Riposte Laïque
À certains esprits chagrins (heureusement très peu nombreux) qui m’accusent de donner des faux conseils, je leur dis que je ne fais que reprendre des informations que j’ai trouvées dans des livres et/ou sur Internet et qui sont à disposition libre du public. Je ne donne pas de conseils, j’informe. Évidemment, cela suppose beaucoup de temps consacré à rechercher les bonnes informations. Je ne suis qu’un transmetteur d’idées, je n’invente rien et ne me targue d’aucun titre médical. J’ai simplement une assez longue expérience de ces produits que j’ai souvent expérimentés pour moi-même ou pour mes proches ou amis.
Quant à vos remarques concernant Voltaire, j’étais au courant de ces informations contradictoires mais je pensais tout simplement vous dire que je suis pour le droit à la liberté d’expression la plus totale.
Louis Pasteur aurait été le plagiaire de Jacques Antoine Béchamp (médecin-pharmacien-chimiste et découvreur des « microzymas » – 1816-1908) dont il a combattu les idées toute sa vie pour reconnaître avant de mourir que Béchamp avait raison.
Pasteur a émis une hypothèse fausse quand il a déclaré qu’il faut s’attaquer aux problèmes des infections en éradiquant le microbe. Car contrairement à cela, c’est le terrain qui est la base de l’infection et non les bactéries ou les virus eux-mêmes.
« Le microbe n’est rien ; le terrain est tout », citation de Claude Bernard, éminent professeur de médecine contemporain et opposé à Pasteur.
Aujourd’hui, avec cette pandémie non contrôlée ni combattue à la racine par la médecine allopathique (officielle), on en déduit que Claude Bernard avait raison.
Partant de ce principe, on comprendra aisément que le renforcement du système de protection individuel appelé système immunitaire sera l’objectif prioritaire pour combattre ce Coronavirus. Seul ce système de protection est capable de tuer ce virus en attente d’un hypothétique vaccin ou d’un médicament réellement efficace et sans danger.
De nombreuses recherches sont en cours – liste non exhaustive (avec une possible voie de succès avec l’hydroxychloroquine, un dérivé de la chloroquine, un ancien médicament anti-paludique remis à l’honneur par l’éminent virologue Didier Raoult et peut-être aussi avec un concentré de l’armoise commune ou artemisia qui est également une plante antipaludéenne – expériences menées par des Canadiens).
L’Interféron Alfa 2b
Un médicament antiviral cubain a démontré son efficacité en Chine pour traiter des patients atteints du Coronavirus.
Parmi les 30 médicaments sélectionnés par la Commission nationale chinoise de la santé pour lutter contre le Coronavirus, on retrouve un antiviral cubain : l’Interféron Alfa 2b. Ce médicament est produit en Chine depuis 2003 par l’entreprise cubano-chinoise ChangHeber.
Plus de 1 500 Chinois ont été traités avec succès avec ce produit.
L’Interféron Alfa 2b a démontré son efficacité contre les virus présentant des caractéristiques similaires à celles du Covid-19. Ce médicament permet d’éviter les complications et la multiplication des symptômes chez les patients. Il ne s’agit donc pas d’un vaccin, mais d’un médicament servant à atténuer la gravité de la maladie. Jusqu’à présent, plus de 1 500 Chinois ont été traités avec succès avec ce produit. Plus de 15 pays ont déjà demandé à Cuba le droit de recourir à ce médicament, déjà utilisé au Venezuela, au Panama et au Costa Rica.
C’est en 1981 que Cuba a développé et utilisé pour la première fois des interférons (protéines naturellement produites par les cellules de notre système immunitaire) pour stopper une épidémie mortelle de virus de la dengue. L’isolement de Cuba voulu par les USA a forcé ce pays a effectué des recherches médicales sur des produits naturels efficaces, par manque de médicaments, avec des résultats très encourageants et souvent supérieurs aux recherches conventionnelles américaines. Le potentiel humain en matière de recherche était présent car Cuba possède un haut niveau de culture parmi la population.
Mais en attendant, ce sont des centaines de personnes qui perdent la vie chaque jour. Et il faut réagir très vite.
Le virus est le plus petit de tous les agents pathogènes. Il se compose d’un filament d’acide nucléique protégé par une enveloppe protéique. Il ne dispose donc pas d’un métabolisme propre et n’est pas en état de se reproduire de manière autonome, comme les bactéries : il a absolument besoin de la cellule d’un organisme vivant, l’hôte.
N’étant pas protégées par la peau, nos muqueuses – celles, par exemple, de nos voies respiratoires – sont les cibles privilégiées des attaques virales. Le virus s’accroche à une cellule, y pénètre, envoie son matériel génétique, forçant la cellule à le répliquer, à produire elle-même d’autres virus.
Les virus n’étant pas des cellules comme les bactéries, ils ne peuvent être éliminés de la même manière que celles-ci. Les antibiotiques n’agissent pas sur les infections virales (sauf dans certains cas précis liés par exemple à la pneumopathie – justement cas du Coronavirus ; pour cette raison le professeur Raoult a associé, dans un test récent de traitement par hydroxychloroquine, un antibiotique spécifique).
