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Il paraît que la France est une démocratie, voire même une République où les citoyens ont le droit d’exprimer leur désaccord. Ah bon ?
Examinons la question de l’installation de migrants dans les villages et dans toute la France. Certains réclament des référendums ? On leur explique que, nationalement, cela serait impossible, car cela ne rentrerait pas dans les catégories prévues pour cet exercice. Pourtant, notre contributeur, Jean d’Acre, avait démontré le contraire.
Demander un référendum local, ou une consultation citoyenne ? Les préfets répondent que c’est interdit, parce que l’immigration serait une prérogative de l’État. Et alors, où serait le problème ? Hidalgo peut faire un référendum sur les patinettes, et il serait interdit de voter sur le changement de peuple de son village ?
Organiser des manifestations, des rassemblements massifs, comme à Callac, Saint-Brevin et Belabre ? C’était possible avant, on se faisait insulter par les journaleux, traiter de fachos et de racistes par tous les politicards et agresser par les antifas, mais on pouvait faire. A présent, Darmanin a interdit tous les rassemblements qui “inciteraient à la haine”, et donc comme, selon la doxa, refuser des migrants dans son village c’est inciter à la haine, toute demande de rassemblement sur ce sujet sera désormais interdite.
Occuper les Cadas ou autre lieux où ils veulent installer les clandestins ? C’est ce qu’ont essayé de faire, si j’en crois mon excellent ami Eric Mauvoisin, plusieurs dizaines de militants hostiles au Cada, à Saint-Brevin, mais l’action a été éventée et déjouée par les forces de l’ordre. Dommage, cela aurait pu avoir le même retentissement que l’occupation du toit de la mosquée de Poitiers par les jeunes Identitaires, en octobre 2012. Mais cela se serait traduit, comme à Cherbourg pour les militants d’Argos, par une garde à vue de 48 heures pour ceux qui auraient été arrêtés et par une comparution immédiate, avec risques d’amende, voire de prison.
Alors que faire ? Taguer le Cada ? La mairie ? La maison du maire à migrants et des conseillers municipaux complices ? Leur voiture ? C’est ce que font les gauchos contre nombre de nos militants, mais nous n’allons quand même pas les imiter ?
Il ne reste qu’une chose : croire en la providence divine, qui, comme à Allaire, a provoqué un malencontreux court-circuit dans une gendarmerie désaffectée rénovée qui devait accueillir une vingtaine de mineurs isolés quelques jours plus tard.
Ils ne sont jamais arrivés et ont été logés ailleurs…
Pierre Cassen, Riposte Laïque