Éducation : Emmanuel Macron fait le buzz avec des mesurettes

Articles     : Aout 2023Juillet 2023Juin 2023Mai 2023 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews

++ WEBTUBE : Avec Macron aux manettes, les cancres ont encore de belles années devant eux dans le système scolaire français. Sur la photo, on voit un Macron satisfait de lui-même. Finalement il a raison cela fait 6 ans qu’il joue au président et les Français le réélisent !

Emmanuel Macron semble dire n’importe quoi pour exister. Dans un entretien exclusif au Point , il déclare que « sur l’école, nous devons sortir des hypocrisies »  – « françaises », il va de soi. Et de faire des propositions sur les vacances scolaires, l’enseignement de l’Histoire, l’entrée en classe de sixième… Beaucoup de bruit pour faire le buzz, en occultant les véritables causes du déclin de l’enseignement français.

« Il y a trop de vacances, et des journées trop chargées », affirme-t-il, ajoutant qu’« il faut qu’on puisse faire rentrer dès le 20 août [les élèves qui en ont besoin] pour leur permettre de faire du rattrapage ». Les élèves seraient préalablement « évalués » pour savoir s’ils devraient participer à cette rentrée anticipée. On imagine, en ces jours de canicule, l’efficacité du travail des élèves en difficulté auxquels on infligerait ces cours supplémentaires. On pourra allonger l’année scolaire autant qu’on voudra, cela ne rehaussera pas le niveau de l’enseignement.

La question du collège unique

Macron se garde de remettre en cause le collège unique. En supprimant les filières sous prétexte d’égalité, la réforme Haby, patronnée par Giscard d’Estaing, a produit de la médiocrité qui ne profite ni aux meilleurs ni aux moins bons : « Collège unique, collège inique », comme le disaient, à l’époque, les plus lucides. Nos prétendues élites ont délibérément couché tous les élèves dans le lit de Procuste, réservant pour leur progéniture des lits plus douillets, plus confortables et plus adaptés. Elles se privent volontiers des talents des classes moyennes qui (on ne sait jamais) pourraient prendre leur place.

Macron déclare qu’« il faut cesser d’envoyer en 6e les 20 % d’élèves qui ne savent pas lire, écrire et compter » mais précise, aussitôt, qu’il serait « faux » de dire que « le problème, c’est celui du collège unique », soulignant que « le problème, c’est la manière dont on le fait » et que « tous les enfants ont le droit d’aller jusqu’en troisième avant d’être orientés ». Même en matière d’éducation, il fait du « en même temps ». S’il voulait être pris au sérieux, il aurait dû incriminer, outre l’égalitarisme, l’absence d’exigence, le laxisme, l’influence des idéolo-pédagogues, et annoncer qu’il va rompre avec des décennies de mauvaises habitudes.

Macron a un avis sur tout, il veut que l’Histoire soit enseignée de façon chronologique, que l’instruction civique devienne « une matière essentielle » et, comme il aime les débats, il annonce que « chaque semaine, un grand texte fondamental sur nos valeurs sera lu dans chaque classe puis débattu ». Quand on connaît ses « valeurs » et sa façon de déconstruire l’Histoire, il y a de quoi s’inquiéter. À ses yeux, « l’école est devenue un sujet régalien » et, « compte tenu des enjeux », l’éducation fait désormais « partie du domaine réservé du Président » : on croirait que c’est lui le véritable ministre de l’Éducation nationale. Pauvre Gabriel Attal, qui ne serait qu’un larbin aux ordres de son maître !

Emmanuel Macron veut secouer le marasme de l’école ? Rappelons-lui que le rôle de l’école est d’instruire les élèves et de conduire chacun d’eux au maximum de ses capacités. Tout le reste n’est que bavardage. Il veut sortir des « hypocrisies françaises » ? Qu’il commence par sortir de sa propre duplicité !

Philippe Kerlouan, BV

Sommet des BRICS : élargissement à 10 membres et création du “R5”

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++ WEBTUBE : Les pays occidentaux se tirent une balle dans le pied en tournant le dos aux pays émergeants. Quant à l’Europe, le compte à rebours de sa “tiermondisassion” a commencé !

Sommet des BRICS : élargissement du groupe et création du “R5”

Les deux faits majeurs du sommet des BRICS, qui se déroule en Afrique du Sud du 22 au 24 août 2023 sont :

– L’arrivée de cinq nouveaux membres dans le club des pays promoteurs de la multipolarité

– L’avènement d’une monnaie commune pour les cinq pays historiques du groupe, le “R5”

Ce sommet est incontestablement la plus importante réunion des chefs d’État des pays du Sud de ces dernières années et aura des répercussions d’ampleur pour le futur de la planète, bousculant l’ordre établi depuis 1945 par les Occidentaux.

