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Riposte Laïque
C’est la dernière ! Pendant que la France entame son deuxième mois de confinement, achevant ce qu’Éric Zemmour appelait « le suicide français », il paraîtrait que notre président de la République, convaincu qu’il a un destin national et surtout mondial, consulterait à tout-va pour former, quand cette « crise » serait terminée, un gouvernement d’Union nationale ! Et des noms commencent à circuler, tous les vieux chevaux de retour, tous les collabos européistes et mondialistes qui ont mis la France dans cette situation catastrophique. On évoque Le Foll, complice du naufrage de Hollande. Kosziuscko-Morizet, la bobo de droite qui avait, paraît-il, abandonné la politique, mais comme elle ne sait rien faire d’autre, comme Najat Vallaud-Belkacem, elle paraît prête à revenir à la mangeoire. On parle de Baroin, autre retraité de la politique, planqué dans une banque, mais toujours président de l’Association des maires, et présenté comme l’alternative de la Droite LR pour 2022. Il ne manquerait plus que Hollande et Sarkozy, et ce serait complet ! Plus un Jadot, qui a les dents qui rayent le plancher, et pourquoi pas l’Insoumis de service, en rupture avec Méluche, style Clémentine Autain, pour remplacer Schiappa ! Sans oublier le muzz de service, par exemple Karim Zeribi, à la place de Sibeth, usée jusqu’à la corde, comme porte-parole du gouvernement ! Un nouveau bras d’honneur fait à la France. Et bien sûr, les journalistes relaient cette fable, laissant entendre que, quelle que soit l’ampleur du désastre, on peut sacrifier une Buzyn, un Véran, un Salomon, voire un Édouard Philippe, mais que Macron serait incontournable jusqu’à 2022.
Mais de qui se moque-t-on ? C’est lui, dans le système de la Ve République, qui est le chef de l’État, avec des pouvoirs qu’aucun autre dirigeant au monde, dans des sociétés démocratiques, ne possède. C’est donc à lui de rendre des comptes à la Nation, et au peuple de France, et pas des sous-fifres. Le voilà élu depuis trois ans, et le moins qu’on puisse dire est que toutes ses décisions, toutes, ont été prises contre l’intérêt de la France, et contre sa souveraineté.
Il passe son temps, depuis l’étranger, à calomnier son pays, et à insulter les Français. En pleine crise des Gilets jaunes, qu’il a occasionnée, pour faire plaisir aux écolos et à leur transition énergétique, il exerce une répression sans pareille contre les manifestants, mais ordonne qu’on ne touche ni aux racailles, ni aux gauchistes. Et il signe le Pacte de Marrakech, qui légitime l’invasion migratoire de la France.
Il ridiculise la France par une fête grotesque de la Musique à l’Élysée, et par, quelque temps après, des photos accablantes avec des jeunes garçons de la diversité, dans les îles.
Il y a un an, Notre-Dame brûle, dans un contexte étrange, où deux églises sont vandalisées tous les jours. Mais immédiatement, une heure après l’incendie, la propagande médiatique explique que cela ne peut être qu’un accident.
Il continue à pressurer les Français, quand il accueille 450 000 nouveaux venus, majoritairement africains et musulmans, pour accélérer le changement de peuple, de civilisation et de mode de vie, et submerger la population française d’origine. Pour cela, il impose une réforme des retraites, alors que des économies sur le coût exorbitant de l’immigration régleraient le problème. Mais comme les syndicats collabos, immigrationnistes, ne posent pas le problème, Macron laisse le mouvement s’épuiser, et était sur le point de gagner.
Et vient ce Coronavirus, appelé Covid-19. Première attitude criminelle, le chef de l’État refuse de fermer nos frontières, et fait donner la cavalerie contre ceux qui, comme Marine Le Pen ou Nicolas Dupont-Aignan, exigent cette élémentaire prise de précaution. Puis on découvre que, malgré les impôts ahurissants que nous payons, malgré la propagande quotidienne qui nous fait croire qu’on est champions du monde en terme de santé, nous n’avons rien pour faire face à l’épidémie : ni tests, ni masques, ni lits d’hôpitaux ! Et quand un génie, le professeur Raoult, a les solutions pour guérir 99 % de la population en une semaine, avec un traitement à 5 euros, on lui brise les reins, on le salit, on le calomnie, bien sûr avec la complicité du chef de l’État.
