Si vous attrapez le virus, faut-il vraiment aller à l’hôpital ?

Riposte Laïque

Une question : savez-vous comment on soigne les malades du Coronavirus à l’hôpital ?

Qui s’est déjà posé cette question ? Réponse : on ne les soigne pas car on n’a aucun remède efficace ! On vous met dans une chambre, (stérile ou pas), quand il y en a une de libre et on vous donne des anti-douleurs de type paracétamol, et puis… et puis c’est tout ! On attend que la nature fasse son travail, la mort ou le rétablissement. Alors restez chez vous si vous êtes malade, d’autant qu’à l’hôpital, si vous n’étiez pas positif, vous êtes certain de le devenir là-bas ! Entre mourir dans un couloir d’hôpital, abandonné et mourir dans son lit…

Bon, la solution : renforcez vos défenses immunitaires avec de la vitamine C, du chlorure de magnésium – le chlorure de magnésium fixe la vitamine C. On le trouve en magasin bio ou sur internet et est vendu souvent sous le nom de nigari (cela sert à faire coaguler le lait de soja pour faire du tufu, fromage japonais. Mélangez 20 grammes de magnésium à un litre d’eau ; effet garanti. Cela coûte 5 euros le kilo. De la vitamine C vous en trouvez également sur internet, cela coûte 25 euros le kg. Prenez-en environ 8 grammes par jour. Ou alors encore mieux achetez de la vitamine C liposomale ou fabriquez-la (beaucoup de vidéos sur internet). Achetez de l’huile essentielle de ravinstara – très puissante contre les virus et mettez quelques gouttes dans un masque ou sur un morceau de papier genre sopalin et respirez durant 5 minutes – refaites cela toutes les heures. Achetez de l’argent colloïdal et buvez-en – L’argent est connu depuis des centaines d’années pour assainir l’eau. Les premiers colons américains mettaient des pièces d’agent dans leur eau pour la purifier. La NASA utilise des filtres à base d’argent pour purifier l’eau dans les capsules spaciales. L’argent tue les bactéries et les virus. Achetez de l’eau oxygénée et buvez-en un verre. Attention vous commencez par une goutte dans de l’eau puis vous augmentez la dose progressivement – regardez sur internet la façon de procéder. Il y a quantité d’autres remèdes à voir sur internet. Cela vaudra mieux que tous ces charlots de pseudo-spécialistes bardés de diplômes qui n’y connaissent rien, vous font miroiter des vaccins qui n’arriveront jamais ou alors dans deux ans et sont incapables de vous soigner.

Quant aux produits pour vous laver les mains. L’eau de javel est un excellent tueur de virus. Cela coûte trois francs six sous. Mettez quelques gouttes dans votre réservoir de savon lave-mains.

Pour les masques, fabriquez-les si vous n’en trouvez pas (modèles sur internet). Sinon vous pouvez utiliser des filtres à aspirateur de type HEPA ou même mieux ULPA qui filtre les micro particules. Il faut savoir que ce coronavirus est très petit, de l’ordre de 0,1 micron. Mais il ne peut se déplacer seul. Il doit absolument le faire avec des gouttelettes (de salive de toux etc.) donc, en fait, vous arrêtez les gouttelettes et vous stoppez le virus. Ensuite placez quelques gouttes d’huile essentielle de Ravinstara dans le masque. vous pouvez utiliser aussi des filtres à charbon activé sous forme de plaque de mousse à découper qui sont utilisées pour les hottes de cuisine et les inclure à l’intérieur du masque.

Dans une revue médicale, je viens de lire une info datée du 5 mars 2020 qui vient directement d’un médecin pédiatre belge qui travaille à Shangaï et qui est donc observateur direct de l’évolution du virus depuis le début. Il déclare plusieurs choses assez inquiétantes. Je résume :

1° la période d’incubation du virus peut s’étendre jusqu’à 27 jours (et non 14). Ce qui veut dire d’après lui que de nombreux cas infectés circulent et pour le moment ne sont pas déclarés ! Donc pandémie certaine à venir… Le nombre de cas va rapidement exploser

2° Il a été constaté, contrairement à ce que l’on entend ici ou là, que la maladie se déclare très souvent par un simple rhume, enfin ce que l’on croit être un simple rhume et plus rarement par de la fièvre de la toux etc.

3° Que de nombreuses personnes sont infectées et ne ressentent rien alors qu’elles représentent évidemment un danger énorme pour elles-mêmes mais surtout pour les autres

4° Que le gouvernement chinois a mis en place des mesures absolument guerrières pour endiguer ce virus et que désormais on commence à voir apparaître une réelle diminution des cas. Il déclare qu’il faudrait procéder de même dans nos pays mais que cela sera impossible à cause de notre système démocratique et des libertés individuelles. Il indique donc que cette pandémie va devenir un véritable fléau par manque d’anticipation de nos gouvernants et pas notre incapacité d’utiliser le même système qu’en Chine. Voilà, pas du tout rassurant tout cela !

