Pendant la fin du monde, le business des migrants continue

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Riposte Laïque

Le 9 avril, les ONG françaises Médecins sans frontières (MSF) et SOS Méditerranée, l’allemande Sea-Watch et l’espagnole Open Arms ont accusé Rome d’utiliser la crise du Coronavirus comme un prétexte pour fermer le pays à l’arrivée de demandeurs d’asile.

https://www.laliberte.ch/news-agence/detail/migrants-les-ong-critiquent-la-fermeture-des-ports-en-italie/560007

On croit rêver en lisant pareille ignominie : l’Italie est le pays qui compte le plus grand nombre de victimes du Coronavirus au monde (18 000 morts) et ses voisins ne sont guère plus vaillants (15 000 morts en Espagne, 12 000 en France) mais des ONG se permettent de réclamer encore et toujours l’ouverture des frontières et des ports à leur saloperie de trafic d’êtres humains !

Ces ONG qualifient de « prétexte » la crise du Coronavirus, comme si les méchantes autorités italiennes se cachaient derrière une simple excuse administrative pour interdire les gentilles ONG qui sont, elles, comme chacun sait, l’honneur et l’espoir de l’humanité. Prétexte donc, quand l’Italie est, tout comme ses cousines européennes, confrontée à un fléau sans précédent qui la submerge et dont nul ne sait ni quand, ni comment, ni dans quel état, on sortira. Prétexte toujours quand c’est toute l’organisation sociale qui est bouleversée et risque de s’effondrer sous nos yeux. Prétexte encore quand l’après-Coronavirus est chargé de menaces peut-être encore plus lourdes.

Mais une ONG sans la moindre légitimité démocratique peut se permettre, avec un monstrueux culot, de donner des ordres aux gouvernements élus car elle n’est pas seulement une entité abstraite, elle est composée de femmes-zé-d’hommes qui donnent sans compter de leur temps, de leur courage, de leurs convictions, de leur argent (?) pour manifester haut et fort les valeurs de l’humanité solidaire. La preuve, on trouve MSF parmi ces ONG, dont le M signifie Médecins, vous savez, ces gens qui ont fait de très longues études et ont prêté le serment d’Hippocrate et dont le dogme premier est « Primum non nocere » (« D’abord ne pas nuire »). Comment des médecins peuvent-ils être complices d’une telle infamie quand tous leurs collègues se battent héroïquement en première ligne contre le Coronavirus ? Comment des médecins peuvent-ils exiger l’ouverture des frontières quand toute la population est enfermée chez elle sous peine d’amende ? Comment des médecins peuvent-ils cautionner une migration ininterrompue venue d’Afrique quand l’urgence est de stopper à tout prix la diffusion du virus ? Ces médecins ne sont plus des médecins mais de véritables nuisibles. Il y a aussi l’ONG Open Arms (« Bras ouverts ») dont le nom est à mourir de rire (au sens littéral) en un temps où la distanciation sociale est de rigueur pour tous.

Et aussi, pourquoi des Africains voudraient-ils venir en Europe où ne règnent aujourd’hui que la peste et le chaos ? Sont-ils donc immunisés, sont-ils suicidaires ou viennent-ils simplement profiter des distributeurs automatiques d’allocations ? Leur a-t-on posé la question ? Et nous a-t-on jamais posé, à nous, la question de savoir si ces arrivées massives nous convenaient ?

En juillet 2019, le ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini avait interdit pendant une semaine qu’un navire laisse débarquer dans un port italien 116 migrants secourus en Méditerranée. Depuis, il n’est plus ministre et une décision du Sénat permet l’ouverture d’un procès contre lui. Alors les ONG auraient bien tort de se gêner.

Sachons-le : ce ne sont pas les élections qui décident de notre destin, ce sont des fanatiques qui profitent de ce que nous sommes dans la merde pour nous enfoncer encore plus et réaliser ainsi leur rêve mégalomaniaque d’un monde globalisé et à leur botte (en Soros nous sommes tous frères). Pour nous autres, ça signifie que le trafic à sens unique d’êtres humains en Méditerranée doit continuer jusqu’à africanisation pleine et entière de notre pauvre Europe.

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