. La surdélinquance des étrangers provient de l’islam et du mondialisme

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++ WEBTUBE : Novembre 2023 : Marc Vanguard publie des statistiques policières et judiciaires en Suisse.
En 2022, pour des hommes de 18 à 29 ans, et selon l’Office Fédéral de la Statistique, les taux de condamnation par nationalité pour 100 résidents affectent principalement l’Algérie avec 9,6 %. Suivent l’Éthiopie, l’Angola, La République Démocratique du Congo, le Cameroun, la République dominicaine, la Côte d’Ivoire. Les nationalités africaines dominent parmi les 20 premières nationalités. Parmi les 20 nationalités au taux de condamnation le plus faible, on retrouve 13 nationalités européennes, l’Italie, la Russie, la Slovaquie, la Belgique, la France, la Hongrie, la Pologne… mais aucune nationalité africaine.En Allemagne, les taux de mises en cause des ressortissants algériens sont 20 fois plus élevés que ceux des ressortissants nationaux. En Italie, 17 fois plus. En Espagne, 14 fois plus.
En Allemagne, les taux de mises en cause des ressortissants marocains sont 6 fois plus élevés. En Italie, 8 fois plus. En Espagne 6 fois plus.
Les taux de mises en cause des ressortissants africains hors Maghreb sont 6 fois plus élevés en Allemagne et en Italie, 4 fois plus élevés en Espagne. La suite ci-dessous :

L’article complet :

Novembre 2023 : Marc Vanguard publie des statistiques policières et judiciaires en Suisse.
En 2022, pour des hommes de 18 à 29 ans, et selon l’Office Fédéral de la Statistique, les taux de condamnation par nationalité pour 100 résidents affectent principalement l’Algérie avec 9,6 %. Suivent l’Éthiopie, l’Angola, La République Démocratique du Congo, le Cameroun, la République dominicaine, la Côte d’Ivoire. Les nationalités africaines dominent parmi les 20 premières nationalités.
Parmi les 20 nationalités au taux de condamnation le plus faible, on retrouve 13 nationalités européennes, l’Italie, la Russie, la Slovaquie, la Belgique, la France, la Hongrie, la Pologne… mais aucune nationalité africaine.

En Allemagne, les taux de mises en cause des ressortissants algériens sont 20 fois plus élevés que ceux des ressortissants nationaux. En Italie, 17 fois plus. En Espagne, 14 fois plus.
En Allemagne, les taux de mises en cause des ressortissants marocains sont 6 fois plus élevés. En Italie, 8 fois plus. En Espagne 6 fois plus.
Les taux de mises en cause des ressortissants africains hors Maghreb sont 6 fois plus élevés en Allemagne et en Italie, 4 fois plus élevés en Espagne.

Conclusions
1- Les étrangers, 26 % de la population résidente, sont très nettement surreprésentés dans les crimes et délits, représentent une part considérable des condamnés. Homicides : 44 %, Viols : 47 % Coups et blessures : 45 %
2- Certaines nationalités sont bien plus représentées que d’autres dans les crimes et délits.
Le taux de condamnation des résidents africains est plus haut que celui des Suisses, pour le Maghreb, 7 fois plus haut, pour l’Afrique subsaharienne, 5 fois plus haut.
3- Les étrangers sont également surreprésentés dans la délinquance routière. Les résidents africains sont 2,5 fois plus souvent condamnés pour des délits routiers que les Suisses.
4- Infraction à la législation des stupéfiants. Les résidents africains sont 3 fois plus souvent condamnés que les Suisses.
5- Les étrangers présentent un taux de récidive plus élevé que celui des Suisses : 40 % pour les mineurs étrangers, 30 % pour les Suisses.
6- Les nationalités surreprésentées dans les données de criminalité suisses sont aussi surreprésentées ailleurs, Allemagne, Italie, Espagne.
7- Même à âge égal, les nationalités africaines se distinguent par des taux de condamnation très élevés.

Tous les délinquants-criminels ne sont pas étrangers, et tous les étrangers ne sont pas des délinquants-criminels.
En France, les statistiques sont interdites, mais on pourrait faire les mêmes observations : surdélinquance des étrangers, en particulier des populations africaines de confession musulmane.

