. 7 juin 1975, le jour où la France a été vendue aux Arabes

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Depuis quelques années, une vidéo exposait des faits historiques un peu oubliés mais incontestables. Sans injures ni dénigrement ni racisme. Les preuves abondaient. Les procéduriers s’y seraient cassé les dents.

Il y a environ un an, une opération coordonnée a effacé en quelques instants presque toutes les copies. Sur les plate-formes, comme sur les sites, les RS et les blogs qui les mentionnaient, elles ont tout simplement disparu. Toutefois, deux exemplaires de la vidéo a été préservé sur gloria.tv

Lien vers la vidéo ci-dessous:

https://www.gloria.tv/post/ATFHGXYECLz93BjCGC8fFEDto#5

Si quelqu’un est équipé pour l’enregistrer, ce serait bien de dupliquer ce document et de le faire circuler avant que les hackers d’Allah l’éliminent définitivement.

La genèse de la conquête islamique de la France

Imaginée au lendemain de la raclée subie lors de la guerre des 6 jours, la première conférence islamique s’est tenue à Rabat, deux ans plus tard en 1969. L’objectif des sunnites est alors de resserrer les rangs des États autour de « l’oumma » (communauté des croyants) afin de retrouver la puissance de leur khalifat mythique. Mais le panislamisme est entravé par les nationalismes arabes et des dictateurs jaloux de leur pouvoir.

Les tentatives de fédération par la « Ligue Arabe » avaient échoué à cause de la présence à sa tête de Amine Al Husseini. Une personnalité trop clivante. Grand mufti de Jérusalem, mais aussi général des waffen SS musulmans, il avait écrit des manifestes faisant l’apologie du nazisme et déclaré à la radio que « les musulmans devraient suivre l’exemple des Allemands qui ont trouvé une solution définitive au problème juif ».

Les Anglais et les Serbes voulaient qu’il soit jugé à Nuremberg pour ses crimes dans les Balkans. La France l’exfiltra en mai 1946 et lui offrit un sauf-conduit en échange de la promesse, non tenue, d’user de son influence pour apaiser les tensions avec les mahométans des colonies.

En 1973 après une nouvelle et humiliante défaite infligée aux Égyptiens et aux Syriens par Israël, les pays arabes décidèrent de multiplier le prix du pétrole par 4. Par solidarité, et surtout parce qu’ils avaient beaucoup à y gagner, les autres pays de l’OPEP s’alignèrent.

Cette flambée des cours s’accompagna d’une volonté de nuire, par tous les moyens possibles, aux pays jugés amicaux envers Israël. Ainsi la Hollande et les USA furent privés d’approvisionnements réguliers. La France, à son habitude, choisit de se soumettre. Encouragés, les Arabes décidèrent alors de pousser plus loin leurs avantages.

La création de l’Eurabia

En juin 1975 se créa dans le plus grand silence médiatique une véritable Eurabia définie par les infamants accords de Strasbourg.

Des pays européens, tétanisés par la crise pétrolière, signèrent leur suicide collectif en acceptant l’emprise des pétromonarchies sur leur économie, l’invasion ethnique et la préférence étrangère.

Les diktats des mahométans

Parmi les exigences de nos « partenaires » figuraient tous les élément déstabilisateurs, constitutifs de la guerre de civilisation. À savoir :

1/ Recrutement massif de travailleurs de culture arabo-musulmane, et mise en œuvre d’une politique attractive les incitant à faire souche en France.

Le regroupement familial imposé par Giscard-Chirac en 1976, par décret, sans consulter les élus du peuple ni les électeurs par référendum, passa quasiment inaperçu à l’époque, dans un assourdissant silence médiatique. Complices à gauche. Inconséquents à droite.

2/ Égalité immédiate des droits (mais pas des devoirs !) politiques et sociaux entre étrangers et Français.

Modifications du code civil pour que les enfants de familles polygames bénéficient des mêmes droits que les autres. Et pour tous les descendants d’immigrés, application du droit du sol sans restriction. Des mesures complétées par des naturalisations massives de clandestins.

Cela permettait de berner les statistiques supposées rassurer la population en prétendant que le nombre d’étrangers restait stable. Tandis que les États d’origine refusaient catégoriquement de reprendre leurs binationaux s’ils se rendaient indésirables en France.

3/ Renonciation à la politique d’intégration des étrangers, en favorisant et en valorisant le « droit aux différences »

Cantines scolaires et restaurants d’entreprises halal, lycées musulmans subventionnés, piscines séparées, voiles et tenues islamiques banalisées, zones de non-droit dirigées par des imams où la police et les services publics ne sont pas les bienvenus, constructions de mosquées assorties de «madrasas» (écoles coraniques) devenues par la magie de la sémantique des « centres cultuRels » la lettre R en trop. Financés illégalement à la fois par des états islamiques et des collectivités territoriales françaises qui croyaient acheter ainsi des électeurs.

À cela s’ajoute la préférence mahométane à l’embauche dans les services publics au nom de la « diversité » et, dans le secteur privé, des aides financières pour recruter des allogènes, avec interdiction de les licencier, sous peine de contrôle fiscal… Le projet, provisoirement suspendu, de développer l’enseignement de l’arabe et du coran dans l’enseignement laïc devait être la suite logique de cette reddition sans conditions de la France.

4/ Dévalorisation des Français et de leur histoire, et mépris des cultures précédant l’islam

Lorsque Macronescu et Moussa, à plusieurs reprises, honorent la mémoire des fellaghas et conchient le contingent français, les Pieds Noirs et les Harkis, ils assument l’aspect officiel du reniement national.

Comme ceux qui saccagent les statues de nos héros d’antan ou qui modifient le contenu des livres d’histoire pour les rendre conformes au narratif islamique. Ou changent les noms des rues, des écoles, des hôpitaux et des stades, en martelant avec une insistance fanatique que des chameliers et des chevriers nous auraient apporté la civilisation !

Archimède, Euclide, Ératosthène, Hipparque, Vitruve, Pline, et avant eux Imhotep, le papyrus Ebers et les civilisations de l’Indus, les cultures sanskrites, bouddhistes et chinoises, liste non exhaustive, inconnus au bataillon ! Et bien sûr, Galilée, Newton, Leibniz, Linné, Pasteur, et jusqu’à Einstein n’ont fait que copier la science islamique. Malgré le calife Omar, un pince sans rire, qui fit brûler la grande bibliothèque d’Alexandrie en l’an 642. « Si ces livres sont conformes au coran, ils ne servent à rien. S’ils sont contraires, ils sont impies et nuisibles. Dans les ceux cas, brûlez-les tous ! »

5/ Préparation des esprits à l’application de la charia dans une société islamisée

On habitue les Français aux vêtures et coutumes islamiques, aux piscines séparées, aux cantines halal, aux cadis juges ou arbitres qui règlent les conflits familiaux et patrimoniaux selon la charia, dans les territoires perdus de la République… Avant la répartition autoritaire des mahométans dans les zones rurales, les bourgades, les petites villes, sans demander l’avis des habitants souvent expropriés. Tout cela est décidé afin de rendre irréversible le changement de population.

Le retour en arrière était déjà paralysé par les blocages du conseil anti-constitutionnel et du conseil d’État islamique, de tout texte ou mesure permettant de limiter les mouvements migratoires et de renvoyer les racailles dans leurs vrais pays.

On sait d’avance que les gesticulations des politicards pour amortir l’émotion populaire après les crimes du Hamas se dilueront comme d’habitude dans un juridisme verbeux. L’actualité montre à nouveau pour qui roulent ces instances iniques, qui n’ont aucune légitimité démocratique.

