. Pédocriminalité et élites : combien d’Olivier Duhamel dans les allées du pouvoir ?

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Daniel Cohn Bendit, Frédéric Mitterrand, Michel Pollac, Thierry Lévy, avocat, Gabriel Matzneff, Frédéric Beigbeder, Olivier Duhamel, Roman Polanski, Woody Allen, et beaucoup d’autres avouent leurs penchants, revendiquent leurs goûts pour la pédophilie, on devrait dire la pédocriminalité. Toutes leurs déclarations publiques confirment ce propos.
Tout le monde savait qu’Olivier Duhamel se livrait à de tels actes. Mais la famille Duhamel est intouchable, la pédocriminalité est un sujet tabou. Cette abomination refait surface périodiquement. Depuis mai 68, des intellectuels militent contre la famille, pour le lobby LGBTIQ, pour la théorie du genre, et souhaitent légaliser la pédocriminalité.

26 janvier 1977 : 69 intellectuels français signent un article publié dans Le Monde et dans Libération, pour défendre trois hommes en détention préventive depuis trois ans car accusés d’attentat à la pudeur contre des mineurs de moins de quinze ans. Bernard Dejager, Jean-Claude Gallien, et Jean Burckhardt ont eu des rapports sexuels avec des filles et des garçons de 13 et 14 ans. Il s’agit d’une pétition pro-pédophilie. Les faits auraient ou ont eu lieu au Camping Club de France de Meudon. Parmi ces signataires, Jean-Paul Sartre, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Gilles et Fanny Deleuze, Francis Ponge, Philippe Sollers, Jack Lang, Bernard Kouchner, Louis Aragon, André Glucksmann, François Châtelet, Félix Gattari, Patrice Chéreau, Daniel Guérin, Gabriel Matzneff, Guy Hockenghem, romancier, journaliste, et membre fondateur du FHAR, Front homosexuel d’action révolutionnaire.
« Trois ans de prison pour des caresses et des baisers, cela suffit », écrivent-ils. Les parapheurs demandent l’acquittement des trois hommes car les enfants n’ont subi aucune violence et étaient consentants.
23 mai 1977 : 80 intellectuels français signent un appel à la commission de révision du code pénal demandant la modification des textes régissant les rapports entre adultes et mineurs. Ils demandent que de telles affaires soient jugées par un tribunal correctionnel, et non par une cour d’assises. Et que la loi décriminalise les rapports sexuels entre les adultes et les enfants de moins de quinze ans. Parmi eux, Jean-Paul Sartre, Michel Foucault, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Alain Robbe-Grillet, Jacques Derrida, Philippe Sollers, Jack Lang.

Juin 1978 : René Schérer, professeur d’université (1922-2023), écrit dans Libération : « L’aventure
pédophilique vient révéler quelle insupportable confiscation d’être et de sens, pratiquent à l’égard de l’enfant les rôles contraints et les pouvoirs conjurés ».
Les intellectuels posent clairement la question de la sexualité de l’enfant et de l’adolescent.

13 octobre 1982, éclate l’affaire du Coral. Le Coral était un « lieu de vie » éducatif installé dans une ancienne exploitation agricole à Aimargues, dans le Gard, à 15 kilomètres de Nîmes. Le Coral, fondé dans les années 1970, accueille des personnes en difficulté, enfants, adolescents, adultes, personnes autistes ou souffrant d’un retard mental léger, cas sociaux, pré-délinquants. Les enfants sont confiés au Coral par la DDASS ou par des structures s’occupant d ‘enfants.

À l’automne 1982, des enfants venus du Coral sont recueillis par une voisine et parlent de pratiques pédophiles. Une plainte est déposée à la gendarmerie par des parents dont les enfants ont séjourné au Coral. Les gendarmes visitent le centre. Selon Jean-Claude Krief, 21 ans, qui a fait un stage d’éducation sur place, la pédophilie serait largement pratiquée au Coral. Le centre accueillerait également des pervers venus de divers horizons, qui viendraient y abuser les mineurs hébergés. Un trafic de photos pédopornographiques transiterait par le Coral, ou y serait organisé.
On parle d’abus sexuels commis sur des mineurs trisomiques. Des personnalités politiques et intellectuelles, souvent orientées à gauche, sont mises en cause, mais innocentées par les enquêtes de police.

