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Non, pas question de capituler et de baisser les bras avant la fin de la bataille judiciaire qui se joue aux États-Unis.
À tous ceux qui nous reprochent un acharnement ridicule, puisque toutes les plaintes de fraude sont systématiquement rejetées par les juges, quelles que soient les preuves avancées, nous ne pouvons que rétorquer que ce n’est pas à RL de jeter l’éponge, quand Donald Trump est toujours debout sur le ring, menant son énième round sans faiblir.
Si Trump refuse de capituler, c’est qu’il a encore des atouts dans sa manche.
Mais quelle que soit l’issue du combat qu’il mène pour la justice et la vérité, chez RL nous serons toujours du côté du peuple face à la trahison des élites.
Nous essayons de défendre la vérité face aux mensonges et au silence complice des médias français, en traquant les informations véridiques diffusées par les sites les plus sérieux et objectifs qui soient.
39 % des Américains sont maintenant convaincus qu’il y a eu une fraude électorale massive. Deux mois de campagne intensive ont ouvert les yeux de beaucoup de citoyens. Et même en Europe, où on nous a bassinés avec le manque de preuves durant tout le mois de novembre, les médias se taisent, sachant très bien que Trump a raison et que la fraude est historique.
67 % chez les Républicains, 17 % chez les Démocrates et 31 % chez les Indépendants sont conscients de la fraude.
Même si par malheur Biden devait l’emporter, grâce aux politiques véreux, aux juges et aux médias corrompus, ainsi qu’avec l’appui de certains Républicains qui trahissent leur camp, cette élection restera à jamais la victoire des tricheurs et Biden sera toujours un Président illégitime pour tous les vrais démocrates.
Demain 5 janvier, se joue une élection partielle majeure pour élire deux sénateurs. Les deux candidats Républicains étaient favoris à l’issue du premier tour. Reste à savoir si les Républicains seront encore assez naïfs et empotés pour se laisser voler la victoire par les fraudeurs Démocrates, bien décidés à rafler le Sénat grâce à ces deux sièges qui leur font défaut.
Mais c’est le 6 janvier que va se jouer une partie majeure pour Donald Trump.
On sait qu’au moins 140 représentants et 11 sénateurs Républicains vont contester les élections et refuser de certifier les listes officielles.
Trump et son avocat Giuliani nous annoncent des nouvelles fracassantes pour le 6 janvier, juste avant le vote du Congrès devant certifier les listes des 50 États.
Un grand mystère plane sur ces annonces et je vous laisse lire le lien ci-dessus pour vous en faire une idée.
Mais si des faits gravissimes touchent des élus Démocrates, des juges ou des traîtres Républicains, nul doute que l’élection sera remise en cause et que des enquêtes seront diligentées à l’encontre des traîtres et des tricheurs qui ont violé la démocratie et trompé le peuple.
C’est la Constitution que Trump défend, dans l’intérêt du peuple américain, face aux fossoyeurs mondialistes de la démocratie.
Les Républicains rebelles qui contestent le verdict de l’élection réclament la création d’une Commission électorale, ayant les pleins pouvoirs pour effectuer un audit, afin de pallier la déficience coupable des juges, qui ont rejeté toutes les plaintes sans les examiner.
Ils s’appuient sur le précédent de 1876, quand la Floride, la Caroline du Sud et la Louisiane avaient été soupçonnées de fraudes massives.
Une Commission composée de 5 représentants, de 5 sénateurs et de 5 juges de la Cour suprême avait dû trancher le conflit.
De leurs côté, les Démocrates essaient de faire barrage à cette attaque républicaine.
Nancy Pelosi, la teigneuse présidente Démocrate de la Chambre des représentants, et le traître sénateur Républicain Mitch McConnell, œuvrent en coulisses pour contourner la Constitution.
En effet, si le 6 janvier certains États ne sont pas validés et si aucun des candidats n’atteint la barre des 270 électeurs, le 12e amendement prévoit de rejouer l’élection au sein de la Chambre des représentants, mais avec une seule voix par État, ce qui favoriserait le camp républicain qui détient une trentaine d’États sur cinquante.
Trump serait réélu.
Mais ce que manigancent Nancy Pelosi et Mitch McDonnell, c’est de contester ce vote d’une seule voix par État, en accordant une voix pour chacun des 539 représentants, ce qui donnerait la victoire aux Démocrates.
Biden serait élu.
Leur argument est que le 12e amendement n’est soi-disant pas clair et peut être interprété différemment.
Cette attaque en règle du 12e amendement me paraît plutôt fantaisiste, mais cela prouve bien que les Démocrates sont aux abois et ne sont pas du tout assurés de leur victoire.
Si le conflit entre Trump et Biden n’est pas tranché le 6 janvier et si aucun candidat ne peut être désigné le 20 janvier à midi, c’est Nancy Pelosi qui devient Présidente par intérim, le temps que la justice désigne le vainqueur définitif.
Mais au-delà de la procédure électorale du 6 janvier, Trump a aussi la possibilité de solliciter les tribunaux militaires pour mener les enquêtes que la justice civile a refusé de conduire.
Qu’ils soient lâches ou menacés, ou bien qu’ils aient agi par pur intérêt personnel, les juges locaux ou fédéraux ont tous trahi la démocratie.
Mais la trahison la plus ignoble est celle venue du camp Républicain, car sur les 200 juges mis en place en quatre ans par Donald Trump à travers tout le pays, pas un seul n’a levé le petit doigt pour l’aider. Des pourris.
Si Trump ne gagne pas, ce sera le plus grand scandale de tous les temps, avec une Amérique tombée au rang du Zimbabwe et un Joe Biden élu comme un roi nègre, grâce à la fraude la plus ignoble de toute l’histoire des États-Unis.
Cette affaire ne fait que commencer.
Quel que soit le vainqueur, il y aura des émeutes et un climat de guerre civile, par la seule faute des Démocrates qui ont volé la victoire au peuple.
Partout à travers le pays, la colère monte.
Q SCOOP – Face à la corruption des juges et des media : La deuxième révolution américaine.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque