. “Le 20h de Ruquier” – Maréchal/plan anti-émeutes : “très en deçà”

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À 20h, c’est l’heure de Laurent Ruquier ! Les téléspectateurs retrouvent l’animateur avec Julie Hammett à ses côtés pour une heure d’actualité et de débats. Autour de la table, une bande de chroniqueurs pour passer l’info au crible et interroger des invités pour confronter toutes les opinions sur des sujets qui font la Une.

. Ne pas manquer Le grand Rendez-vous : Eric Zemmour dimanche 29 octobre à 10h00 sur EUROPE 1 et CNEWS

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++ WEBTUBE : Que ce soit à la télé, sur votre smartphone ou à la radio, ne manquez pas ce rendez-vous demain matin….. et attention à l’heure d’hiver !

Eric Zemmour compte sur vous.

. “Une fois une loi adoptée en Union Européenne, nous ne pouvons pas nous en débarrasser dans nos propres pays »

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++ WEBTUBE : C’est bien beau de tout réglementer, tout encadrer et d’étouffer une grande partie de notre économie européenne au nom de l’écologie mais en fait, on constate que ceux qui ne produisent pas accusent ceux qui produisent… Ils oublient très vite les conséquences de la pénurie de la production européenne pendant la pandémie.

L’article de Breizh-info.:

Rob Roos est un membre néerlandais du Parlement européen (MEP) depuis juillet 2019 et l’actuel vice-président du groupe des Conservateurs et Réformistes européens (ECR). Notre confrère Álvaro Peñas l’a interrogé pour The European Conservative, nous avons assuré la traduction.

Les Pays-Bas sont probablement l’un des pays d’Europe les plus engagés dans l’agenda vert. Quels sont les dommages causés par ces politiques ?

Rob Roos : D’énormes dégâts. Nous avons connu beaucoup de confinement en Europe à cause du COVID-19, et aux Pays-Bas, nous souffrons encore du confinement de l’azote. Nous avons la réglementation énergétique la plus restrictive d’Europe et, pour cette raison, nous ne pouvons pas construire de nouveaux logements ou de nouvelles infrastructures, et nous sommes même parfois empêchés de réparer ce que nous avons. Notre économie est enfermée dans une camisole de force et les dégâts sont considérables. Ce n’est pas parce que la nature est en danger, mais parce que les modèles qu’ils suivent montrent que la nature est en danger. Les responsables de ces politiques sont les Verts, mais aussi les libéraux menés par le Premier ministre Mark Rutte, qui semblent vouloir transformer notre pays en parc naturel.

Cette folie est le fait de politiciens, pour la plupart jeunes et bien éduqués, dotés de bonnes compétences sociales, nés et élevés dans les villes, qui disent à nos agriculteurs comment ils doivent vivre. C’est ridicule. Nous sommes un très petit pays et ces politiques ont un coût économique énorme. Nous perdons notre capacité à gagner de l’argent ou à investir dans de nouvelles maisons, ce qui signifie un avenir plus sombre pour nos enfants, et nous ne sommes donc pas un bon exemple pour l’Espagne ou tout autre pays.

Ce coût économique est-il répercuté dans la poche du citoyen, comme c’est le cas, par exemple, en Allemagne, où les politiques vertes sont de plus en plus rejetées ?

Rob Roos : Oui, la transition énergétique entraîne des coûts énergétiques très élevés, mais il y a aussi l’obligation de rénover les maisons – c’est une loi européenne -, de convertir les exploitations agricoles ou d’acheter des voitures électriques. En fin de compte, c’est une question de liberté. Une voiture électrique coûte très cher et de nombreux citoyens ne peuvent pas se permettre d’en acheter une. Les petites entreprises ne peuvent plus entrer dans les villes parce qu’elles n’ont pas les moyens d’acheter une camionnette électrique et sont obligées de fermer leurs portes. Le coût de la vie augmente et les possibilités de gagner de l’argent diminuent. Pendant ce temps, les médias soutiennent cet agenda vert de la manière la plus cavalière qui soit, car la grande majorité des journalistes sont des gauchistes élevés dans les grandes villes. Ils n’ont aucun lien avec le monde rural et se sentent donc libres de blâmer nos agriculteurs, sans s’intéresser le moins du monde à leur réalité quotidienne. Les Pays-Bas sont la deuxième plus grande industrie alimentaire [au monde en termes d’exportations] après les États-Unis. Nous sommes un petit pays, mais très efficace. Ceux qui disent qu’il faut sauver la planète pensent-ils qu’il est bon pour la planète qu’il n’y ait pas de nourriture ou qu’il vaut mieux la produire ailleurs, dans un endroit moins efficace ?