1. Les cinq nouveaux membres sont :

L’Arabie saoudite

L’Argentine

Les Émirats arabes unis

L’Iran

L’Égypte

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Élargissement qui double le nombre des membres du groupe, lequel passe à 10 pays. L’adhésion de l’Indonésie a finalement été reportée, tout comme celle de l’Algérie, qui espérait faire partie des heureux élus. On peut s’étonner de l’intégration de l’Argentine, compte tenu des graves difficultés économiques que connait ce pays. Nul ne s’étonnera en revanche de l’arrivée de l’Iran, fidèle allié de la Russie. Enfin, il n’échappera à personne que trois gros producteurs de pétrole font leur entrée dans le groupe, ce qui donne aux BRICS un poids énergétique considérable.

2. Nouvelle monnaie en gestation : le “R5”

L’Ambition du “R5” est de détrôner le dollar en tant que monnaie de réserve mondiale. Ce “R5” veut faciliter les échanges entre les membres des BRICS et redéfinir les règles des échanges internationaux. Le poids du dollar en tant que monnaie de réserve de change ne cesse de baisser mais représente encore 68 % du total.

D’où provient ce nom “R5” ?

De l’idée que les monnaies de ces cinq pays commencent toutes par la lettre “R”.

Renminbi (yuan), rouble, réal, roupie et rand.

Rappelons que le PIB des BRICS avant élargissement, en PPA, dépasse celui du G7.

Par ailleurs, 40 pays frappent à la porte du groupe et la plupart des 54 pays africains ont participé au sommet de Johannesburg. Il est indéniable que l’Afrique tourne définitivement le dos à l’Occident. Russes et Chinois n’hésitant pas à diaboliser les ex-colonisateurs européens pour rafler la mise. Ce qui n’augure rien de bon pour l’Europe qui manque cruellement de pétrole et de matières premières. Il faut être un irresponsable comme Bruno Le Maire pour vouloir mettre à genoux l’économie russe, alors que Moscou possède 20 % des richesses minières de la planète.

Je n’ai pas fait le calcul, mais le nouveau groupe de dix membres, doit posséder en pétrole et en matières premières, plus de la moitié des richesses mondiales. Trois pays, Russie, Afrique du Sud et Brésil possèdent des trésors géologiques.

Poutine sait très bien que l’arme du pétrole et des matières premières peut mettre l’Occident à genoux. C’est folie pour les Européens, sans pétrole ni idées, que d’avoir rompu avec la Russie.

Le Wall Street Journal déplore que la Chine et la Russie se soient unies pour s’opposer à l’Occident. Le monde unipolaire arrogant ne réalise même pas que sa domination par la force est devenue insupportable pour des milliards d’être humains, qui sont sortis des ténèbres et entendent rivaliser avec les Occidentaux dans tous les domaines, après des siècles de soumission.

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«La Russie et la Chine ont profité du sommet des BRICS pour exprimer leur mécontentement à l’égard des pays occidentaux, se présenter comme les défenseurs des économies émergentes et présenter des arguments en faveur d’un ordre international alternatif. Vladimir Poutine a accusé l’Occident de tout provoquer, depuis le conflit militaire en Ukraine et l’inflation mondiale jusqu’à la famine dans les pays les plus vulnérables, en empêchant la vente de céréales et d’engrais russes par le biais de sanctions.
Les BRICS envisagent de s’étendre et plus de 40 pays souhaitent les rejoindre. Bien qu’il n’existe pas d’alliance formelle entre Pékin et Moscou, leurs dirigeants ont coordonné des déclarations anti-occidentales. La Chine et la Russie ont plaidé en faveur du renforcement de la capacité des BRICS en tant qu’entité politique et bloc commercial indépendant, dans le but d’accroître leur influence en tant que contrepoids à l’Occident. »

L’Amérique semble s’étonner de l’attitude des BRICS. 40 nations ont le droit de s’unir contre la Russie en faveur de l’Ukraine, pays mafieux et corrompu jusqu’à la moëlle, mais la Chine et la Russie n’ont pas le droit de défendre leurs intérêts ! 

Les Occidentaux n’ont vraiment rien compris aux bouleversements qui s’annoncent.

Conclusion

Je ne vais pas m’étendre sur la conclusion. Je dirai simplement que l’Europe est dirigée par une équipe de bras cassés totalement irresponsables et inconscients.  Sans pétrole ni matières premières, se mettre à dos des pays comme la Russie, la Chine ou l’Iran, par soumission à Washington, c’est du suicide. L’avenir, c’est la multipolarité et certainement pas l’impérialisme anglo-saxon, qui nous mène au naufrage économique et peut-être même à la guerre.