L’Islam est source de banditisme et de violence, et ce depuis les origines. L’expansion de l’Islam fut une conquête militaire, brutale, violente, sanguinaire, par le feu et le sabre.
La fringante Bagdad et la calme Andalousie, présentées comme telles par les historiens, sont des mensonges que tout vient contredire. Du Nigeria à la Birmanie, de New York à Bali, l’Islam est sans cesse associé à des atrocités. Les Musulmans se sont trop souvent comportés comme des prédateurs.
Des enfants assassinés, des priants exécutés, des exactions sans fin et sans âge, des égorgements, des lapidations. Des Musulmans du côté des coupables à longueur de faits divers. Des Musulmans qui exigent sans raison, ni contrepartie, incapables du moindre remerciement, de la moindre gratitude.

La prospérité des contrées musulmanes provient de l’antérieur antique, puis plus tard, des rapines, des razzias et de l’esclavage des peuples envahis. Le sous-développement des zones dominées par l’islam intervient lorsque l’Occident lassé met fin au piratage, aux incursions meurtrières, au rançonnement.
L’Islam est une secte mortifère qui s’appuie sur une idéologie totalitaire. Tout le montre : l’endoctrinement des enfants, les appels au séparatisme, le poids de la fausse stigmatisation et de la vraie paranoïa.
Être musulman, c’est subir toute sa vie, dans tous ses instants, un rituel contraignant sans but autre que d’asservir, une récitation sans fin de phrases simplistes et absconses. Être musulman, c’est exister dans un fatras d’obligations déraisonnables et déstructurantes, sous le regard constant des autres Musulmans inquisiteurs pesants.
Dès sa naissance, un Musulman est prisonnier et geôlier d’une prison mentale, d’un univers stérile où la faute, le manquement sont forcément à l’extérieur de l’Islam.

Les Berbères, les Syriaques, les Mongols, les Perses venaient d’un fond millénaire et riche de promesses. Mais ces peuples colonisés, phagocytés, martyrisés, ont connu des siècles d’obscurantisme renfermés et malsains. Ils auraient pu concourir à la connaissance du monde, si l’Islam ne les avait entravés.

Un Génois est allé à l’Ouest découvrir l’Amérique. Un Français est allé vers le Nord remonter le Saint-Laurent. Un Portugais a fait le tour de l’Afrique. Un Vénitien est allé jusqu’en Chine. Aucun n’était musulman.
Nous n’avons rien volé, ni la pénicilline, ni le transistor, ni la pasteurisation, ni l’aluminium, non plus que Verdi, Kant, Molière, Newton, Thomas d’Aquin, Raphaël, Mozart… Nous avons inventé le monde de l’abondance, de l’Art et de la Liberté (monde que les dirigeants veulent nous confisquer). L’Islam a connu quatorze siècles d’échecs.
Le fond est mauvais et porte la responsabilité des malheurs et des insuffisances des Musulmans.
Les zélateurs occidentaux de ce tragique accident de l’évolution intellectuelle du monde nous culpabilisent et imposent le mythe d’un Islam religion. Mais l’Islam n’a ni amour, ni paix, ni tolérance, ni pour lui, ni pour les autres. L’Islam n’a pas davantage de spiritualité sincère et émancipatrice.
Au cours de l’histoire, l’Islam n’a connu que violence, barbarie et banditisme, tempérés par des périodes d’accalmie stratégiques, périodes dues à une infériorité momentanée ou à une attente de conditions optimum, comme c’est le cas au début du XXIe siècle.

Le 9 novembre 2012, le meurtre de Mohamed Cheguenni souligne le fascisme islamique en action. Ce jour-là, Mohamed Cheguenni, un Français d’origine maghrébine bien intégré et instruit, professeur de philosophie pendant de nombreuses années, est tué dans son magasin à Marseille.
Un braquage qui a mal tourné, explique l’ensemble des médias. En effet, il y a souvent des braquages dans le quartier où est installé le commerce presse, loto, PMU, de Monsieur Cheguenni. Les quartiers bien européens, bien blancs, sont de véritables terres de razzia pour les racailles venant de quartiers qui n’ont pas le même label.

La boulangerie et l’épicerie voisines ont été victimes de ces razzias. Le commerce de Monsieur Cheguenni avait subi précédemment quatre braquages. Braquage. Vol. Recherche de butin. Meurtre. Exécution. Tout cela à la fois. Le meurtrier s’est acharné à coups de couteau, avec la plus grande violence, avec la volonté de tuer. Deux coups ont traversé le thorax et perforé le cœur.
Combien d’actes, de crimes, semblables ou comparables, commis à travers la France, l’Europe, le monde, au nom de l’Islam, justifiés par l’Islam, aujourd’hui et depuis quatorze siècles ? Combien de meurtriers en puissance attendent des conditions plus favorables ? Combien de Musulmans couvrent par leur silence, par leur approbation peut-être, ces horreurs ?
L’Islam a toujours fonctionné ainsi, crimes assassinats, tueries, rapines, razzias, violence, à l’encontre des non-musulmans.