Par ailleurs, au cours des trente dernières années, les agriculteurs néerlandais ont réduit leurs émissions de 67 %, soit les deux tiers du total, précisément en raison de leur réceptivité aux formes d’innovation technologique. Il est absurde de les blâmer pour des problèmes modernes qu’ils n’ont pas créés. Il est très facile d’agir en se basant sur des scénarios catastrophes flous de ce qui se passera dans 15 ou 20 ans, car aucun homme politique menant aujourd’hui des politiques aussi autodestructrices ne sera là pour rendre des comptes.

Ceux qui ne produisent pas accusent ceux qui produisent… Ils oublient très vite les conséquences de la pénurie de la production européenne pendant la pandémie.

Rob Roos : C’est vrai. Ce que nous avons appris – ou en tout cas devrions avoir appris – de COVID-19, c’est l’importance de l’autonomie stratégique. Nous ne pouvons pas dépendre d’autres pays pour les médicaments, pour toutes sortes de produits et surtout pour l’alimentation. En Europe, nous devrions être en mesure de produire les produits dont nous avons besoin et notre nourriture. Il est insensé que les Pays-Bas, mais aussi l’Espagne, l’Irlande et d’autres pays veuillent éliminer leurs agriculteurs. C’est un programme. Et si l’un de leurs objectifs est d’éradiquer la faim, comment vont-ils y parvenir sans les agriculteurs ? En fin de compte, ce programme vise à rendre les gens plus dépendants de l’État. Les agriculteurs, qui possèdent de petites entreprises et ont de longues traditions, sont confrontés à de graves problèmes. Tous les douze jours, un agriculteur se suicide aux Pays-Bas, et notre gouvernement, dont le but ultime est d’exproprier entièrement leurs terres, les plonge dans des difficultés financières, exigeant des investissements pour des mesures environnementales qui ne sont jamais suffisantes.

La réponse à ces politiques a justement été l’émergence du Parti des agriculteurs, qui a récemment obtenu un excellent résultat électoral. Pensez-vous qu’il soit possible qu’une véritable alternative émerge de ce parti ou, comme dans de nombreux cas, s’agira-t-il seulement d’une étoile filante ?

Rob Roos : Je pense qu’ils peuvent être une alternative parce qu’ils sont très sérieux dans la construction du parti. Pour moi, ils sont un remplaçant potentiel des anciens démocrates-chrétiens. Les Néerlandais sont à la recherche d’un parti plein de bon sens et c’est ce que les agriculteurs ont apporté. Jusqu’à présent, le parti est stable, il est populaire, il n’est pas gauchiste et il fait du bon travail, et pas seulement sur les questions relatives à la campagne. Ils attirent également des spécialistes d’autres secteurs afin de pouvoir couvrir davantage de questions. Ils sont sérieux et je pense qu’ils sont sur la bonne voie.

Serait-il possible pour les partis de droite d’unir leurs forces à celles de ce parti ou de forger une sorte de collaboration ?

Rob Roos : Aux Pays-Bas, nous avons 20 partis politiques et il n’y a que 150 sièges, donc aucun parti ne peut obtenir la majorité absolue et nous sommes tous obligés de former des gouvernements de coalition. Je ne pense donc pas qu’il sera possible de former un grand parti pour les élections européennes. À mon avis, il est difficile de parler de droite et de gauche ; je pense qu’il est plus approprié de parler de souverainistes et de mondialistes. Ceux qui sont fiers de leur pays et veulent qu’il prospère, et les mondialistes qui ne veulent pas de frontières. Je crois qu’en fin de compte, les souverainistes doivent coopérer si nous voulons offrir une résistance aux partis mondialistes. C’est difficile, mais c’est nécessaire, et pas seulement dans mon pays, mais dans toute l’Europe. Nous devons être unis, courageux et ne pas laisser les mondialistes nous diviser.

Quels sont les enjeux des élections européennes de l’année prochaine ? Pensez-vous qu’un changement de majorité est possible et qu’il pourrait sortir l’UE de sa dérive progressiste actuelle ?

