. TIERS-MONDISATION. LES JEUNES FRANÇAIS, BIENTÔT TOUS ILLETTRÉS ?

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++ WEBTUBE : Rien de nouveau sous le soleil hexagonal : le système scolaire français se porte mal. Au mois de décembre 2023, le dernier classement PISA, publié par l’OCDE, révèlait une baisse significative du niveau scolaire en France, notamment en mathématiques et compréhension de l’écrit. L’occasion pour certains de s’affranchir du politiquement correct en abordant le tabou de l’immigration et son impact sur les résultats des élèves. En ce début d’année 2024, c’est cette fois un rapport parlementaire présenté mercredi 24 janvier par la mission d’information sur l’apprentissage de la lecture à la commission des affaires culturelles qui dresse un état des lieux plus que préoccupant.

Le document met ainsi en exergue les difficultés rencontrées par les enfants dans l’apprentissage de la lecture à l’école primaire. Lecture qui est présentée par le rapport comme étant un « savoir fondamental », dont la transmission est contrariée par des « difficultés structurelles que rencontre l’école » en France.

Les élèves en voie d’illettrisme ?

Lors de la présentation du rapport qu’elle portait en compagnie du député Fabrice Le Vigoureux (Renaissance), la députée Annie Genevard (LR) a notamment indiqué qu’en 2022, « 28% des élèves en début de CE1 n’étaient pas en mesure de lire de manière satisfaisante des mots à voix haute ».

Un constat presque aussi alarmant que les « 45% des élèves entrant en 6e cette année-là qui n’atteignaient pas la vitesse de lecture attendue des élèves en fin de CM2 ».

Mais l’inquiétant tableau dépeint par le rapport parlementaire ne se limite pas exclusivement aux très jeunes enfants. Le document met également en évidence des problèmes de lecture chez les adolescents et les jeunes adultes. Et s’appuie sur des évaluations de lecture qui ont été effectuées lors des Journées Défense et Citoyenneté (JDC), une journée d’appel obligatoire pour le recensement des jeunes de 16 à 24 ans.

À ce titre, il s’avère qu’en 2022, 11,2% des participants à la JDC ont présenté « de grandes difficultés dans le domaine de la lecture ». Tandis que près de 5%  « pouvaient même être considérés comme se trouvant dans une situation d’illettrisme ».

Le niveau de formation des enseignants en question

Pour les rapporteurs parlementaires, cet échec manifeste de l’Éducation nationale dans l’une de ses missions fondamentales représente « un scandale d’État ». Les auteurs du document confiant par ailleurs que seulement 65 % de ces jeunes Français âgés de 16 à 24 ans présentaient des acquis jugés suffisants.

Quant aux causes potentielles invoquées par les députés ayant pris part à la mission d’information pour tenter d’expliquer un tel déclin du niveau de lecture, ils ont mis en avant plusieurs facteurs, du manque de moyens à l’école en passant par les problèmes de méthode et le manque de formation des enseignants.

La forte exposition aux écrans et la place du numérique sont aussi questionnées. L’utilisation des écrans dans les salles de classe mais aussi à la maison pourrait avoir pour conséquence, selon le rapport, de perturber l’apprentissage de la lecture.

« Si certains outils numériques présentent incontestablement un intérêt, notamment pour les enfants ayant des difficultés particulières (troubles dys, déficits auditifs, etc.) l’utilisation de tablettes ou d’ordinateurs à l’école n’entraîne, globalement, aucune amélioration des performances en écriture et en lecture. Au-delà d’un certain seuil d’utilisation, c’est même l’inverse qui se produit », peut-on lire dans le document rédigé par les parlementaires.

