Articles : Dec. 2020 – Nov. 2020 – Oct. 2020 – Sept 2020
J’éprouve depuis des années un dégoût profond en lisant la presse française (y échappent les articles et éditoriaux de trois personnes, quatre si je veux être très généreux). Mon dégoût était particulièrement intense lorsque je lisais ce qui s’écrivait sur Israël, un pays que j’aime et que je trouve admirable, et lorsqu’il s’agissait des États-Unis. C’est toujours le cas.
Mais depuis le début de la présidence Trump, les articles paraissant en France sur les États-Unis, et sur Donald Trump plus particulièrement, sont devenus si infects qu’ils sont au-delà du répugnant, à un point tel qu’ils me donnent la nausée.
Pas un seul article de fond n’a été publié en France sur les innombrables accomplissements qui font de Trump l’un des plus grands Présidents de l’histoire des États-Unis, qu’il s’agisse des accomplissements intérieurs ou des accomplissements internationaux.
Pas un seul article n’a dit – ce que montraient les chiffres – que les États-Unis au début du mois de mars de cette année étaient dans la meilleure situation depuis plus de cinquante ans, sur tous les plans. Les articles reprenant sans aucune vérification les abjections les plus immondes sur les liens, inexistants, de Trump avec la Russie ont été par contre innombrables, tout comme ceux sur la pseudo-affaire ukrainienne et sur la pseudo-procédure de destitution. Cela a continué pendant la pandémie, et le travail remarquable accompli par Trump au cours de cette période, travail qui a fait que les États-Unis sont le pays du monde occidental qui a économiquement et socialement le moins souffert de la situation, a été ignoré au profit d’accusations grotesques et abjectes telles celles disant que Trump avait songé à faire injecter de l’eau de Javel dans les poumons des malades. Et cela continue aujourd’hui puisque personne ne dit que le développement très rapide de vaccins contre le coronavirus chinois a été le fruit de décisions de Donald Trump.
Cela a continué pendant les émeutes, et la presse française a fait de George Floyd, un petit criminel drogué mort d’overdose à Minneapolis, un héros de la lutte contre le racisme et a glorifié, en supplément, des mouvements terroristes qui ont ravagé des villes entières, Antifa, Black Lives Matter, ce tout en continuant à cracher abondamment sur Trump.
Cela connaît son apothéose cloacale depuis que le coup d’État rampant mené contre Trump a conduit à l’ébranlement de la démocratie américaine et à l’action visant à installer un imposteur corrompu, sénile, et acheté par la Chine en position de Président grâce à une fraude électorale massive menée par tout l’État profond, avec assistance financière de milliardaires crapuleux et complicité de juges renonçant à être juges, de Républicains renonçant à être républicains, de gardiens de la Constitution renonçant à être gardiens de la Constitution, de généraux oubliant que l’armée américaine est précisément censée être gardienne de la Constitution elle aussi.
Ce qui devrait indigner toute personne attachée au droit, à la démocratie et à la liberté semble réjouir au plus haut point la quasi-totalité des journalistes français qui disent, de manière presque unanime, que tout va bien, que Donald Trump est un danger qui va bientôt être écarté, que Joe Biden est peu ou prou la huitième merveille du monde, qu’il n’y a pas eu de fraudes du tout, et que les États-Unis, plongés dans la nuit depuis le 8 novembre 2016, vont enfin se redresser. Je savais que les journalistes français détestaient les États-Unis et avaient un penchant affectif pour les criminels et les truands, mais tout de même !
Un pays où la presse ment et travestit la réalité à ce point est un pays en pleine déchéance, et la France est en pleine déchéance.
La quasi-totalité des journalistes français sont complices de cette déchéance et l’accentuent en empêchant ceux qu’ils sont censés informer d’être informés. Ils se conduisent comme les journalistes des grands médias américains qui ont eux-mêmes renoncé à être journalistes pour se faire révolutionnaires professionnels, au sens léniniste du terme.
Les journalistes américains mènent depuis des années un travail de sape et font partie d’un grand mouvement de destruction des États-Unis enclenché il y a six décennies. Ce mouvement a pourri et gangrené tout ce qu’il a touché.
Donald Trump a mené une opération de redressement. Les membres du mouvement de destruction, comme je l’explique dans Apres Trump ?, se sont juré de l’éliminer et de poursuivre la destruction. Cela a impliqué pour eux de s’efforcer de détruire Donald Trump à tout prix et par tous les moyens. Les journalistes français se sont placés servilement et aveuglément au service de cette destruction.
Donald Trump, je le redis, se battra jusqu’au bout.
Parce que je suis pleinement du côté du droit, de la démocratie et de la liberté, je dirai que si Donald Trump est chassé de la Maison Blanche, ce sera un jour de honte pour les États-Unis et pour le monde occidental tout entier, et j’ajouterai que si Joe Biden accède à la Maison Blanche, ce sera le crépuscule du droit, de la démocratie et de la liberté aux États-Unis et partout sur Terre.
Je dirai que quoi qu’il se passe, Joe Biden ne sera jamais président des États-Unis : on ne devient pas Président au terme d’un coup d’État. Lorsqu’on arrive au pouvoir par un coup d’État, on ne devient pas Président, non. Kamala Harris elle-même ne deviendra jamais Présidente lorsque Joe Biden sera renvoyé dans sa cave.