Rob Roos : Oui, je suis optimiste. Mais je pense que la plupart des Européens ne réalisent pas qu’une fois qu’une loi est adoptée en Europe, nous ne pouvons pas nous en débarrasser dans nos propres pays. De nombreux souverainistes ne sont pas intéressés par les élections européennes, et ils devraient l’être. Aujourd’hui, nous avons un parlement très mondialiste et une Commission européenne qui fait pression sur la législation pour qu’elle devienne de plus en plus forte, et nous devons arrêter cela. Je pense qu’il est possible, mais aussi nécessaire, que l’ECR devienne le troisième groupe politique. Être le deuxième serait une très bonne chose et une chance, mais devenir au moins le troisième est absolument nécessaire pour que le PPE ne rejoigne pas Renew et les socialistes, comme il l’a fait auparavant. C’est notre dernière chance de changer les choses car tout va très vite. Nous voyons le cas de l’Allemagne où les grandes entreprises quittent le pays à cause des prix élevés de l’énergie et d’une législation excessive. Nous devons mettre un terme à cette idéologie avant qu’elle ne fasse sombrer notre économie.

Vous avez prouvé que le passeport COVID était basé sur un mensonge, mais personne dans l’UE n’a admis l’erreur, et encore moins démissionné. Cette affaire ne prive-t-elle pas l’UE de toute légitimité lorsqu’elle parle d’État de droit à l’encontre de pays comme la Pologne et la Hongrie ?

Rob Roos : Il y a deux poids, deux mesures, et si vous regardez ce qu’est l’État de droit dans l’Union européenne, à la Commission, vous verrez qu’il n’y a aucune transparence. Nous avons vu les SMS de Mme Von der Leyen et les contrats d’un million de dollars avec Pfizer, mais ils n’ont répondu à aucune question sur ce sujet. Pour autant que je puisse en juger, ils ne se soucient pas de l’État de droit, mais uniquement de la réalisation de leurs objectifs politiques. C’est pourquoi l’attaque contre deux pays comme la Hongrie et la Pologne, parce qu’ils défendent leur souveraineté et sont dirigés par des gouvernements conservateurs qui ont été démocratiquement élus. Aux Pays-Bas, l’État de droit est en très mauvais état, mais cela ne préoccupe pas la Commission européenne.

Après ce qui s’est passé avec le passeport COVID, pensez-vous qu’elle imposera un passeport CO2 pour contrôler ce que nous polluons ?

Rob Roos : C’est quelque chose qu’il faut éviter. J’ai participé aux discussions sur le portefeuille d’identité numérique avant le passeport COVID, et notre ministre de la santé a dit qu’il ne serait pas utilisé au niveau national. Un mois plus tard, nous avions besoin du passeport COVID pour pouvoir aller dans un bar, au restaurant, à la salle de sport… C’était de la discrimination institutionnelle. Nous ne pouvons donc pas faire confiance aux gouvernements qui nous disent que cela n’arrivera jamais. Il ne s’agit pas d’une théorie du complot : lorsque les gouvernements disposent d’un outil pour réduire la liberté des personnes, ils l’utilisent. Nous l’avons vu à maintes reprises. Le passeport CO2 est un outil qui peut mener à un état totalitaire, et c’est très facile à faire, surtout quand on le combine avec une monnaie numérique de banque centrale, comme ils l’ont fait en Chine. Tous ceux qui aiment la liberté doivent s’y opposer.

Sinon, nous aurons un modèle chinois en Europe.

Rob Roos : Personne n’a voté pour cela. En outre, si nous atteignons leurs objectifs pour 2050, nous n’obtiendrons qu’une réduction de 0,04 degré si la Chine et l’Inde ne font rien. En d’autres termes, nous ne faisons pas la différence. Alors pourquoi perdre nos libertés ? Pourquoi nous appauvrir et rendre la vie plus difficile aux consommateurs et aux petites entreprises ? Ce qu’ils font, c’est rendre les gens plus dépendants de l’État. C’est un nouveau modèle de socialisme sous une forme plus technocratique, mais si nous ne sommes pas vigilants, il pourrait nous conduire au communisme.

