Ces abrutis ont piqué une dame de 78 ans qui ignorait que c’était un vaccin !

Articles  : Dec. 2020Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020

Et le cirque continue !

C’est insupportable, Mabuse est convaincu qu’il s’agit d’un complot contre sa personne. Pour ridiculiser la vaccination, ces crétins ne s’y seraient pas pris autrement.

Déjà ça commence, on entend la cobaye poser la question «  Ah faut faire un vaccin ? »…

Va expliquer qu’elle était consentante maintenant, alors que manifestement, la pauvre ignorait pourquoi on l’avait amenée là ! Pour la compète d’avirons aux JO, vous allez être super-entraînés, les guignols.

Un micro, ça se ferme, bande d’idiots ! Vous n’êtes pas capables de prendre une actrice, qui aurait bien récité sa leçon avant la piqûre ! En plus, en ce moment, vous pouvez en trouver qui bossent quasi gratos. Tenez, l’acteur Torreton, le socialo qui gueulait parce que ces cons de Français n’avaient plus leur ausweis à remplir à partir du 15 décembre, il aurait été parfait, il vous aurait fait cela à l’œil !

Là vous avez pris la première de l’Ehpad qui passait et croyait que c’était l’heure de la cantine. Imbéciles ! Abrutis !

Et c’est quoi cette mise en scène, dix blouses blanches autour d’elle en plus Martin Hirsch le fabricant de casseroles et avec en apothéose les applaudissements…

Le populo va se dire pourquoi tout ce cinéma pour un geste anodin, il va se poser des questions.

Si vous vouliez rendre la vaccination anxiogène, c’est une réussite totale. On vous l’a déjà dit, il faut y aller en finesse.

Grâce à vos exploits, on était avant-hier à 53 % de personnes favorables, hier, on est tombé à 40 %, et demain, on va tomber à 30 %, c’est certain !

Si c’est Martin Hirsch qui a organisé cette mascarade, faut le lourder de suite, c’est un conseil.

Et Véran l’anguille qui explique qu’il va y avoir un troisième confinement.

Je sais plus ce qu’il faut faire ! Mabuse a les nerfs et quand il les a, c’est mauvais signe.

Paul Le Poulpe, Riposte Laïque

La chloroquine autorisée en Italie pour traiter le Covid

Articles  : Dec. 2020Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020

Un arrêt du Conseil d’État italien en date du 11 décembre dernier a donné satisfaction à nombre de médecins de la péninsule, qui voulaient prescrire la chloroquine comme traitement contre le virus. Cet arrêt les y autorise désormais, précisant que « les doutes qui entourent encore ce traitement ne justifient pas son interdiction, à condition qu’il soit administré sous l’autorité décisionnelle d’un médecin ». L’arrêt précise aussi que ce traitement ne peut être prescrit qu’en phase initiale de la maladie.

Il est donc désormais possible en Italie, particulièrement frappée par la pandémie, d’utiliser un traitement potentiellement efficace pour endiguer le flux impressionnant de malades qui entrent actuellement en réanimation. Une décision qui fait figure de précurseur en Europe, puisque partout, la chloroquine est déconseillée au titre de traitement contre le Covid-19. Pourtant, peu de médias français ont relayé cette information avec la résonance qu’elle mérite.

Oui, mais voilà, l’arrêt du Conseil d’État italien s’appuie sur une étude effectuée « en situation », à travers toute la péninsule. Cette étude démontrerait, chiffres à l’appui, à travers des données observées dans tout le pays, que la prise de chloroquine en phase initiale de la maladie réduirait de 20 à 7 % le taux d’hospitalisation. Par ailleurs, l’étude démontre aussi que ce traitement ne présente pas d’effets secondaires massifs, au-delà de ceux constatés pour n’importe quel autre médicament, qui le rendrait particulièrement dangereux.