Et on finit, après quelques tergiversations, par confiner un pays entier, avec une légèreté incroyable, et des méthodes dignes des pires dictatures. On casse l’économie du pays, on met délibérément au chômage des millions de salariés du privé, on précipite vers la faillite des milliers de petits entrepreneurs, on laisse nos anciens mourir dans des conditions sordides, tout simplement parce que des incapables, à tous les niveaux de l’appareil d’État, Président, ministres, conseillers, experts, hauts fonctionnaires, par ailleurs fort bien payés, s’avèrent incapables de prendre les décisions, et, pour masquer leur incompétence, décident de réprimer le peuple de France, de l’humilier, de l’infantiliser, et surtout de le matraquer d’une manière qu’aucun autre pouvoir au monde n’a osé.
Dix millions de contrôles en un mois ! 950 000 amendes, souvent mesquines, scandaleuses, pour mater des Français qui osent aller faire leurs courses, parler à leur voisin, aller chercher des recharges d’imprimante, ou oublier de signer leur bon de sortie. Une horrible dictature sanitaire, avec l’alibi de sauver des vies, de la part de ceux qui nous imposent la présence de djihadistes sur le territoire français, et qui libèrent dix mille prisonniers !
Le pays est ruiné, l’État obèse, tentaculaire et parasitaire a montré sa capacité de nuisance, ce régime, derrière son Président, a montré une volonté que les faits rendent incontestable, de tout faire pour empêcher de mettre en place les bonnes solutions, et torpiller les initiatives des médecins ou des élus, qui, lassés de l’inefficacité de nos dirigeants, trouvaient des solutions, et Macron voudrait demeurer en place !
Lui qui n’a rien trouvé de mieux que de donner des leçons à ceux qui osaient fermer leur frontière, avec des résultats nettement meilleurs que ceux des criminels italiens, espagnols, belges et français qui ont confiné à tour de bras ? Lui qui, alors que notre pays est en lambeaux, ne trouve rien de mieux à proposer que d’annuler les dettes africaines, se foutant de celles de nos agriculteurs, de nos entrepreneurs, et des millions de Français vivant sous le seuil de la pauvreté ? Lui qui, alors qu’il est incapable d’équiper sa population, ose demander, dans les instances mondialistes, qu’on protège les 7 milliards d’habitants de la planète, qu’on remette en selle une Union européenne discréditée et parasitaire, et qu’on s’aligne derrière l’OMS manipulée par les Chinois ? Lui qui ose donner des ordres pour que les policiers se couchent, en période de ramadan (et même en dehors) devant les racailles islamisées, quand les Gaulois sont maltraités par ce régime et sa milice ? Lui qui se comporte comme l’agent de George Soros et de Bill Gates, qui se rêve comme le président des citoyens du monde, et qui montre, quotidiennement, son mépris profond pour une France dont il n’a rien à foutre, et pour des Français qu’il n’aime pas, malgré ses belles envolées médiatiques qui sonnent faux !
Et nous, les Français, nous devrions oublier tout cela ? Ce serait trop facile ! François Asselineau, que nous n’apprécions pas toujours, a fait un excellent travail sur la possible destitution d’un chef de l’État, que permet la Constitution française. L’Histoire de France fourmille d’épisodes où le roi, ou le chef de l’État, a dû rendre des comptes devant la justice du peuple, pour des actes jugés comme de haute trahison. Peu importe que les verdicts aient paru légitimes ou scandaleux, cela a existé. Comme dans le monde, certains chefs d’Etat ont fini tragiquement, tels Mussolini ou Ceaucescu.
Dans un tel contexte, non seulement Macron mérite donc d’être destitué, mais également jugé, voire exécuté. Car il faudra nous expliquer si Louis XVI, condamné à mort et exécuté, et Pétain, condamné à mort, mais gracié et emprisonné à vie, ont trahi davantage la France que le mondialiste Macron. Et cela, seul un procès, avec un jury populaire, retransmis sur les antennes de télévision, de Macron et des complices (et ils sont nombreux) pourra le dire.
Dans une fiction qui fait rêver, intitulée « L’espérance, notre rêve pour la France », le major Alain Bonte, dans un chapitre entier, nous relatait le procès de deux personnages, qui ressemblaient beaucoup à Nicolas Sarkozy et à François Hollande, ainsi que leurs comparses, dont deux faisaient penser à Christiane Taubira et Najat Belkacem. Le procès se déroulait durant un mois, et les audiences étaient publiques, tous les jours, de 17 heures à minuit, pour que le peuple sache de quels crimes ces dirigeants avaient été coupables. Le verdict, délivré par un jury populaire, sous la direction d’un tribunal où le président menait magistralement les débats, était sans appel (au sens propre) : les accusés avaient été condamnés à la peine de mort, et exécutés.
Un châtiment que mérite le président de la République, et tous les membres de ce gouvernement de criminels et d’assassins. Et bien d’autres, mais chaque chose en son temps…