Confinement, masturbation, émeutes : un ramadan béni pour les musulmans

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La communauté musulmane de France a entamé vendredi son mois sacré du jeûne dans la joie et l’allégresse, ravie de voir que, pendant cette période d’abstinence, les mécréants qu’ils côtoient dans les immeubles, au travail et dans les transports tombent comme des mouches, emportés par cette pandémie venue de l’Est (du côté de la Mecque…).

Rien ne ravit plus un musulman qu’un mécréant en train de rendre l’âme. Plus le trépas du mécréant est douloureux, plus la joie du musulman est grande.
Une civilisation qui succombe dans la douleur et la souffrance à quelque chose d’infiniment plus petit qu’un grain de sable est une civilisation maudite, pensent-ils.

Le ramadan de l’année de l’Hégire 1441, correspondant à l’an 2020 du calendrier des mécréants, a débuté sous de bons auspices. Il a été précédé par un immense « regain de foi » chez les jeunes musulmans qui sortent chaque jour affronter les forces de la répression et élargissent ainsi les territoires conquis par l’islam en France.
Ce « regain de foi » va prendre plus d’ampleur avec le ramadan, d’autant que les policiers ont reçu l’ordre de baisser leur froc. Les musulmans adorent quand l’ennemi capitule…

Ce mois de ramadan restera donc dans la mémoire des adeptes de l’islam comme un mois béni par Allah, un mois idéal pour l’observance du jeûne, l’un des cinq piliers de cette religion de paix, d’amour et de tolérance.
Les musulmans en sont reconnaissants au Président Macron, le sixième pilier de l’islam en France, qui, en ordonnant le confinement, leur permet de glander toute la journée chez eux. Pouvoir rester chez soi pendant le mois sacré de ramadan, c’est, pour les musulmans, un cadeau d’Allah qui leur évite ainsi de côtoyer les mécréants et leur épargner la vue de ces hérétiques s’embrassant ou se tripotant sans vergogne en public ou mordant à pleines dents dans des sandwichs, sans aucun égard pour leur devoir sacré d’abstinence diurne.

Ils n’ont pas peur de perdre leur travail. Ils vivent, pour la plupart, des allocations familiales qui vont rester stables et de « petits commerces » dits pudiquement « informels »…
À la tombée du jour, ils iront rendre grâce au Tout-Puissant dans les mosquées qui pullulent dans le pays. Personne ne peut les en empêcher. Prier en groupe est un devoir. Le prophète est intransigeant sur ce principe. Il promet aux réfractaires le feu d’ici avant l’enfer de l’au-delà.

D’après certains exégètes de l’islam (tels Abdallah Ibn Oum Maktoum et Ousama Ibn Zayd), le prophète, arrivant à la mosquée et voyant qu’il y avait peu de prieurs, a dit : « Je pense certes à mettre un imam pour les gens puis je sortirai et je ne trouverai pas quelqu’un qui délaisse la mosquée pour prier chez lui sans que je ne brûle sa maison sur lui ».
C’est à partir de ce moment que l’islam va gagner sa réputation de religion de tolérance, de paix et d’amour, telle qu’elle est qualifiée aujourd’hui en France.

L’attitude déterminée du prophète n’est point étonnante. L’islam n’a pu se développer et s’étendre que grâce à la terreur. C’est ce qui a été répercuté récemment à une grande échelle de barbarie par l’État islamique. C’est une religion de terreur et de châtiments. L’Enfer y tient beaucoup plus de place que le Paradis. Un Paradis qui se résume d’ailleurs à des rivières de vin (une sorte de bar mouvant en plein air…), à l’attribution de 72 vierges à chacun des heureux élus durant leur séjour éternel dans l’Éden d’Allah (soit une vierge pour chaque durée de l’éternité divisée par 72) et à des services gratuits d’éphèbes (dont le nombre n’est pas précisé, mais qu’on pense être à profusion, l’islam ne lésinant pas sur les quantités, vu que les fidèles de Mohamed sont avides de la chair infantile et juvénile, qu’elle soit masculine ou féminine…).

Les musulmans, que ce soit en France ou ailleurs, seront encore plus nombreux à affluer dans les mosquées en ce mois sacré de ramadan, parce que le bénéfice qui leur est octroyé par Allah en cette période d’abstinence et de recueillement est majoré de 50 %. Ils auront droit à un Paradis et demi…
C’est une fierté pour eux et un acte de djihad que de ne pas se soumettre à l’obligation du confinement aux heures de prière. Le confinement, c’est bon pour glander, pour rester chez soi et pour se masturber, une pratique courante chez les musulmans pendant ce mois d’abstinence (ils rejettent aujourd’hui l’appellation « se masturber » et optent pour « se griveauxer », en hommage à Benjamin Griveaux et pour être en phase avec la mode parisienne et républicaine…). Mais le confinement ne tient pas pour les prières. Et les gestes de « barrière » ne tiennent que vis-à-vis des mécréants. Les musulmans pratiquent déjà tout naturellement ces gestes en se tenant à l’écart des impies et en refusant de leur serrer la main.

Ils iront donc obligatoirement à la mosquée. Ils n’ont d’ailleurs pas peur du Coronavirus. Le Coronavirus est un allié. Il tue aussi les mécréants. Et ils n’ont pas peur de la mort.
Qui bien mange, fiente et dort,
Fait un pied de nez à la mort.
C’est un dicton bien français du XIXe siècle, dont les musulmans, qui ne font que ça tout le long du mois de ramadan (et même toute l’année et toute la vie…),  en ont fait un texte sacré. C’est sûrement Allah ou son prophète qui a prononcé ces belles paroles, affirment-ils.

Les jeunes musulmans afflueront de leur côté dans la rue par grandes grappes à la fin de chaque journée d’abstinence pour caillasser la police et faire de grands barbecues avec les voitures disponibles sur le terrain… C’est leur djihad.
Ils se regrouperont par nationalités, avec chacune son drapeau, ses maillots et ses slogans. Le mois de ramadan, c’est comme la coupe du monde de football. C’est l’occasion de faire démonstration de son nationalisme, de sa foi et de sa rapacité.
Les Algériens scanderont leur débile : « One, two, three, viva l’Algérie », amélioré, cette fois, d’un : « Quatre, cinq, six, viva le Coronaviris ».

Les jeunes conquérants musulmans savent qu’ils ont la bénédiction des politiciens et des médias français ainsi que des parents et des imams qui officient dans les mosquées.
Certains des parents et des imams, qui poussent les jeunes à caillasser la police française et à cramer les voitures, les commissariats de police et les écoles, se retrouveront à la réception offerte traditionnellement en ce mois sacré de ramadan par la maire Hidalgo en l’honneur des musulmans.
Mme Hidalgo est d’ailleurs rassurée. Comme le déconfinement va débuter le 11 mai, elle aura près de deux semaines pour organiser cette réception avant la fin du mois du jeûne.

Deuxième tour des élections municipales oblige, la maire va, cette année, doubler la mise par le nombre des invités et le budget investi, pour battre Dati et assurer sa réélection.
Son slogan pour la réception de cette année est déjà prêt :
Musulmans pervertis
Réélection garantie

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