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Le 26 septembre, hier donc, TF1 nous a gratifié d’un reportage édifiant sur l’évolution inquiétante des petites villes en France. L’exemple pris était Guéret.
Vous ne savez pas où cela se situe ? C’est en Creuse (dans l’ex-Limousin) donc au centre de la France. Tenez-vous bien… il y a un peu moins de 13.000 habitants. Et voyez-vous c’est la plus grosse ville du département.
Je dois dire que le reportage était assez impressionnant. Pas en soi, mais parce que j’ai habité dans le Limousin pendant des années, notamment lorsque j’étais jeune. Et je connaissais bien Guéret.
Et bien le changement est assez sidérant, même pour une toute petite ville du fin fond de la province.
Le reportage nous a montré un paysagiste dont la voiture a brûlé l’an dernier. On découvre aussi un brave retraité dont le garage a été forcé avec un pied de biche.
Ensuite on apprend que de 2016 à 2022, les plaintes pour violences ont été multipliées par 3. Elles sont passées de 33 à 95. Pour une ville de 13.000 habitants !
C’est donc une évolution stupéfiante que celle qu’a connue Guéret et en très peu de temps.
Même ce type de ville voit du trafic de drogue s’y développer, indique le commissaire qui apparaît dans le reportage.
Deux facteurs explique cette évolution :
- le développement incontrôlé de l’immigration et son cortège de délinquances
- la Loi SRU qui oblige les communes de plus de 5000 habitants à avoir 25 % de logements sociaux. Or qui met-on en priorité dans ces logements ? Des migrants, dont un nombre certain se livrent au trafic de drogue ce qui contribue à pourrir très vite le quartier et même toute la ville dès lors qu’elle est d’une taille relativement modeste.
Et pour finir, le commissaire -chef de la police de Guéret- nous apprend que sa ville est devenu un enjeu, un territoire à conquérir pour les racailles de Limoges et Montluçon. Guéret étant à mi chemin entre ces deux villes. Limoges et Montluçon sont deux villes de beaucoup plus grande taille.
La seule conclusion qu’on peut tirer de ces éléments c’est que même des petites villes situées à plusieurs dizaines de kilomètres de villes plus grandes, deviennent l’enjeu des marchands de drogue. Il faisait bon vivre dans ces agglomérations il y a encore peu. C’est fini, la peste les a rattrapées et contaminées.
Autre exemple, Château-Thierry dans l’Aisne (02) donc dans le nord de la France. Une petite ville comptant un peu moins de 15.000 habitants.
C’était une petite ville tranquille. Ici aussi c’est terminé.
Les retraités sont partout vivre un peu plus loin, vraiment à la campagne pour y être au calme.
Ils ont été remplacés par d’autres populations auxquelles il convient de rajouter ceux qui occupent les logements sociaux. Les mêmes qu’ailleurs.
Résultat : selon les habitants en plein été le soir à 20 heures on entend fortement du rap marseillais s’échapper des voitures.
Et puis, il y a les motos-cross qui font aussi du vacarme en tournant dans le quartier.
La boulangère le dit « la rue Carnot (l’une des principales rues) devient infréquentable le soir ».
Bref, la ville est en train de complètement changer et ne ressemble plus à ce qu’elle était il y a seulement quelques années.
Combien sont-ils ces bourgs et petites villes à être ainsi transformés ? Défigurés serait sans doute un terme plus approprié.
La France est vraiment partie sur une mauvaise pente avec cette immigration qui submerge tout et s’étend partout.
Il n’y a plus guère que ceux qui habitent vraiment à la campagne qui sont encore relativement préservés.
Mais pour combien de temps ?
Car les petites villes sont très proches des habitations à la campagne.
Il m’étonnerait que quelques individus n’aient pas l’idée d’aller visiter ces habitations, histoire de voir s’il n’y a rien à rapiner.
Et là on aura touché le fond.
L’immigration est un cancer qui est en train de ronger notre société. Tous les immigrés ne sont pas des délinquants, mais il faut bien reconnaître que lorsque ces populations s’installent c’est assez souvent le début des problèmes pour les autochtones des localités concernées.
Et quand il s’agit de ville situées en grande banlieue des grandes villes, c’est encore pire. On parle alors de « banlieusardisation » de ces localités.
En quête de logements sociaux à bas coût, les ménages modestes s’éloignent de Paris et des grandes villes, et ils importent leurs codes. Pour le politologue Jérôme Fourquet, de plus en plus de populations issues de l’immigration maghrébine ou subsaharienne s’implantent dans les villes de province. C’est selon lui une des raisons qui expliquent les émeutes survenues dans ces villes après la mort du jeune Nahel.
Alors, arrêter l’immigration c’est une nécessité absolue, une évidence et c’est vraiment urgent.
Malheureusement ce sera absolument insuffisant.
Si nous voulons que la France reste la France, ou plus exactement redevienne la France et retrouve son visage, il faudra aussi penser à la remigration d’un nombre conséquent de ces migrants, tout particulièrement ceux qui ne veulent pas s’assimiler et ceux qui sont des délinquants.
Bernard GERMAIN, Riposte Laïque