Sommes-nous dirigés par des sauveurs ou des fossoyeurs ?

Riposte Laïque.

Dupés par le grand show macronien aux postures gaulliennes, aux effets de style cataclysmique : « Nous sommes en guerre… Nous sommes en guerre… », les Français plébisciteraient le Président. Réaction à laquelle on pouvait s’attendre de la part d’un peuple apeuré, désemparé, qui, face à une situation dramatique, a besoin d’un sauveur.

Certes, il s’agit aujourd’hui de faire face, de prendre des mesures draconiennes et de rassembler toutes nos ressources et toute notre énergie pour enrayer, sinon contenir l’épidémie. Ainsi a-t-on fermé cafés, restaurants, commerces, crèches, écoles, lycées, universités, théâtres, cinémas, salles de concerts, musées, entreprises diverses… mettant la France à genoux. Paris, aujourd’hui ville morte, offre le même aspect désolé que sous l’Occupation. Pourtant, la fréquentation indispensable des pharmacies, cabinets médicaux, magasins d’alimentation, marchés…, ne comporte-t-elle pas elle aussi des risques de contamination ? On a parallèlement raréfié les transports en commun sans toutefois les arrêter complètement sous peine de paralyser complètement la vie de Paris et du pays.

Véran, le nouveau ministre de la Santé (Agnès Buzyn qui, en service commandé, lui avait, avec réticence, cédé sa place pour une poignée de figues électorales, révèle aujourd’hui avoir alerté Macron en vain le 10 février) a déclaré que le confinement « durera autant qu’il faudra », voire qu’il allait se durcir. Alors, pourquoi le même Véran affirmait-il, le 24 février, « qu’il n’y a pas ce soir de circulation de virus sur le territoire national » !

Que va-t-il rester de l’économie française déjà mal en point après les délocalisations sauvages qui, mondialisme oblige, ont détruit notre industrie et bien d’autres secteurs économiques, et nous a soumis à la Chine qui produisait, à bas prix, nos masques et nos médicaments génériques ? Mais, du fait de l’épidémie en Chine, les exportations ont cessé durant des mois. D’où notre cruelle carence en matière de protection. Une précarité que le gouvernement tente de faire oublier en ranimant quelques entreprises subsistant en France, en raclant de vieux stocks, et en commandant des masques à l’étranger qui devraient arriver incessamment sous peu.

Face au confinement, des voix discordantes se font entendre : ainsi Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, invitait récemment les libraires à rouvrir, sans doute pour obéir à son maître qui, dans son discours guerrier, évoquait « le caractère essentiel du livre et de la culture », alors qu’en 2017, il affirmait qu’il n’y avait pas de culture française. Mais la culture n’étant pas forcément leur tasse de thé, nos piètres politiques pourraient s’interroger sur ces lecteurs que, tout à coup, ils adulent. Alors, sont-ils capables d’imaginer que ceux-ci attendent la réouverture des librairies pour découvrir les livres ou pour en posséder ? La réponse des libraires fut cinglante : comment rouvrir alors que la pénurie de masques les obligerait à travailler sans protection ? Exit de la posture culturelle.

Le 20 mars, Bruno Le Maire, assisté de Macron, sonne le rappel des troupes dans les entreprises, et le chef de l’État, qui avait demandé aux Français de rester chez eux, exhorte maintenant les entrepreneurs et leurs salariés à poursuivre leur activité. C’est clair, le pouvoir veut remettre la France au travail et éviter un arrêt de l’économie déjà bien malade. De plus, le confinement de tout un pays ne saurait se prolonger au-delà de quelques semaines.

Le lendemain, dans un entretien remarquable au Figaro, Henri Guaino qui, lors de la crise de 2008, avait joué un rôle important dans le sauvetage des économies européennes, souligne l’extrême fragilité de nos sociétés où, comme en 2008, « la peur et la panique, la violence qu’elles peuvent engendrer sont un risque épidémique tout aussi dangereux que celui de la maladie ». Il rappelle qu’à la différence de « l’économie de guerre qui mobilise toutes les ressources qui peuvent produire, l’économie du confinement [où nous sommes désormais] qui retire de plus en plus de ressources à la production » risque de conduire à « l’effondrement de l’économie [qui] ajouterait la catastrophe à la catastrophe ». Et, conclut-il, « quelque chose comme La Peste de Camus qui aurait quitté l’imaginaire romanesque pour s’installer dans notre vie quotidienne ». Une situation pouvant déboucher sur des affrontements barbares, impitoyables.