 Breizh-info.com

. Un Nîmois menacé par des dealers et contraint de quitter son appartement

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++ WEBTUBE : Chers Français, quand comprendrez-vous que l’Etat n’est pas là pour vous aider ou vous protéger sauf si vous êtes clandestin ou une minorité sans ressources officielles. Pour les autres ils doivent payer, subir et se taire. Voilà encore un bon exemple….. des cas comme celui-ci il y en a des dizaines. Une honte.

Un homme chassé de chez lui par des dealers

C’est un nouvel épisode de l’emprise des dealers sur certains quartiers de Nîmes (Gard) que révèle Le Parisien ce samedi 28 octobre. Le quotidien donne la parole à un habitant du quartier de la cité populaire du Mas de Mingue à Nîmes : « Je ne peux plus rentrer chez moi. La police m’a dit que je risquais ma vie. Je n’ai plus de logement, j’ai dû quitter mon quartier. » Cet homme de 47 ans est désormais réfugié depuis la mi-octobre dans un hébergement d’urgence, car il a été chassé de chez lui par des dealers.

Ce quartier est en effet « gangrené par la drogue, rongé par les règlements de comptes et les violences. » L’homme confie au Parisien : « J’étais séquestré chez moi, frappé ». Les dealers souhaitaient utiliser son logement comme appartement-nourrice.

La victime contrainte de fuir devant les dealers

Son avocat dénonce le paradoxe de la situation : « Il a pris le risque de dénoncer un réseau et il se retrouve maintenant démuni, sans aucune protection, ayant tout perdu, notamment son logement et toute sa vie dans son quartier. Il a apporté son concours à l’enquête… Rien que pour cette raison, l’institution devrait lui garantir en retour des droits et, en premier lieu, la protection. On se retrouve dans une situation où la victime est obligée de partir de chez elle. Les services d’enquête lui disent : Ne retournez pas chez vous, c’est trop dangereux. », s’interroge l’avocat.

Boulevard Voltaire

. A Marseille, toujours plus de HLM pour une population de plus en plus exotique : un marqueur fort du maire de gauche

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++ WEBTUBE : Marseille a besoin d’une population entreprenante et d’un secteur immobilier libéré pour permettre le financement et la création de nouveaux logements où propriétaires et locataires y trouveraient leur compte ! Le tout HLM ça suffit !

Stéphane Ravier : Chasse aux propriétaires, HLM partout, et surtout ne jamais demander leur avis aux Marseillais : oui, c’est bien une majorité de gauche qui est à la tête de Marseille !

. Nostalgie du Paris d’avant et de l’enfance : “Le Ballon Rouge”

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++ WEBTUBE : C’était une très belle époque mais nous ne le savions pas.

. Des migrants à Plainfaing (Vosges) : la concertation promise n’a pas eu lieu

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Les épisodes se suivent et se ressemblent étrangement. Le pouvoir exécute en douce les ordres de Bruxelles en adressant des migrants « mineurs non accompagnés » dans des villages français mis au pied du mur. À Plainfaing, dans le département des Vosges, une trentaine de soi-disant mineurs arrivés à Lampedusa, en Italie, sont ainsi descendus d’un bus pour loger dans des bâtiments situés sur le territoire de la commune, piétinant au passage les belles promesses du conseil départemental. Et celles de Gérald Darmanin qui jurait, la main sur le cœur, que « la France ne s’apprête pas à accueillir une partie des migrants » de Lampedusa sur le territoire national. C’était le 18 septembre, voilà un peu plus d’un mois, sur Europe 1. Que s’est-il passé ?

Il faut se pencher sur les articles de Vosges Matin pour avoir le déroulé précis des faits, typique de la dissimulation et des influences discrètes qui s’agitent en coulisse. Le 4 octobre dernier, le quotidien local titre : « Une trentaine de jeunes migrants arrivés de Lampedusa devraient être mis à l’abri à Plainfaing. » Selon Vosges Matin, ces jeunes d’origine guinéenne doivent arriver dans un centre d’hébergement privé quelques jours plus tard, provoquant l’inquiétude du maire Patrick Lalevée. « Le maire de Plainfaing a découvert, ce lundi, que le centre de vacances privé le Mongade, situé sur sa commune, avait répondu à l’appel du département pour héberger une trentaine de mineurs non accompagnés (MNA) à partir du 15 octobre », écrit Vosges Matin.