Autre chiffre alarmant relevé par la mission d’information sur l’apprentissage de la lecture, seuls 34 % des professeurs des écoles français pensent être prêts à enseigner à l’issue de leur formation, contre 65 % à 85 % dans les autres pays…


Breizh-info.com

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. Les apostats sont en train de détricoter la sacralité de Mahomet et de l’islam

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++ WEBTUBE : Est-ce le début de la fin de l’islam comme l’avait prévu le prophète Mahomet ? Seul Allah et son protégé et ami Mahomet le savent. Selon la tradition islamique, Mohammed Ibn Abdellah, le sacré propagateur de la religion de paix et d’amour, a prévenu ses adeptes que : «   L’islam a débuté étranger, et il redeviendra étranger comme il a commencé, que les étrangers soient donc récompensés ». Ce hadith est rapporté dans sahih Muslim. Ces paroles sont citées dans de nombreuses compilations des hadiths authentiques, par Muslim , selon Abû Hurayra,  Ibn Mas’ûd et Anas Ibn Malik,(le fondateur de l’une des quatre écoles du sunnisme).

Il y a aussi le hadith d’Ibn ‘Umar rapporté par Muslim avel’ajout suivant : « … et la religion va se réfugier entre les deux Mosquées sacrées (de La Mecque et de Médine) comme le serpent qui retourne dans sa tanière. »  ( sahih Muslim N° 146).

Il y a des indices qui ne trompent pas. En effet, l’islam commence à refluer en ce début du XXI siècle. Déjà, à Dar-Al-Islam où la montée en puissance de l’apostasie sonne comme une annonce de la mort du cygne, malgré des lois répressives qui peuvent aller jusqu’à la décapitation des apostats ( mourtaddines). Ajouter à ce phénomène souterrain de grande ampleur qui s’affiche surtout sur les réseaux sociaux ( notamment sur Tik Tok) où des anciens ‘savants islamiques’ devenus des imams de l’apostasie détruisent l’islam en étalant sa vraie nature totalitaire et criminelle, surtout  contre les femmes et les mécréants, que les ‘sachants de la dissimulation ’  diluent dans des discours moralisateurs et trompeurs. Avec des versets coraniques et des hadiths à l’appui, ces courageux apostats démontrent aux musulmans qu’ils suivent une religion de violence et de mensonge qui s’appuie sur des légendes et des mythes dont ils sont les premières victimes depuis 1400 ans.

Comme l’endoctrinement est la base de l’islam, avec pédagogie et maîtrise du coran et de la sunna, les exégètes de l’apostasie démontrent qu’Allah et Mahomet agissent comme de véritables gourous en vue de soumettre les musulmans afin d’en faire des soldats maniables, prêts à se sacrifier pour des causes injustes d’un dieu misogyne et barbare, sans aucun signe de tolérance, ni d’amour, envers les non musulmans et surtout les femmes qu’il assimile à des bêtes dépourvues de neurones.

Allah, n’est-il pas, selon le coran, un raciste sans grande envergure, obligé d’utiliser ses adeptes pour le protéger des railleries ?

Un dieu qui sème la terreur et la désolation, incapable d’apporter une brindille de fraternité sur terre, mérite-t-il qu’il soit adoré?

C’est un régal que d’écouter ces apostats apporter la contradiction aux ‘chouyoukhs’ qui désertent le combat en raz campagne faute d’arguments crédibles. Tenez-vous bien, au bout d’une minute, pas plus, ils quittent la confrontation en insultant et en menaçant leurs contradicteurs.

Une lame de fond de l’apostasie est en train de grossir en terre d’islam…

Ce tsunami, va-t-il emporter l’islam, cette religion de la pédophilie et du crime organisé ?

Le développement fulgurant des réseaux sociaux est une aubaine pour la propagation de l’apostasie en terre d’islam, qui, jusqu’à là, était protégée par la censure et la dictature des gouvernants qui ont fait alliance avec l’autorité religieuse islamique afin de maintenir les masses musulmanes et de surcroit incultes dans l’ignorance sacralisée.

Avec la liberté trouvée sur le net, les langues commencent à se délier et l’islam est en train de subir les premières convulsions provoquées par ceux qui sont censés montrer le chemin d’Allah. Quel retournement de l’histoire ! Et quel bonheur !

Ces apostats de l’islam, dont une grande partie ont baigné dans une atmosphère islamique et qui ont fréquenté des universités comme Al-Azhar, sont les porteurs d’espoir du monde islamique de demain. Ils sont les lumières tant attendues de l’émancipation des musulmans dont certains s’aperçoivent qu’ils ont été bernés depuis des siècles et notamment les femmes, car elles sont les premières victimes de la religion de paix et d’amour.

