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Différents journaux font état de la vie en Provence occupée. Il est « amusant » de voir que pas mal de commentaires de ces articles ont été supprimés comme non conformes à la doxa. C’est empêcher les habitants d’exprimer leur colère et leur désespoir. Ils n’en peuvent plus du tout.
À Cuers, près de Toulon, il y avait déjà plusieurs centres pour MNA. Mais comme si cela ne suffisait pas, l’été dernier un particulier dont personne ne dit le nom a racheté un hôtel pour le donner à une association, qui en a fait… un centre pour MNA.
Entre nous, c’est bizarre ce particulier sans nom. Encore un coup de Marie-France Cohen ?
Cuers était autrefois une paisible bourgade verte tout près de Toulon, pas loin de la mer, entourée de vignobles et d’oliviers. Il y faisait bon vivre. Mais voilà, elle est passée de 8 000 à 12 000 habitants.
Aujourd’hui, dès 16 h, le village change de visage, les petites frappes se réveillent de leur nuit mouvementée, ou reviennent de Toulon où ils se sont livrés à certains trafics. Dès lors il ne faut pas traîner, mieux vaut rentrer chez soi.
Généralement les enfants de l’école sont encadrés par leurs parents, alors qu’auparavant ils pouvaient rentrer tout seuls. C’était l’avantage d’être dans un village. Mais les parents ont peur, surtout depuis qu’Océane, 24 ans, s’est fait larder de coups de couteau au Lidl du Luc, juste à côté.
D’ailleurs en octobre 2022 Cuers même a été le lieu d’une agression à coups de tesson de bouteille. Une femme, un bébé dans les bras, était l’agresseuse. Tout le monde a tout vu, mais personne n’est intervenu, surtout pas la gendarmerie. D’ailleurs, il n’y a plus de gendarmerie à Cuers.
Cuers est propice à la délinquance, avec ses ruelles étroites. Elle est devenue le terrain de jeu des racailles islamisées accueillies sur place.
On entend dire que de plus en plus de propriétaires préfèrent louer leurs maisons à des associations d’accueil de migrants, avec des baux de longue durée. Cela évite le squat. Il faut dire aussi que plus aucun touriste n’a envie de louer dans des lieux devenus glauques. On n’aurait jamais cru qu’ils puissent le devenir, lorsque c’était un paradis.
Sur la place principale, des hommes basanés peu pressés de travailler squattent les bancs, ainsi que des femmes entièrement voilées. Il n’est pas rare de se faire proposer du shit, tout naturellement.
Ce climat a changé la vie ancestrale. Les vieilles villageoises n’osent plus installer un fauteuil devant leur porte, à la fraîche, pour discuter avec leurs voisines, comme autrefois. Certaines avouent avoir envie de déménager, mais pour aller où ?
En plein milieu de l’été, le seul hôtel de la ville a donc été transformé sans préavis en foyer d’accueil pour mineurs faussement nommés MNA.
Depuis l’accueil des MNA, bizarre coïncidence, des couches sales et des briques de lait sont jetées dans la rue par les fenêtres, des excréments humains ont été retrouvés devant l’église, il y a eu aussi un règlement de comptes à la machette.
Jamais les Provençaux de souche ne se livraient à des actes comme ceux-là, dans la Provence d’avant.
Une conseillère municipale déclare que la mairie de La Seyne-sur-mer, ayant sur les bras une centaine de personnes, faussement dénommées mineurs non accompagnés, les a envoyés à Cuers, ayant démoli les barres d’immeubles de la Cité Berthe.
C’est faux, ces barres existent toujours même si une ou deux ont été supprimées, et il y a toujours autant de « mineurs » qui errent dans La Seyne, à la recherche d’on ne sait quoi. Probablement ils ne le savent pas eux-mêmes. Ils s’en consolent en dealant, ou en arrachant des sacs à main.
Et nous savons que c’est la même chose pour toute la région. Parlons un peu de Trans-en-Provence, tout près de Draguignan. À Trans, depuis que des mineurs ont été accueillis dans un centre, en avril dernier, rien ne va plus. Chapardages, vols dans les commerces proches, agressions physiques, incivilités, deal se multiplient.
Personne ne consent à en parler, mais une femme, je l’ai entendue de mes oreilles, avoue pudiquement qu’elle a une amie qui était animatrice dans ce centre de Trans, mais l’amie a préféré démissionner car elle avait peur. Peur de quoi ? De se faire agresser ou même violer par un des « mineurs ». Certains par leur carrure font bien plus de dix huit ans…
Ces mineurs ne devraient plus être appelés MNA mais recevoir un nom plus véridique, plus en conformité avec ce qu’ils font et sont. Ils sont parachutés pour chaparder, agresser, dealer. Quand ce n’est pas pour violer, ou gravement blesser quelqu’un « au cou » comme recommandé dans le Coran, avec leur couteau.
Les habitants de Cuers et d’ailleurs doivent apprendre à vivre avec des hurlements dans la nuit, ou le battement lancinant du djembé. Le tambourin provençal, c’était mieux, et à des heures chrétiennes. Des enfants ne s’endorment maintenant, à Cuers, qu’en mettant des casques antibruit.
Pour une fois Damien Rieu est pris en défaut. Il qualifie cette scène d’ « afro-pagnolesque » :
Mais non, c’est un mauvais rapprochement, Pagnol est beaucoup plus fin et beaucoup moins bruyant.
On pouvait vivre dans la Provence de Pagnol, et même on y vivait très bien, c’était chaleureux et sûr, et toujours plein d’esprit.
Dans la Provence qu’on nous concocte en ce moment, c’est déjà l’échec du vivre-ensemble, l’enfer pour les condamnés à y rester, et l’abandon de ce qui faisait étinceler l’esprit français, pour un nivellement au ras du sol, dans une insécurité terrifiante.
Mais « ils » auront du mal à dominer Cuers, il y a trois églises et dix chapelles dans ce village, et mille hectares de vignes : tout cela, donc les vestiges bien tangibles d’une civilisation chrétienne, ne disparaîtra pas ainsi. Les Provençaux n’ont pas dit leur dernier mot.
Sophie Durand, Riposte Laïque
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