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++ WEBTUBE : À Bourges – ville du Cher connue pour sa sublime cathédrale ainsi que le Palais Jacques Cœur, un hôtel particulier du XVe siècle ayant appartenu au fameux argentier et qui rendit alors jaloux le roi Charles VII –, un « mineur isolé » aurait été mis sous les verrous pour avoir confondu ses codes culturels avec ceux de la France en violant, en pleine rue, une jeune femme de 26 ans.
Les faits se sont déroulés le 4 janvier dernier. Le « mineur isolé » – ils le sont tous quand ils arrivent d’Afrique, même s’ils évoluent en bandes et ont l’air souvent aussi mineur que moi je ressemble à une danseuse étoile ! – aurait d’abord renversé sa victime puis l’aurait traînée dans les bosquets, comme le gorille de Georges Brassens, à cela près que ledit gorille entendait perdre son pucelage en se farcissant un juge, pas une femme vulnérable ! Ensuite, ayant arraché les vêtements de sa victime, le « mineur isolé » l’aurait violée.
Le criminel a été rapidement interpellé et placé en garde à vue. Une garde à vue à l’issue de laquelle il a été déféré au parquet puis mis en examen et écroué, rapporte Valeurs actuelles. Une fois n’est pas coutume, le pauvre migrant, accablé par le poids de la colonisation et de l’esclavage, accablé aussi un peu par sa sauvagerie sexuelle irrépressible, est tombé sur le mauvais cheval car, d’ordinaire, les juges d’appellation Syndicat de la magistrature sont plutôt cléments avec les violeurs allogènes. C’est pas de bol !
Enfin, pour un violeur exotique qui file au mitard, combien pourront encore aller butiner des femelles impudiques en terre de France, quand bien même ces dernières ne seraient pas consentantes ?! Et si elles sont blanches, elles sont de toute façon coupables d’être nées aux yeux de ces prédateurs venus d’ailleurs !
[Info VA] Bourges : une femme violée en pleine rue, un mineur congolais écroué
Cependant, le vent tournerait-il, et les magistrats, plus par crainte que le peuple se fasse justice lui-même que par conviction, prendraient-il enfin la mesure du danger que l’immigration fait peser sur la gent féminine et ce, quel que soit l’âge des proies potentielles ?
Ainsi l’Afghan ayant, en décembre dernier, agressé sexuellement une fillette au Trocadéro, à Paris, a été condamné à 30 mois de prison dont 18 mois ferme. Peine dérisoire, me direz-vous et vous aurez raison. Mais peine tout de même en lieu et place d’une culture judiciaire de l’excuse à l’égard des migrants.
Idem pour un certain Walid – un nom qui fleure bon la France traditionnelle d’antan ! – qui, dans le 20e arrondissement de la capitale, avait violé une femme lourdement handicapée. Il se trouve actuellement en détention provisoire dans l’attente de son procès, tandis qu’il y a peu encore il se serait promené gentiment « en liberté » et en quête d’une autre victime !
Évidemment, pour toutes ces affaires, les féministes n’ont pas pu se mobiliser : cela tombait pile au moment de leurs cours d’aqua-poney !
En attendant, Mesdames, et au mépris des menaces judiciaires potentielles, défendez-vous avec toute la rage requise et tant pis si votre agresseur y laisse sa peau ! Plus vous serez nombreuses et plus les traîtres à la France, qui font venir et protègent cette engeance violeuse qui n’a pas les codes, trembleront.
Sinon, rien à voir, mais aujourd’hui, m’en revenant du Limousin, j’ai été presque tout de suite plongé dans l’ambiance bucolique de l’Île-de France car dans une commune des Yvelines j’ai croisé un important groupe de policiers devant un collège et, un peu plus loin, une compagnie d’intervention de gendarmerie s’affairait en tenue anti-émeute, dont j’ai reconnu un gradé aperçu quelquefois à Paris lors de manifestations. Je me suis instantanément dit qu’il devait y avoir du grabuge dans une autre commune proche, celle fameuse de Chanteloup-les-Vignes, délicieusement diversitaire. Eh bien j’avais tort !
Plus tôt, sur l’A13, nous avions tous été priés par des motards de la police de nous ranger car un cortège fonçait dans la direction opposée à Paris. Et qui y avait-il dans ce cortège : Gabriel Attal, le poupon de Manu fraîchement nommé Premier ministre, plus Amélie Oudéa-Castéra, nouvelle ministre de l’Éducation. Tous deux se rendaient effectivement dans ledit collège transformé en camp retranché, sans doute pour y dispenser une grosse louche d’empathie à des élèves plutôt tranquilles, contrairement aux autres un peu plus loin, à Chanteloup-les-Vignes. Mais Attal n’ira pas à Chanteloup parce qu’avec son patronyme et sachant l’antisémitisme islamique qui y règne, il sait sans doute qu’il risque des injures qui feraient tache dans l’illusion du vivre-ensemble qu’il défend avec tant d’ardeur.
Au fait, tous ces policiers et gendarmes ne seraient-ils pas mieux employés à d’autres occupations qu’accompagnateurs de ministres en goguette ?
Charles Demassieux, dans R.L.