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A la mairie de Paris, on est humaniste et immigrationniste, surtout avec le tandem Hidalgo-Brossat, surnommés la Dingo et Brossette. Et on qualifie de raciste, de fasciste, de nazi quiconque, à l’image d’Eric Zemmour ou de Marine Le Pen, qui ose contester les bienfaits de l’immigration.
Et on assiste à un pas de trois fort bien monté, entre la mairie de Paris, le ministère de l’Intérieur dirigé par Moussa et son préfet Nunez, et les associations à clandos de type Utopia.
Aidés par des associations de type Utopia, les clandestins s’installent devant la place de l’Hôtel de Ville.
Rappelons que ce sont les mêmes qui ont installé jusqu’à 600 clandestins dans une école réquisitionnée du 16e arrondissement parisien pendant de longues semaines.
Les clandos, en situation irrégulière, somment l’Etat de leur fournir un logement et des solutions, et la municipalité de Paris – qui veut expulser les clandestins dans les campagnes pendant les JO – soutient la demande des immigrés.
Et comme cela correspond à la stratégie de Macron de transition démographique dans les campagnes, le gouvernement est bien trop heureux de céder aux revendications de la mairie de Paris et des associations.
Et pendant ce temps-là, à Rennes et dans de nombreuses régions de France, d’autres Utopia squattent des parcs pour imposer ces clandestins aux populations de province.
Et après, bien sûr, comme à Callac et Saint-Brevin, on qualifie de fasciste et de raciste les habitants des campagnes qui veulent garder leur mode de vie à la Française, et qui ont compris que c’est incompatible avec la venue des dizaines de migrants dans chaque petite village.
Imaginez que tout cet argent soit utilisé pour mieux loger les centaines de milliers de Français en attente d’un logement décent…
Pierre Cassen, Riposte Laïque