Les apostats appuient là où ça fait mal à l’islam.

En racontant et en répétant sans arrêt, l’histoire du mariage d’Aïcha, à peine âgée de six ans avec Mahomet avec la bénédiction d’Allah, les apostats déstabilisent les tenants de l’orthodoxie islamique. En effet, selon la tradition islamique, Mahomet s’était marié d’Aïcha à peine âgée de six ans à la Mecque, et dont le père n’était autre qu’Abou Baker Siddiq, son ami et son compagnon de la première heure. Puis, il avait consommé le mariage à Médine, quand elle avait atteint l’âge de neuf ans. Et le sacré beau modèle de Médine en avait cinquante-quatre !

Par ce mariage avec Aïcha, devenue la mère des croyants, Mahomet a légalisé religieusement la pédophilie ( le verset 49 de la sourate 33, le verset 4 de la sourate 65 et les vingt-un hadiths confirment cette horreur).

Mais ce mariage pré-pubère passe difficilement auprès de nombreux musulmans, seuls les pervers le revendiquent encore, car d’après eux, c’est Allah qui l’autorise, donc il est valable jusqu’à la fin des temps. Le remettre en cause, c’est quitter l’islam. C’est apostasier.

D’ailleurs, tous les ‘savants de l’islam, sunnites comme chiites admettent que le mariage des fillettes fait partie de la charia, et le remettre en cause, c’est porter atteinte au symbole de la sagesse du ‘bien aimé’ Mahomet.

Le comble, c’est que beaucoup de musulmanes, tombées sous le charme diabolique de Mahomet, acceptent encore que leurs filles deviennent des objets sexuels au service du plaisir bestial ( immoral) des hommes pour plaire à Allah et à son prophète Mohamed Ibn Abdellah, de peur de finir en Enfer, le jour du jugement dernier.

Ces pauvres femmes, ne sont-elles pas endoctrinées jusqu’à la moelle épinière ?

L’islam n’a -t-il pas carrément détruit leur instinct maternel ?

Allah, n’est-il pas, avec son apôtre, l’unique responsable de leur faillite morale ?

Ne sont-elles pas devenues des perverses par la faute d’un dieu narcissique et vengeur ?

Grâce au travail pédagogique des apostats, le monde entier découvre peu à peu la perversité de l’islam, son immoralité, sa pédocriminalité et sa dangerosité.

Par des arguments tirés du coran et de la sunna tels que l’esclavage, la polygamie, la misogynie, la haine, le racisme, les conquêtes, le djihad, le viol, le vol et le butin de guerre, les apostats mettent à nu la prétendue religion de paix. En un mot, ils sont en train de la déshabiller. Et, il était temps.

Une des conséquences des enseignements barbares de l’islam, c’est l’explosion des agressions sexuelles contre les femmes et les filles en terre impie, notamment en Occident où les cavaliers d’Allah imposent déjà leur idéologie avec la complicité de l’oligarchie.

Pendant ce temps, la gauchiste collabo et les mondialistes crient : ‘pas d’amalgame’ pour les dédouaner.

Contre vents et marées, les apostats détricotent avec rigueur la sacralité de Mahomet et du coran, même en Occident, malgré le déni de l’oligarchie politico-médiatique qui continue à cacher les atrocités islamiques.

Hamdane Ammar, Riposte Laïque

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. 600 000 retraités vivent en Algérie et sont pensionnés en France, 80% ne se manifestent pas ou son décédés. La France paie quand même !

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++ WEBTUBE : Encore un scandale ! Nous payons aux familles algériennes les retraites de leurs parents décédés depuis des années ! Tout le monde le sait mais l’état ferme les yeux par lâcheté ! Une honte ! “600 000 retraités vivent en Algérie et sont pensionnés en France. Sur un échantillon de 1000 personnes, 691 n’ont pas été retrouvés et 130 étaient décédés” : souriez, c’est vous qui payez !