Ce gouvernement de charlots est confirmé maintenant comme un gouvernement criminel. Depuis début janvier, on savait qu’il se passait quelque chose de grave en Chine. J’en suivais l’évolution. Fin janvier, la sonnette d’alerte était enclenchée. Que faisaient ces branquignols au gouvernement ? La Buzyn qui annonçait fièrement que « tout va bien Madame la marquise… » Le Macron qui pensait plutôt à son maquillage à 20 000 euros !

Et pendant ce temps-là le virus se développait à grands pas. Il était évident qu’il allait se répandre partout dans le monde au vu du nombre de déplacements gigantesques journaliers. Le virus ne connaît pas de frontières.

Et voilà qu’on nous refait le coup de Tchernobyl ; il va s’arrêter à nos frontières !

Résultat, plus de masques pour les médecins qui sont en première ligne, et bien entendu plus de masques pour la population. Des manifestations sportives ou religieuses encore récemment maintenues.

Dans mon coin, aucune information concernant la population ; tout le monde se balade sans aucun masque. Et voilà que l’autre beau parleur incompétent au ministère de la Santé qui nous dit que le masque ne sert à rien si on est en bonne santé !

Non mais c’est quoi, ce gouvernement … ! Gouverner c’est prévoir, tu parles…

Chirac a eu tellement de casseroles au derrière qu’il aurait pu facilement remplacer celles d’un grand restaurant mais il a fait au moins une bonne chose : instaurer le principe de précaution dans la Constitution.

Ce gouvernement, en plus, ne sait pas lire…

Le film « de Gaulle » évoquera-t-il les phrases “sur les races” du Général ?

Riposte Laïque

« L’homme providentiel ». L’icône d’une très grande majorité de Français. Celui qui a dirigé la résistance derrière son micro, à Londres et qui ne doit sa « gloire » politique qu’au patriotisme d’un Juif (le ministre Georges Mandel, qui sera assassiné par des miliciens) qui, justement parce qu’il était juif, a refusé de quitter la Patrie en danger, et laissé ainsi sa place, dans l’avion qui l’attendait, à un de Gaulle opportuniste, déçu de ne pas avoir été retenu comme ministre de la Défense du nouveau gouvernement Pétain.

Mon livre « J’accuse de Gaulle » retrace sa remarquable carrière « politique » car il est préférable de passer sous silence sa « brillante » carrière militaire.

Sur les écrans de France s’affiche le film « De Gaulle ».

Est-ce que dans ce film seront rappelées ses phrases et ses commentaires qui, aujourd’hui, le catalogueraient comme « raciste » et « antisémite » ? Non, bien évidemment. Il convient donc de s’en souvenir.

« Sur le plan ethnique, il convient de limiter l’afflux des Méditerranéens et des Orientaux, qui ont depuis un demi-siècle profondément modifié les compositions de la population française. Sans aller jusqu’à utiliser, comme aux États-Unis, le système rigide des quotas, il est souhaitable que la priorité soit accordée aux naturalisations nordiques (Belges, Luxembourgeois, Suisses, Hollandais, Danois, Anglais, Allemands, etc.) » (Le 12 juin 1945, ses directives au garde des Sceaux).

« De toute façon, l’Algérie française, c’est une fichaise et ceux qui préconisent l’intégration sont des jean-foutre. C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une minorité sinon la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même, avant tout, un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu’on ne se raconte pas d’histoires ! Les musulmans, vous êtes allé les voir ? Vous les avez regardés, avec leurs turbans et leurs djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français ! »

« Qu’est-ce que les Arabes ? Les Arabes sont un peuple qui, depuis les jours de Mahomet, n’ont jamais réussi à constituer un État. Avez-vous une digue construite par les Arabes ? Nulle part. Cela n’existe pas. Les Arabes disent qu’ils ont inventé l’algèbre et construit d’énormes mosquées. Mais ce fut entièrement l’œuvre des esclaves chrétiens qu’ils avaient capturés. Ce ne furent pas les Arabes eux-mêmes. Ils ne peuvent rien faire seuls. »

« Il est impossible d’accueillir au Palais Bourbon cent vingt députés algériens. La Patrie deviendrait la colonie de ses colonies. »

« Les Arabes, les Kabyles, les Mozabites, les Juifs ? Ces gens-là ne font pas partie de notre peuple. »

