La France après la guerre : peuple remplacé, crise économique, État policier…

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Riposte Laïque

Ceux d’entre nous qui survivront à l’épidémie se réveilleront assurément dans une France post-apocalyptique hideuse et dangereuse. État futur des lieux.

– D’abord, ils constateront que leur pays ne se ressemble plus du tout, l’épidémie nous ayant indiscutablement démontré que le remplacement de population, ce remplacement que la nomenklatura nie de toutes ses forces, est bel et bien en cours sur notre sol, il est notre réalité actuelle et future et il nous ronge comme un cancer au point que la France d’aujourd’hui n’est plus la France.

Au temps du confinement, on a vu avec stupéfaction qu’une importante partie de la population n’y était pas soumise, tout simplement parce qu’elle le refusait. Et le gouvernement, dans son habituelle lâcheté, a accepté cette rébellion en regardant ailleurs alors même qu’il n’hésitait pas à utiliser la force sur le reste de la population pour faire respecter le confinement (8 millions de contrôles, 500 000 PV). C’est la preuve irréfutable qu’il existe désormais deux populations « face à face » comme l’a dit Collomb, dont l’une est française de mœurs et l’autre de papiers, l’une respecte la loi et l’autre se torche avec, l’une veut vivre en paix et l’autre fout la merde. Mais par ses menaces constantes d’émeutes, de violences, d’agressions, de destructions, de pillages, cette dernière impose son ordre tribal et barbare pour bénéficier d’une totale impunité, allant jusqu’à obtenir l’autorisation tacite de propager librement l’épidémie. C’est criminel !

Et quand il arrive que des chances-pour-la-France attrapent le méchant virus et se retrouvent à l’hôpital, les vieux Blancs malades doivent vider les lieux et aller crever dans un coin pour laisser la place aux jeunes diversitaires braillards et débordants de testostérone. On nous dit que c’est comme de la médecine de guerre, qu’on est obligé de trier les malades suivant leur âge et que les vieux doivent laisser la place aux jeunes parce que les statistiques de mortalité sont contre eux ; en réalité, c’est parce que nos gouvernants ont fait de leur mieux depuis des décennies pour que « le meilleur système de santé du monde » manque de tout, argent, moyens, personnel, et ne puisse plus faire face. Mais une racaille de banlieue avec 50 mentions à son casier judiciaire, parasite analphabète qui baise la France mais touche ses allocs, est-elle plus utile au pays qu’un vieux qui a fondé une famille, élevé ses enfants, payé ses impôts, respecté les lois, aimé la France et peut-être même obtenu quelque belle réalisation intellectuelle, scientifique ou artistique ? Dans une société de comptables, seule compte la quantité et en aucun cas la qualité, sauf naturellement pour les apparatchiks qui sont, eux, certainement pris en charge avec tout le respect, l’efficacité médicale et la chloroquine qui leur sont dus.

Si notre remplacement se fait violemment à l’hôpital et en Ehpad, il se fait silencieusement partout ailleurs : dans les listes d’état-civil de nos belles villes de banlieue, on croise majoritairement des mariages de Nacim et Houriya, des naissances de Fatoumata et Mohamed et, hélas ! des décès de Ginette et Marcel. Les maires, de leur côté, « personnalités politiques préférées des Français », se couchent trop souvent devant les revendications musulmanes agressives pour acheter la paix sociale et assurer leur réélection. Côté prisons, la Belloubête a décidé de les vider en libérant avant la fin de leur peine 7 000 détenus, majoritairement musulmans, dont certains radicalisés et multirécidivistes. Et naturellement l’invasion de l’Europe par les gentils « Refugees Welcome » venus d’Afrique ou de Turquie se poursuit. Sommes-nous donc dirigés par des assassins qui ont programmé (ou laissé faire) la solution finale appliquée aux Européens blancs ? Ainsi ira notre pays après la guerre : le 9-3 partout, la France nulle part. Et pour nous, ce sera « la valise ou le cercueil » une nouvelle fois.

– Ensuite, ils devront affronter une crise économique colossale que l’on nous annonce de même ampleur, voire plus grande encore, que celle de 1929 ; alors que le chômage atteignait 25 % aux USA en 1933, il pourrait y dépasser 30 % cette année ! Et si notre État obèse et incompétent gère cette crise économique comme il a géré la crise sanitaire, c’est-à-dire dans l’improvisation et l’affolement les plus complets, on peut être certain que ce qui arrive aux USA arrivera aussi à la France (et plus généralement à l’Europe) avec une hécatombe de PME, artisans, commerçants, professions libérales ainsi que d’entreprises de transport et de tourisme (Air France appelle à l’aide tout comme les « travailleuses du sexe »). Après avoir relu « La peste » de Camus et « Huis clos » de Sartre pendant le confinement, on pourra relire « Les raisins de la colère » de Steinbeck, tout en méditant sur les sombres photos de Dorothea Lange et en faisant la manche. C’est arrivé aux Russes dans les années 1990 et aux Grecs à partir de 2008, alors pourquoi pas aussi à nous qui sommes si forts pour faire la leçon aux autres ! Quant à la solidarité de la « Communauté internationale », elle se manifestera comme elle le fait toujours dans ces situations par des nuées de charognards qui s’abattront sur les malheureux pour les dépouiller jusqu’à l’os de leurs derniers biens.

