I-Média n°329 – Le pire des médias en 2020

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Pour cette fin d’année, retour sur quelques-uns des extraits les plus marquants des 48 numéros d’I-Média en 2020. Vraiment une très bonne émission.

02:32 – Face au courage de Mila, la soumission médiatique

06:23 – Débat Éric Zemmour contre Marlène Schiappa : le KO

10:09 – I-Média confiné

10:42 – Coronavirus : les médias coupables ?

12:08 – Michel Cymes : médecin ou porte-parole macroniste ?

15:06 – Coronavirus : les médias coupables ?

16:46 – Un discours de Macron encensé

21:15 – Les cités s’embrasent, les médias se taisent

26:10 – Éric Zemmour agressé

29:10 – USA. Émeutes raciales : ce que les médias nous cachent

33:14 – Chauffeur de bus tué à Bayonne : le silence des médias

34:51 – Égorgement Gare du Nord : la manipulation du Parisien

38:53 – USA : « La fraude électorale est certaine ! »

Avec #BlackLivesMatter en 2020, on a assisté à une grosse arnaque intellectuelle !

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Il était temps que s’achève cette annus horribilis, il était temps que disparaisse 2020, et on sera peu nombreux à la regretter car jamais l’Occident n’aura été autant marqué par de telles tensions communautaires. On était donc en droit de croire qu’un conflit racial allait se déclencher avant le 31 décembre en Amérique ou en Europe, mais l’année va s’achever dans une relative situation de paix.En 2020, le fait marquant, dans ce domaine, aura été le décès de George Floyd qui a suscité l’émotion dans le monde entier.Mais paradoxalement, cette mort n’aura pas fait avancer d’un iota la situation des Noirs en Occident, et ce drame a mis en avant la rancœur d’une communauté beaucoup plus en quête de rattrapage que d’inscription dans une démarche constructive pour le bien commun.Est-ce que le décès de George Floyd a changé la condition des Noirs aux USA ?Assurément non, puisqu’ils sont toujours les premières victimes de violences et eux-mêmes en sont les principaux auteurs.Ils sont toujours à la traîne économiquement, même si, grâce à la politique d’autonomisation des minorités menée par l’administration Trump, beaucoup de Noirs ont pu retrouver un emploi, se prendre en charge socialement et acquérir un bien immobilier.Il y a une chose que cet événement a malheureusement encouragée, c’est le sentiment de toute-puissance d’une communauté raciale, c’est la légitimation de la violence comme moyen d’expression, c’est l’exploitation outrancière de la victimisation, c’est le besoin de réécriture de l’Histoire, c’est la hargne du déboulonnage.Ils sont devenus fous, ces Américains  !Black Lives Matter est la plus grosse arnaque depuis le communisme.Comment peut-on, objectivement, faire croire à des gens que leur vie compte alors qu’il n’y a aucun doute sur ce sujet ? C’est un truisme : toute vie compte.Les tenants d’une certaine idéologie – gauchiste – ont voulu capitaliser sur ce drame pour faire passer des messages et asseoir les valeurs de la société ouverte à laquelle ils aspirent. La mort de George Floyd a surtout permis la convergence des luttes racialistes, sexistes, gays, écolos, mondialistes se trouvant une nouvelle tribune avec l’aide du système médiatique bien-pensant.Que des hypocrites ! Ils hurlent #BlackLivesMatter mais se fichent totalement de voir le petit Congolais de huit ans bosser dix heures par jour dans les mines de terres rares afin d’extraire les matériaux dont les bobos, en Occident, auront besoin pour faire fonctionner leur smartphone dernier cri et les batteries de leur véhicule électrique.Ils hurlent #BlackLivesMatter mais ne lèvent pas un petit doigt pour dénoncer les crimes commis par Boko Haram en Afrique.Ces gens font beaucoup de mal aux Noirs, il faut le dire, il faut le crier haut et fort, pour qu’en 2021, les Noirs ne se laissent plus berner par #BlackLivesMatter puisque, en vérité, toutes les vies comptent !

Boulevard Voltaire

Caroline Fourest, « europouillarde » et bientôt franchouillarde ?