Combien de temps, en effet, l’État pourra-t-il maintenir la France en perfusion : aides aux innombrables PME en difficulté, aux agriculteurs, aux éleveurs, aux pêcheurs (encore que certaines mesures restrictives laissent de côté nombre d’entreprises, ou se contentent de reporter les échéances), aux salariés mis en chômage technique, sans parler du budget Santé en explosion… ? Sans doute en s’endettant un peu plus et franchir sous peu la barre de 3 000 milliards d’euros. Parallèlement, l’UE annonce un plan d’urgence de 750 milliards d’euros pour soutenir l’économie face au Coronavirus. La planche à billets fonctionne mais risque à terme de dévaluer l’euro.

Si les libraires soulignent l’absence de protection due à la pénurie de masques, que dire des récriminations du personnel soignant, admirable de courage et de dévouement, dont les questions sont restées longtemps sans réponse, des policiers, des pompiers, des militaires, du personnel des magasins d’alimentation, des ouvriers d’entreprises encore en marche ?… Bravo la prévoyance car, pour gagner une guerre, encore faut-il la préparer.

Certes, Emmanuel Macron n’est responsable qu’en partie de cette pénurie. En effet, en 2005, après la grippe aviaire et l’épidémie grippale, avait été constitué un stock d’un milliard de masques chirurgicaux et de 600 millions de masques FFP2. Mais le gouvernement Sarkozy a sans doute estimé que ces stocks ne s’imposaient plus, la production, notamment chinoise, étant jugée suffisante. En 2011 il fut décidé que l’État n’avait pas à renouveler les stocks, mais plutôt à les réduire, mission confiée au ministre de la Santé de l’époque, Xavier Bertrand, aujourd’hui satrape des Hauts-de-France (avec la complicité de la gauche), politicien parfaitement représentatif des combinazione pour garder le pouvoir et ses privilèges. Ce même Xavier Bertrand, qui a sonné le glas de la prévention, n’hésite pas, dans Le Figaro du 21 mars, à se dédouaner sur ses successeurs en prophétisant que « les moments les plus difficiles sont devant nous ». Ne les aurait-il pas quelque peu préparés ?… Mais ni Hollande ni le Macron de 2017 n’ont eu un instant l’idée de renouveler ces stocks, si bien qu’Olivier Véran avouait n’avoir trouvé, en 2020, que 145 millions de masques chirurgicaux (sur un milliard) et des stocks nuls de FFP2 (sur 600 millions).

Quant au traitement de la crise, il est lui aussi ubuesque : dans un premier temps, le pouvoir laisse faire et maintient les vols et les entrées sur le territoire (il est vrai que le Président est un fervent défenseur de l’Europe de Schengen et un fourrier de la mondialisation), alors que d’autres pays européens ont fermé leur territoire.

Le docteur Véran ironise sur le fait que le virus se rit des frontières ; sans doute, mais quid des entrants – migrants compris – qui peuvent être contaminés et contaminer, ce qu’il oublie de dire. Il n’est qu’à voir la façon dont la Corée du Sud, le Japon, Singapour, Taïwan ont fait face : 1/ en fermant les frontières, 2/ en généralisant le port du masque, 3/ en pratiquant systématiquement le test de dépistage pour écarter les personnes positives et les placer en quarantaine. Bilan : ces pays ont enrayé l’épidémie. Nous, en revanche, manquons cruellement de masques, de matériel de dépistage, de gel hydroalcoolique, sans parler du matériel d’assistance respiratoire… et laissons nos frontières ouvertes. On attend que les Français soient massivement infectés et malades pour faire le tri, alors qu’il fallait le faire avant. Résultat : une contamination vertigineuse alors que seul l’endiguement eût été efficace et eût évité la mise en quarantaine de tout un pays pour seulement quelques milliers de cas. Ce qui semble une mesure de bon sens, mais nos politiques savent-ils seulement ce que c’est ?