D’ailleurs, la chloroquine est indiquée depuis des décennies, même à titre préventif, pour toute personne qui voyage en Afrique, afin d’éviter le paludisme qui tue des millions de gens, chaque année, sur le continent. La chloroquine est le lot quotidien de centaines de millions d’Africains, elle seule a, jusqu’à présent, réussi à endiguer ce fléau particulièrement virulent au sud du Sahara. Il y a, à ce jour, bien moins de décès du Covid-19 dans toute l’Afrique noire que dans la seule France, pourtant quinze fois moins peuplée. 44 morts au Bénin pour dix millions d’habitants, 1.250 morts au Nigeria pour cent cinquante millions de malades potentiels, 370 morts au Congo RDC, la courbe de la mortalité est plate, alors qu’on prédisait un désastre sanitaire pour un continent mal loti en matière d’équipements de santé. Là encore, aucun média pour relayer l’information, s’interroger sur cette « anomalie », encore moins pour enquêter sur les causes…

Certains diront que c’est la pyramide des âges qui joue en faveur de l’Afrique, bien plus jeune que l’Europe : dans ce cas, cela pourrait avoir un impact d’environ 50 % sur la mortalité, loin de l’écart énorme qui sépare les deux situations. D’autres disent que la mortalité est sous-estimée par un système de santé quasi absent : c’est mal connaître l’Afrique noire et la propagation orale de l’information qui créerait un effet de panique si un danger pandémique avait été réellement détecté par les populations. Quant au climat, il est quasi identique à celui du Brésil… Et ne parlons pas des modes de vie africains, peu poussés à la distanciation sociale et aux gestes barrières…

Même si rien ne le prouve, faute d’étude en ce sens, l’usage massif de la chloroquine pourrait constituer un barrage sérieux au virus. Pourquoi, donc, personne, parmi les autorités sanitaires françaises, ne creuse un peu plus le sujet, en ces temps de grave danger ? À chacun de se faire sa petite idée sur la question…

Boulevard Voltaire

Comment les islamistes ont sabordé “la charte des valeurs” de l’islam voulue par Macron

Articles  : Dec. 2020Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020

Par le biais d’une “charte des valeurs” de l’islam, Emmanuel Macron espérait une adhésion formelle des courants musulmans aux valeurs et aux lois républicaines. Mais le projet de synthèse préparé par Mohammed Moussaoui, le président du le Conseil français du culte musulman (CFCM) est rejeté par les courants intégristes, illustrant les divisions au sein de l’islam de France.  Parmi les points de désaccord, l’apostasie qui ne serait plus considérée comme un  « crime » et l’école laïque. Emmanuel Macron n’est pas près de recevoir la charte qu’il a exigée.

La charte des valeurs allait ainsi jusqu’à définir clairement l’islamisme : “Par islam politique, la présente charte désigne les courants politiques et/ou idéologiques appelés communément : wahhabisme ; salafisme ; doctrine des Frères musulmans ; et plus généralement toute mouvance locale, transnationale ou internationale qui vise à utiliser l’islam afin d’asseoir une doctrine ­politique, notamment parmi celles dont les textes fustigent la démocratie, la laïcité, l’égalité entre les femmes et les hommes ou qui fait la promotion de l’homophobie, de la misogynie, de l’antisémitisme, de la haine religieuse, et plus généralement toute idée ou pensée qui contesteraient, directement ou indirectement, les principes fondamentaux énoncés dans la Déclaration universelle des droits de l’homme.”  […]

Mais ce passage a été littéralement biffé à la demande de trois fédérations : Foi et Pratique, le courant prosélyte et fondamentaliste Tabligh ; le représentant de Musulmans de France (ex-UOIF, proches de la pensée des Frères musulmans) ; mais surtout le CIMG, ou Milli Görüs, d’obédience turque, représenté par Fatih Sarikir. Car, pendant qu’il négociait l’élaboration de cette charte avec le CFCM, cet islamiste turc en faisait parallèlement rédiger une autre, avec Hamadi Hammami, le dirigeant de Foi et Pratique

Celle-ci, qui a circulé dans les réseaux proches d’Ankara, a été paraphée, notamment, par quelques représentants de mosquées, essentiellement celles affiliées au Milli Görüs. Mais aussi par Marwan Muhammad, ex-dirigeant du très controversé Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), dissous le mois dernier par le gouvernement après l’assassinat de Samuel Paty. Certains acteurs de l’islam de France, comme le RMF (Rassemblement des musulmans de France), ont ainsi découvert le nom de leur organisation apposé sur un document qu’ils jurent ne pas avoir signé. […]

Mohammed Moussaoui n’a pas donné suite aux sollicitations du JDD. Le président du CFCM serait-il gêné aux entournures ? “Il est républicain lorsqu’il est dans les ministères et archaïque quand il se retrouve avec les islamistes”, tranche une source.

Le malaise, en réalité, semble beaucoup plus profond. Autre pierre d’achoppement, ce que les extrémistes qualifient de “crime d’apostasie”. […]