. « Mères au foyer » : derrière la polémique, la fracture de société

Articles     : Sept 2023Aout 2023Juillet 2023Juin 2023 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews

++ WEBTUBE : Quand on n’a pas d’idées en politique ni de déontologie, il est facile de jouer au jeu des petites phases tronquées sorties de leur contexte. C’est une méthode très efficace pour s’adresser à une population de moins en moins éduquée et de plus en plus enclin à croire n’importe qui dès qu’il dit une énormité.

Mais quelle énormité a bien pu proférer le député RN de l’Aisne Jocelyn Dessigny pour créer une telle polémique ? « Sous le vernis, le rance. À ceux qui pensent que l’extrême droite a changé… », a fustigé le ministre du renouveau démocratique Olivier Véran. « Pour le RN, c’est les hommes au travail et les femmes à la maison. Vision archaïque et rétrograde du monde », a réagi, pour sa part, Nadia Hai, députée Renaissance des Yvelines et présidente du groupe.

Voici donc les propos de l’élu picard : « Nous partons du principe qu’une mère au foyer est peut-être mieux à la maison à s’occuper de ses enfants. Si elle le souhaite. » Cette déclaration tenue dans le cadre des débats sur le projet de loi « plein-emploi » porté par le gouvernement a donc soulevé les élus de la majorité de leur banc… Et entraîné une bonne dose de mauvaise foi, puisque la plupart des médias ont titré cette citation en omettant la mention « Si elle le souhaite ». D’ailleurs, le député mariniste a embrayé : « Si elle le souhaite, vaut mieux qu’elle reste à la maison à s’occuper de ses enfants plutôt que vous l’envoyiez dans un dispositif où elle va devoir réaliser quinze heures d’activité. » Outre le fait que, par nature, une femme au foyer est… dans son foyer, on comprend facilement ce que révèle cette passe d’armes.

Car la polémique a eu l’avantage de masquer le réel sujet. Derrière ce projet de loi s’inscrit la volonté du gouvernement de centraliser les bénéficiaires du RSA dans un seul et même fichier. Cela, couplé à la volonté d’imposer aux bénéficiaires du RSA 15 heures de travaux d’intérêt général, entraînerait des situations ubuesques. Joint par téléphone, Jocelyn Dessigny n’a pas voulu commenter la polémique mais a précisé sa pensée : « Parmi les allocataires du RSA, il y a des personnes en suivi de conjoints, des micro-entrepreneurs qui viennent de lancer leur activité, des étudiants… et des mères au foyer. En bref, des gens qui n’ont rien à faire dans le marché du travail », alerte l’élu.

Le délitement de la cellule familiale

Derrière cette polémique assez vaine se cache, finalement, la volonté de la majorité de faire de belles économies au détriment des familles. Ainsi, à peine nommé, le ministre des Solidarités Aurore Bergé a annoncé sa volonté de raccourcir le congé parental et de mieux l’indemniser. Cela, afin de permettre aux parents en congé parental (des femmes, pour l’immense majorité des cas) de retourner travailler plus rapidement. En outre, les réactions qu’a suscitées cette phrase anodine du député Dessigny démontrent que pour les macronistes, une femme au foyer est avant tout une victime qui doit impérativement s’émanciper par le travail.

« Monsieur le Ministre, le dédain dont vous faites part ici est une insulte à toutes les mamans qui restent à la maison pour élever leurs enfants . Avec votre loi, vous souhaitez les priver de leur droit à être des mères au foyer ! Pas moi ! Je suis pour la liberté de choix », avait répondu Jocelyn Dessigny sur X. « Donc, si je comprends bien, dans l’esprit du gouvernement, une mère au foyer devra payer une garde pour effectuer quinze heures de travail pour mériter son RSA ? » soupire un autre député du groupe.

À ce sujet — Raccourcir le congé parental : Aurore Bergé commence fort !

La natalité et la famille : angle mort aussi à gauche

Aymeric Caron était bien seul, à gauche, à s’opposer à Aurore Bergé sur un critère familial : « C’est précisément l’inverse qu’il faut mettre en place : permettre aux parents qui le souhaitent d’élever leur enfant au quotidien les premières années, sans avoir à le confier à une crèche. Et, donc, prolonger fortement le congé parental (qui, certes, doit être beaucoup mieux indemnisé). » Car, à gauche aussi, la moindre opinion sur la natalité ou les choix privés relevant de la sphère familiale sont taxés de suspicion. Et ce n’est pas le député LR Thibault Bazin qui dira le contraire. L’élu défendait un amendement dans le cadre de la réforme des retraites censé « baisser le taux de CSG sur les revenus d’activités des mères de famille » en fonction du nombre d’enfants à charge. « Sans enfant demain, il n’y aura pas de renouvellement de générations », a-t-il dit pour cette mesure qui vise, selon lui, « à mieux soutenir les mères de familles qui travaillent ». Une hérésie pour la gauche. « Lâchez nos utérus », avait scandé Sandrine Rousseau, dans l’Hémicycle.