Élus et populations devant le fait accompli

Une décision prise sans concertation qui place l’élu « devant le fait accompli », précise le quotidien. Cette manière de faire, pas vraiment dans la concertation, rappelle les nombreux autres dossiers du même type. Mais le département cherche à rassurer : cet hébergement « n’a pas vocation à durer », assure le département, administrativement en charge de l’accueil des mineurs.

L’émotion est palpable, dans la commune. Le 5 octobre, le quotidien annonce que 90 personne environ, « des habitants de Plainfaing, rejoints par des responsables du parti d’Éric Zemmour Reconquête », ont manifesté.

Le 9 octobre, le même journal fait état d’une pétition « réunissant 600 signatures de personnes se disant contre l’arrivée annoncée d’une trentaine de jeunes migrants d’origine guinéenne passés par Lampedusa à Plainfaing ». Ils se disent « inquiets pour la sécurité de leurs enfants, de leurs maisons ». L’affaire tourne mal. Les élus et les autorités reculent ou, plutôt, font semblant de reculer.

Un village qui n’a rien demandé à personne

Plainfaing, village fleuri de 1.600 habitants, est une de nos petites villes discrètes : 1.600 âmes réunies autour de son église Saint-Nicolas, de sa boulangerie, de son marchand de journaux et de son magasin de meubles. Une ville fière de son industrie locale, la Confiserie des Hautes-Vosges, et de son théâtre de verdure. Ici, on n’aime guère se mettre en avant. La manifestation, la casse, les incendies de voitures, les pillages et les agressions ne font pas partie de la culture ni des modes d’action courants. On est discret, on travaille et on manifeste ses idées lors des votes. Justement, à Plainfaing, bien avant que le conseil départemental n’envisage l’arrivée des migrants de Lampedusa, la dernière élection présidentielle a donné des résultats clairs : Marine Le Pen est arrivée en tête au premier tour, avec 41,43 % des suffrages. Elle a obtenu 69,17 % des voix au second tour.

Est-ce pour ne pas mettre le feu au poudre ? Vosges Matin annonce, le 15 octobre, que l’arrivée des mineurs non accompagnés à Plainfaing a été reportée et qu’une « réunion d’information à destination des habitants va être organisée, la semaine prochaine, à Plainfaing par le conseil départemental. Le lieu, la date et l’horaire de cette réunion seront bientôt communiqués », précise le journal. C’est beau, une démocratie qui écoute, respecte sa population, concerte et temporise ! Sauf que les habitants attentent toujours le lieu, la date et l’horaire de la réunion. Au lieu de l’échange réclamé, ils ont donc vu arriver… le bus des migrants.

Le maire se fait discret

Qui a imposé cette arrivée ? Qui a empêché cette réunion ? Contactés par BV ce 27 octobre, le maire de Plainfaing et le conseil départemental n’ont pas pu être joints. Silence radio.

Furieux, le conseiller régional RN local Gaëtan Dussausaye évoque auprès de BV les sentiments sur place : « un grand choc et beaucoup d’inquiétude »« Les habitants n’ont pas été prévenus de la date d’arrivée effective de ces migrants, dit-il. Le maire le savait-il ? » Le premier magistrat de la commune s’est mis en retrait. La population se demande ce que ces migrants vont faire ici, en plein désert médical et dans une zone où l’emploi n’est pas florissant. Le département évoque une période courte après laquelle ces migrants seront redirigés. Faut-il le croire ?

Gérald Darmanin, qui avait clairement promis que les migrants de Lampedusa ne passeraient pas davantage la frontière que le nuage de Tchernobyl, montre une fois de plus une duplicité de carnaval. Ce gouvernement s’étonnera, ensuite, de la perte de confiance des Français qui, impuissants, subissent.

Marc Baudriller, Boulevard Voltaire

. En 2050, quand les plus de 60 ans auront disparu, la France sera islamisée

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++ WEBTUBE : 2050, voir même avant cette date! Quand on voit à quel point notre quotidien change au jour le jour. Quand on voit que nos dirigeants ne font rien pour arrêter ce changement. Quand on voit la gauche favoriser cette transformation… Il faut s’inquiéter !

Le pourcentage actuel de musulmans en France, trop souvent minimisé, se trouve dilué dans la population totale de 68 millions d’habitants. Or, dans les années cinquante, il n’ y avait pratiquement pas de musulmans chez nous, ce qui signifie que parmi les plus de 60 ans, l’islam est quasi marginal. Et les seniors sont 19 millions.

