A propos du vaccin anti-convid, prêt pour une troisième dose ?

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Le professeur Perronne, spécialiste des maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital de Garches et grand spécialiste des vaccins, est devenu persona non grata des plateaux télé depuis quelques mois. La raison ? S’être élevé de façon virulente contre ce qu’il estime être la supercherie du « vaccin » anti-Covid et la gestion de la crise par Emmanuel Macron.

Sur le fond, que dit le professeur Perronne, interviewé, le dimanche 21 novembre, sur le plateau de CNews par Ivan Rioufol ?

« Si c’était pas aussi dramatique, je rigolerais, parce qu’il n’y a pas de cinquième vague, l’épidémie est quasiment terminée, en France, affirme-t-il. On est sortis de la crise […] Tous les pays du monde qui n’ont pas vacciné n’ont plus d’épidémie. » À l’appui, un graphique présentant l’évolution du nombre de décès attribués au Covid, en 2021 : effectivement, la courbe s’est manifestement effondrée.

« Tous les pays qui ont vacciné de façon massive voient des rebonds… » « En Grande-Bretagne, les gens vaccinés meurent quatre fois plus du Covid que les non-vaccinés », poursuit le docteur Perronne. Et d’ajouter : « Je suis à fond pour le vaccin, mais là, on nous a vendu un produit qui n’est pas un vaccin. »

Selon lui, un vaccin protège de la maladie. Or, on voit, affirme-t-il, que les vaccinés font autant de maladies que les autres. Un vaccin, ça évite de porter le virus et de le transmettre. Or, on voit que les vaccinés transmettent autant, voire plus que les autres. Un vaccin, ça protège contre les formes graves. Or, on voit que la grande majorité des gens en réanimation sont des gens vaccinés. Ce dernier argument est pourtant le principal avancé par le gouvernement pour justifier la vaccination : celle-ci empêche les formes graves. Non, estime le professeur Perronne : « Au final, le vaccin ne protège pas contre les formes les plus graves, c’est l’inverse qui se produit, […] On nous impose un vaccin qui ne marche pas, il suffit de regarder la carte du monde : dans tous les pays pauvres qui n’ont pas pu s’acheter le vaccin, l’épidémie est terminée. »

Quant à l’obligation vaccinale, le professeur Perronne estime que « toutes les lois qui ont soutenu ce vaccin sont totalement illégales, bien que le Conseil d’État ait dit qu’il n’y a pas de problème : on ne peut pas obliger des gens à être vaccinés avec un produit qui est toujours en phase expérimentale, en phase 3, c’est totalement interdit par le Code de Nuremberg ».

Si le professeur Perronne dit vrai, cela soulève alors un questionnement éthique majeur : comment accepter que notre gouvernement puisse contraindre des gens à se faire injecter un produit en phase de test, sans requérir leur consentement éclairé ?

« Ce produit n’est pas un vaccin : la plus grande imposture de cette histoire est d’avoir appelé ça des vaccins. Ce sont des substances expérimentales qui vont modifier vos cellules, c’est comme si on téléchargeait un logiciel pour modifier vos cellules. » Qu’en est-il, réellement ? C’est largement une querelle de spécialistes et de médecins et le vaccin a été largement administré. Mais face à de telles accusations, le gouvernement doit répondre point par point pour dissiper les doutes du peuple français.

Sabine Faivre, Boulevard Voltaire

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