. Ben voyons, le Conseil constitutionnel ne fait pas de politique… Bien entendu

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++ WEBTUBE : Invitée, sur le plateau de CNews, au lendemain de la décision du Conseil constitutionnel sur la loi Immigration, Maud Bregeon, députée des Hauts-de-Seine, en bon petit soldat de la Macronie, affirme comme une vérité indiscutable : « Le Conseil constitutionnel ne fait pas de politique. » Il fait quoi, alors, du tricot ? Non, mais, à l’évidence, du détricotage... ce même Conseil constitutionnel, l’an passé, lorsqu’il avait eu à se prononcer sur la constitutionnalité de la loi sur la réforme des retraites, n’avait rien eu à redire sur le fait que pour porter cette réforme importante, le gouvernement avait utilisé une loi de financement rectificative de la Sécurité sociale. Un véhicule législatif considéré à l’époque par certains spécialistes de droit constitutionnel comme plutôt… cavalier. Mais à part ça, « le Conseil constitutionnel ne fait pas de politique ».

À ce sujet — [Loi immigration] Le Conseil constitutionnel censure la préférence nationale

Entre gouvernement et Conseil constitutionnel, il n’y a plus rien

Darmanin a beau fanfaronner en insistant, avec la finesse qu’on lui connaît, sur le fait que le texte qui ressort de la rue Montpensier est « l’intégralité du texte du gouvernement », la loi votée par une majorité de députés (dont, faut-il le rappeler, l’écrasante majorité des députés de la majorité présidentielle) ressemble désormais plus à une serpillière qu’à un gilet (on renvoie nos lecteurs au film Le père Noël est une ordure…). Au passage, le ministre de l’Intérieur saisit-il toute l’incongruité de ses propos ? Que doit-on comprendre, en creux ? Que la représentation nationale compte pour du beurre, qu’entre gouvernement et Conseil constitutionnel, il n’y a plus rien, du moins pas grand-chose. En effet, le gouvernement présente un texte au Parlement. L’Assemblée nationale rejette le texte du gouvernement à la surprise générale, puis vote un texte largement modifié après un passage en commission mixte paritaire et, au final – pirouette, cacahuète -, c’est le texte gouvernemental qui sort du chapeau. Ce n’est pas du détricotage, c’est de la prestidigitation. On dit chapeau, l’artiste !

Mais, on est bien d’accord, « le Conseil constitutionnel ne fait pas de politique ». Sur les neuf membres de cette institution, on compte tout de même quatre anciens ministres, dont deux ex-Premiers, et un ancien sénateur. On imagine qu’après plus de quarante ans de vie politique, sans pratiquement aucune interruption dans le cursus honorum, un Laurent Fabius ou un Alain Juppé ont pu laisser, comme ça, du jour au lendemain, au vestiaire du Conseil constitutionnel, leurs oripeaux et cerveaux de politicien pour se draper dans la toge impeccable du juge constitutionnel. Que l’homme de l’« identité heureuse », regrettant trente ans après ses propos au bon temps du RPR qui fleureraient bon aujourd’hui leurs relents d’extrême droite, a fait abstraction de toute idéologie pour faire une lecture strictement juridique du texte de loi. Oui.

D’ailleurs, « qui siège au Conseil constitutionnel ? », demande la députée macroniste Maud Bregeon. Réponse de la même députée : « Des femmes et des hommes de grande qualité, qui viennent de la gauche, qui viennent de la droite. » C’est bien la preuve. « On parle de Laurent Fabius, on pourrait parler d’Alain Juppé, qui jugent en droit », nous dit la dame. Pas de n’importe qui, hein ! Des personnes connues et reconnues. Incontestables. Qui jugent en droit, peut-être, mais qui, sans doute, ne vont pas déjuger la politique qu’ils ont menée à tour de rôle en matière d’immigration pendant quarante ans. Donc, circulez, il n’y a rien à voir.

Nous n’avons pas la prétention d’avoir la science de ces « juges », mais avouons tout de même notre étonnement. En effet, plus du tiers des articles ont été jugés comme étant des « cavaliers législatifs », c’est-à-dire sans rapport avec la loi initiale. D’où censure. Or, ce même Conseil constitutionnel, l’an passé, lorsqu’il avait eu à se prononcer sur la constitutionnalité de la loi sur la réforme des retraites, n’avait rien eu à redire sur le fait que pour porter cette réforme importante, le gouvernement avait utilisé une loi de financement rectificative de la Sécurité sociale. Un véhicule législatif considéré à l’époque par certains spécialistes de droit constitutionnel comme plutôt… cavalier. Mais à part ça, « le Conseil constitutionnel ne fait pas de politique ».

