Émeutes en banlieue : un hélicoptère de la police a failli être abattu

Spread the love

Riposte laïque

Dans la nuit du samedi 11 avril au 12 avril, un hélicoptère des forces de l’ordre, venu en renfort et en appui de policiers au sol, a été pris pour cible par des « tirs de mortiers ». Ces projectiles sont en fait des feux d’artifice particulièrement dangereux qui sont maintenant régulièrement utilisés contre les forces de l’ordre. L’hélicoptère ne pouvant faire face à la violence de l’attaque et n’étant pas autorisé à riposter a dû se replier et a abandonné les policiers présents au sol. Cela ne se produit pas sur un théâtre d’opérations militaires au Mali ou au Sahel, mais dans le département de l’Essonne, à Grigny 2.

Grigny est une des innombrables enclaves étrangères se développant dans notre beau pays, les célèbres territoires français perdus par la République.

L’enclave étrangère de Grigny s’est soulevée dès le vendredi 10 avril. Des groupes de Maghrébins ont à leur habitude organisé un guet-apens en enflammant des conteneurs poubelles. Il ne leur reste plus qu’à attendre les pompiers, à les prendre pour cible par des jets de pierre et des « tirs de mortiers » et ainsi les obliger à réclamer le renfort des forces de l’ordre, ce qui est le but ultime. Une fois la police sur les lieux, le festival commence ; les tirs de mortiers d’artifice redoublent ainsi que les jets de pierres, la chute d’objets depuis les immeubles. Les policiers se retrouvent rapidement encerclés par une foule hostile qui veut du sang. Ils doivent user de gaz lacrymogènes et de tirs de LSB à plusieurs reprises pour lever l’encerclement et tenter de se replier. Le but est clairement de tuer des policiers.

Par chance, aucun policier n’a été tué cette fois. Ils ont dû, par contre, se replier et abandonner la zone aux émeutiers maghrébins. La police est contrainte par un code de procédure complexe et castrateur, une administration tatillonne et une justice hostile. Il n’est donc pas surprenant de les voir reculer. Le lendemain, de nouveau, la vie de policiers a été menacée lors des mêmes scènes de guérilla urbaine, mais une chose est nouvelle : la prise pour cible d’un hélicoptère de la police. L’hélicoptère, venu en soutien des policiers au sol volait à basse altitude et a été la cible de plusieurs tirs de mortier d’artifice. Il a été précisé par un pilote militaire qu’un tel projectile est de nature à entraîner des dommages suffisant pour abattre un hélicoptère. En droit pénal, cela semble caractériser une tentative de meurtre sur personne dépositaire de l’autorité publique…

Faut-il être surpris qu’aucune interpellation n’ait eu lieu ?

Faut-il être surpris que la police n’ait toujours pas la possibilité de riposter avec des armes létales ?

Faut-il être surpris qu’une police dédiée, militarisée et adaptée à la gestion des enclaves étrangères ne soit toujours pas à l’ordre du jour ?

Ces épisodes ne sont pas uniquement le fait d’une « minorité de vendeur de produits stupéfiants » comme l’affirment le gouvernement et ses nombreux relais médiatiques. Mais ils incarnent l’hostilité réelle d’une population étrangère islamique vivant dans la haine de la France et des Français.

D’autres guets-apens suivront dans l’indifférence générale ; des sapeurs-pompiers, des policiers finiront par en mourir et on expliquera sur les plateaux de la télévision officielle qu’après tout, quand on fait ce métier, cela fait partie des risques « normaux »…

Les guets-apens deviendront des émeutes, les émeutes des guerres intérieures et les guerres urbaines porteront les printemps arabes européens. La prochaine révolution que connaîtra la France ne sera pas française.

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *