Le lycée de Mila, 70 % de musulmans : un territoire français ?

Riposte Laïque.

Deux articles (l’un du Point, l’autre du Parisien) sur le lycée Léonard-de-Vinci de Villefontaine (Isère), lycée où était scolarisée Mila jusqu’à ce que des crapules musulmanes la menacent de mort, montrent à quoi ressemblent certains établissements scolaires sur une partie du territoire français.

L’équipe de direction du lycée conseille aux élèves de ne pas répondre aux journalistes, le temps que les choses s’apaisent. Je serais curieux de connaître à quoi peut ressembler l’apaisement pour un lycée qui a connu dans sa cour des tirs  d’artifice – faut-il comprendre de mortier ? – et aujourd’hui un déferlement de haine sur une adolescente parce qu’elle a blasphémé un Allah et un Coran des plus merdiques en répondant à des « sale gouine », « sale pute », « sale Française » d’un dragueur aussi lourdingue que son islam.

Il ne faut surtout pas provoquer un nouveau départ de feu, dit l’administration scolaire. Et qui mettrait le feu ? Mila ou ceux « qui l’attendaient très énervés », prêts à la tuer « peut-être pas quand même, brûlée, peut-être pas. Mais bon, elle se serait fait mal parler, mal regarder. Cracher dessus, sans doute. Des baffes, oui, mais de là à la tabasser… » (prendre des baffes, ce n’est pas être tabassé pour nos Einstein de Villefontaine).
On lit aussi : « Elle n’aurait jamais pu revenir au lycée (…) elle se serait fait tuer ».

La soumission en étouffant les affaires, en vénérant la clientèle scolaire issue de la religion de paix, etc., en regardant ailleurs, en demandant aux enseignants de ne pas parler, de faire de pseudo-débats en classe sur le blasphème, la platitude ou non de la Terre, les vertus écologiques ou pas de la pisse bio de chameau… Mais sans doute comme dans beaucoup de lycées soumis, la plupart des élèves crachent sur l’enseignement des professeurs parce que l’imam affirme que la planète est plate comme la main et la théorie de l’évolution contraire au Coran.
Grâce à l’affaire Mila, nous avons un bel aperçu de ce qu’est la réalité de l’enseignement sur une partie de notre sol.

Remarquons que les prénoms ont été changés par les journalistes. Des Alex, des Nolan, des Élise, pas de Mohamed ou d’Aïcha.
Introuvables ? Trop peu nombreux ?
« Elle a eu ce qu’elle a cherché, elle devait s’y attendre, lâche un petit blond en reniflant. Il y a 70 % de musulmans ici, ça ne pouvait pas bien se passer. »
Un « petit blond » et une « jeune fille blonde, qui frissonne dans un blouson trop mince ». C’est un lycée suédois ?
Pourtant, on peut lire : « Les plupart des élèves du lycée où était scolarisée Mila ne comprennent pas pourquoi elle a tenu des propos aussi critiques sur l’islam ».
70 % de Suédois musulmans ayant tous des prénoms de Français de souche ?
Un lycée de compétition, le lycée Léonard-de-Vinci de Villefontaine !

Finalement Mila sait de quoi elle parle. Quand on est entouré par 70 % de muzz, on est capable de comprendre à quoi ressemble leur religion. Et depuis, les gens qu’elle fréquentait au quotidien lui ont montré ce que vaut l’islam des lycées.

70 % de musulmans. Que deviennent les 30 % d’élèves restants ?
Crèvent-ils de trouille devant les muzz qui dirigent l’établissement comme pourrait le laisser penser cette réflexion d’un élève : « Quelques-uns pensent pareil [c’est-à-dire comme Mila] mais ne l’avoueront jamais ».
Dans les colonnes de Rivarol du 30 avril 2004, Jean-Marie Le Pen affirmait : « Quand je dis qu’avec 25 millions de musulmans chez nous, les Français raseront les murs, des gens dans la salle me disent non sans raison : « Mais Monsieur Le Pen, c’est déjà le cas maintenant » ».
En 2020, les réactions sur l’affaire Mila ne les démentiront pas.

À travers ces deux reportages, la France surgit telle qu’elle est dans les territoires perdus de la République, dans ces 150 quartiers passés sous commandement muzz, bientôt dans des villes entièrement salafisées : un cloaque régi par la charia à l’image du Pakistan.
Dans peu de temps, en France, des textes prétendument divins prendront le pas sur les lois des hommes. La République laïque deviendra République théocratique.
Les libertés de pensée, d’opinion, d’expression déjà bien étouffées seront mortes et nous ne pourrons plus respirer.
L’affaire Mila, c’est le constat de la veulerie contemporaine face à l’islam et ce, de la jeunesse jusqu’aux ministres.

Comme Bellatar qui accuse Mila d’avoir créé une polémique pour se faire connaître, l’article du Point de termine ainsi : « Reste que Mila est devenue un emblème, un étendard, une icône. Sur la page Facebook de son comité de soutien, elle est présentée comme une « personnalité politique »Villefontaine semble très loin. »

À cela est ajouté que Mila voulait participer à The Voice, se faire remarquer…
En somme, elle a enragé sciemment la population de son lycée pour se faire de la publicité.
La soumission se loge aussi dans ce genre de détail.

Marcus Graven