Au général Allard : « Mais enfin Allard, vous n’imaginez tout de même pas qu’un jour, un Arabe, un musulman, puisse être l’égal d’un Français ! Voyons ! C’est impensable. »

Au député Raymond Dronne : « Voulez-vous être bougnoulisé ? Voyons, Dronne ! Donneriez-vous votre fille à marier à un bougnoule ? »

« Nous avons une responsabilité, celle de jouer le rôle de la France. Ce rôle, dans mon esprit comme dans le vôtre, se confond avec un rôle chrétien. Notre pays ne serait pas ce qu’il est, c’est presque banal de le dire, s’il n’était pas d’abord un pays catholique. » (Discours de Rome, le 27 juin 1959)

« L’élément décisif pour moi, c’est que Clovis fut le premier roi à être baptisé chrétien. Mon pays est un pays chrétien et je commence à compter l’histoire de France à partir de l’accession d’un roi chrétien qui porte le nom des Francs. »

Au général Koenig : « Évidemment, lorsque la monarchie ou l’empire réunissait à la France l’Alsace, la Lorraine, la Franche-Comté, le Roussillon, la Savoie, le pays de Gex ou le Comté de Nice, on restait entre Blancs, entre Européens, entre chrétiens. Si vous allez dans un douar, vous rencontrerez tout juste un ancien sergent de tirailleurs parlant mal le français. »

Au député Delbecque, organisateur de son arrivée à Alger en 1958 : « Et puis, Delbecque, vous nous voyez mélangés avec des musulmans ? Ce sont des gens différents de nous. Vous nous voyez mariant nos filles avec des Arabes ? »

« Les Arabes, pour détruire les ponts, ça va. Mais pour les construire ! Avez-vous vu un Arabe construire un pont ? Les Arabes n’ont jamais rien construit, jamais un pont, jamais un port, jamais une usine, jamais un chemin de fer. Cela n’est jamais arrivé. Il y a peu de chances pour que cela arrive maintenant. Ils ont besoin de nous. »

Au député algérois Marc Lauriol : « Ces gens-là sont des Arabes, ils ne nous aiment pas, nous n’en voulons pas. »

Au ministre Joxe, en mars 1962 : « Alors, Joxe, vous avez bientôt fini avec vos bicots ? »

À Jacques Foccart (l’Africain), le 8 novembre 1968 : « Vous savez, cela suffit comme cela avec vos nègres. Vous me gagnez à la main, alors on ne voit plus qu’eux : il y a des nègres à l’Élysée tous les jours, vous me les faites recevoir, vous me les faites inviter à déjeuner. Je suis entouré de nègres, ici. Foutez-moi la paix avec vos nègres. Je ne veux plus en voir d’ici deux mois, vous entendez ? Ce n’est pas en raison du temps que cela me prend, bien que ce soit déjà fort ennuyeux, mais cela fait très mauvais effet à l’extérieur : on ne voit que des nègres, tous les jours, à l’Élysée. Et puis je vous assure que c’est sans intérêt. »

Raconté par son fils, Phillipe : « Si une communauté n’est pas acceptée, c’est qu’elle ne donne pas de bons produits, sinon elle est admise sans problème. Si elle se plaint de racisme à son égard, c’est parce qu’elle est porteuse de désordre. Quand elle ne fournit que du bien, tout le monde lui ouvre les bras. Mais il ne faut pas qu’elle vienne chez nous pour imposer ses mœurs. »

« J’attire votre attention sur un problème qui pourrait devenir sérieux. Il y a eu 40 000 immigrants d’Algérie en avril. C’est presque égal au nombre de bébés nés en France pendant le même mois. J’aimerais qu’il naisse plus de bébés en France et qu’il vienne moins d’immigrés. Vraiment, point trop n’en faut ! Il devient urgent d’y mettre bon ordre. » (En avril 1962)

« Ceux qui prônent l’intégration ont une cervelle de colibri, même s’ils sont très savants. Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront peut-être vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisons l’intégration, si tous les Arabes et les Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s’installer en métropole alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées ! » (Le 5 mars 1959)

À Alain Peyrefitte : « L’intégration, c’est une entourloupe pour permettre que les musulmans qui sont majoritaires en Algérie à dix contre un, se retrouvent minoritaires dans la République française à un contre cinq. C’est un tour de passe-passe puéril ! Avez-vous songé que les Arabes se multiplieront par cinq, puis par dix, pendant que la population française restera presque stationnaire ? Il y aurait deux cents, puis quatre cents députés arabes à Paris ? Vous voyez un président arabe à l’Élysée ? »