Pourtant les systèmes d’alarme n’ont pas manqué, ce que rappelait Le Figaro du 20 mars :

– En 2008, le Centre d’analyses prospectives de la CIA et de la Communauté de renseignement américain alertait sur « l’émergence d’une maladie respiratoire humaine hautement transmissible et pour laquelle il n’y aurait pas de contre-mesure adéquate [et qui] pourrait déclencher une « pandémie mondiale » […] Elle apparaîtra probablement dans une zone densément peuplée, où les animaux et les hommes vivent à proximité les uns des autres, comme en Chine ou en Asie du Sud-Est. […] Dans un tel scénario, une capacité de surveillance sanitaire insuffisante au sein de la nation d’origine empêcherait probablement l’identification précoce de la maladie. La lenteur de la réaction de la santé publique retarderait la prise de conscience de l’émergence d’un agent pathogène hautement transmissible. […] Malgré les limites imposées aux voyages internationaux, des voyageurs présentant des symptômes bénins ou asymptomatiques pourraient transporter la maladie vers d’autres continents. »

– La même année, en France, le Livre blanc de la Défense évoque « les désorganisations sociales que peuvent provoquer de nouveaux types d’épidémies où les accidents climatiques violents font partie des risques d’ampleur nouvelle qui pèsent sur la collectivité nationale et peuvent provoquer de nouveaux types d’épidémie ».

– Le Livre blanc de 2013 enfonçait le clou, le risque s’étant amplifié : « En matière sanitaire en raison de « la circulation des personnes et des marchandises, la concentration des populations dans les mégapoles et les défaillances des systèmes de santé dans certaines zones [qui] favorisent la survenue de crises majeures. Le risque existe d’une nouvelle pandémie fortement pathogène et à forte létalité, résultant par exemple de l’émergence d’un nouveau virus franchissant la barrière des espèces ou d’un virus échappé d’un laboratoire de confinement. »

– La revue stratégique en 2017 reprendra ces analyses. Et la même année, Bill Gates, milliardaire recyclé en militant humanitaire, lançait un cri d’alarme à la Conférence sur la sécurité de Munich : « Une chose est à peu près certaine, une pandémie mondiale fortement mortelle arrivera durant notre vie. » Et il importe de s’y préparer « comme les militaires se préparent à la guerre ».

Mais, bien sûr, les différents pouvoirs n’ont rien vu, rien entendu, préférant donner la priorité aux porte-parole du lobby LGTB, du mariage pour tous, de la PMA, de la GPA, aux adorateurs du transgenre, de l’écriture inclusive, à l’écolo-potiche Greta, aux militants bien-pensants EELV, aux féministes radicales, aux multiculturalistes, aux racialistes, aux Indigènes de la République, tout en s’acharnant sur l’école, la famille, l’histoire et la culture nationales, les retraites, en menant la guerre aux Gilets jaunes, en endormant, en intoxiquant…

Il faut dire que ces prévisions alarmistes remettaient en cause le mythe de la « mondialisation heureuse » révérée par Son Excellence élyséenne et vénérée par la Communauté européenne dont l’action dans la crise sanitaire est pourtant d’une exceptionnelle inefficacité. Ce qui montre une fois encore (cf. la crise migratoire et les pressions d’Erdogan) que « l’Europe qui protège » est plutôt une Europe de profiteurs et de prédateurs, un « machin » bureaucratique qui ne sert à rien sinon à détruire les États qu’il emprisonne dans ses dogmes absurdes. Prévisions inacceptables visant la vache sacrée mondialiste, bien plus grave à leurs yeux que les risques d’épidémies ou d’attaques bactériologiques, l’augmentation vertigineuse de la délinquance, du deal et de la violence, l’islamisation de la société…

L’argent et la paix sociale d’abord, la nation et les Français ensuite. Ce faisant, notre pays comme d’autres pays européens s’est offert en pâture à la pandémie, comme il s’offre aujourd’hui, dans les quartiers sensibles (désignation politiquement correcte des territoires perdus de la République), aux attaques des voyous et dealers qui profitent de l’épidémie pour affirmer leur domination et exercer leur business en toute impunité.