Si nous avons actuellement 10 millions de musulmans sur 68 millions d’habitants, cela représente 15 % de la population totale. Mais si on enlève les seniors, on obtient 10 millions de musulmans sur 49 millions d’habitants, soit plus de 20 % des moins de 60 ans. On n’est plus dans le même schéma mathématique.

Et plus on descend dans les tranches d’âge, plus le pourcentage de musulmans augmente. Au niveau national, 20 % des nouveaux nés ont un prénom musulman et dans le 9-3 c’est 60 %. Autant dire que ceux qui nient la réalité du Grand Remplacement  sont soit les éternels bonimenteurs de la gauche, soit des nuls en maths.

Il entre actuellement 1 500 migrants par jour en France, entre légaux et clandestins. C’est un minimum puisque tous les chiffres explosent d’année en année sans que le pouvoir ne prenne la moindre décision énergique. Aucun débouté de l’asile n’est expulsé et seulement 7 % des 110 000 OQTF prononcées chaque année sont exécutées.

Nous en sommes à la trentième loi sur l’immigration depuis quarante ans et tout a empiré. Autant dire que toutes ces lois ne servent à rien, pour trois raisons :

– L’État a délégué ses pouvoirs régaliens aux associations pro-immigrés qui s’opposent aux expulsions

– Coincé entre la CJUE et la CEDH, l’exécutif n’a plus aucun pouvoir en la matière

– Enfin, les pays d’émigration refusent de coopérer pour reprendre leurs ressortissants

La future loi de Darmanin, même endurcie par LR, c’est du pipeau. Tout continuera d’empirer.

Par conséquent, à ce rythme, ce sont 15 millions de musulmans supplémentaires que la France aura accueillis en 2050, puisque l’essentiel de notre immigration provient d’Afrique et du Moyen-Orient.

À cela, il faut ajouter le différentiel de taux de fécondité entre femmes immigrées et natives, très défavorable à ces dernières, qui ne font plus que 1,5 enfant par femme, contre 3, 4 ou 5 pour les immigrées. Même si ce différentiel tend à diminuer chez les immigrées de longue date, il est clair que la population de souche ne cesse de s’effondrer quand celle des immigrés explose.

En clair, nos 15 % de femmes immigrées donnent 30 % des naissances. Mais l’essentiel de l’augmentation de la population provient de l’immigration.

Les chiffres de 2022 

En 2022, on compte 723 000 naissances avec un taux de fécondité moyen de 1,8 enfant par femme (Insee). Il faut au moins 2 enfants par femme pour renouveler les générations. C’est donc l’immigration qui pallie la baisse de natalité.

Sur 100 femmes, 85 sont des natives avec un taux de fécondité de 1,5 et 15 sont des immigrées avec un taux de 3,5. Je vous épargne le calcul, lequel nous donne pour 723 000 naissances en 2022 :

512 000 naissances de souche (71 %) et 211 000 naissances d’origine immigrée (29 %)

Mais les 667 000 décès concernent très majoritairement les Français de souche, beaucoup plus âgés.

Le solde naturel des naissances n’est finalement que de 56 000 bébés pour l’année 2022. C’est l’immigration de masse qui prend donc le relais pour assurer un bilan démographique positif.

Ajoutez les 1 500 arrivées par jour, et vous voyez bien qu’il n’est point besoin de sortir de Polytechnique pour comprendre que la population de souche va s’effondrer tandis que l’immigration explose. Même en retranchant les départs de France, les 200 000 habitants supplémentaires chaque année sont majoritairement des immigrés.

Le problème est que cette immigration ne s’intègre plus. Si les beurettes des années 80 ont vite adopté la minijupe et le décolleté, ce sont aujourd’hui les femmes voilées qui imposent partout leur mode vestimentaire quand ce n’est pas leurs exigences communautaristes.

Pour des millions de musulmans, la laïcité est un principe contre l’islam. Depuis 40 ans, tous les ministres de l’Intérieur qui ont cru pouvoir structurer un islam de France s’y sont cassé les dents. Il suffit de lire le Coran pour arrêter de rêver.

L’islam sunnite n’est pas une religion avec un clergé hiérarchisé et une autorité suprême. L’islam, c’est le Coran sacré qui se suffit à lui-même, sans besoin d’une hiérarchie spécifique.

