La chanson du jour, Anybody Seen My Baby – The Rolling Stones *

La chanson du jour est un petit bijou signé des Rolling Stones. Morceau pas très connu et pourtant à la première écoute on accroche….allez pierres qui roulent n’amassent pas mousse.

2022 : la prochaine attaque à main armée ?

Articles  : Jan. 2021Dec. 2020Nov. 2020Oct. 2020

Dans la panoplie du bandit commun des westerns, pour réaliser des attaques à main armée, il y avait le Colt 45, la Winchester, parfois de la dynamite et sans doute d’autres choses. Pour son hold-up électoral de 2017, Emmanuel Macron disposait de plusieurs armes, de nature judiciaire ou financière. Et il disposait surtout d’un soutien unanime et univoque des médias ayant pignon sur rue. Ceux qui sont détenus par l’État comme ceux – largement subventionnés – des oligarques qui avaient élu ce jeune banquier devenu ministre de l’Économie

La donne a changé : il existe une chaîne de télévision nationale d’opposition crédible, CNews. La croissance de son audience est proportionnelle à la déconfiture d’En Marche ! La preuve ? Elle est stigmatisée par la bien-pensance comme une chaîne d’extrême droite, boycottée par les écologistes, et les appels à sa censure pour ses prétendus « discours de haine » ne font que confirmer le proverbe : quand on veut tuer son chien, on dit qu’il a la rage.

Les médias sont des entreprises qui se vendent et s’achètent comme les autres. Vincent Bolloré, qui détient déjà CNews via son groupe Vivendi, souhaiterait étendre son emprise dans les médias avec l’acquisition en cours de Prisma Media. Mais il y a d’autres proies convoitées, politiquement plus sensibles comme Europe 1, propriété de Lagardère. Une offre a été jugée insuffisante, mais les finances du groupe Lagardère ne sont pas reluisantes. Quel est le prix assez élevé auquel Lagardère ne saurait dire non, malgré son lien avec Emmanuel Macron ?

Emmanuel Macron ne voudrait pas qu’un groupe hostile multicanal émerge d’ici 2022, avec une audience suffisante et exempté de la soumission éditoriale qui a prévalu en 2017.

La crise a fragilisé beaucoup d’entreprises, dont le groupe Lagardère qui souffre, et l’État s’est fait fort de les soutenir : c’est le fameux « quoi qu’il en coûte » qui, dans les faits, est à géométrie variable. Un emprunt de 465 millions d’euros souscrit par Lagardère vient de bénéficier d’une garantie régalienne pour 80 % de son montant. La gouvernance du groupe est pourtant chahutée depuis des lustres.

Cette garantie accordée est sans doute généreuse, peut-être trop, peut-être démesurée. Cela permet de soulager la tension qui fragilise le groupe et de rendre moins urgente ou moins nécessaire une cession d’actifs, par exemple une pépite médiatique dont l’alignement éditorial est indispensable au Président afin de maximiser ses chances de réélection.

Quelques questions se posent à l’observateur soucieux de démocratie et d’équité.

Si ces garanties dépassent des limites qui seraient admissibles (montant de la garantie qui excéderait ce que permet la solvabilité de l’emprunteur, conditions trop favorables…), il conviendrait alors de s’interroger éventuellement sur la qualification pénale d’un tel octroi.

Pour les médias concurrents de Lagardère ainsi que la Commission européenne, parfois tatillonne sur les distorsions à la libre concurrence, cette garantie pourrait-elle constituer une sorte de favoritisme ?

Serait-il envisageable de porter aux futurs comptes de campagne d’Emmanuel Macron le coût, pour l’État, de cette garantie ainsi que celui des quelques décisions sensibles qu’il pourrait prendre et qui serviraient tant des entreprises dans le besoin que des desseins électoraux qu’elles pourraient servir ? Le « et en même temps », ce conflit d’intérêts permanent…

Bref, Emmanuel Macron remplit le barillet de son Colt, le chargeur de sa Winchester, et enverra au contribuable l’addition ? C’est pas cher, c’est l’État qui paie.

Boulevard Voltaire

Philippot alerte : il vont cibler les retraités pour éponger les dettes

Articles  : Jan. 2021Dec. 2020Nov. 2020Oct. 2020

Florian Philippot explique que les retraités seront également les victimes du Grand Reset, et les appelle à la mobilisation. Il rappelle d’abord le rassemblement de samedi 9 janvier, place Pierre Laroque, à Paris, devant le ministère de la Santé.

Il explique s’appuyant sur un article du Figaro, appelant les retraités à participer à l’effort national. L’équilibre des retraites ne serait pas atteint avant 2070… sauf si on baisse les retraites !

Autrement dit, ce sont les retraités qui vont payer les erreurs criminelles de nos dirigeants, qui ont détruit l’économie et engendré un chômage encore plus massif.

D’autre part, la manne des 40 milliards accordées à la France est conditionnée à une réforme du système des retraites, rien de moins ! Ils appellent cela geler les pensions, les baisser, et évoquent la réindexation. Et imposer encore davantage de CSG. D’autres osent parler de diminuer les retraites de 10 % !

Lucette Jeanpierre, Riposte Laïque

6 janvier : victoire de Trump ou simple baroud d’honneur ?

Articles  : Jan. 2021Dec. 2020Nov. 2020Oct. 2020

Non, pas question de capituler et de baisser les bras avant la fin de la bataille judiciaire qui se joue aux États-Unis.

À tous ceux qui nous reprochent un acharnement ridicule, puisque toutes les plaintes de fraude sont systématiquement rejetées par les juges, quelles que soient les preuves avancées, nous ne pouvons que rétorquer que ce n’est pas à RL de jeter l’éponge, quand Donald Trump est toujours debout sur le ring, menant son énième round sans faiblir.

Si Trump refuse de capituler, c’est qu’il a encore des atouts dans sa manche.

Mais quelle que soit l’issue du combat qu’il mène pour la justice et la vérité, chez RL nous serons toujours du côté du peuple face à la trahison des élites.

Nous essayons de défendre la vérité face aux mensonges et au silence complice des médias français, en traquant les informations véridiques diffusées par les sites les plus sérieux et objectifs qui soient.

39 % des Américains sont maintenant convaincus qu’il y a eu une fraude électorale massive. Deux mois de campagne intensive ont ouvert les yeux de beaucoup de citoyens. Et même en Europe, où on nous a bassinés avec le manque de preuves durant tout le mois de novembre, les médias se taisent, sachant très bien que Trump a raison et que la fraude est historique.

67 % chez les Républicains, 17 % chez les Démocrates et 31 % chez les Indépendants sont conscients de la fraude.

Même si par malheur Biden devait l’emporter, grâce aux politiques véreux, aux juges et aux médias corrompus, ainsi qu’avec l’appui de certains Républicains qui trahissent leur camp, cette élection restera à jamais la victoire des tricheurs et Biden sera toujours un Président illégitime pour tous les vrais démocrates.

Demain 5 janvier, se joue une élection partielle majeure pour élire deux sénateurs. Les deux candidats Républicains étaient favoris à l’issue du premier tour. Reste à savoir si les Républicains seront encore assez naïfs et empotés pour se laisser voler la victoire par les fraudeurs Démocrates, bien décidés à rafler le Sénat grâce à ces deux sièges qui leur font défaut.

Mais c’est le 6 janvier que va se jouer une partie majeure pour Donald Trump.

On sait qu’au moins 140 représentants et 11 sénateurs Républicains vont contester les élections et refuser de certifier les listes officielles.

Trump et son avocat Giuliani nous annoncent des nouvelles fracassantes pour le 6 janvier, juste avant le vote du Congrès devant certifier les listes des 50 États.

Un grand mystère plane sur ces annonces et je vous laisse lire le lien ci-dessus pour vous en faire une idée.

Mais si des faits gravissimes touchent des élus Démocrates, des juges ou des traîtres Républicains, nul doute que l’élection sera remise en cause et que des enquêtes seront diligentées à l’encontre des traîtres et des tricheurs qui ont violé la démocratie et trompé le peuple. 

C’est la Constitution que Trump défend, dans l’intérêt du peuple américain, face aux fossoyeurs mondialistes de la démocratie.

Les Républicains rebelles qui contestent le verdict de l’élection réclament la création d’une Commission électorale, ayant les pleins pouvoirs pour effectuer un audit, afin de pallier la déficience coupable des juges, qui ont rejeté toutes les plaintes sans les examiner.

Ils s’appuient sur le précédent de 1876, quand la Floride, la Caroline du Sud et la Louisiane avaient été soupçonnées de fraudes massives.

Une Commission composée de 5 représentants, de 5 sénateurs et de 5 juges de la Cour suprême avait dû trancher le conflit.

De leurs côté, les Démocrates essaient de faire barrage à cette attaque républicaine.

Nancy Pelosi, la teigneuse présidente Démocrate de la Chambre des représentants, et le traître sénateur Républicain Mitch McConnell, œuvrent en coulisses pour contourner la Constitution.

En effet, si le 6 janvier certains États ne sont pas validés et si aucun des candidats n’atteint la barre des 270 électeurs, le 12e amendement prévoit de rejouer l’élection au sein de la Chambre des représentants, mais avec une seule voix par État, ce qui favoriserait le camp républicain qui détient une trentaine d’États sur cinquante.

Trump serait réélu. 

Mais ce que manigancent Nancy Pelosi et Mitch McDonnell, c’est de contester ce vote d’une seule voix par État, en accordant une voix pour chacun des 539 représentants, ce qui donnerait la victoire aux Démocrates.

Biden serait élu.

Leur argument est que le 12e amendement n’est soi-disant pas clair et peut être interprété différemment.

Cette attaque en règle du 12e amendement me paraît plutôt fantaisiste, mais cela prouve bien que les Démocrates sont aux abois et ne sont pas du tout assurés de leur victoire.

Si le conflit entre Trump et Biden n’est pas tranché le 6 janvier et si aucun candidat ne peut être désigné le 20 janvier à midi, c’est Nancy Pelosi qui devient Présidente par intérim, le temps que la justice désigne le vainqueur définitif.

Mais au-delà de la procédure électorale du 6 janvier, Trump a aussi la possibilité de solliciter les tribunaux militaires pour mener les enquêtes que la justice civile a refusé de conduire.

Qu’ils soient lâches ou menacés, ou bien qu’ils aient agi par pur intérêt personnel, les juges locaux ou fédéraux ont tous trahi la démocratie.

Mais la trahison la plus ignoble est celle venue du camp Républicain, car sur les 200 juges mis en place en quatre ans par Donald Trump à travers tout le pays, pas un seul n’a levé le petit doigt pour l’aider. Des pourris.

Si Trump ne gagne pas, ce sera le plus grand scandale de tous les temps, avec une Amérique tombée au rang du Zimbabwe et un Joe Biden élu comme un roi nègre, grâce à la fraude la plus ignoble de toute l’histoire des États-Unis.

Cette affaire ne fait que commencer. 

Quel que soit le vainqueur, il y aura des émeutes et un climat de guerre civile, par la seule faute des Démocrates qui ont volé la victoire au peuple.

Partout à travers le pays, la colère monte.

Q SCOOP – Face à la corruption des juges et des media : La deuxième révolution américaine.

https://qactus.fr/2021/01/04/q-scoop-face-a-la-corruption-des-juges-et-des-media-la-deuxieme-revolution-americaine/embed/#?secret=AUUecpfMs0

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

LYON : des enseignants en grève car le rectorat refuse de défendre un collègue agressé et menacé après un cours sur la laïcité.

Articles  : Jan. 2021Dec. 2020Nov. 2020Oct. 2020

Un professeur d’histoire-géographie du collège des Battières, à Lyon 5e, a été pris à partie par un parent après un cours traitant de la laïcité. Il doit aujourd’hui quitter son établissement. Ses collègues ont débrayé ce lundi 4 janvier. Ils dénoncent le fait que le rectorat n’ait pas réglé le problème.

(…) « Un parent d’élève a pris à partie notre collègue devant le collège, devant des témoins. Il remettait en cause le contenu de son cours d’histoire-géographie sur le principe de laïcité », dénonce une enseignante du collège. Après cette altercation, le professeur avait déposé plainte.

« Là où on a été complètement choqué, c’est d’apprendre le 18 décembre, au détour d’un mail, que notre collègue partait, met en avant l’enseignante. On a fait confiance à la hiérarchie pour qu’elle gère le problème et cela n’a pas été fait. On aurait aimé que les choses soient gérées localement, rapidement, il était possible de le faire. Notre collègue se retrouve malgré lui à devoir partir. Il va se retrouver on ne sait où ».

(…) Les enseignants du collège des Battières mettent aussi en avant le fait qu’un des enfants du parent d’élève incriminé est venu avec un objet contondant au sein de l’établissement (…)

Le Progrès

Face au refus de la famille de toute conciliation, l’enseignant porte plainte pour agression et diffamation. Et depuis, il est en arrêt maladie.