Alors, sauveurs ou fossoyeurs ?…

Les Algériens, eux aussi frappés par le virus, ont gardé le sens de l’humour, du moins les citoyens lucides, attachés à la laïcité et à la liberté de conscience, à des années-lumière des bigots de l’islam et autres fanatiques arriérés avec lesquels, pourtant, ils doivent cohabiter. Algériens qui font preuve d’un étonnant courage : peut-on comparer un seul instant les positions des écrivains Samsal et Daoud, de la journaliste Zineb El Rhazoui, tous menacés de mort, avec nos collabos thuriféraires de l’islam : Plenel, Badiou, Ben Bassa et autres ennemis de la République et de la laïcité ? Comme me le confiait au téléphone un ami algérien pince-sans-rire, l’épidémie du Coronavirus ne doit pas faire oublier celle du Coran-à-virus qui elle aussi progresse, contamine et risque de profiter du grand chambardement pour poursuivre sa conquête de l’Occident.

Max Chaleil

Privé : ils ont des lits, du personnel, des masques, mais pas de patients !

Riposte Laïque.

Somme-nous dirigés par des fous ? Macron, Véran et Salomon, ce trio infernal sait-il où ils va ? Y a-t-il encore un pilote dans l’avion ?

On n’a jamais vu pareille incompétence et autant de mensonges. Tout n’est que volte-face, incohérence, demi-mesures. Mais comment font les Chinois, les Sud-Coréens et les Allemands ? Les imiter, est-ce si difficile ?

Alors que l’hôpital public est saturé et manque de tout, alors que des patients meurent faute d’équipements suffisants, on apprend que le secteur  privé attend désespérément  les malades devant des lits vides !!

https://www.huffingtonpost.fr/entry/coronavirus-les-hopitaux-prives-veulent-etre-requisitionnes_fr_5e777307c5b6f5b7c5461687

À croire que ce gouvernement fait tout pour sacrifier des vies. Macron se pose en chef de guerre, fait beaucoup de visites mais décide peu. Chaque soir on compte les morts.

Pendant que le professeur Raoult sauve des vies avec son traitement contre le Covid-19, le gouvernement tergiverse à cause des possibles effets secondaires. Mais entre la mort et le risque d’effets secondaires, que choisira le patient contaminé ?

Le refus de généraliser les tests pour ne confiner que les personnes contaminées n’est toujours pas d’actualité.

Mais revenons au secteur privé qui est réellement  prêt mais n’a pas de patients ! Voici ce que dit  le directeur d’une clinique privée de Vienne.

« Nous avons créé 9 lits de réanimation… nos 9 anesthésistes-réanimateurs sont mobilisés. Nous avons 3 semaines de stock de masques. Tout le personnel est prêt mais les lits sont vides ! »

« Si on veut éviter ce qui s’est passé dans le Grand Est, il faut inclure le privé dans le dispositif, ne pas concentrer tous les patients dans le public. »

« Nous sommes prêts, utilisez-nous », clame le secteur privé. Ce sont des centaines d’établissements disponibles qui attendent  de s’engager dans le combat.

« Dans les cliniques, nous avons déprogrammé 100 000 interventions chirurgicales, ce qui a permis de libérer 4 000 lits pour des patients atteints du Covid-19 », déclare  Lamine Gharbi, patron de la FHP.

C’est une course contre la montre, pourtant l’exécutif refuse de recourir au secteur privé. Pourquoi ? Mystère.

On transporte des malades du Grand Est en hélicoptère vers Toulon, d’autres en avion vers Bordeaux, d’autres en Allemagne, alors que des places restent libres dans les cliniques locales.

On monte un hôpital de campagne de 30 lits, mais les cliniques de la région sont vides.

Mais que signifie cette gestion lamentable des moyens ? On nous parle d’unité nationale et les secteurs de santé public et privé ne travaillent même pas main dans la main !!

Le patron de la Fédération de l’hospitalisation privée prévient :

« Ne reproduisons pas le drame du Bataclan, où l’on avait submergé les hôpitaux publics, alors que le privé attendait dès 23 heures dans ses blocs. »

Et pendant que les cliniques privées attendent désespérément qu’on les sollicite, dans le Grand Est, faute de lits de réanimation en nombre suffisant, on trie les patients. La « réa », c’est dorénavant réservé aux patients qui ont le meilleur potentiel de guérison.

Nous sommes dirigés par des fous criminels.

