Comment ça va se passer, le ramadan, pendant le confinement ?

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Riposte Laïque

D’ici deux grosses semaines, selon toute vraisemblance le 23 avril, débutera le mois saint par excellence pour la religion de paix et d’amour.
Le ramadan, qui rythme depuis de plus en plus l’ambiance de nos anciennes villes ouvrières depuis quelques années, et des quartiers islamisés depuis déjà plus longtemps.

Même s’il est dur de s’en rendre compte pour les ruraux, les habitants de la moitié ouest du pays ou les urbains qui ne quittent jamais le centre-ville des grandes métropoles, le ramadan est devenu ici et là de plus en plus visible, et une manne économique incontournable : rayons dédiés dans les supermarchés, vie économique à l’arrêt la journée avec décalage des horaires en soirée, etc. Tout cela malheureusement est abstrait pour certains privilégiés qui vivent loin de cela, mais tout va très vite en la matière et l’expansion du phénomène est exponentielle.

Le ramadan, ce confinement de jour avant l’heure, laisse place à la liesse, aux excès et aux débordements sitôt le soleil couché : déambulations en groupe en tenue religieuse ostentatoire, rassemblements communautaires, surconsommation des fidèles qui se gavent comme des oies jusqu’au matin, cris jusqu’au matin suivant parfois, si le temps est clément (d’autant plus facile quand il n’y a pas de travail à assumer le lendemain).

Ce qui nous est présenté comme le mois du dépouillement, de la modestie, des efforts sur soi et de la charité et de paix intérieure s’avère, de mon point de vue d’autochtone, le mois de tous les excès dès le coucher du soleil : tout est permis lors du ramadan à la sauce française. On ne va plus à l’école ou quand on veut et c’est parfaitement intégré dans les établissements, on se goinfre littéralement, parfois jusqu’à l’indigestion. Tout y passe, la viande en abondance écœurante, les sucreries, les sodas, le café. Les poubelles débordent de restes de victuailles comme celles des supermarchés des zones occupées débordent de masques jetés à la fin des courses alors que nos médecins chanceux qui en possèdent les réutilisent faute de moyens. Les fumeurs rattrapent le temps perdu de la journée, et j’aimerais faire une analyse comparée sur les violences et les viols durant la période du mois saint, on en tirerait peut-être des conclusions intéressantes.

Tout ce monde converge vers les mosquées, selon les tendances : garage aménagé pour les branches intégristes et mosquées flambant neuves, souvent acquises avec la complicité ou l’aide bienveillante des municipalités pour acheter la paix sociale. Hommes et femmes séparées dans la rue, fillettes voilées. Le mélange détonnant de toute cette bouffe doit, selon ce que j’imagine, aromatiser d’un fumet délicat les salles de prière. Si j’étais musulman, je me ruerais sur le premier rang du tapis de prière pour ne pas avoir à prier le nez à 10 cm du cul de mon coreligionnaire de devant, de peur qu’une vesse ne lui échappe.

La fin du ramadan sera toujours l’occasion de se défouler : en 1998 déjà, la Part-Dieu était mise à sac, j’y étais et c’était la horde sauvage. Aujourd’hui le terrain est occupé toute la nuit et la ville leur appartient : ils le savent et notez ce regard de défiance lors de ces rassemblements, un peu comme ces mariages bruyants ou les prières de rues : l’appropriation de l’espace public par des habitants qui font sécession.

La sécession, l’excellent Zemmour en parlait il y a quelques jours chez Pascal Praud, à propos du confinement en Seine-Saint-Denis. Je note qu’aucune instance religieuse, hormis le Conseil français du culte musulman (souvent considéré comme collaborationniste) n’a donné de consigne de rester chez soi. Et si je ne doute pas une seconde qu’un ramadan puisse être confiné dans les terres d’Islam, j’attends avec impatience la réaction des musulmans d’Europe et de l’État au 23 avril.

Je pense, malgré tout ce qu’on indique, que la fin du confinement sera corrélée au début du Ramadan, car je n’imagine pas une seconde le respect des consignes de l’État par des fidèles qui ne savent, en majorité, pas les respecter, encore moins pendant « leur » mois de l’année.

A contrario, si le confinement était maintenu, on assisterait à une nouvelle sécession cette fois, mais ô combien plus visible : on verrait la majorité de ces fidèles, un peu dans tous les foyers établis en France, envahir l’espace public la nuit tombée, ruinant ainsi les efforts consentis et humiliant encore davantage nos forces de l’ordre qui ne piperont mot, et ne réprimeront rien, consignes obligent…

Alors, c’est pour bientôt, nous allons voir : le confinement va-t-il être écourté par rapport aux préconisations faites et ne plus avoir cours au 23 avril, afin de ne pas donner trop de visibilité aux sécessionnistes ? Ce serait dommage car le Coronavirus reprendrait du poil de la bête et mériterait bien le nouveau nom de Coranovirus.
Si le confinement était maintenu, l’État fera-t-il respecter celui-ci aux millions de fidèles de la religion d’amour et de paix pendant leur mois sacré ? Compte-t-il sur leur civisme pour respecter le ramadan à la maison préconisé par le CFCM qui n’a jamais eu d’autorité ? Dans le cas contraire, ce serait encore dommage car à la vue de tous, on verrait que tout un pan de la population peut s’affranchir des règles de l’État, même pendant une pandémie.
À mon sens, la dérive collective contagieuse de la sécession va atteindre son paroxysme durant ce mois de ramadan : l’État qui depuis longtemps accepte l’absentéisme à l’école, le communautarisme religieux, les exceptions, priorités et pressions communautaires dans les lieux publics pour lesquelles l’impunité est totale, va-t-il faire exception aux disciples de la religion d’amour et de paix, laissant propager de nouveaux foyers de Coranovirus, ou va-t-il appliquer fermement les consignes et écraser les contestataires comme il a su si bien le faire avec les Gilets jaunes ?

J’invite tous les patriotes urbains et péri-urbains à prendre des vidéos en masse de ces rassemblements du ramadan, afin de prouver à l’ensemble de nos concitoyens que l’État est capable de se prosterner devant la religion d’Allah, car soyons réalistes, c’est encore ce qui va se passer.

Après l’abandon de l’Italie, de nos vieux en Ehpad, du personnel soignant, etc. Le ramadan 2020 va encore être l’occasion de constater que le gouvernement de Macron n’a rien dans le ventre face au danger imminent et nécessaire pour les Français. Pour paraphraser Churchill,l’État a le choix entre la guerre et de déshonneur, il serait dommage de récolter la guerre et le déshonneur.

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