Une aubaine pour les politicards qui y trouveront matière à se défausser de leur inertie sinon de leur complaisance. Comme avec les diktats de l’Eurocrature, et les abandons de puissance publique à des groupuscules ethniques habilités à décider des poursuites pénales pour délits d’opinion contre les réfractaires à l’islamisation du pays.

Un lavage de cerveaux bien orchestré

Les mutilations et énucléations de manifestants, la perte des libertés, les ausweis, les muselières, les confinements, les couvre-feux, les faux vaccins forcés, les femmes réduites à être des proies relèvent d’un objectif précis : habituer les Français apeurés et sidérés à obéir sans réfléchir, sans protester ni se rebiffer. En faire des zombies.

On conditionne ainsi la population pour la préparer à la phase ultime : la soumission par la dhimmitude, ou la shahada pour intégrer l’oumma, avec laquelle les nababs du Nouvel Ordre Mondial s’entendent plutôt bien, après un partage des territoires, attribuant l’Europe à l’islam.

La survie de la civilisation ne peut plus s’accommoder des imposteurs et des corrompus qui décident à la place du peuple. Seul un vigoureux coup de balai pourrait nous sauver. Mais qui va le donner ?

Christian Navis, Riposte Laïque

. 48 h de garde à vue : j’ai blessé un homme qui voulait tuer ma voisine de 83 ans

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++ WEBTUBE : Un bon résumé de la situation actuelle de notre pays. Ceux qui le défendent sont ceux que l’on met en prison.

Plus jeune, la campagne représentait pour moi un autre monde, où le temps semblait couler lentement, presque imperceptiblement. Illusion merveilleuse. Comme je vivais à Paris, le contraste était d’autant plus flagrant. Contraste renforcé par une sorte de barrière culturelle filtrant rigoureusement ce qui venait des villes, qu’Émile Verhaeren qualifiait à juste titre de « tentaculaires ».

Puis les choses ont changé, d’abord insensiblement, pour se manifester ensuite dans toute leur dramatique évidence : la campagne était elle aussi attaquée par ce progressisme dévoreur de traditions ancestrales afin de n’avoir à sa disposition que des zombies travailleurs nomades et consommateurs compulsifs. Il est ainsi devenu de plus en plus difficile de dénicher une terre encore vierge des saccages contemporains qu’on nous impose à grands renforts de propagande et de lois coercitives. Je croyais avoir trouvé avec ma compagne une terre préservée, j’ai dû déchanter de la plus brutale des manières. Voici comment :

Samedi midi dernier je venais de terminer de manger lorsque, dans un coin de France que je ne nommerai pas pour des raisons que vous comprendrez tous aisément, j’ai soudain entendu une femme hurler et un homme la menacer de mort. Sincèrement effrayé et de ce fait emportant avec moi un stylo dissimulant une petite lame, je suis sorti. Là, un spectacle affligeant m’attendait : un type, dont je ne peux ni révéler le nom ni l’apparence, d’un peu plus d’une trentaine d’années, sous emprise à la fois de l’alcool et de stupéfiants – ce que j’apprendrais plus tard – venait de tenter d’agresser notre voisine âgée de 83 ans et tremblant de peur, tandis que sa belle-fille et son fils, arrivés précipitamment sur les lieux, tentaient d’empêcher l’enragé d’aller au bout de son geste. Il tournait autour d’eux en essayant d’entrer dans la maison et promettant de les tuer tous, se vantant même plus tard d’avoir des « flingues » chez lui.

J’ai d’abord foncé sur ma voisine livide pour lui prendre le pouls, qui battait comme un tambour. J’ai ensuite tenté une approche auprès de l’enragé en question, tout en le faisant s’écarter du domicile de ma malheureuse voisine. Hélas, comme c’était prévisible étant donné l’état de mon interlocuteur, très vite cela a dégénéré, alors qu’on venait d’appeler la gendarmerie.