Le bon sens populaire, dans une France devenue folle

Source, Riposte Laïque

Voici quelques décennies, une banque verte connue avait pour mot d’ ordre le bon sens. A voir sa situation actuelle, elle a dû en manquer. Hélas, le même constat vaut pour le gouvernement macrophilippard de bras cassés et cons finis du maquereau macron en langue picarde.

Le bon sens ne règne plus partout mais plutôt le désordre et le sabotage érigés en système de gouvernement:
– alors que tous nos voisins ont fermé leurs frontières depuis longtemps, les nôtres demeurent grandes ouvertes à tout va…
– les Français sont confinés à l’ insu de leur plein gré et sont rackettés le plus subjectivement possible…
– c’ est ainsi que des SDF à la rue ont été verbalisés un peu partout en France…
– le personnel médical et soignant manque de masques et de protections comme de gel hydroalcoolique et il en est de même pour les malades… comme pour les (encore) bien portants ou les malades qui s’ ignorent…
– les stocks stratégiques de masques FFP1 et FFP2 ont disparu… et les reliquats d’ environ 17 tonnes ont été offerts à la Chine… quant aux tests de dépistage au nombre de 5000 ils sont partis en Algérie… cela permettra de ne pouvoir en faire en France afin d’ isoler les malades et éviter de confiner les biens portants… comme l’ a fait avec succès la Corée du Sud…
– par contre aucune aide pour l’ Italie durement éprouvée en sus de faire face à l’ invasion des clandestins… et c’ est la Russie de Monsieur Vladimir POUTINE qui organise un pont aérien médical avec plusieurs brigades médicales et tout le nécessaire pour intervenir efficacement en Italie… jusqu’ à Cuba qui y missionne une cinquantaine de médecins aguerris…
– le Pr Didier RAOULT a mis au point un traitement efficace contre le coranovirus à base de chloraquine associée à un antibiotique lequel a été éprouvé en Chine et que les USA achètent massivement mais les bras cassés cons finis du gouvernement macrophilippard du maquereau macron en langue picarde n’ en veulent pas et l’ ont même déclaré vénéneux alors même que la chloraquine est utilisée depuis des décennies contre le paludisme et les infections tropicales  avec succès et se trouvait être en vente libre dans les pharmacies depuis tant de décennies d’ où elle vient de disparaître… à croire que de puissants intérêts sont à la manœuvre et ce ne serait pas la première fois…
– les policiers semblent disposer notamment de masques mais ils ont reçu l’ ordre de ne point les arborer…
– d’ habiles commerçants disposent d’ importants stocks de masques, de protections et de gel hydroalcoolique qu’ ils proposent parallèlement à leurs produits inscrits au tableau B… ce qui est plutôt cohérent car une clientèle saine et sauve continue à consommer…
– le confinement imposé va être prolongé et renforcé… mais les Gilets jaunes seront affamés depuis longtemps…
– le gouvernement macrophilippard du maquereau macron en langue picarde ne perd pas le nord en créant une nouvelle surtaxe de 0,2 % avec un minimum de 15 euros sur toute créance fiscale payée en espèces ou par chèque… ni vu ni connu…
– les Chinois construisent deux hôpitaux de 1000 lits chacun en dix jours à Wuhan… mais l’ hôpital militaire de campagne promis en Alsace pour la fin du mois ne sera pas encore prêt et des 60 lits prévus il risque d’ en manquer la moitié…
– il n’ y a pas d’ argent pour la santé des Français mais, “en même temps”  de l’ argent à profusion pour la pma pour toutes et la gpa pour tous…

Certes, la France bénéficie encore d’ un personnel médical et soignant compétant, débrouillard, dévoué, innovant, méritant, performant et surexploité mais le gouvernement macrophilippard du maquereau macron en langue picarde a achevé de détruire le système français de santé que le monde entier nous enviait…. comme il l’ a fait du système éducatif français lui aussi le meilleur du monde et que le monde entier nous enviait mais qui se traîne désormais dans les profondeurs des classements internationaux.

Heureusement que le bon sens triomphe encore loin de l’ Elysée squatté et avili par le maquereau macron en langue picarde.

« On nous a menti (…) Depuis des semaines, on nous dit que les masques et les tests ne servent à rien. Aujourd’hui, Véran dit l’inverse »