Georges Michel, dans BV

. Biden exige que l’État du Texas retire ses barbelés à la frontière, sous peine d’en subir des conséquences.

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++ WEBTUBE : Le Texas a affirmé qu’il se défendait contre une « invasion » de sa frontière dans le cadre d’une dispute de plus en plus amère avec l’administration Biden au sujet de l’escalade de la crise des migrants aux États-Unis. Greg Abbott, le gouverneur du Texas, a accusé Joe Biden d’être un président « sans foi ni loi » et a invoqué le droit de l’État à « l’autodéfense » le long de sa frontière avec le Mexique. Il a soutenu que le gouvernement américain violait son obligation constitutionnelle de « faire respecter » la loi sur l’immigration alors qu’un nombre record de passages à la frontière sud-ouest des États-Unis se déroulait.

Le gouverneur a dirigé les efforts des États frontaliers dirigés par les Républicains pour tester les limites de l’autorité de l’administration de M. Biden en matière de pouvoirs d’immigration.

Au milieu des mesures les plus extrêmes prises, M. Abbott a déclaré une « invasion » des frontières du Texas, invoquant « l’autorité constitutionnelle de l’État pour se défendre et se protéger » – essentiellement le droit de faire la guerre en cas d’invasion.

Les experts juridiques l’ont qualifié de « crise constitutionnelle en devenir », mais la moitié des gouverneurs américains se sont rangés du côté de M. Abbott dans l’impasse avec le gouvernement fédéral.

« Nous le faisons en partie parce que l’administration Biden refuse d’appliquer les lois sur l’immigration déjà en vigueur et autorise illégalement la libération conditionnelle massive à travers l’Amérique des migrants entrés illégalement dans notre pays », ont déclaré les 25 gouverneurs du Parti républicain dans un communiqué commun.

Beaucoup se sont également engagés à fournir au Texas des ressources supplémentaires, la gouverneure du Dakota du Sud, Kristi Noem, et le gouverneur de l’Ohio, Mike DeWine, offrant les troupes de la garde nationale de leur État.

Il s’agit du dernier point d’éclair dans un débat acrimonieux entre les gouverneurs républicains et la Maison Blanche sur la manière de gérer l’afflux de migrants que les États-Unis ont connu ces dernières années.

Plus de six millions de passages illégaux ont été enregistrés depuis l’entrée en fonction de M. Biden – un chiffre qui est devenu un albatros politique pour le président alors qu’il brigue un second mandat, les électeurs citant régulièrement la frontière comme un enjeu électoral clé dans les sondages.

Son administration a affirmé qu’elle appliquait la loi sur l’immigration, soulignant qu’elle avait expulsé plus de personnes depuis mai dernier que pendant toute l’année 2019.

Mais il soutient que le Congrès doit approuver davantage de financements et une législation plus complète pour résoudre correctement le problème.

M. Abbott a déjà envoyé des autocars remplis de nouveaux arrivants du Texas vers des villes dirigées par les démocrates dans le but de souligner l’impact dévastateur sur les installations frontalières de l’État de Lone Star.

Ron DeSantis, le gouverneur de Floride, a également apporté son aide en faisant voler des avions de migrants des districts frontaliers vers des zones d’un bleu profond, y compris la riche enclave insulaire de Martha’s Vineyard.

Des dizaines de milliers de migrants ont été déposés à New York, Los Angeles et même devant la résidence de la vice-présidente Kamala Harris à Washington DC.

« Opération Étoile Solitaire »


Un effort tout aussi partisan se déroule au Congrès, où les républicains doivent voter mardi des articles de destitution contre Alejandro Mayorkas, le secrétaire à la sécurité intérieure de M. Biden.

Dans le cadre d’une initiative appelée « Opération Lone Star », M. Abbott a déployé le département de la sécurité publique du Texas, les troupes de la Garde nationale du Texas et d’autres personnels pour faire respecter la frontière.

