplement un carreau à la fenêtre, parce que le soir Bruno ne ferme pas ses volets ! Et oui, on n’habite pas dans le même cadre. Toi, mon Bruno, tu vis entouré de gens gentils, moi je vis entouré de gens qui rêvent de tuer des blancs, d’islamiser et de soumettre la France.
Moi, dans ma banlieue parisienne pauvre, je suis obligé de me barricader tous les soirs en fermant les volets et en rajoutant même des barres de sécurité en acier sur ces derniers. Cambriolages, vols, lynchages, meurtres, viols et agressions obligent. Mais, dans la jolie petite ville paisible de Bruno, pas besoin.
Toi, mon Bruno, tu vis tranquille. Moi j’ai été obligé de faire un trou dans le sol en béton de ma maison pour y insérer une barre en acier de plusieurs centimètres de diamètre pour bloquer la porte d’entrée, pour qu’elle ne soit pas trop facilement défoncée en cas de homejacking. Le soir j’accroche une tasse en fer sur l’extrémité de la poignée. Pourquoi ? À l’extérieur si une personne abaisse la poignée pour entrer en pleine nuit, la tasse en acier tombe et rebondit au sol en faisant un énorme bruit, et je suis aussitôt averti que quelqu’un essaye d’entrer. C’est un système d’alarme inviolable.
Mais assez parlé de ma banlieue pourrie. Et parlons de ce drame qui a ému la France entière jusqu’aux larmes. Et ce n’est pas un hasard, car les médias ont tout fait pour émouvoir la populace. Tout comme pour le homejacking de Bernard Tapie. Lui aussi par des chances pour la France venus d’ailleurs. Tiens, tiens, tiens… est-ce une simple coïncidence ?
Alors, puisque c’est une injonction qui vient du sommet : citoyens, citoyennes, sortez vos kleenex ! Le quart d’heure de compassion, d’émotion et d’empathie est réclamé par nos belles âmes qui une fois de plus nous donnent une leçon de savoir-vivre, et de surtout de savoir penser correctement.
Le seul petit problème… c’est que cela ne marche plus. Car toute une partie du peuple n’éprouve justement plus aucune empathie pour les élites donneuses de leçons. Je dirais même que toute une partie du peuple éprouve même une joie mauvaise lorsque ce genre de drame arrive enfin aux élites.
Alors, mon Bruno, j’ai fait ma petite enquête. Qu’en est-il te concernant ? Tu fais partie des élites. Et malheureusement pour toi, à chaque fois qu’une élite, jusqu’à présent protégée, se fait violemment emplafonner par la dure réalité de la vie, cela fait toujours plaisir. Ça n’a rien de personnel avec toi, mais c’est comme ça, tu ne peux rien y faire. Cela aurait pu être n’importe quelle autre élite, le résultat aurait été le même : joie mauvaise.
Pourquoi ? Parce que depuis plus de 40 ans le petit peuple subit ce que tu viens de subir sans que les élites n’éprouvent aucune pitié pour lui. Depuis 40 ans ce sont des millions de victimes (plusieurs millions de crimes et délits commis chaque année en France, soit plus de 10 000 par jour). Victimes d’abord ignorées et bâillonnées, puis conspuées et insultées si elles osent se plaindre au grand jour d’une immigration massive qui détruit leurs vies et celles de leurs enfants.
Depuis 40 ans tous les jours le sang des Blancs coule. Et en France ce sang forme depuis des décennies des rigoles interminables qui s’écoulent continuellement dans le caniveau de l’indifférence des puissants et de nos gouvernants.
Aussi la colère et la rancoeur des Français abandonnés et méprisés ont atteint des sommets ! Car cette injustice détruit insatiablement les âmes, même les plus nobles. Cet abandon et ce mépris déshumanisent comme pas possible. Aussi, mon petit Bruno, faut pas s’étonner quand ces gens du petit peuple finissent par vous dire : « Nous, on n’est jamais venu à notre secours ! Vous, vous n’avez jamais éprouvé la moindre pitié pour nous, pour nos femmes et filles violées, nos enfants rackettés, nos fils lynchés, nos maris poignardés ! Alors, pourquoi devrions-nous éprouver de la pitié pour vous ? Alors nous nous comportons avec les élites de la même façon qu’elles se sont comportés avec nous : rien à foutre de leur malheur. Et même tant mieux ! À leur tour d’en prendre plein la gueule ! »
Et je pourrais continuer sur ces témoignages, mon petit Bruno. Voilà ce que tu pourrais entendre de la part d’une grande partie du peuple au sujet des élites subissant à leur tour la délinquance :
« Vous êtes agressés ? Tout comme vous, on ne viendra pas à votre secours.
Vos femmes sont violées ? Tout comme vous, on ne répondra pas à vos appels à l’aide.
Vos enfants sont rackettés ? Tout comme vous, on ne les protégera pas.
Vos maris sont poignardés ? Tout comme vous, on les insultera en les traitant de racistes et de fascistes, tout en qualifiant leurs agresseurs de victimes. » Etc., etc.
Alors oui, le divorce entre le peuple et les élites est bel et bien consommé. Comment ce divorce finira-t-il sur le long terme ? Voilà la vraie question. Les divorcés deviendront-ils en fin de compte de bons amis ? Ou se haïront-ils encore plus après la séparation ? Ou alors, pire scénario, cela finira-t-il tragiquement, comme un mari violent qui revient tuer sa femme à coups de couteau, ne supportant pas une trahison ? Le peuple pense depuis longtemps que les élites les ont trahis, alors vous pouvez imaginer…
Et les élites commencent à s’en rendre compte. Même des gens comme Jacques Attali commencent, effrayés, à se rendre compte qu’en croyant ouvrir les portes du paradis il y a plusieurs décennies en ouvrant toutes grandes les frontières, ils ont en fait ouvert les portes de l’enfer. Et que le peuple le sait ; sait qui est responsable; sait qui est coupable de cette ignominie ; et qu’ainsi ce même peuple ne regarde plus les élites, mais les fusille du regard.
Alors désolé, Bruno, mais par chez nous, en banlieue pauvre, banlieue gangrenée par une violence effroyable que rien n’arrête et qui s’aggrave chaque année, ici les Blancs pauvres se moquent avec méchanceté de ton homejacking. Désolé, mais c’est la vérité. J’ai fait mon enquête. Interrogé plein de gens. Même résultat dénué de pitié. Même logique de pensée : « Ces gens n’ont jamais eu de pitié pour nous, alors pourquoi en aurait-on pour eux et leurs enfants ?… »
Stephane Fatrov, Riposte Laïque
P.S. : En région parisienne, ce sont 3 « homejacking » par jour. Combien en France ? Impossible de savoir, Dart malin fait du très bon boulot en cachant très bien les chiffres.
Donc le même jour que Bruno, il y a eu 2 autres victimes, 3 la veille et 3 de lendemain. Et ainsi de suite. Mais les autres victimes, personne n’en parle. Étonnant, non ?