En 1998, Roger Holeindre accuse Jack Lang d’être impliqué dans le scandale de prostitution de mineurs au Coral : « Monsieur Jack Lang, qui prétendait être candidat à la présidence de la République – qu’on m’arrête à la sortie si ce que je dis n’est pas vrai – a été compromis dans un lieu de vie tenu par des socialistes qui s’appelait « Le Coral ». Là, des enfants étaient prostitués à des gens comme Jack Lang. Un gosse a été trouvé mort, sodomisé, la tête dans un seau de merde – que l’on m’arrête à la sortie si ça n’est pas vrai ».
Monsieur Roger Holeindre n’a jamais été poursuivi pour les accusations qu’il a portées contre Jack Lang, et aucune arrestation ni aucun procès n’a été initié à son encontre.

Le problème de la pédocriminalité se pose de manière récurrente depuis les années 1970. Les soixante-huitards, leurs descendants et héritiers rêvent d’officialiser et d’institutionnaliser cette ignominie. Les organisations internationales, OMS, ONU, les pouvoirs judiciaires, l’intelligentsia politique et médiatique, le lobby LGBTIQ, d’une part, les nouveaux textes de loi, théorie du genre, droits sexuels des enfants, éducation à la sexualité, d’autre part, concourent à orienter l’opinion dans ce sens. La France n’échappe pas à ce phénomène abject de la pédocriminalité, elle en est même une plaque tournante. Tout le monde le sait, en particulier les responsables politiques, les magistrats, les médias. Mais tout le monde se tait. Tout le monde se tait parce que des personnalités de haut rang sont impliquées. Et comme ils vivent dans un monde clos et protégé, ils se soutiennent et se serrent les coudes. La vérité ne doit pas sortir du milieu, du cercle dirigeant, de la sphère politicienne. Mais quand un ecclésiastique est accusé de pédophilie, c’est l’hallali, c’est la curée. Haro sur le baudet. Le bouc émissaire fait retomber les fautes des vrais pédocriminels. Toute la caste qui ignore ses propres turpitudes se jette avec délices sur un membre extérieur, à fortiori sur un catholique honni.

13 août 1996, explose l’affaire Dutroux, en Belgique.

19 Juillet 1998 : retentit l’affaire pédocriminelle du « CD-ROM de Zandwoort ». Ce CD-ROM contient plus de 8000 photos pédopornographiques. À Zandwoort, la société informatique Cube Hardware commercialisait des cassettes pédophiles. Ses responsables étaient en relation avec les organisateurs de croisières de luxe, tarifs tout compris, jusqu’à la fourniture d’enfants, à bord du yacht Apollo. Il arrivait que ce voilier embarque des clients à Bordeaux. Direction les Pays-Bas, via l’Angleterre. Le CD-ROM a été remis aux juges dans plusieurs pays européens. Des mères y ont reconnu leur fils ou leur fille. Mais l’enquête n’a pas progressé malgré des indices troublants. Et la pièce qui accuse avait disparu de la circulation. Elle réapparaît sous l’impulsion de Zoé Sagan.

27 mars 2000 : Martine Bouillon, substitut du procureur de Bobigny déclare avoir connaissance de charnier d’enfants en région parisienne. Le Conseil supérieur de la magistrature sanctionne la magistrate : déplacement d’office. Michel Joubrel, substitut du procureur général près la Cour d’appel de Versailles, contribue à sanctionner Martine Bouillon. Il sera arrêté en 2003 pour téléchargement et détention de plus de 5000 photos et vidéos pédopornographiques lors de perquisitions à son domicile, dans son bureau de la Cour d’appel de Versailles, et dans sa résidence secondaire en Bretagne. Mis à la retraite en 2004, radié en 2005, il sera condamné à Tours en 2006 à … 1000 euros d’amende et huit mois de prison avec sursis. Martine Bouillon sera finalement amnistiée en 2001.