Moyennant quoi, ce sont les pays étrangers qui ont fait main basse sur l’islam de France, à coups de pétrodollars ou en contrôlant leurs ressortissants immigrés en France. Pour un musulman de France, son pays d’origine pèse davantage que les décisions de la place Beauvau en matière de culte.

Autant dire que le multiculturalisme enrichissant et la mondialisation heureuse ne sont que des rêves d’illuminés. Auprès de nos musulmans, les intégristes ont plus de poids que Darmanin et si on ne stoppe pas l’immigration très vite, ce sera la fin de nos 1 500 ans de chrétienté dans les proches décennies.

En écoutant les débats actuels sur l’immigration, après 40 années d’erreurs suicidaires, je vois que personne, à droite comme à gauche, ne veut assumer ses responsabilités. Autant dire que nos élus tétanisés ont tracé un boulevard à l’islam, qui sait très bien que la France tombera bientôt comme un fruit mûr.

Incapables de rivaliser avec le monde occidental sur le plan scientifique, les islamistes ont trouvé depuis quarante ans l’arme fatale pour fédérer les masses arabes contre les mécréants : la religion. Un véritable coup de maître dont les origines remontent à la chute du Chah, puis à la guerre sainte menée par Ben Laden et ses disciples. Et au cours de cette guerre que nous mène l’islam conquérant, nous n’avons rien trouvé de mieux que de liquider les dictateurs qui combattaient l’islamisme. Éliminés au nom de la démocratie !

Après 40 années de politique suicidaire, seul un arrêt immédiat et total de l’immigration pourrait sauver la France. Ce que le peuple gaulois, mais aussi les crétins aux commandes, n’ont toujours pas compris. 

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

. Pendant ce temps là, Macron relance l’invasion des campagnes : mobilisation générale !

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En Israël, les terroristes du Hamas ont commis le 7 octobre un épouvantable massacre en s’introduisant sur les terres d’Israël au petit matin. Au cri de « Allah Akbar », ils ont égorgé, décapité (même des bébés), éventré, violé, tué à tour de bras.

Comme d’habitude, en France, un nombre non négligeable d’individus, regroupements et partis (NPA, LFI, CGT, Indigènes) n’ont rien trouvé de mieux que d’inverser les responsabilités et la culpabilité. Pour eux, ce sont les « Palestiniens » qui sont victimes des odieux Israéliens.

Ce sont les mêmes partis, syndicats et associations qui soutiennent l’invasion migratoire et l’islamisation de notre pays et qui nient le djihad quotidien qui se déroule en France, avec des méthodes qui rappellent parfois la barbarie du Hamas.

Ils osent manifester avec ceux qui poussent le même cri que les assassins du 7 octobre : « Allah Akbar ».

Moins d’une semaine plus tard, le 13 octobre, un professeur de français a été égorgé par un musulman “réfugié” Tchétchène au cri de « Allah Akbar ». Juste trois ans après la décapitation de Samuel Paty. Le même cri que celui poussé par les assassins de Charlie Hebdo, du Bataclan, de Nice et de tellement d’autres lieux…

Depuis le 7 octobre le ministère de l’Intérieur a relevé plus de 600 actes antisémites en France.  “Normalement” c’est 400 en une année. Là, c’est 600 en 3 semaines. La quasi-totalité commis par ceux qui crient « Allah Akbar ».
Pas un jour ne se passe sans que 120 à 140 coups de couteau ne soient donnés. Tout les jours il y a des morts un peu partout en France avec un nombre très élevé d’égorgements qui signent l’origine des tueurs. On ne compte plus non plus les viols (même de nonagénaires), les vols et les violences en tous genres.

Le lien entre ces violences et cette délinquance avec l’immigration est reconnu par le président de la République et le ministre de l’Intérieur.

Or, non seulement rien n’est fait pour arrêter l’immigration, mais c’est dans ce contexte que le pouvoir, avant les Jeux Olympiques de Paris, paraît décidé à accélérer l’invasion migratoire de nos campagnes, au nom de ce que Macron ose appeler “la transition démographique”.

À Saint-Brevin, malgré un combat acharné du Collectif de préservation de la Pierre Attelée, le CADA va certainement ouvrir ses portes prochainement à une centaine d’Africains hommes, juste à côté d’une école maternelle et primaire. Si demain un crime de type Arras se produisait contre des enseignants ou des enfants, mettant en cause un ou plusieurs résidents du CADA, il ne faudrait pas oublier la responsabilité écrasante de Dorothée Pacaud, nouveau maire de Saint-Brevin, et de tous ses complices immigrationnistes.