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Inquiétude dans le monde médiatique : Caroline Fourest ne serait-elle pas atteinte par cette « zemmourisation » des esprits qui contamine de plus en plus d’intellectuels de gauche ?

C’est un signe de l’âge qui avance sans doute et de la maturité qui l’accompagne : la zemmourisation des esprits va galopant dans les rangs de la gauche. Il n’est que de voir les têtes d’affiche qui se précipitent pour débattre avec « Éric » pour s’en convaincre. Le plateau de CNews est désormais the place to be. Julien Dray y siège à plein temps, Michel Onfray y a ses habitudes, Raphaël Enthoven s’y encanaille… The place to be, vous dit-on. Qui l’eût cru.

Certes, Caroline Fourest n’a pas encore son rond de serviette sur CNews, mais elle s’en rapproche. Pour l’heure, elle tient une chronique chaque mercredi sur LCI, chez ce bon Pujadas.

C’est qu’elle glisse, notre Caroline, lentement mais sûrement. Où est-elle, celle qui s’était fait une spécialité de pourfendre la droite catholique et de fouiner dans les poubelles fantasmatiques du FN ? L’âge, vous dit-on. Eh oui, la confrontation aux dures réalités de l’existence éloigne la « gauchitude » et développe la « beauffitude », disent les mauvais esprits. Chez Caroline Fourest aussi, parvenue au mitan de la quarantaine, on observe une droitisation qui monte à mesure que s’éloignent les mauvais souvenirs, ceux d’une enfance à l’école privée catholique et une adolescence de jeune lesbienne mal comprise.

On l’a connue militante et virulente, fer de lance de la cause LGBT et figure de proue des « laïcards » d’une « gauche rigide et enflammée », disaient ses (nombreux) détracteurs. Il faut dire que sa détestation des milieux religieux, quels qu’ils soient, l’a conduite à pointer les complicités naïves de ses confrères et consœurs journalistes pour l’islamisme radical, allant même jusqu’à dénoncer « l’islamo-gauchisme » très en vogue dans ces milieux.

Bref, Caroline Fourest glisse dangereusement du côté obscur de la force, et en ce 30 décembre 2020, invitée à s’exprimer sur l’exception vaccinale à la française, elle nous a livré une analyse pour le moins étonnante.

Il est vrai que l’examen des chiffres a de quoi laisser perplexe : « Là où les Allemands en sont à 78.109, les Portugais 16.701, les Danois 13.311, les Italiens 8.361, nous sommes à 138 personnes vaccinées en trois jours et demi. Mais pourquoi la France patine-t-elle autant ? » demande David Pujadas.

Tout d’abord, sans doute, parce que nous avons choisi une démarche inverse à celle de nos voisins : on promène le vaccin pour aller vacciner quand les autres amènent les vaccinables vers le vaccin. L’analyse de Caroline Fourest paraît, ici, la bonne lorsqu’elle dénonce la méthode : « Une fois qu’on a le vaccin, on est clairement handicapé par notre philosophie : ce principe de précaution, cette absence de prise de risque… En choisissant de vacciner les EHPAD, cela a non seulement ralenti les premières vaccinations, en plus, dans les EHPAD, des gens refusent de se faire vacciner. Les deux handicaps se cumulent. » Il aurait été plus intelligent de commencer par le personnel soignant, dit-elle. Reste une question non évoquée : le personnel soignant est-il disposé à se faire vacciner ?

Reste que le plus surprenant, dans le discours de Caroline Fourest, est cette confidence dont on ne saisit guère le sens, sauf à l’imaginer prise d’une bouffée « europouillarde », prémices, qui sait, à un glissement franchouillard : « J’aurai toujours plus confiance dans un vaccin qui a été approuvé par l’Union européenne que dans un vaccin approuvé par l’Angleterre ou les États-Unis. »

Attention, Caroline dérive dangereusement vers le complotisme !

Boulevard Voltaire

La chanson du jour, Happy New Year – Jos’e Feliciano

2021 est arrivé ! Aucune embrassade pour cette nouvelle année. C’est comme cela, il va falloir s’y faire. En attendant heureuse année 2021 à vous tous et surtout bonne santé.

Pour la première chanson du jour de l’année, on s’écoute un morceau entraînant et sympathique de Jos’e Feliciano pour démarrer l’année du bon pied.

