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++ WEBTUBE : C’est malheureusement le choix de nos dirigeants, une telle incompétence est insupportable. A croire que tout cela est voulu !
Cette interview est parue peu après la tribune des généraux, mais avec les nouvelles émeutes que connait la France et les tensions communautaires qui s’aggravent, elle a encore toute sa place, aujourd’hui comme demain.
Avoir enterré la lettre des généraux sans en mesurer la portée, comme l’a fait Emmanuel Macron, est un crime qui aura des conséquences funestes dans un futur proche. C’est un lâche renoncement qui sera reconnu comme tel le jour où tout explosera dans le pays, mais trop tard.
Il n’y aura jamais de mondialisation heureuse compte tenu de l’échec de l’intégration. De jour en jour, c’est le chaos racial qui se propage dans une société de plus en plus violente, où la République, la laïcité et le “vivre-ensemble” ne cessent de reculer. La France est en péril mais le pouvoir civil reste les bras ballants. Nous dansons sur un volcan.
Cette lettre des généraux, que le pouvoir a voulu faire passer pour une réaction de factieux menaçant la République, n’a jamais été une incitation au putsch. Elle est avant tout un message d’alerte, réclamant au pouvoir civil des mesures urgentes avant la désintégration de la nation, porteuse de conflits interethniques et interconfessionnels tragiques.
Le lien en début d’article, “résilience urbaine”, reprend une interview d’un officier supérieur, qui nous livre ses réflexions sur l’état réel de la France et sur cette guerre civile qui couve et qui préoccupe l’Institution militaire, compte tenu de l’inaction d’un pouvoir civil inconscient du danger.
En voici quelques extraits, mais je vous invite à lire l’interview dans son intégralité. Ceux qui attendent que l’armée agisse hors du cadre légal se trompent. L’armée n’a pas vocation à faire un putsch et ne prendra le contrôle du pays que si le pouvoir civil est défaillant en cas d’insurrection généralisée. C’est au peuple de décider de son destin, pas à l’armée. Je cite :
“La partie de la lettre où nos Anciens parlent de la guerre qui vient et des « milliers de victimes » qui vont s’accumuler, est la plus frappante. Et la plus inquiétante.
Cette lettre n’est pas seulement une lettre. C’est une image de notre patrie détruite par la guerre.
La situation est, je crois, infiniment plus grave que ne le laissent entendre nos aînés.
Ce que j’essaie de vous faire comprendre, c’est que presque tous les jeunes cadres de notre armée, les futurs sergents, lieutenants, colonels et généraux sont conscients que la France est certes en train de s’effondrer. Mais surtout, ils sont conscients qu’elle va vers la guerre.
Cette lettre est un appel à l’action dirigé vers les politiciens. C’est aussi un appel à la prise de conscience adressé au peuple français.
Cette lettre était une alerte, rien de plus, il n’y a pas de complot de militaires patriotes qui, dans l’ombre, préparent un coup d’État pour sauver la France.
Il est très probable qu’un jour, pour une raison ou une autre, la population française se mettra à bouger sur des bases plus ou moins claires. Et il est très probable qu’à ce moment-là, une fois la fenêtre d’opportunité ouverte, l’armée en profitera et pèsera de tout son poids d’un côté ou de l’autre.
La balle est maintenant dans le camp des Français. L’acteur principal du prochain acte ne sera pas l’armée, ce sera le peuple français. Ce sera vous. L’armée la plus puissante de France, c’est vous, une coalition de 67 millions de civils.
Ce qui est menacé, c’est la France. Ce qui est menacé à moyen et long terme, ce sont les Français de souche.
La France n’est pas attaquée, elle ne meurt pas tuée par un ennemi plus fort. Elle se suicide.
C’est ce débat qui devrait être au centre de la scène publique, et c’est ce débat tabou qui n’est pas évoqué par les généraux : celui de la tension raciale qui commence et qui va atteindre un pic paroxystique.
La question qui se pose au XXIe siècle est celle de savoir si les Français de souche auront encore un pays à la fin du siècle. C’est tout.
Le “Grand Remplacement” n’est pas une théorie, le remplacement démographique est une observation empirique de base.
Les bébés qui peuplent nos maternités ne sont pas les arrière-petits-enfants des Français du XVIe siècle. Celui qui ose dire le contraire est un négationniste.