Dans l’émission Sur les docks défiance Culture en 2011, le père Georges Morand explique avoir rencontré « des personnes qui ont été la proie de groupuscules satanistes extrêmement redoutables pratiquant ce que l’on appelle les messes noires liées à des rites de sorcellerie et de magie, avec des meurtres rituels … sous le double couvert, et je pèse mes mots, d’une part de la mafia, tous les réseaux mondiaux de la prostitution de bas étage et de haut étage, du trafic de drogues et d’autre part de personnalités que l’on pourrait dire au-delà de tout soupçon qui tiennent des postes clés dans notre civilisation, que ce soit dans le monde de la politique, toutes tendances politiques confondues … dans le monde de la magistrature, dans le monde scientifique, dans le monde de la finance, dans le monde intellectuel … et je dirais même hélas, trois fois hélas, dans le monde ecclésiastique ».

7 juillet 2019 : Jeffrey Epstein est arrêté pour trafic sexuel de mineurs. Ce milliardaire américain gravitant dans la jet set dirigeait un réseau de prostitution international. Il fournissait des filles à ses amis, pour qu’ils lui soient redevables. Il filmait tous les ébats qui avaient lieu dans ses propriétés.

Depuis l’arrestation de Jeffey Epstein, la pédocriminalité apparaît en première page de l’actualité partout, sauf en France. Pourtant, notre pays surnommé « Pédoland » n’échappe pas à cette peste noire, bien au contraire. Les oligarques connaissent le problème, savent parfaitement que cette horreur abjecte touche essentiellement la marge élitiste de notre pays. Des personnalités qui détiennent le pouvoir politique, le pouvoir médiatique, le pouvoir judiciaire, et l’argent, les richesses. Des personnages ignobles et répugnants qui se déchargent des lois de la République, qui tentent de modifier ces lois à leur avantage, qui se libèrent de toute morale. Des notables odieux qui donnent libre cours à leurs perversions en toute impunité. Les journalistes qui recevaient en majesté le pédocriminel Olivier Duhamel sur leurs plateaux savaient ce que tout le milieu savait. Les proches, les confrères d’Olivier Duhamel savaient ce que tout le milieu savait.
Mais tous se taisaient, par réflexe de classe et aussi par autodéfense. Et combien d’Olivier Duhamel gravitent dans les instances du pouvoir, avec tous les égards dus à leur rang ?

La pédocriminalité est un acte intolérable, impardonnable, inacceptable, un acte criminel. On ne touche pas à l’innocence des enfants, à la fragilité des enfants. Des enfants incapables de défense sont livrés à des monstres, partout dans le monde. Cette obscénité afflige principalement les hautes sphères de la société. Ces gens puissants n’hésitent pas à recourir aux moyens les plus sordides pour établir leur vice : silence ou corruption des contestataires, destruction de la vie sociale et familiale, jusqu’au meurtre.

Des réseaux pédocriminels existent dans tous les pays. Criminalité, drogues, crimes rituels, commerce de l’adrénochrome, c’est-à-dire le sang d’enfants torturés et martyrisés, tortures et viols d’enfants. Des images à caractère pédopornographique mettent en scène des mineurs, des bébés victimes de sodomie, des enfants très jeunes contraints d’effectuer des fellations, toutes sortes d’actes sexuels. Des enfants nus dans des postures évocatrices pour des oeuvres « artistiques » destinées à l’usage des pédocriminels. Qui sont les enfants martyrisés ? Que deviennent-ils ? Qui sont les violeurs et les tortionnaires ?

Sur les carnets de Jeffrey Epstein, on trouve les noms de personnalités avec lesquelles il était lié.
Tous ces personnages renommés, à la fois célèbres et répulsifs, s’affichent et plastronnent sur toutes les chaînes de radio et de télévision. Cohn Bendit, ami de Macron, explique ce qu’il faut penser ou non sur les sujets d’actualité, et les journalistes se courbent devant lui. Cet être puant d’arrogance et de morgue, agent du mondialisme, reste une « référence ».

Les pervers et les détraqués sexuels, mis sur un piédestal, adorés comme de nouveaux dieux, icônes élitistes, crachent leur mépris de la morale, le dédain de la famille, le dégoût de la normalité, et entraînent une bonne partie du peuple dans leurs dérèglements et leur dépravation.

Jean Saunier, Riposte Laïque

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