Goodbye and good luck, Bojo !

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Ce soir à minuit, le Royaume-Uni reprendra sa liberté, après 47 années de mariage houleux avec l’Europe, notamment sous le règne de  Margaret Thatcher, la Dame de fer très jalouse de son indépendance et des intérêts de la Couronne.

Entrée en 1973 dans le “Marché commun”, la turbulente Albion a donc fini par divorcer, mais en gardant des liens étroits avec ses 27 partenaires.

Un divorce avec pension alimentaire, en quelque sorte.

Souhaitons bonne chance à nos amis Anglais, qui ne supportaient plus les diktats de Bruxelles et aspiraient à prendre le large.

Un pays qui a dominé le monde aussi longtemps et qui a marqué à jamais tous les continents du sceau anglo-saxon ne pouvait s’accommoder éternellement du joug bruxellois, qui plus est sous domination allemande.

Saluons le courage et la ténacité de Boris Johnson, qui a su négocier un accord qui protège les intérêts de la Grande-Bretagne, avec un divorce à l’amiable.

521 députés britanniques sur 594 ont voté pour l’accord sur le Brexit, preuve que les peuples ont avant tout besoin de liberté et d’indépendance.

Un vote historique qui ne réjouit pas les Européens, certes, mais qui montre que la sortie de l’UE n’est pas synonyme de fin du monde, comme nous l’ont fait croire les inconditionnels de l’impérialisme bruxellois, Merkel et Macron en tête.

Côté britannique, Écossais, Gallois et Nord-Irlandais ne trépignent pas de joie, mais il serait pour le moins hasardeux de prédire la désintégration du Royaume-Uni à cause du Brexit. Pas certain que les indépendantistes écossais aient les moyens de leur ambition.

Quant au rattachement de l’Irlande du Nord à Dublin, cela va dans le sens de l’Histoire. Ce n’est en effet qu’en 1921 que l’île irlandaise a été divisée.

De toutes façons, pour les conservateurs, le Brexit est plus important que le risque de perdre l’Écosse et l’Irlande du Nord.

Pour les Brexiters les plus durs, Boris Johnson est le héros qui a remporté la bataille. Le “No deal” a été évité et l’accès au marché européen sauvegardé.

Il aura fallu quatre ans et demi pour finaliser un accord entre les deux parties. C’est le 24 juin 2016 que les Britanniques votaient pour le “leave”, par 51,9 % des voix, au grand dam des “remainers” et des pays européens.

Que n’a-t-on entendu sur les conséquences du Brexit, qui devait plonger les Britanniques dans la récession et signer la fin de la prospérité !

Mais après des années de bataille interne, la peur du “grand saut dans le vide” n’a finalement fait trembler personne. Même un “no deal” valait mieux qu’un “remain” ou qu’un mauvais accord. La reine Victoria n’aurait pas dit mieux.

En fait, “Bojo” a gagné parce que les Européens avaient davantage peur d’un “no deal” que les Britanniques. Les 27 n’étaient unis que par la peur d’une rupture totale, ce que Boris Johnson a parfaitement compris, pour en tirer le maximum de bénéfices.

Si cet accord a un goût amer, c’est d’abord pour les Européens, qui voient partir un grand pays et surtout un contributeur net de l’Union.

L’Europe sort affaiblie, c’est une évidence.

Elle a perdu 15 % de son poids économique, mais bien  davantage en poids militaire et géopolitique, deux domaines où l’Allemagne ne pèse rien.

Des deux côtés de la Manche, les inconsolables espèrent que la Grande-Bretagne reviendra un jour dans le giron bruxellois. J’en doute.

D’autres, au sein de l’UE, espèrent que sans le Royaume-Uni, l’intégration économique et politique sera plus rapide pour les 27 pays restants.

Wait and see.

En attendant, souhaitons aux Anglais de profiter de leur nouvelle liberté avec succès, pendant que nous, Français, avons tout perdu de notre souveraineté et ne maîtrisons plus rien de notre avenir.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque.

Mes vœux pour 2021 : Macron, Covide les lieux !

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Par Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression (Riposte Laïque)

Salut Emmanuel,

Entre nous, pas de cérémonie puisque j’ai déjà plusieurs fois écrit très clairement à quel point vous étiez totalement incompatible avec la fonction présidentielle.