« On a prétendu faire des nègres de bons Français. C’est beau l’égalité, mais ce n’est pas à notre portée. Vouloir que toutes les populations d’outre-mer jouissent des mêmes droits sociaux que les métropolitains, d’un niveau de vie égal, ça voudrait dire que le nôtre serait abaissé de moitié. Alors puisque nous ne pouvons pas leur offrir l’égalité, il vaut mieux leur donner la liberté ! Bye Bye, vous nous coûtez trop cher ! »

« Les Noirs sont de braves bougres. Ils ne sont pas animés par la même passion, par la même haine que les Arabes. Il n’y a pratiquement pas de Noirs en dehors de l’Afrique noire, alors que le mouvement pan-arabe va bien au-delà du Maghreb. Mais vous comprenez bien que lorsque l’Afrique du Nord sera perdue, le même intérêt n’existera plus. Les Arabes sont d’habiles politiques. Ils sont habiles comme des mendiants. »

Le 3 avril 1962, lors d’un conseil des ministres : « On ne peut pas accepter de replier tous les musulmans qui viendraient à déclarer qu’ils ne s’entendront pas avec leur gouvernement ! Le terme de rapatriés ne s’applique évidemment pas aux musulmans, ils ne retournent pas dans la terre de leurs pères ! »

« Les harkis… ce magma qui n’a servi à rien et dont il faut se débarrasser sans délai. »

Le FLN et l’ALN se sont chargés de l’en débarrasser par dizaines de milliers, auxquels s’ajoutent tous les Français assassinés entre le 26 mars et fin juillet 1962.

Ne manquez pas d’aller voir de Gaulle : « L’homme qui a fait tuer le plus de Français par des Français. » (De son propre aveu à Pompidou).

Grèce : À la frontière, des citoyens patrouillent pour « éviter l’invasion » de migrants, « Si un accident doit arriver, il arrivera ! »

A la nuit tombée, dans le village de Poros, dans le Nord-Est de la Grèce, les tracteurs sont à l’arrêt et les rues désertes. Sakis, vêtu d’un treillis militaire, se rend le long du fleuve Evros, à la frontière avec la Turquie, « pour défendre les portes de la Grèce et de l’Europe ».

Au bout de ce petit bourg agricole, le fleuve, relativement étroit, reste un point privilégié de passage des réfugiés entrant en Grèce. Depuis la décision de la Turquie d’ouvrir ses portes, le 28 février, policiers lourdement équipés, agriculteurs, éleveurs, chasseurs et pêcheurs bloquent tout accès.

Rassemblés autour d’un feu improvisé, ils veulent « éviter l’invasion », explique Sakis, un agriculteur de 38 ans. Fusil de chasse sur le dos, l’heure est venue de quadriller le secteur.

« J’ai très peu dormi depuis. Jour et nuit, je fais des rondes avec ma voiture sur le chemin longeant le fleuve pour observer si des barques tentent d’accoster sur le rivage grec », raconte-t-il, épuisé.

Dès qu’un migrant est repéré, la police ou l’armée est avertie et l’exilé est embarqué. Giokas Xanthos s’adonne à la pêche régulièrement sur l’Evros et connaît les points sensibles où les passeurs lâchent les migrants: « nous avons une connaissance parfaite du terrain qui peut être utile aux autorités ».

Encore hantée par la crise migratoire de 2015, la population locale sombre dans une rhétorique xénophobe, guerrière, et s’organise pour que les frontières grecques restent hermétiques.

(…) Depuis mardi, Dimitris Kolgionis, maire adjoint de Pherès, la commune de 5.000 habitants dont dépend Poros, a organisé des rotations pour surveiller la frontière: « 500 personnes ont répondu présentes et se relayent par tranches horaires ».

De 9H à 13H, mercredi, c’était au tour de Giorgos Ioumis, retraité, de participer à la patrouille citoyenne: « Toute la région de l’Evros est mobilisée. Nous sommes en zone de guerre et il faut défendre notre territoire ».

(…) Des médias grecs rapportent également des arrestations musclées de migrants par des groupes de citoyens armés. « Nous avons des armes par protection », précise Sakis, « nous sommes décidés à garder nos frontières. Et si un accident doit arriver, il arrivera ! ».

(…) Nice-Matin

Jordan Bardella va se rendre à la frontière gréco-turque

Le vice-président du Rassemblement national Jordan Bardella se rendra mardi à la frontière gréco-turque pour exprimer son soutien à la Grèce, confrontée à un afflux de migrants. « Nous allons constater ce qui attend la France demain si rien n’est fait à la frontière grecque, à savoir une submersion migratoire organisée par un État étranger, la Turquie islamiste d’Erdogan » a déclaré Jordan Bardella.

(…) L’Express