Le silence des journalistes de propagande devant l’agression islamique

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Publié le 23 février 2020 – par Cyrano

Si vous êtes parisiens, n’hésitez pas à consacrer votre soirée à la onzième soirée des Bobards d’Or, organisée par l’équipe de Polémia, sous la houlette de Jean-Yves Le Gallou. Au-delà de ceux qui seront primés, c’est tous les ans la mise à nu, savoureuse, de l’ensemble des mensonges que colportent matin, midi et soir, sept jours par semaine, toute une équipe de journalistes de propagande, que permet cette soirée.

Chose extraordinaire, elle n’est relayée par aucun média, comme si ceux-ci craignaient, même en manipulant et en déformant la soirée, d’attirer l’attention sur leurs mensonges démasqués. On est donc en pleine logique stalinienne, où la photo de Trotski était gommée de la place Rouge, comme si le fondateur de l’Armée rouge n’avait jamais existé.

Et pourtant, malgré la qualité de la soirée que nous réservera, une fois encore, Jean-Yves Le Gallou, il y a pire que les bobards des journalistes de propagande, c’est leurs silences sélectifs et complices.

L’islam est un dogme politico-religieux, qui ne peut exister que par la conquête, la guerre et l’anéantissement de toute civilisation précédente. Il a tué 270 millions d’infidèles en 14 siècles, soit un Oradour par jour : les journalistes de propagande le cachent aux Français.

En toute logique, tous les jours, des islamo-racailles, au service du djihad, agressent les représentants de la France, qu’ils soient policiers, pompiers, médecins, ou simples infidèles : les journalistes de propagande le cachent aux Français.

L’invasion migratoire, organisée par Merkel, Hollande, puis Macron, et les mondialistes, provoque, tous les jours, en France, des scènes d’une violence insupportable, presque toujours semblables. Des hommes, africains, majoritairement musulmans, insultent, agressent verbalement, physiquement, violent et parfois tuent des Français qui « avaient le malheur d’être au mauvais endroit, au mauvais moment » : les journalistes de propagande le cachent aux Français.

Tous les ans, il rentre en France 500 000 nouveaux venus, la plupart en situation irrégulière, qui ne repartiront jamais. Cette agression contre notre peuple, à qui on les impose, accélère, de manière irréversible, le Grand Remplacement dénoncé par Renaud Camus, le changement de peuple, de civilisation, et l’islamisation de notre pays : les journalistes de propagande le cachent aux Français.

Le Rassemblement national – et toute la mouvance patriote – n’est en rien raciste, xénophobe, fasciste ou nazi, comme le ânonnent depuis quarante ans les mondialistes, pour mieux diaboliser la seule alternative à leur politique supra-nationale : les journalistes de propagande le cachent aux Français.

Ce sont nos compatriotes et nos enfants qui sont les principales victimes d’agressions racistes, de la part de Noirs ou d’Arabes qui, profitant de leur impunité totale et de l’inversion accusatoire, ont compris que les Français et nos enfants ne pouvaient pas se défendre, sous peine d’être accusés de racisme : les journalistes de propagande le cachent aux Français.

Ce sont nos compatriotes SDF qui meurent, tous les jours (plus de cinq cents par an) sur les trottoirs, quand l’État, soutenu par les associations dites humanitaires, gavées de subventions, loge dans les hôtels des clandestins qui n’ont rien à faire en France : les journalistes de propagande le cachent aux Français.

De manière scandaleuse, s’organise, en France, un véritable djihad judiciaire, orchestré, au service des islamistes, par les associations dites antiracistes, et le parquet, aux ordres du gouvernement. Des dissidents comme Éric Zemmour, Christine Tasin, Renaud Camus, Gérard Boyadjian, Sébastien Jallamion, Pierre Cassen, Catherine Blein, sont traînés devant les tribunaux, comme s’ils étaient des malfrats, avec des méthodes dignes des pires pays totalitaires : les journalistes de propagande le cachent aux Français. 

Il n’y aurait pas de problème avec le financement des retraites si on utilisait la manne de réserve prévue pour cela (150 milliards) et si on arrêtait de financer l’immigration, à hauteur de 130 milliards par an : les journalistes de propagande le cachent aux Français.

C’est parce que Macron et ses journalistes de propagande veulent que l’information soit à nouveau sous le contrôle de l’État et de ses complices qu’il se prépare la liberticide loi Avia, qui n’a comme seul objectif que celui de museler les réseaux sociaux alternatifs : les journalistes de propagande le cachent aux Français.

Les prétendus antiracistes, qui multiplient un véritable djihad judiciaire contre les patriotes, sont de vrais racistes, qui n’hésitent pas à insulter un Arabe catholique assimilé comme Jean Messiha, coupable d’aimer la France et de refuser le discours victimaire de ceux qui veulent enfermer les immigrés dans une vision misérabiliste. Comme l’explique notre fondateur, des Belattar, Sopo, Avia ou Klugman n’hésitent pas à emprunter les pires propos racistes pour discréditer un Jean Messiha, avec le silence complice des autorités judiciaires et de tous les imposteurs de l’antiracisme : les journalistes de propagande le cachent aux Français.

Ces journalistes de propagande, faussaires, menteurs et censeurs, sont, avec la police et la justice, les derniers remparts de Macron et de son régime, de plus en plus haïs par les Français. Ils véhiculent la fable de « l’immigration, une chance pour la France », « l’islam une religion de paix », et les bienfaits de l’incontournable Union européenne. Ils mentent délibérément aux Français, en paroles et par omissions. Ils salissent les résistants. Bien évidemment – et le mouvement des Gilets jaunes l’a confirmé – ils sont détestés, au même titre que Macron, auquel le peuple les a assimilés.

Nos compatriotes ont compris depuis longtemps que ces collabos sont, à de trop rares exceptions, les parfaits descendants de Radio Paris, qui était allemand en 1940, et est devenu musulman en 2020.

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