(…)

Indignation, sentiment d’insécurité. Les réactions sont vives chez ces enseignants, qui craignent de voir perdurer la problématique soulevée par l’assassinat de Samuel Paty : “le fait qu’un parent d’élève puisse être intrusif quant au contenu de nos cours, on va être obligé de s’auto-censurer“. Et l’annonce du départ de l’enseignant visé par un parent d’élève est d’autant plus mal vécu, que celui-ci “a fait énormément pour des enfants en difficulté“. Il s’était “courageusement” investi dans l’organisation de la journée d’hommage du 2 novembre, un travail reconnu par sa hiérarchie. “15 jours plus tard, quand il est victime d’une agression, c’est lui qui doit partir par la petite porte, en catimini. C’est scandaleux“.

(…) France 3

Bordeaux : les rixes, violences à l’arme blanche et coups de feu se multiplient, la chronologie

Articles  : Jan. 2021Dec. 2020Nov. 2020Oct. 2020

CHRONOLOGIE – Depuis le mois de juin 2019, bagarres de rue, agressions violentes, coups de feu et règlements de compte à l’arme blanche deviennent monnaie courante. Une étape a été franchie aux Aubiers le 2 janvier, où une fusillade a fait un mort et quatre blessés, âgés de 13 à 16 ans.

Coups de feu, de couteau, de cutter, de batte de base-ball, de barre de fer, de tesson de bouteille, voire de machette : depuis le mois de juin 2019, chaque jour ou presque, un nouveau fait divers vient s’ajouter à la longue liste des violences et agressions qui se multiplient depuis un an et demi dans les rues de plusieurs quartiers de Bordeaux – notamment à Saint-Michel ou aux Aubiers, mais pas seulement -, sur fond d’alcool, de trafic de drogue et de concurrence de territoires entre bandes rivales, et impliquent souvent des jeunes majeurs isolés ou des mineurs non accompagnés (1) sans domicile fixe.

(…)

 “C’est un cap qui a été franchi”

 “C’est un cap qui a été franchi”, a déploré ce dimanche le maire de Bordeaux, Pierre Hurmic. “J’ai décidé de réunir une cellule de crise avec les adjoints et conseillers municipaux du quartier. La mairie est déterminée à prendre avec sérieux cette rixe nocturne aux Aubiers. Il y a un travail de fond qui se fait mais face à des faits que je qualifie de grande criminalité, il y a une réaction rapide à apporter. Une enquête pénale est en cours. La mairie est disposée à jouer son rôle pour qu’il soit mis un terme à cette dramatique escalade de la violence organisée dans ces quartiers”.

(…) Sud Ouest

Vénissieux : la cour des comptes épingle le communautarisme religieux aux Minguettes

Articles  : Jan. 2021Dec. 2020Nov. 2020Oct. 2020

Dans ce dossier, ce sont huit quartiers prioritaires de France qui ont été analysés. Parmi eux, les Minguettes, à Vénissieux, décrit comme l’un des bastions de l’islam fondamentaliste grâce, notamment, aux informations collectées par le ministère de l’Intérieur.

Le quartier est marqué par un fort communautarisme et un islam de plus en plus rigoriste. Des femmes suivent les préceptes de la religion musulmane et s’habillent traditionnellement. Si beaucoup d’entre elles le font par conviction, il est probable que certaines s’y voient contraintes par la pression familiale et sociale. À ce titre, existe un réel questionnement sur la place de la femme et de la mixité dans l’espace public au sein de ces quartiers” peut-on lire dans le rapport.

Cités dans le document, les services de la Ville déplorent également “des problèmes de comportement, la promotion d’un autre mode de vie, la multiplication des incidents quotidiens, un phénomène d’entre soi sur une base religieuse, une marginalisation progressive des femmes, un nombre croissant ne sortant plus, une présence des hommes oppressante, deux écoles désertées lors d’évènements religieux, le poids du ramadan de plus en plus fort chaque année, des certificats religieux pour jeunes filles au motif d’allergies au chlore, des épisodes de prières au sein d’un groupe scolaire, etc.”

A l’école, justement, la cour des comptes relève d’autres difficultés avec “des équipes pédagogiques régulièrement confrontées à la police religieuse ou mosquées jugées salafistes”. Le dossier se termine en affirmant d’ailleurs que sur les 15 lieux de cultes des Minguettes, deux mosquées sont jugées “salafistes”.

La cour des comptes donne également la parole à la municipalité de la commune de l’est lyonnais. La maire PCF, Michèle Picard évoque “un combat idéologique et de valeurs en cours sur ces territoires pour faire comprendre et respecter le cadre laïc”.

Lyon Mag