Il a également signé une loi radicale, qui devrait entrer en vigueur en mars dans l’attente d’une contestation judiciaire, pour permettre aux forces de l’ordre nationales et locales de procéder à des arrestations massives de migrants traversant le Mexique vers le Texas entre les points d’entrée.

D’autres mesures strictes dans le cadre de cet effort de plusieurs milliards de dollars comprennent l’installation de fils barbelés et de bouées avec des lames en forme de scie le long du Rio Grande, qui ont été liées à une série de blessures de migrants sans papiers.

Ces actions ont précipité de nombreuses contestations judiciaires, notamment de la part du gouvernement fédéral.

La Cour suprême des États-Unis a donné cette semaine raison à l’administration Biden dans un différend sur la question de savoir si les agents frontaliers fédéraux pouvaient continuer à couper les fils barbelés installés par l’État du Texas.

La Maison Blanche a qualifié les barbelés de « coup politique » contre-productif, arguant qu’ils rendent en réalité « plus difficile et plus dangereux » pour les agents de première ligne « de faire leur travail ».

“En fin de compte, nous avons besoin de ressources adéquates et de changements de politique pour remédier à notre système d’immigration défaillant”, a déclaré Angelo Fernandez Hernández, porte-parole de la Maison Blanche.

Cependant, les espoirs d’y parvenir semblent sombres, les Républicains et les Démocrates au Congrès étant de moins en moins en mesure d’unir leurs propres partis sur une ligne d’action, et encore moins de parvenir à un accord bipartisan.

« Crise constitutionnelle couvante »


Malgré la décision de la Cour suprême, M. Abbott a redoublé d’efforts, insistant sur le fait qu’il continuera « à invoquer l’autorité constitutionnelle du Texas pour se défendre et se protéger ».

Il a ajouté que cette autorité « remplace toute loi fédérale contraire ».

Anthony Michael Kreis, professeur de droit constitutionnel à la Georgia State University, a déclaré que le langage du gouverneur du Texas avait « des nuances de rhétorique confédérée » et mettait à l’épreuve « les limites extérieures de la souveraineté de l’État » en vertu de la constitution américaine.

Le professeur Kreis a également noté que l’utilisation du terme invasion « pour inclure toutes les formes d’immigration »

Ces actions ont précipité de nombreuses contestations judiciaires, notamment de la part du gouvernement fédéral.

La Cour suprême des États-Unis a donné cette semaine raison à l’administration Biden dans un différend sur la question de savoir si les agents frontaliers fédéraux pouvaient continuer à couper les fils barbelés installés par l’État du Texas.

La Maison Blanche a qualifié les barbelés de « coup politique » contre-productif, arguant qu’ils rendent en réalité « plus difficile et plus dangereux » pour les agents de première ligne « de faire leur travail ».

“En fin de compte, nous avons besoin de ressources adéquates et de changements de politique pour remédier à notre système d’immigration défaillant”, a déclaré Angelo Fernandez Hernández, porte-parole de la Maison Blanche.

Cependant, les espoirs d’y parvenir semblent sombres, les Républicains et les Démocrates au Congrès étant de moins en moins en mesure d’unir leurs propres partis sur une ligne d’action, et encore moins de parvenir à un accord bipartisan.

« Crise constitutionnelle couvante »
Malgré la décision de la Cour suprême, M. Abbott a redoublé d’efforts, insistant sur le fait qu’il continuera « à invoquer l’autorité constitutionnelle du Texas pour se défendre et se protéger ».

Il a ajouté que cette autorité « remplace toute loi fédérale contraire ».

Anthony Michael Kreis, professeur de droit constitutionnel à la Georgia State University, a déclaré que le langage du gouverneur du Texas avait « des nuances de rhétorique confédérée » et mettait à l’épreuve « les limites extérieures de la souveraineté de l’État » en vertu de la constitution américaine.

Le professeur Kreis a également noté que l’utilisation du terme invasion « pour inclure toutes les formes d’immigration et de demande d’asile » était une déformation de la loi.

