Macron a décidé d’emprisonner toute la population… sauf les musulmans

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Riposte Laïque

Le Covid-19 a littéralement déshabillé le roi. Comme il n’ose pas l’affronter, alors il gesticule pour faire bonne figure. Il ordonne une chose puis se déjuge aussitôt après car il ne sait pas où donner de la tête. La tâche qui pèse sur ses épaules est immense et le dépasse. Il gesticule pour embrouiller ses sujets. Il s’en prend aux Yankees qui ont perturbé son progressisme mondialisé, niant au passage qu’ils ont sauvé à deux reprises son pays des griffes des Boches parce que sa mémoire n’arrive pas à s’en souvenir. Parfois, il devient subitement amnésique, oubliant qu’il a été couronné roi par défaut. D’ailleurs comme l’islam qui s’est implanté par effraction sur son royaume, avec la complicité des vaincus du trotskisme qui sont devenus ses alliés par dépit.

Il a pris pour argent comptant les prévisions alarmistes du professeur Neil Ferguson de l’Impérial Collège de Londres qui a prédit qu’il aurait entre trois cents mille et cinq cents mille morts en France, qui seraient causés par le Coronavirus. Il panique alors et s’enferme dans son palais en décrétant l’emprisonnement de toute la population sous le fallacieux prétexte de la préserver d’un ennemi invisible auquel il a déclaré la guerre.
Du coup, lui, le chantre du progressisme mondialisé, découvre à ses dépens que l’État stratège, le souverainisme et l’indépendance économique ne sont pas des gros mots. Sans tarder, il actionne la planche à billets pour venir en aide à ses sujets, creusant ainsi le déficit de son royaume qui est déjà abyssal.

Par peur et par incompétence, lui, le premier de la classe, a embarqué son pays dans une impasse.
Et pour chasser son vague-à-l’âme qui commençait à le faire tanguer, il sort précipitamment de son palais dans l’espoir de rencontrer ses sujets qui sont pourtant confinés par sa volonté pour leur rappeler qu’il est encore roi et qu’il n’est pas près d’abdiquer.
Ses affidés – dont la plupart sont partis se terrer dans leur résidence secondaire, loin du brouhaha de la ville – crient au secours de peur que le Covid-19 ne les rattrape.

Eux, les gagnants du mondialisme, se désignant comme les citoyens du monde, ont-ils la trouille de cet ennemi invisible qu’ils ont pourtant encouragé à prospérer par leur idéologie mortifère mondialiste ?
Comme ils sont des courtisans apeurés et désorientés, ils n’attendent qu’un mot de la part de leur roi afin de lui renouveler leur allégeance sans faille. Ils savent qu’ils ne doivent leur survie qu’à sa présence sur le trône. Alors, ils radotent en criant plus fort l’un que l’autre leur devise favorite : « Liberté, Égalité, Fraternité » pour endormir les sans-dents, les perdants du mondialisme et au même moment, ils font croire aux quartiers perdus de la République que l’islam est une religion de France pendant qu’à Villeneuve-la-Garenne, les policiers se font canarder par les indépendantistes (les séparatistes).

Dans ces quartiers où les islamistes et les vendeurs de haschich main dans main imposent l’omerta islamique à une population précarisée en ces temps de guerre sanitaire, le roi, le premier de cordée, doit s’appuyer sur les premiers de corvée qui y habitent et qu’il qualifiait de gens qui ne sont rien (en un mot des moins-que-rien) avant l’apparition du Coronavirus afin de sauver son trône.
Tel un caméléon avec un esprit maastrichtien, il a accepté sans rechigner le non-confinement des séparatistes, les encourageant ainsi à entrer en rébellion contre son autorité.

Devant sa lâcheté et l’angélisme de ses courtisans, les séparatistes islamistes s’activent pour chasser les envahisseurs de leurs territoires. Car pour eux, la guerre d’indépendance a commencé.
Comme hier, ils pensent qu’ils auront la peau des kouffars… Ce n’est qu’une question de temps et leur liberté sera acquise. C’est ce qui se dit dans ces quartiers qui croient dur comme fer que la volonté d’Allah triomphera aujourd’hui ou demain…

En ce mois de ramadan, mois du djihad, les indépendantistes vont accentuer leur guerre sainte pour faire plier les infidèles et imposer la charia, cette loi divine qui les fait fantasmer.
Dans la sourate 2, verset 217, il est écrit : « Ils t’interrogent sur le fait de faire la guerre pendant les mois sacrés : Dis : « Y combattre est un péché grave, mais plus grave encore auprès d’Allah est de faire obstacle au sentier d’Allah, d’être impie envers Celui-ci et la Mosquée sacrée, est d’expulser de là ses habitants. L’association est plus grave que le meurtre. » Or, ils ne cesseront de vous combattre Jusqu’à, s’ils peuvent, vous détourner de votre religion. Et ceux parmi vous abjurant leur religion et mourront infidèles, vaines seront leurs actions dans la vie immédiate et la vie future. Voilà les gens du feu : ils y demeureront éternellement. »

Le ramadan est un mois de djihad et de martyre, un mois où Allah confère des victoires militaires à Ses croyants. C’est pendant le ramadan que les musulmans ont triomphé de plusieurs batailles, dont celle de Badr – vallée située entre Médine et la Mecque – en 624 entre les partisans de Mahomet et une caravane marchande de la tribu des Qurayshites.
Voir versets : 13,124 de la sourate 5 et 5,6, 47,48, 65 de la sourate 8.
Conscients de la signification religieuse et militaire historique du ramadan, les mouvements islamistes et djihadistes séparatistes appellent au djihad et au martyre durant ce mois.
Car ceux qui deviendraient des martyrs durant le ramadan seront doublement récompensés au Paradis. Voir versets : verset 154 de la sourate 2, 157, 169, 170, 172 de la sourate 3.
Et les candidats au martyre ne manquent pas.

Mais le roi englué dans ses contradictions ne voit pas que son royaume sur le point d’être charcuté par ce djihad.
Au contraire, il persiste et signe en disant à qui veut l’entendre que l’islam n’est pas l’ennemi de la fille aînée de l’Église et qu’il fait partie de son royaume depuis trois mille ans, comme l’avait suggéré un célèbre humoriste en perte de vitesse, toute honte bue !

Et pourtant, cette affirmation n’est qu’une fake news, ce barbarisme venu concurrencer la langue de Molière pour faire plaisir aux mondialistes.
Malgré cette vérité criarde, le roi, adepte du théâtre, est plongé dans un profond sommeil de dénégation. Pris entre cet ennemi invisible qu’est le Covid-19 et l’islamisme guerrier, il ne sait plus où donner de la tête et où il habite.

Pendant ce temps, la tristesse est en train d’envahir son royaume et les escrocs de la peur aiguisent leurs poignards.

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