Je précise bien « incompatible » parce qu’il m’est déjà arrivé, comme à tant d’autres rédacteurs, écrivains, ou journalistes sincères (espèce en voie de disparition) d’utiliser, à tort, le qualificatif d’incompétent.

Alors que depuis près de cinquante ans que se trame le scénario qu’on nous joue actuellement, jamais encore, parmi les imposteurs qui vous ont précédé, pas un seul n’avait été aussi bon dans l’embobinage des foules, le boniment à fleur de bouche, l’air faussement bonhomme à la boutonnière, la méprisante suffisance en étendard, et Dieu sait s’ils étaient pourtant doués.

Et donc, finalement le plus excellent pour servir les criminels desseins de vos parrains, ces malfaisants hyper-friqués persuadés que leur richesse peut tout leur permettre, jusqu’à éradiquer certains humains en quantités monstrueuses, afin de pouvoir façonner à leur idée ceux qui restent, terrorisés selon vos bons soins.

Car pendant que vous laissiez vos deux principaux guignols semer sadiquement leurs menaces de lendemains qui déchantent… le méchant virus vous a, paraît-il (j’ai beaucoup de mal à accorder du crédit aux infos officielles) rattrapé, et obligé à vous isoler de vos troupes.

Il faut dire que vous avez tellement mis le paquet sur l’urgence et l’impératif du vaccin (non obligatoire) que vous avez baissé la garde, et malgré toutes vos précautions et votre respect des gestes barrières, qu’on nous serine sur tous les tons, le virus vous aurait mis KO.

Si dans un premier temps je m’en suis réjouie (tout comme vous vous réjouissez de l’abrutissement des citoyens), le doute m’a très vite investie. Car il me semble totalement improbable, qu’un gus qui arrive à faire croire à des millions de péquins qu’ils doivent porter un masque dans la rue, ou dans leur véhicule, même quand ils circulent seuls à bord, de peur que le virus, tapi sur la plage arrière, leur saute dessus… puisse à son tour être atteint, puisque tout ceci n’est qu’une macabre et sinistre farce, seul répertoire vous convenant à la perfection.

Et même si vous avez effectivement passé un Noël « de merde », vous ne payerez jamais assez cher celui, catastrophique, que vous avez imposé aux Français, à cause de votre ignoble soumission au fric des mondialistes fous !

Loin de moi l’idée de vous présenter les traditionnels vœux de nouvelle année pour 2021, car bien au contraire, de même que vous avez une nouvelle fois dédaigné de souhaiter un Joyeux Noël aux Français, non seulement aux chrétiens, mais à tous ceux se sentant réellement français, alors que vous n’omettez jamais de souhaiter un Bon Ramadan aux musulmans présents sur notre sol…

Il va de soi qu’à votre image je préfère me montrer irrespectueuse envers vous qui n’êtes aucunement respectable, en vous souhaitant une année 2021 aussi abominable, stressante, et injuste, que celles que vous faites vivre aux Français depuis votre arrivée à l’Élysée. Et tout particulièrement celle de 2020 où, avec tous vos complices (on a les noms !), vous avez réussi à euthanasier des vieux en Ehpad, terroriser des millions de Français accros aux infos vomies par vos médias sponsorisés par nos impôts, donné la parole à des médecins véreux achetés par Big Pharma, en l’ôtant à tous ceux qui refusent de gober vos fables, et surtout la manière ignominieuse dont vous privez peu à peu les citoyens de  toutes leurs libertés, tout en leur certifiant que “c’est pour leur bien” !

Honte à vous, et comme je ne peux vous maudire jusqu’à la 7e génération, puisque vous ne procréerez pas (tant mieux pour les pauvres gosses !), je forme juste le vœu de vous voir un jour, vous et tous vos potes, blancs, gris ou noirs… en chemise et la corde au cou, comme les bourgeois de Calais jadis, attendant votre tour pour être jugés et condamnés… le plus durement possible, voire carrément à la peine suprême.

Toute forme d’une quelconque formule de politesse pour prendre congé serait évidemment superfétatoire, si ce n’est cette formule : Macron, Covide les lieux ! 

Dont acte !