À Bélâbre, dans l’Indre, le maire, Laurent Laroche, contre l’avis de sa population, par idéologie, a refusé une usine avec trente emplois, pour imposer ses migrants. Une manifestation est organisée ce samedi 29 octobre contre l’ouverture d’un CADA dans ce petit bourg du centre de la France. Le préfet a voulu l’interdire, mais le tribunal administratif l’a désavoué.

À Plainfaing, dans les Vosges, village de 1 600 habitants, sans que personne soit prévenu, 30 mineurs non accompagnés sont arrivés récemment de Lampedusa et ont été installés dans le centre de vacances du village. Pourtant le ministre de l’Intérieur avait déclaré de manière très martiale : « Aucun immigré de Lampedusa ne viendra en France ».

À Saint-Jean-de-Monts (Vendée), une manifestation est organisée par le Rassemblement vendéen, le samedi 4 novembre à 10 heures devant la mairie, contre l’arrivée de 22 migrants, supervisée par une organisation locale pro-migrants, le Groupe d’Accueil de Migrants de Vendée, avec la complicité de la municipalité qui, là encore, n’a pas demandé son avis à la population.

Sans parler d’autres endroits où les choses se font en douce, derrière les populations et souvent les élus.

Cette situation ne peut plus durer. La sécurité et le mode de vie des Français sont délibérément mis en danger. La coordination Partout Callac appelle tous les Français se mobiliser contre cette politique immigrationniste complètement folle, et à soutenir par leur présence toutes les initiatives qui vont se mettre en place.

Le principe de précaution, souvent mis en avant à tort et à travers par les écologistes, doit s’imposer en France pour l’immigration africaine.

Le 27 octobre 2023
Bernard GERMAIN
Porte-parole de la Coordination Partout Callac (www.partoutcallac.fr)

. Paris : les beaux quartiers ciblés par des cambrioleurs qui n’hésitent pas à être violents… Zoom sur ce fléau des « home-jacking »

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Des bandes de voleurs multiplient ces dernières semaines les agressions à domicile dans la capitale et dans des communes huppées de région parisienne. Poussés par l’appât du gain, ces jeunes gens n’hésitent pas frapper ou séquestrer les victimes.

(…) Derniers événements en date, ce mardi 24 octobre dans les VIIIe et XVIe arrondissements de la capitale : un vol et une tentative ont été commis par deux bandes différentes visant des particuliers. (…)

« Les joueurs de football, comme d’autres célébrités, sont des cibles privilégiées parce qu’ils sont censés posséder des objets de valeur, précise un commandant de police. Ces malfaiteurs, attirés par l’appât du gain, peuvent être violents. » Parfois même, ces faits crapuleux se terminent tragiquement lorsque la victime résiste. (…)

Selon les observateurs, ce type de faits n’obéit à aucune loi de la saisonnalité. « On sait que les vols à main armée sont plus fréquents en fin d’année et avant l’été. Les cambriolages sont toujours en hausse durant l’été parce que les gens partent en vacances. Mais les vols avec violence à domicile se produisent toute l’année », explique un commissaire de police. (…)

L’une des techniques que ces bandes affectionnent en ce moment en région parisienne est de se faire passer pour des livreurs. « On sait qu’il y a une porosité entre les voyous et le monde des livreurs de repas qui, parfois, sont invités à monter chez les gens. Ils disposent alors des codes d’accès et repèrent les lieux » (…)

Des supporters de la Coupe du monde de rugby ont aussi subi une mésaventure similaire, jeudi 19 octobre, dans leurs appartements de location du XIe arrondissement. Vers 21 heures, rue Camille-Desmoulins, ces touristes italiens ont été surpris par quatre bandits armés d’un couteau, qui leur ont dérobé de l’argent liquide. L’un d’eux a été arrêté par des témoins et les autres sont parvenus à quitter les lieux avant l’arrivée de la police. (…)

(…) Pour mémoire, le 27 septembre dans les Yvelines, l’animateur télé Bruno Guillon avait également été séquestré avec toute sa famille par quatre bandits qui s’étaient emparés d’un butin de 80 000 euros. (…)

Le Parisien


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