Un bon Musulman a le devoir de tuer et se faire tuer pour Allah. Un Musulman est par définition celui qui se soumet à la loi de l’Islam et le suit scrupuleusement en lui obéissant au doigt et à l’œil, comme un chien obéit à son maître. Les Musulmans sont musulmans en fonction de leur état de service et de degré d’allégeance à la loi de l’Islam.
Pour se donner bonne conscience, l’Occident a créé des catégories de musulmans par pure commodité sémantique. Ainsi, on voit apparaître différentes catégories de musulmans pour désigner le même objet musulman : modérés, libéraux, laïques, fanatiques, intégristes, fondamentalistes, djihadistes, nazislamistes, collaborationnistes, islamistes. Les uns par leur déni de la réalité, les autres par leurs excès, puissent leurs sources dans le Coran et les haddiths.
N’y a-t-il pas des relations de cause à effet entre la violence terroriste, trait dominant chez les Musulmans, et les sources fondamentales de la religion musulmane ?
Pourquoi le nom de l’Islam est-il synonyme de phobie et de frayeur ? Pourquoi est-il devenu synonyme de bellicisme, de massacre, de loi de la jungle ?

La religion musulmane est apparentée à une idéologie totalitaire : l’Islam veut faire de la religion
un mode de gouvernement politique de la vie de ses fidèles, où tout doit s’articuler entre la prière, la démographie galopante et le djihad colonisateur. Réduisant ainsi à néant les champs de réflexion personnelle, de libre arbitre, et les espaces de libertés individuelles et publiques.

Le vrai Musulman n’a pas vocation à œuvrer pour le bien-être commun, ni de sa communauté, ni de la communauté internationale. Toutes les actions entreprises n’ont qu’une seule finalité : imposer la loi de l’Islam par tous les moyens aux quatre coins du monde.
La fin justifie les moyens, peu importe la nature velléitaire de son geste, la nature périlleuse de son opération pour sa propre vie et celle d’autrui, tant que cette œuvre est menée pour la gloire de l’Islam. En effet, l’Islam est la seule religion au monde qui exalte ses fidèles à devenir des martyrs, à combattre jusqu’à la mort et surtout jusqu’à l’extermination définitive des païens, c’est-à-dire les infidèles, comme au temps du prophète qui massacra les Juifs et les chrétiens. Tuer et se faire tuer pour Allah est un devoir qui pèse sur chaque Musulman.

Un Musulman digne de ce nom doit se conformer aux prescrits de l’islam quand bien même il viole les lois des hommes. Il ne peut y avoir pour lui d’autres lois à respecter que les siennes. Il n’a pas à évaluer les conséquences que ses actes peuvent induire sur la sécurité des biens et des personnes. Seul compte à ses yeux l’accomplissement de la mission messianique dont il se considère investi.
Des actes disqualifiés par la justice des hommes se trouvent anoblis et gratifiés par la loi de l’Islam. Ce qui est jugé comme actes terroristes selon les normes du droit interne ou international n’a pas la même définition selon le droit musulman.
Mourir sur le champ de bataille pour faire triompher les idées cosmiques et impérialistes de l’Islam est le devoir suprême assigné à chaque Musulman. Par conséquent, l’Islam impulse les élans de violence à des fins idéologiques chez les Musulmans. L’Islam instrumentalise les Musulmans et arme leurs bras.

Ceux qui passent à l’acte sont des Musulmans en action, des Musulmans activistes ou djihadistes. Les autres constituent le gros des troupes, des Musulmans en réserve du djihad, susceptibles de passer en action dès que le besoin se fait sentir. Il ne peut y avoir d’Islam sans le djihad, et donc sans la propagation de la terreur.
On est d’abord Musulman nourri par la sève du djihad, un état de guerre permanente contre les
non-musulmans et les Musulmans tièdes jusqu’à ce qu’ils finissent par se démettre et se soumettre à la loi de l’Islam.

L’Islam lui-même engendre la violence dont il abreuve les fidèles. La majorité silencieuse musulmane qui n’élève jamais la voix pour condamner les agissements terroristes de ses activistes est cohérente avec elle-même.

En fait, deux idéologies politiques totalitaires menacent notre civilisation. L’Islam, formé au VIIe siècle, n’a cessé de s’étendre. Le mondialisme révèle l’intention d’une unité de l’humanité, s’oppose à la souveraineté des peuples. Une Super Classe mondiale régente le mondialisme et instrumente l’Islam.

Jean Saunier, Riposte Laïque

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