Il a ainsi voulu en découdre avec moi et s’est à un moment, après moult injures, collé à mon front. La peur, tant pour moi que mon entourage, ainsi que ma compagne – cachée à ce moment chez nous et elle aussi effrayée –, m’a alors fait commettre un geste que je regrette mais qui n’en était pas moins motivé par la rage désinhibée de mon agresseur. Un agresseur qui a par ailleurs insulté sa femme quand celle-ci a tenté de le calmer : « Toi, ferme ta gueule ! » lui a-t-il lancé, la faisant brusquement reculer. Je lui ai donc, sans réfléchir à mon geste je le jure, planté le bout de la lame de mon stylo deux fois dans le bas du corps, que je croyais être sa jambe mais qui était en fait son ventre.

Ceci ne l’a cependant pas arrêté et, sortant un poing américain de je ne sais où, il a continué à menacer ma propre compagne en ces termes et partie entretemps soutenir notre voisine avec sa famille : « Je vais la baiser, la violer et ensuite la tuer ! » Mimant le tout avec des gestes d’une burlesque obscénité, tant il semblait possédé. Opérant un retrait chez moi, je lui ai signifié, paniqué, que s’il entrait ce serait à ses risques et périls, appelant à mon tour au secours la gendarmerie au téléphone, tout à la fois en colère et désormais tétanisé. L’individu a fini par s’en aller, poussé gentiment par un jeune garçon, dont je ne sais pas à ce jour s’il est son fils ou non. Plus loin dans le hameau il s’est effondré et une image m’est apparue, qui restera à jamais gravée dans ma mémoire : un petit garçon se tenait auprès de lui.

Ensuite, la gendarmerie est arrivée, précédée des pompiers. Je me suis présenté et n’ai opposé aucune résistance, puis je suis parti pour 48 heures de garde à vue, avec jusqu’à ce moment un casier judiciaire vierge. Je tiens à préciser ici que les gendarmes ont été avec moi d’une exemplaire humanité, sans rentrer là non plus dans les détails. Toutefois, ils m’ont été d’un grand soutien.

En apprenant par l’un des gendarmes que le forcené que j’avais blessé l’était plus sérieusement que prévu, je me suis effondré. Moi qui m’étais toujours promis de quitter cette terre sans avoir tué un être humain… Il a finalement été opéré et il est sorti d’affaire, car pour grave qu’était sa blessure ses jours n’étaient pas en danger, m’a-t-on dit plus tard.

Lundi, j’ai été, comme la procédure le stipule, présenté à une assistante sociale – elle aussi très humaine –, une procureure, puis une juge des libertés. Je suis finalement placé sous contrôle judiciaire, avec toutefois interdiction de pénétrer dans le département où les faits se sont déroulés et obligation de pointer une fois par semaine dans le commissariat dont je dépends en Région parisienne. Je ne reviendrai dans le département en question que pour mon procès au début de l’année 2024.

Je précise que pendant exactement 54 heures, et malgré les très nombreuses sollicitations des gendarmes, j’ai refusé de manger et boire le moindre liquide, ayant atteint un stade critique pour ma santé. Car, avec mon nom et mon pedigree dans la réinformation, je n’ose imaginer ce qu’il serait advenu de moi dans une prison française ! Et si, par un malheur tout à fait possible dans notre pays, où les patriotes sont des bêtes traquées, je devais être condamné à de la prison ferme, eh bien je cesserais à nouveau de m’alimenter et de boire, à la grâce de Dieu…

Maintenant, la question suivante se pose : qu’aurais-je dû faire ? Me laisser massacrer pas un homme tellement sous emprise – 4,5 grammes d’alcool dans le sang ! – qu’il n’aurait ressenti aucun de mes coups de poing par exemple et m’en aurait asséné peut-être des mortels, comme cela se voit fréquemment de nos jours ? D’autant que je n’avais aucun moyen de me mettre en retrait puisqu’il me suivait. Pire, laisser ma voisine se faire lyncher, voire tuer, ou encore son fils ou sa belle-fille, un couple d’éleveurs qui se lèvent avant le soleil et se couchent après lui, qui travaillent tous les jours de l’année et tentent de s’en sortir sans pourrir la vie de leur entourage, contrairement à leur agresseur très défavorablement connu, suivant l’expression consacrée ?