En commission, c’est Laure Lavalette qui s’est attiré les foudres de la NUPES en proposant des mesures pour relancer la natalité. « Une obsession lepéniste », pour la chercheuse en littérature Cécile Alduy. « Je suis choquée par la position du RN sur les femmes. Hier, on a eu droit à la politique nataliste, aujourd’hui, on a droit à la mariée. Moi, je parlerais d’incontinence conservatrice et rétrograde », avait protesté la députée NUPES Marie-Charlotte Garin.

« Rétrograde, sexiste, rance. » La France est sans doute le seul pays d’Europe ou parler de natalité et de femme au foyer renvoie aux heures les plus sombres de notre Histoire. « C’est magique, la libération de la femme, cela a tellement fonctionné qu’on décide à notre place », soupire une consœur trentenaire et mère de deux jeunes enfants…

Marc Eynaud, Boulevard Voltaire

. Tours : une Française de 67 ans brutalement enrichie dans son hall d’immeuble par un migrant soudanais

Articles     : Sept 2023Aout 2023Juillet 2023Juin 2023 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews

Tours était une ville triste et repliée sur elle-même avant d’être enrichie de réfugiés politiques du Soudan

Dans la France d’Emmanuel Macron, il vaut mieux regarder derrière soi avant d’entrer dans son hall d’immeuble.

Actu17 :

Un homme de 36 ans a été interpellé par les policiers de la brigade anticriminalité (BAC) ce dimanche en début de soirée à Tours (Indre-et-Loire). Ce réfugié soudanais en situation régulière en France, qui était ivre, est soupçonné d’avoir tenté de violer une femme de 67 ans dans les parties communes de son immeuble, alors qu’elle rentrait chez elle, indique une source proche de l’affaire, confirmant une information de Valeurs Actuelles.

La police a été alertée peu après 18 heures par un voisin de la victime qui a entendu des cris et qui s’est alors interposé. Il a déclaré aux forces de l’ordre qu’un homme avait violemment agressé sa voisine de 67 ans avant de tenter d’abuser d’elle sexuellement, et de prendre la fuite. Rapidement sur place, un équipage de la BAC repère un suspect qui correspond à la description physique de l’agresseur. L’homme a sa braguette ouverte et il est ivre. Conduit au commissariat, il est placé en garde à vue différée. Il devait être interrogé ce lundi concernant cette affaire.

Selon les premiers éléments, l’agresseur a suivi la sexagénaire qui rentrait chez elle, dans un immeuble situé dans le quartier La Fuye-Velpeau. Alors qu’elle se trouvait sur le palier, l’homme se serait jeté sur elle, la frappant en lui mettant la main sur la bouche pour l’empêcher de crier. La victime et son agresseur sont tombés au sol. Il aurait partiellement dénudé la sexagénaire, avant que le voisin n’intervienne et mette le suspect en fuite, après avoir reçu des coups à son tour.

La sexagénaire a été transportée à l’hôpital pour y recevoir des soins et subir des examens. Une enquête a été ouverte et confiée aux policiers de la sûreté départementale (SD). Selon le parquet, le trentenaire était jusqu’ici inconnu des services de police.

Bizarrement, les féministes n’ont pas dénoncé la culture du viol du suspect. C’est sûrement un oubli.

D.P.

. Philadelphie : scènes de pillages ethniques massifs cette nuit.

Articles     : Sept 2023Aout 2023Juillet 2023Juin 2023 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews

++ WEBTUBE : La vie en société ce n’est pas un jeu vidéo ni une cours de récréation pour adolescent prépubères ! Ces vidéos de pillages ethniques à Philadelphie doivent nous rappeler que s’il existe des biens de consommation, de la nourriture abondante, des transports et de quoi se loger c’est grâce à une société organisée où des individus travaillent au quotidien pour rendre tout cela possible. La police devrait arrêter ces jeunes personnes, les mettre en prison et leur faire passer l’envie de recommencer. Il en va de la survie de nos sociétés occidentales. Pour le moment tout cela ressemble plutôt à une grande décadence qui semble plus ou moins acceptée par les dirigeants en place.

. Alsace : déjà “femme libérée” à 15 ans, la petite Blanche Lina disparaît

Articles     : Sept 2023Aout 2023Juillet 2023Juin 2023 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews

Une gamine de 15 ans fringuée comme une clubeuse émancipée de 28 ans, rien ne cloche du tout dans cette photo ?

Il est totalement normal de laisser sa fille de 15 ans marcher seule pendant des kilomètres jusqu’à une gare pour se rendre ensuite dans une grande ville voir son « mec ».

C’est exactement comme ça que l’on doit éduquer ses filles mineures.