Le Coronavirus est un virus à structure ARN. Il est possible que les rayons ultraviolets du soleil UVA et UVB « cassent » ou modifient en quelque sorte cette structure (une société allemande travaille sur un vaccin en utilisant les modifications d’ARN ; Trump a voulu racheter très cher le brevet exclusif pour les USA). Cela pourrait laisser entendre que cette pandémie s’atténuerait à partir de l’été. Donc ce n’est pas tant une question de chaleur que de soleil, même si les deux sont souvent liés.
Cela, bien entendu au conditionnel car en principe les virus ne meurent qu’à partir d’une température de 60 degrés. Mais la chaleur pourrait ralentir leurs déplacements. Cependant, on constate par exemple que le Maroc ou l’Algérie commence à subir de plein fouet cette pandémie, or le climat de ces deux pays est beaucoup plus chaud qu’en France, sans parler d’autres nombreux pays également plus chauds dans lesquels ce virus est maintenant bien présent (par exemple l’Espagne).
Je vous propose donc de continuer le tour d’horizon des différentes options possibles.
Avertissement : ces indications ne permettent nullement de tuer le Coronavirus mais de fortifier votre organisme afin de mieux lutter contre lui. Certains, par exemple affirment que l’ail peut tuer ce virus. Cela n’est pas juste. L’ail va contribuer à augmenter votre résistance générale même s’il est reconnu comme étant un puissant virucide et bactéricide.
Les plantes qui augmentent la résistance de votre système immunitaire : Gingembre – ail – citron – cannelle – l’échinacée pourpre – thym – sureau noir – réglisse.
Le gingembre : améliore le système circulatoire en élargissant les artères, activant la circulation du sang et réchauffant le corps en entier. Il active également la transpiration, donc particulièrement indiqué si on a de la fièvre. On utilise principalement sa racine fraîche ou séchée, découpée, hachée ou en poudre. À associer avec du mille-feuilles ou de la fleur de sureau
L’ail : cette plante est connue depuis des temps forts anciens. Formidable plante antivirale et anti-bactéries
Sureau noir : action antivirale directe – empêche la duplication des virus
Échinacée pourpre ou angustifolia : forte action antivirale – canalise la fièvre – à combiner avec le sureau noir (teinture-mère de racines fraîches de préférence) – déconseillée aux jeunes enfants. Cette plante nous vient des Amérindiens qui l’utilisent depuis des centaines d’années
Réglisse – renforce la respiration – antivirale à associer avec du thym – du citron et de la cannelle. La réglisse est déconseillée aux insuffisants cardiaques ou hypertendus.
Les huiles essentielles anti-virales : (les plus puissantes)
Eucalyptus radiata et globulus – estragon – girofle – anis vert – origan – ravinstara
huiles essentielles anti-déficience immunitaire
cannelle de Chine – niaouli – origan – sarriette
voir le docteur Jean-Pierre Willem – meilleur spécialiste en huiles essentielles
Le microbiote et les prébiotiques :
« L’homme sage est celui dont l’intestin fonctionne bien » – Siddhārtha Gautama fondateur du bouddhisme
Le microbiote (anciennement appelé la flore intestinale) est absolument essentiel au bon fonctionnement du corps humain. Il est constitué de 100 milliards de bactéries qui occupent pour la plupart l’intestin grêle et le gros intestin. On en trouve également dans l’estomac et l’œsophage mais en quantité moindre. L’estomac possède un PH de 2, c’est-à-dire extrêmement acide. Quelques bactéries parviennent cependant à survivre dans ce milieu très hostile.
Ces bactéries représentent un poids de 2 kg environ ! Ce sont elles qui vont permettre au corps de fonctionner parfaitement. S’il y a déséquilibre de ce microbiote, la maladie s’installe. Les scientifiques sont désormais convaincus que l’on pourrait assimiler ce système à un deuxième cerveau à l’être humain tant son importance est grande.
L’alimentation est la base de son bon fonctionnement. Et par conséquent de la possibilité de lutter contre toute incursion de toutes bactéries ou virus pathogènes. Je vous laisse regarder sur internet la description d’une alimentation idéale pour entretenir ce microbiote.
La glutamine est l’élément clé son fonctionnement. On en trouve facilement sur internet sous forme de poudre ou gélules pour les personnes désireuses de renforcer ce microbiote. On peut parler également des yaourts. Il faut tout faire pour conserver des intestins en bonne santé et notamment dont la paroi ne fuit pas car dans ce cas, une barrière intestinale trop perméable est la cause de nombreux dérèglements dont certains très graves. Le syndrome de l’intestin qui fuit est la cause de nombreux problèmes de santé.