– Enfin, ils vivront probablement dans un État policier autoritaire qui ne dira pas son nom. Notre Président ayant obtenu les pleins pouvoirs pour gérer la crise sanitaire, croyez-vous qu’il va les abandonner spontanément, une fois celle-ci terminée ? Donner un tel pouvoir sans contrôle à un pervers narcissique, n’est-ce pas exaucer son désir le plus cher ? Laisser les commandes à celui qui est un manipulateur dans l’âme, c’est la meilleure nouvelle pour lui mais la plus mauvaise pour nous.

Naturellement, tout cela se fera pour notre bien et notre santé. En quelques jours, nous avons déjà accepté une réduction vertigineuse de nos libertés individuelles comme jamais dans notre histoire en période de paix ; la seule équivalence historique est l’occupation allemande des années 1940, ces fameuses « heures les plus sombres de notre histoire » qu’on accuse sempiternellement le FN/RN de vouloir ressusciter, mais elle résultait d’une défaite militaire et pas d’un choix démocratique (on peut soutenir que la France de 2020 est dirigée par des branquignols semblables à ceux de la débâcle de 1940, mais c’est un autre sujet). Aujourd’hui nous acceptons démocratiquement un enfermement sans jugement pendant plusieurs semaines dans notre domicile, un ausweis obligatoire pour simplement sortir de chez nous et faire pisser le chien, un PV pour l’avoir oublié ou pour avoir dépassé l’heure ou la distance réglementaires, de vastes portions du pays devenues zones interdites (plages, montagnes, forêts, sentiers de promenades, lieux publics), le couvre-feu ou des heures d’interdiction dans plusieurs villes, un contrôle tatillon sinon arbitraire par des armées de flics, de gendarmes et de préfets qui sont loin d’être tous des lumières, le traçage par les téléphones portables, les caméras et les drones pour nous surveiller et punir 24/24h, et pour bientôt sans doute sous nos latitudes les puces RFID et la reconnaissance faciale généralisées, etc.

Outre les libertés individuelles ainsi mises à mal, les lois sociales et particulièrement celles portant sur l’organisation du travail (durée, rémunération, congés, chômage, etc.), sont également cul par-dessus tête. On comprend bien que dans l’urgence du moment, nécessité fait loi, et ceux dont l’activité est indispensable voire vitale sont bien obligés de se démultiplier sans compter ; mais ce n’est que provisoire et on fera les comptes plus tard. Peut-être. Ou peut-être pas car un retour sournois à quelque chose qui ressemblerait aux terribles conditions de la vie au XIXe siècle ne devrait pas déplaire à tout le monde. Pour les détails, voir « Germinal » de Zola.

Car nos chefs bien-aimés ont forcément constaté que les pays asiatiques qui se sortent le moins mal de cette crise sont plutôt du genre autoritaire et aux antipodes de nos fameuses « valeurs », ces valeurs qu’avec notre arrogance coutumière nous brandissons à tout bout de champ. Et cela a dû leur donner des idées pour la suite de l’histoire. Notre société post-moderne/libérale/progressiste/droit-de-l’hommiste/égalitariste/ouverte/accueillante / inclusive/multi-culturelle/connectée/écologique/responsable/citoyenne/solidaire/ transhumaniste voulait nous conduire au « Meilleur des mondes » d’Huxley mais elle a explosé en vol à la suite d’une collision malencontreuse avec une minuscule chinoiserie ; rien de grave cependant, rassurons-nous, elle saura se rattraper habilement en nous conduisant de gré et surtout de force dans une direction plus sinistre encore, celle de la société totalitaire très stalinienne de « 1984 » d’Orwell. « La liberté c’est l’esclavage » proclame Big Brother en nous regardant fixement. C’est de notre domestication qu’il est question. Et c’est pour notre bien et notre santé. Naturellement.

– Une dernière possibilité serait que le virus revienne nous attaquer par vagues successives dans les prochains mois ou les prochaines années et ce serait tellement dévastateur qu’on n’aura plus besoin de se préoccuper du réchauffement climatique ; pour le coup, c’est Greta qui ferait la gueule, enfin, plus que d’habitude !

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