Avec des idiots comme nos dirigeants, l’Europe va prendre la place du tiers monde.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

Buzz de l’été : les tribulations de Médine sont-elles plus importantes que les BRICS ?

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Un bouleversement économique et géopolitique d’ampleur planétaire est en cours, initié par 5 nations dynamiques, le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud, regroupées sous l’acronyme BRICS.

Ces pays, qui représentent près de la moitié des habitants de la terre, ont dépassé pour la première fois en 2022, en termes de PIB (produit intérieur brut), l’orgueilleux et arrogant G7. À savoir 31,5 % contre 30,7 %. L’écart n’est pas énorme. Mais les uns montent tandis que les autres descendent. Et la tendance semble s’accentuer.

Macronescu voulait entrer dans le club par la porte de derrière, mais les videurs l’ont éjecté

Sans doute vexé qu’on l’ait laissé tambouriner à la porte des BRICS sans lui ouvrir, le paltoquet a donné ordre à ses merdias et ses ministres de minimiser l’événement. Voire de ne pas en parler du tout.

L’événement majeur de l’été fut de savoir si un rappeur arabe, portant le nom de la deuxième ville sacrée de l’islam, pouvait être antisémite, raciste, homophobe et islamiste. Bien sûr que non, cela va sans dire ! Quand on fait partie du camp du bien, on ne saurait avoir d’aussi viles pensées.

Et dans leur moraline à géométrie variable, la gauche et ses journaleux dhimmis et fiers de l’être, ont tout fait pour excuser un jeu de mots débile avec le patronyme de Rachel Khan. Uncontraste flagrant avec l’opprobre unanime frappant JMLP pour son calembour tout aussi stupide « Durafour crématoire ».

Les donneurs de leçons de bonnes pensées ont juste oublié de préciser que si Rachel Khan est juive selon la loi mosaïque, puisque sa mère est une Ashkénaze, elle est aussi à moitié africaine par son père Gambien. Mais pire que tout, aux yeux des islamo gauchistes, elle aime la France, défend la laïcité, et est appréciée par l’Action Française.

En outre, ce n’est pas une découverte, sauf pour ceux qui s’enferrent dans la dissonance cognitive, les Arabes ont toujours méprisé les Noirs. À leurs yeux, ils sont destinés à être leurs esclaves par la volonté d’Allah. Puisqu’ils les tiennent pour des sous-hommes, ils leur ferment l’accès à leurs territoires. De façon un peu brutale dans la gentille Tunisie. Sans pitié chez les farouches Libyens. Et de manière carrément sauvage dans la féroce Arabie Saoudite. Mais ces querelles de boubous et de burnous sont anecdotiques à côté des coups portés au NWO par les BRICS.

Goldman Sachs a été le premier à flairer le danger des BRICS

Entre 2001 et 2003, plusieurs analystes financiers de cette grande banque d’investissements (rien à voir avec Gunther Sachs, l’ex de Bardot) avaient pondu des rapports considérant qu’au plus tard en 2040, le PIB total des BRICS pourrait dépasser celui du G7. Les cinq trublions ont juste 17 ans d’avance sur les prévisions des « experts ».

Ce n’est pas surprenant, vu qu’en dix ans, entre 2001 et 2011, la part des BRICS dans le PIB mondial est passée de 16 à 27 %. Dépassant celui cumulé de tous les pays de l’UE. Et équivalent celui des USA. Une croissance phénoménale quand tous les autres stagnent.

Au classement mondial des économies, la Chine a déjà pris au Japon la deuxième place, talonnée par la Russie, l’Inde et le Brésil. Et en matière de volume d’échanges commerciaux, les USA ne sont plus les premiers.

Quant à l’Afrique du Sud, malgré une forte criminalité ethnique et un chômage de masse, son PIB représente 40 % de celui de tout le continent. Ce pays est prometteur avec 30 % de la production mondiale d’or, et se classe cinquième producteur de diamants. Elle est aussi premier producteur mondial de manganèse et de chrome. Et avec 60 % des réserves mondiales de charbon elle produit 90 % de son électricité. N’en déplaise aux écolos.

Vers un dépérissement du dollar US ?

L’objectif des BRICS, avant de créer une monnaie de référence concurrente du dollar US, est d’utiliser leurs monnaies nationales respectives avec des cours de change réalistes. Afin de favoriser des échanges équilibrés entre eux, en se soustrayant aux monopoles des Yankees, ainsi qu’à leurs pressions et chantages contre ceux qui refusent de servir les intérêts des USA et en particulier d’ostraciser la Russie.

L’Inde, la Russie et la Chine ont déjà enclenché le processus de désengagement du dollar, suivis aussitôt par le Brésil. Ainsi Lula a annoncé renoncer au dollar pour ses transactions avec la Chine, laquelle ne demande pas mieux puisque cela favorise sa propre indépendance financière. Le Mexique, bien que pas encore membre du club, s’engage dans cette même voie.