Nombre d’Américains regardent avec stupeur ce qui arrive à leur pays. S’ils voient Joe Biden prêter serment devant le Capitole, une scène d’horreur que je ne peux imaginer, je veux penser que leur stupeur laissera place à la détermination et à l’action. Peut-être faudra-t-il pour qu’ils sortent de la stupeur qu’ils soient face aux conséquences.
Les Démocrates sont en train de révéler pleinement leur programme. On fait lire à Joe Biden des discours qui disent aux Américains qu’ils vont souffrir et devoir accepter la souffrance, et que ce n’est que le début… Les Démocrates comptent sur la soumission. Des impôts très lourds, un chômage de masse, une baisse du niveau de vie, une restriction de multiples libertés, une invasion du pays par des immigrants illégaux vite régularisés et transformés en citoyens américains, une restriction de la production d’énergie et une augmentation très nette des prix de l’électricité et des carburants sont au programme. Je veux penser que tout cela ne sera pas accepté.
La grande majorité des Américains (oui, la grande majorité !) ont voté Trump le 3 novembre pour éviter tout cela et ne pas devenir prisonniers de l’enfer démocrate, et c’est à eux autant qu’à Trump que l’élection a été volée.
Les journalistes des grands médias américains entendent anesthésier et disséminer l’esprit de soumission. Je veux penser que cela ne marchera pas.
Après avoir été complices de la déchéance de la France, la quasi-totalité des journalistes français souhaitent à l’évidence contribuer à la déchéance des États-Unis. J’ose espérer que les faits réduiront leurs souhaits à néant.
Quand je vois un membre de cette profession naufragée se draper dans sa “dignité” de “professionnel”, j’ai envie de lui répondre qu’il y a des métiers plus dignes que journaliste d’un grand média français aujourd’hui : tueur à gage, par exemple, tenancier de bordel, proxénète (trois ou quatre journalistes existent encore en France, je l’ai dit, c’est peu).
J’ose espérer que les États-Unis élimineront les monstres qui entendent les anéantir et redeviendront ce qui m’a conduit à choisir d’être résident permanent de ce pays, et seront à nouveau ce qu’Abraham Lincoln a appelé the last best hope on earth, le dernier meilleur espoir sur la terre et ce que John Winthop l’un des pilgrim fathers, a défini comme the shining city upon a hill, la ville qui brille sur une colline.
Oui : si la lumière s’éteint aux États-Unis, c’est la planète entière qui glissera vers l’obscurité. Les journalistes des grands médias américains veulent l’obscurité. La quasi-totalité des journalistes français la veulent aussi. Certains d’entre eux ne savent pas ce qu’ils font. Cela n’excuse rien.
© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.
PS. Ce n’est qu’un élément de plus, mais les grands médias américains et les médias français disent depuis quelques jours que le “méchant” Trump refuse de signer une loi destinée à venir en aide aux entreprises et aux citoyens américains dans cette période difficile où les gouverneurs démocrates continuent à imposer des fermetures dans les États qu’ils régissent. Les grands médias américains et les médias français ajoutent que le “gentil” Biden se préoccupe du sort des Américains dénués de tout que le “méchant” Trump refuse d’aider. La loi que Trump refuse de signer implique un endettement supplémentaire de 900 milliards de dollars. Ce qui fait que Trump refuse de la signer est qu’elle n’inclut qu’une aide très faible à des milliers de petites entreprises poussées vers la faillite par les gouverneurs démocrates, et 600 dollars par personne pour les citoyens américains, et qu’elle inclut, par contre, des centaines de millions de dollars destinés à des gens très sympathiques tels que les dirigeants de l’Autorité palestinienne ou le gouvernement communiste vénézuélien. Le “méchant” Trump demande que la loi soit consacrée uniquement à aider les entreprises et les citoyens américains, que l’argent qu’elle est censée distribuer à l’étranger ne soit pas distribué et serve au contraire à augmenter les sommes données aux entreprises et aux citoyens américains, et il veut sauver des petites entreprises américaines et éviter à des familles américaines mises en difficulté par les gouverneurs démocrates de connaitre des difficultés plus graves. Le “gentil” Biden n’en a rien à faire des petites entreprises poussées vers la faillite et des familles américaines en difficulté, et veut que de l’argent soit distribué à des gens tels que les dirigeants de l’Autorité palestinienne ou le gouvernement communiste vénézuélien. Les gouverneurs démocrates n’en ont rien à faire eux non plus des petites entreprises poussées vers la faillite et des familles américaines en difficulté (les Démocrates veulent des chômeurs et des pauvres, car pauvres et chômeurs sont des gens vulnérables et potentiellement soumis). Seuls six sénateurs républicains s’opposent à la loi telle qu’elle est, ce qui signifie que 80 pour cent des sénateurs républicains sont sur les mêmes positions que les Démocrates et Joe Biden, ce qui est absolument lamentable : ils devraient rejoindre le parti démocrate. Trump préférerait, bien sûr, que l’économie américaine soit pleinement ouverte et que des aides ne soient pas nécessaires, et il l’a dit….
Il faudrait expliquer ainsi sans cesse pour contrer la désinformation tant celle-ci devient hégémonique. C’est une honte.
Riposte Laïque