Docteur Stéphane Résimont – médecine fonctionnelle
Professeur Joyeux : https://professeur-joyeux.com/2014/08/06/role-immunitaire-intestin/
Face à la pénurie de masques orchestrée par ce gouvernement de criminels, on peut réutiliser les masques qui ont déjà servi. C’est de la médecine « de brousse ». On enferme les masques contaminés dans une boîte hermétique pendant 5-6 jours, au sec, et les virus sont tués ! Deuxième solution, on les fait chauffer à 70° pendant une heure dans un four (pas dans un micro-ondes à cause de la barrette métallique pour le nez), la texture des masques résiste très bien à la chaleur jusqu’à au moins 90°. Des médecins pratiquent ainsi car ils n’ont pas le choix. On peut également vaporiser abondamment un mélange d’eau et d’eau de javel (10 %) et laisser sécher durant 2-3 heures.
Comment porter correctement un masque FFP ?
Pour être efficaces, les masques doivent être correctement utilisés. Pour cela :
Se laver les mains
Placer le masque sur le visage, la barrette nasale sur le nez
Tenir le masque et passer les élastiques derrière la tête sans les croiser
Pincer la barrette nasale avec les deux mains pour l’ajuster au niveau du nez
Vérifier que le masque soit bien mis. Pour cela, il convient de contrôler l’étanchéité :
Couvrir la surface filtrante du masque en utilisant une feuille plastique maintenue en place avec les deux mains
Inspirer : le masque doit s’écraser légèrement sur le visage
Si le masque ne se plaque pas, c’est qu’il n’est pas étanche et il faut le réajuster
Après plusieurs tentatives infructueuses, changer de modèle car il est inadapté
Une fois ajusté, ne plus toucher le masque avec les mains
Un masque FFP mal adapté ou mal ajusté ne protège pas plus qu’un masque chirurgical.
Fabrication d’un masque :
On peut fabriquer soi-même un masque avec très peu d’ingrédients. Il y a sur internet de nombreuses vidéos d’explication. Je vous en donne une qui me paraît très simple. Vous prenez deux ou trois épaisseurs de papier genre Sopalin que vous placez l’une sur l’autre. Vous ajoutez une épaisseur qui sera à l’extérieur en papier de soie (pour les emballages délicats). Ce papier de soie à une texture très fine. Vous découpez l’ensemble selon un patron que vous aurez récupéré. Vous fixez l’ensemble avec du scotch large et vous fixez 2 élastiques.
Bien entendu ce masque n’aura pas la capacité de filtration d’un masque FFP2 ou FFP3 mais c’est mieux que rien. Il faut savoir que les masques FFP2 ou 3 ont une porosité de 0,6 micron. Or le Coronavirus mesure 0,1 micron. Donc a priori il devrait passer au travers mais il est projeté sur forme de gouttelettes beaucoup plus grosses. Difficile d’évaluer la porosité du papier de soie mais je dirais environ 2-3 microns. Vous avez également les sacs aspirateurs de type HEPA ou ULPA et beaucoup d’autres choses. Ensuite vous vaporisez le masque de fortune avec par exemple de l’argent colloïdal (qui tue 650 espèces de bactéries et de virus en moins de 5 minutes) et/ou bien quelques gouttes d’huile essentielle de ravinstara ou d’eucalyptus radiata.
Le jeûne :
Le jeûne est sans doute l’une des plus anciennes approches d’autoguérison.
Même dans la nature, les animaux cessent instinctivement de manger quand ils sont malades ou blessés. Le jeûne complet consiste à s’abstenir de tout aliment (solide et liquide), à l’exception de l’eau, pendant une période plus ou moins longue dans le but de reposer, détoxiquer et régénérer l’organisme. Selon ses tenants, le jeûne contribuerait au maintien d’une bonne santé, au même titre qu’une saine alimentation, l’exercice physique et l’équilibre émotif.
Pratiquer le jeûne durant 3 jours par exemple 2 ou 3 fois par an peut être une excellente solution afin de débarrasser son corps de tous les éléments indésirables qui se sont accumulés.
Je vous renvoie vers internet où vous trouverez quantité d’informations sur cette pratique.
L’argile : l’argile qui guérit (presque) tout – qui tue les virus
C’est le naturopathe Raymond Dextreit (1908-2001) avec son livre mondialement connu « l’argile qui guérit », qui a popularisé l’usage de l’argile en médecine alternative. Il a parlé de l’argile en usage externe mais sa fille Micheline ainsi que le docteur Jade Allègre ont complété l’usage de l’argile en interne. Jade Allègre, tout d’abord naturopathe, a passé son doctorat de médecine en 2012 avec un mémoire consacré à l’argile.
(http://jade-allegrecom/publications/These_Jade_Allegre.pdf)
Cette remarquable femme médecin, dite médecin aux pieds nus, a passé une bonne partie de sa vie à se rendre chez les peuples pauvres afin de pratiquer sa science de la guérison par l’argile.
Micheline Dextreit :
Jade Allègre :
Devenez géophage, mangez de l’argile :
https://www.alternativesante.fr/argile/devenez-geophage-mangez-de-l-argile
Jade Allègre nous rappelle que depuis l’avènement des animaux et des hommes sur terre, ceux-ci ont toujours consommé de l’argile. Intervention passionnante de ce médecin.
La liste des éléments qui peuvent fortifier votre organisme afin de mieux combattre ce virus peut être encore longue, je vous renvoie à d’autres recherches. Merci de me faire part de vos remarques et observations.