60 ans après l’Indépendance, la France toujours coupable du naufrage algérien

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Et c’est reparti ! Il serait temps de comprendre qu’il n’y aura jamais de retrouvailles entre Paris et Alger !

Le mini-sommet qui devait se tenir à Alger, avec Jean Castex accompagné de quatre ministres français, a été reporté sine die par les autorités algériennes. Le prétexte ? Paris, en envoyant une trop modeste délégation, n’a pas pris la mesure de l’importance de l’évènement !

Si les autorités algériennes se sentent humiliées pour si peu, c’est que leur complexe d’infériorité ne s’arrange pas ! Avec leur susceptibilité à fleur de peau, les Algériens sont des partenaires à problèmes.

De toutes façons, sur tous les accords signés lors de ces sommets, la plupart ne voient jamais le jour pour des raisons diverses.

Décidément, il n’y a vraiment rien à attendre des dirigeants algériens, à part leurs lamentations pitoyables sur un passé révolu depuis près de 60 ans et des discours de haine envers la France,  laquelle a pourtant fait faire à ce pays un bond en avant de 1 000 ans en 132 ans de présence.

Avant 1830, l’Algérie, c’était le néant. En 1962, ce pays possédait les plus belles infrastructures de tout le continent africain avec l’Afrique du Sud.

Mais malgré son pétrole, son gaz, son agriculture moderne, l’Algérie n’a fait que sombrer, au point que 90 % de le jeunesse rêve de gagner la France, le pays de ces salauds de colonisateurs.

Oui, pour ces dirigeants incapables et corrompus, qui ont dilapidé le fabuleux héritage colonial légué en 1962, la France reste “l’ennemi éternel” comme vient de le rappeler le ministre algérien du Travail.

Il faut dire qu’avec Macron, qui crache sur son propre pays à chacun de ses déplacements et même à la tribune de l’ONU, il est devenu habituel de s’essuyer les pieds sur cette France poltronne et repentie, qui se vautre dans une soumission aussi  outrancière que contreproductive.

Plus Macron se répandra en mea-culpa et en génuflexions indécentes, plus les Algériens exigeront excuses et réparations.

C’est donc une impossible réconciliation entre Paris et Alger parce que ce pouvoir algérien corrompu, complexé par le ratage absolu de l’indépendance, veut nous faire porter le chapeau de ses échecs.

Une quinzaine d’années après la guerre, de Gaulle tendait la main aux Allemands. De cette réconciliation est née l’Europe de la paix.

Et avec le Vietnam, qui a connu lui aussi la colonisation et la guerre, la France n’a aucun contentieux. On n’imagine pas un ministre vietnamien déclarer que la France est l’ennemi éternel. Le Vietnam fait parti des tigres asiatiques en pleine expansion. Il regarde devant, sans pleurnicher sur son passé.

Rappelons une énième fois quelques vérités oubliées, aussi bien à Macron qu’aux leaders algériens.

En 1830, l’Algérie sous domination turque n’était qu’un pays barbare, où sévissaient esclavage, famines et épidémies.

Nos colons ont transformé des marécages et des déserts en vergers. Nos médecins ont éradiqué le typhus, le choléra, la peste et autre fléaux dévastateurs. La mortalité infantile a baissé de 70 % sous la présence française.

Nos enseignants ont développé les écoles dans tout le pays. Nos soldats, au-delà de leur mission de protection, se sont faits instituteurs et bâtisseurs dans de nombreux villages. Nos méharistes ont sillonné le désert pour traquer les trafiquants de tout poil.

Les pieds-noirs, qui chérissaient leur pays bien davantage que les Algériens d’aujourd’hui, ont construit des villes entières, des aéroports, des ports, des routes, des hôpitaux, des écoles, des voies ferrées, des usines, à travers un territoire vaste comme cinq fois la France.

Sans oublier le fabuleux pactole du pétrole et du gaz, sans lequel l’Algérie serait au rang du Zimbabwe.

Tel est le bilan de 132 ans de présence française, qui ont propulsé l’Algérie vers le monde moderne.

Une œuvre admirable que Macron a osé assimiler à un crime contre l’humanité.

Mais avec notre Président aussi immature qu’irresponsable, il n’y aucune limite dans l’obscène et l’abject.

Il a osé faire un parallèle entre la guerre d’Algérie et la Shoah ! Comme si la France avait programmé un crime de masse à l’échelle industrielle, avec chambres à gaz et fours crématoires ! Comme si nos soldats étaient des bourreaux.

Quelle insulte suprême envers les millions de victimes de l’Holocauste !

C’est absolument délirant de voir un Président détester son pays à ce point. C’est même un cas d’espèce unique au monde.

En définitive, c’est Macron qui distille la haine de la France dans le cœur des Algériens. Il ne sait plus ce qu’il dit et conduit la France vers l’abîme.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

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