J’espère que les parents qui lisent ceci en sont conscients : le monde que vous connaissez n’existe plus pour vos enfants. Il n’existe plus. Leur monde, c’est le Brésil mélangé au Liban, ce n’est pas les Trente Glorieuses.
Les Français comprendront qu’il ne s’agit pas seulement d’un débat théorique, lorsqu’ils comprendront que c’est leur vie, en tant qu’individus et en tant que peuple, qui est en jeu.
Les Français comprennent-ils la gravité de la situation ? Absolument pas. Je le pense vraiment.
Le sort des Français de souche est déjà liquidé. Que vous soyez de gauche ou de droite, si vous me lisez, sachez que dans tous les cas le scénario du film est déjà écrit, et vous n’êtes pas au casting.
Pour l’instant, la situation en France se maintient de manière assez artificielle… En 2050, un enfant (de souche) naîtra dans une France où plus de 65 % des autres enfants seront d’origine africaine. C’est une dynamique inéluctable, car la démographie est inéluctable et les instincts tribaux ou raciaux que la démographie réveille sont violents.
« La sueur épargne le sang », les Français refusent depuis plusieurs années d’affronter réellement et définitivement le problème, ils auront donc le sang.
La politique échouera à résoudre le problème. Regardez la Yougoslavie, le Liban, l’Afrique du Sud, la Palestine…La guerre s’imposera donc naturellement comme la seule possibilité pour le perdant d’obtenir ce qu’il veut.
Il est maintenant trop tard. La vérité que personne n’ose affirmer est que nous ne pouvons plus traiter le problème de manière pacifique ou politique (immigrés trop nombreux, depuis trop longtemps, avec l’aide de trop de traîtres).
La question n’est donc plus « comment agir pour éviter l’éclatement du pays, la division, la partition, la guerre civile ? ». La seule question qui se pose est : « Quand cette rupture arrivera-t-elle et comment en triompherons-nous ? »
Les Français ont un droit inaliénable et exclusif sur la terre de leurs ancêtres et tant qu’ils porteront cette certitude comme une flamme dans leur cœur, ils seront invincibles.
Le défi militaire sera gagné en quelques jours. Si l’armée avait les mains libres, le pays entier serait « libéré » en dix jours. Si l’armée avait les mains libres, le pays entier et ses institutions seraient purgés en un mois. La difficulté est ailleurs.
La question qui va se poser est en effet la suivante : “jusqu’où la population française est-elle prête à aller pour garantir sa survie et l’avenir de ses enfants ?”
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Je vous laisse lire le scénario imaginé par les groupes de réflexion qui cogitent sur le sujet au sein de nos armées et échangent leurs travaux. On n’est plus dans le roman ou la fiction, mais dans l’analyse la plus réaliste qui soit, ponctuée d’innombrables inconnues. À vous d’en juger. Il est en tout cas vital que nos cadres militaires pallient les défaillances d’un pouvoir civil aussi lâche qu’irresponsable, qui poursuit sa politique suicidaire de désintégration de la nation.
Comme dans toutes les guerres, se révéleront les lâches et les héros, les traîtres et les patriotes. Mais dans un éventail qui va de la soumission à la guerre totale, nombreux sont les scénarios possibles.
Que le commandement se prépare au pire, c’est une évidence. Mais que le pouvoir civil prenne le risque au sérieux, je n’en crois rien. Si Macron et la classe politique jugeaient qu’une guerre civile est probable, l’arrêt de l’immigration deviendrait une priorité. Or, tout empire. Quand Gérard Collomb, parfaitement renseigné sur le volcan qui gronde dans les banlieues, a évoqué le face-à-face entre communautés dans les cinq ans, qui l’a écouté ?
La France des Trente Glorieuses fut un paradis. Mais des légions de traîtres, de gauche comme de droite, car je mets tous les partis qui ont gouverné dans le même sac, ont livré notre France millénaire aux délires mondialistes qui vont disloquer la nation et ses 2000 ans d’histoire.
C’est donc au peuple de prendre conscience de la gravité de la situation, qui ne cesse d’empirer. Ou bien ce peuple français a conservé au tréfonds de lui-même l’ADN de nos Poilus de 14-18 et il va se battre pour l’avenir de ses enfants, ou bien il est devenu un peuple irrémédiablement avachi, mûr pour la soumission sans combattre. Ce sera le sursaut salvateur ou bien la fin de l’Histoire pour le peuple gaulois.
Jacques Guillemain