France Info :

Elle s’est volatilisée alors qu’elle se rendait à la gare. Lina, 15 ans, n’a plus donné signe de vie depuis samedi, en fin de matinée, dans le secteur de Saint-Blaise-la-Roche, une petite commune d’environ 230 habitants dans le Bas-Rhin, située à une soixantaine de kilomètres de Strasbourg. Alertée vers 14 heures, le jour même, la gendarmerie a lancé un appel à témoins. Une enquête pour disparition inquiétante, pilotée par le parquet de Saverne, a été confiée à la section de recherches de Strasbourg. Des premières fouilles ont eu lieu dès samedi, avec l’appui d’une équipe cynophile et d’un hélicoptère. Elles se poursuivent, mardi 26 septembre.

Dans son appel à témoin lancé samedi, la gendarmerie précise que Lina a les cheveux blonds mi-longs et mesure 1m60. Le jour de sa disparition, elle était vêtue d’une robe grise, d’une doudoune blanche et de chaussures Converse blanches. La gendarmerie n’a pas diffusé de portrait de la jeune fille, mais renvoie vers un appel publié sur une page Facebook, « Info Trafic Bas-Rhin ».

Selon les gendarmes, elle est partie samedi, vers 11 heures, de son domicile situé dans la petite commune de Plaine, dans la vallée de la Bruche, pour se rendre à la gare de Saint-Blaise-la-Roche, distante de trois kilomètres. Elle devait y prendre un train à 12h03 en direction de Strasbourg, pour y retrouver son petit ami. Ce dernier, ne la voyant pas arriver, « a immédiatement donné l’alerte à la famille » de la jeune fille, relate le parquet de Saverne.

Selon la gendarmerie, Lina a marché de son domicile à la gare de Saint-Blaise-la-Roche, située à trois kilomètres de son domicile, en empruntant la route D350. Elle devait ensuite emprunter une piste cyclable sur la dernière partie du trajet. Des vérifications menées sur place ont permis d’affirmer qu’elle n’était pas montée dans le train, précise le parquet de Saverne lundi. « Certes, le chemin qu’elle empruntait de chez elle jusqu’à la gare est dans un endroit où il n’y a pas trop de maisons et où il y a un petit peu de circulation, mais ce n’est pas un coupe-gorge », affirme à BFMTV Patricia Simoni, la maire de Plaine, la commune de résidence de l’adolescente.

Ce n’est jamais un coupe-gorge jusqu’à ce qu’une gorge y soit coupée.

Aucune piste n’est pour l’instant privilégiée, selon la procureure de Saverne, qui souligne que Lina n’est pas connue pour des faits de fugues. « C’est une famille sans problème particulier à ma connaissance », assure la maire de la Plaine à France 3. « Des investigations téléphoniques » ont été ordonnées par le parquet.

Des opérations de ratissage sont également menées depuis samedi sur les lieux de la possible disparition avec le renfort d’une équipe cynophile, d’un hélicoptère et de drones. Lundi, plus de cent volontaires ont participé à une battue, après un appel lancé par la famille de la disparue, rapporte France Bleu Alsace.

La mère de la jeune fille a brièvement pris la parole devant les journalistes, lundi après-midi. « Ma fille Lina, 15 ans, a disparu samedi matin. Elle a dû partir de la maison à 11h (…) Vers 11H20 elle a envoyé un message à son petit ami, c’est la dernière fois qu’on a eu des contacts avec elle (…) », a-t-elle notamment expliqué, très émue. Elle a remercié toutes les personnes qui participent aux recherches et la gendarmerie, « pour sa réactivité ».

Où est le père ?

S’il existe pourquoi ne s’exprime-t-il pas ?

si cette mère avait interdit à sa fille de sortir seule pour aller à des dizaines de kilomètres, peut-être que sa fille serait encore chez elle, en sûreté ? Il s’agit d’un réflexe élémentaire de survie dans ce monde de plus en plus ensauvagé.

Il y a encore quelques décennies, c’était l’évidence. Aujourd’hui, les adolescentes de 14 ou 15 ans ont déjà un smartphone, portent des fringues moulants, couchent et n’ont aucune espère d’autorité paternelle pour surveiller leurs faits et gestes.

Résultat, les millions de bêtes sauvages importées de tous les continents par Emmanuel Macron et ses prédécesseurs peuvent chasser le gibier blanc sans aucun obstacle. Sans parler des détraqués habituels.

Ce n’est pas la police de Darmanin qui va les arrêter.

Conclusion : Quand on a une fille de 15 ans, elle reste à la maison, on limite l’usage du smartphone et on évite qu’elle ait déjà un « mec ». Enfin on évite aussi les tenues moulantes dans les transports quand on est seule. C’est malheureusement ce qu’il faut faire dans le nouveau monde “ensauvagé” voulu par nos dirigeants en place.

D.P.