La bonne question est de savoir combien de temps encore les USA vont pouvoir maintenir la confiance dans leur dollar qui ne représente plus rien. Pas même la valeur de son poids en papier recyclable.

Les chiffres semblent invraisemblables et il faut se frotter les yeux pour y croire. La dette nationale étasunienne augmente en ce moment de 45 500 dollars par seconde ! En comparaison, la France macronarde à la dérive, fait figure de pays bien géré.

Pour rembourser leur dette phénoménale, les USA émettent des bons du trésor, des bank notes et des titres de banques numérisés, sous le contrôle du gouvernement, qui leur attribue une valeur fictive. Les plus gros détenteurs de ces octets ou de ces bouts de papier au cours illusoire étaient les Chinois qui ont commencé, il y a quelques années, à s’en débarrasser, au fur et à mesure que leurs industries et leurs échanges se développaient de façon exponentielle.

C’est aussi une question de souveraineté nationale. Si les USA, dont on connaît l’impérialisme agressif dans tous les domaines, peuvent décider unilatéralement de la valeur de vos avoirs, leur emprise vous oblige à accepter leurs diktats pour ne pas être ruiné.

Vers un élargissement des BRICS ?

Des dizaines de pays ont présenté leur candidature pour adhérer au BRICS, pour participer à la création d’un ensemble multipolaire ou chacun serait maître chez lui et négocierait au cas par cas, des échanges et des alliances avec divers partenaires, selon leurs intérêts réciproques. De façon pragmatique. Sans idéologie pesante ni obligations diplomatiques forcées.

Parmi eux, certains comme l’Argentine, l’Iran, l’Arabie Saoudite, le Venezuela, le Mexique, l’Indonésie, la Biélorussie sont à la fois producteurs de matières premières et importants acteurs du commerce international. Porteurs de croissance potentielle, ils pourraient mieux se développer en échappant à la mafia du G7. Cette succursale du Nouvel Ordre mondial à la botte des banksters, regroupant des pays en déclin, gouvernés par des marionnettes, comme l’Allemagne, le Canada, les États-Unis, la France, l’Italie, le Japon, et le Royaume-Uni. Tous en guerre contre la Russie. Tous ligués économiquement contre les Chinois.

D’autres impétrants au BRICS mériteraient d’être mis en observation, à titre temporaire, pour évaluer leurs possibilités. Parmi ces puissances émergentes, l’Égypte, Bahreïn, le Nigeria, le Pakistan, le Soudan, la Turquie… Liste non exhaustive. Les discussions portent, entre autres sujets, sur ce point. Ne pas vexer, ne pas exclure, ne pas claquer la porte au nez. Mais poser des critères réalistes.

Les BRICS se développent quand les G7 stagnent et régressent

Avec un hypothétique moyen de paiement unique, ou avec une bourse dédiée à leurs monnaies nationales, l’un n’excluant pas l’autre, les BRICS entendent assainir les échanges en proposant une parité adossée à l’or pour remplacer le dollar américain.

Leur banque de développement créée en 2014 à Shanghai, en réponse aux droits de vote limités au FMI, peut accorder des prêts jusqu’à équivalent de 350 milliards de dollars. Elle est plus appréciée que le FMI car ses décisions reposent uniquement sur des critères économiques. Elle ne prétend pas s’immiscer dans la politique intérieure ou internationale des pays qui la sollicitent.

De plus en plus de multinationales, indépendantes du NWO, devancent ou accompagnent les États. Ainsi le principal raffineur de pétrole indien, Indian Oil Corp, a annoncé qu’il abandonnait le dollar US pour régler ses transactions pétrolières en roupies avec les producteurs d’Abu Dhabi. De même qu’il paye en roubles à la Russie le pétrole qu’il va raffiner avant de l’exporter avec un super bénéfice vers ces imbéciles d’Européens. Lesquels n’ont toujours pas compris que l’embargo sur les énergies russes ne nuit qu’à leurs fragiles économies.

Les États-Unis ont réussi à entraîner l’Europe dans cette situation défavorable, en interdisant tout commerce avec la Russie. Et en obligeant ses dirigeants fantoches à financer en pure perte l’insatiable Zelensky. Mais dans les pays qui ont un vrai président, courageux et patriote, la pression ou les menaces étasuniennes sont devenues insupportables. Les BRICS sont déjà une issue de secours. Et annoncent un monde nouveau, équilibré et multipolaire, en création. Dommage que, une fois encore, la France reste sur le quai quand passe le train de l’Histoire.

Christian Navis, Riposte Laïque

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