Qu’adviendra-t-il de notre maison ? Va-t-elle flamber en mesure de représailles ? Aurai-je le droit d’y retourner ? Il se trouve que, sur place, les gens veulent mon retour mais pas celui d’un tyran dangereux pour leur sécurité ! Même le maire de la commune dont dépend le hameau m’a joint par téléphone pour tâcher de me soutenir.

Car ma victime – puisqu’il faut bien la désigner ainsi – n’en était pas à son coup d’essai. Elle faisait même régner une atmosphère tyrannique auprès du voisinage. Un autre éleveur, venu ultérieurement soutenir ma compagne pendant que je me trouvais en garde à vue, lui a confié qu’il avait été menacé d’être précipité dans une rivière. D’autres témoignages édifiants m’ont été apportés, sachant que l’homme en question n’habite le village que depuis environ deux ans.

Moi, ma vie va peut-être prendre une tournure plus dramatique à cause de cet homme, tout simplement parce que j’ai refusé d’être lâche. Je racontais en début d’article que j’aimais cette campagne mettant un pied sur l’horloge pour la forcer à aller moins vite. C’en est fini de cette campagne, la France est devenue le royaume de l’infamie. Une infamie favorisée contre nous, les citoyens sans histoire et surtout aimant charnellement la France. J’attends, donc. Et même si les magistrats ont été très corrects avec moi, je ne me fais pas trop d’illusions quant au futur qui adviendra après mon procès. Cependant, je suis chrétien et il me reste l’Espérance…

Charles Demassieux, Riposte Laïque

. Flers (61) : un réfugié soudanais tente de violer une handicapée. “Il faut retenir le parcours de cet homme qui n’a pas forcément reçu les codes européens” relativise l’avocat général

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++ WEBTUBE : Il n’a pas reçu les codes européens, le savoir vivre à l’européenne d’après son avocat général. C’est inquiétant quand on sait que des dizaines de milliers de personnes rentrent dans notre pays illégalement, eux nous plus ne connaissent pas nos codes. Faut-il s’attendre à encore plus de viols, de vols, de barbarie et d’islamisme ? Préparez-vous à encore plus de problèmes dans les années à venir ! C’est un avocat général qui vous le dit.

L’affaire de tentative de viol dans un immeuble de la rue des Pierres-Précieuses à Flers continue d’être jugée, aux Assises de l’Orne à Alençon, ce lundi 16 octobre 2023. 

Pour rappel, les faits remonteraient au mois de janvier 2021, lorsque l’accusé aurait tenté de violer la victime, diminuée physiquement, en « plaçant ses mains sur [sa] bouche ».

Les policiers auraient été prévenus après un appel de la voisine, qui avait entendu des cris. Ils seraient arrivés en flagrance.

Les deux avocats se sont exprimés ce matin du lundi 16 octobre.

(…)

L’avocat général a toutefois mis en valeur le statut de réfugié de l’assuré et a invité les jurés à prendre en compte plusieurs circonstances.

Il faut retenir le parcours de cet homme, qui n’a pas forcément reçu les codes européens, qui ne semble pas maîtriser la langue et venant d’un pays en guerre à l’époque, le Soudan.

Actu.Fr

. Pierre Conesa : « Une partie des musulmans ne veut pas s’intégrer ! Je trouve donc légitime de leur demander de regagner leur pays d’origine ! »

++ WEBTUBE : Pierre Conesa dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas.

. Philippe de Villiers : “La puissance publique avoue être l’impuissance publique (…) On aura donc des subventions pour des gilets pare-balles ?”

++ WEBTUBE : Excellente analyse de Philipe de Villers…. Comme d’habitude.

Macron est passé de « l’État vous protège » à « soyez vigilants », réaction de Philippe de Villiers