Il a ajouté : « Les gens utilisent le terme de manière très vague, et probablement trop souvent, mais je pense qu’ici nous sommes réellement confrontés à une crise constitutionnelle en gestation qui doit être résolue. »

Cependant, M. Abbott a reçu le soutien de républicains de premier plan, notamment Mike Johnson, président de la Chambre, et M. DeSantis.

Le gouverneur de Floride a déclaré : « Si la Constitution rendait réellement les États impuissants à se défendre contre une invasion, elle n’aurait pas été ratifiée en premier lieu. »

Telegraph


Résumé de la situation :

Eagle Pass, au Texas, est devenu l’épicentre d’une querelle croissante entre le Texas et les autorités fédérales sur la manière de gérer la crise des migrants et sur qui a juridiction sur cette partie de la frontière américano-mexicaine.

Le conflit s’est intensifié le 10 janvier, lorsque les autorités du Texas ont effectivement bloqué les agents de la patrouille frontalière américaine dans une zone de 4 km à Eagle Pass, qui avait connu une forte augmentation du passage des migrants. Cette zone comprend Shelby Park, un parc urbain sur le Rio Grande qui est désormais clôturé par des portes et des barbelés – empêchant l’accès de la patrouille frontalière.

Le 12 janvier, après que le département militaire du Texas ait « saisi et sécurisé Shelby Park », deux enfants et une mère se sont noyés dans une partie voisine du Rio Grande. Aujourd’hui, les responsables texans et américains s’accusent mutuellement d’avoir contribué aux circonstances de la tragédie.

Voici une chronologie des fracas en cours à Eagle Pass :

Mercredi 10 janvier :

La Garde nationale du Texas a empêché la patrouille frontalière de placer des équipements de surveillance mobiles à l’intérieur de Shelby Park, selon Robert Danley , coordonnateur principal sur le terrain des douanes et de la protection des frontières américaines pour la région de Del Rio.

De plus , le Texas a déclaré avoir refusé à la patrouille frontalière d’accéder à plusieurs kilomètres de la frontière, a déclaré à CNN une source policière proche des opérations. À cette époque, les autorités de l’État ont commencé à ériger des barbelés, des clôtures et des portails pour fermer l’accès à Shelby Park, à un terrain de golf attenant et à une zone sous le pont du port d’entrée que les agents fédéraux utilisaient comme zone d’attente pour les migrants.

Vendredi 12 janvier :

Vers 20 heures CT, l’Institut national des migrations du Mexique a appris la mort par noyade de deux enfants et d’une femme, survenue dans la zone de la rampe de mise à l’eau de Shelby Park, a écrit Danley .

Yorlei Rubi (à gauche), 10 ans, et Jonathan Agustín Briones de la Sancha (à droite), 8 ans. Veuillez noter que les deux photos ont été publiées en 2019.

ARTICLE ASSOCIÉCe que l’on sait de la noyade de 3 migrants mexicains près d’Eagle Pass, au Texas

Vers 21 heures CT, un superviseur de la patrouille frontalière de la station Eagle Pass a été informé des trois noyades, a déclaré Danley dans une déclaration à la Cour suprême des États-Unis . L’Institut national mexicain des migrations a également déclaré au superviseur de la patrouille frontalière que deux autres migrants étaient en détresse du côté américain du Rio Grande, près de la rampe de mise à l’eau de Shelby Park, a déclaré Danley.

“Le superviseur par intérim de la patrouille frontalière s’est rendu à la porte d’entrée de Shelby Park, qui a été fermée à son arrivée”, a écrit Danley.

“De l’extérieur de la porte, le superviseur par intérim de la patrouille frontalière a informé trois gardes de la Garde nationale du Texas (TNG) qu’à travers la porte, trois migrants s’étaient noyés plus tôt dans la soirée et deux étaient en détresse du côté américain de la rivière”, a poursuivi Danley. .

“La porte est restée fermée pendant la conversation, et les gardes du TNG ont informé l’agent de surveillance par intérim de la patrouille frontalière à travers la porte qu’ils avaient reçu l’ordre de ne pas laisser la patrouille frontalière entrer par la porte ni de donner à la patrouille frontalière l’accès à Shelby Park.”

Selon Danley, le membre de la Garde nationale du Texas a déclaré au superviseur par intérim de la patrouille frontalière “qu’ils avaient reçu l’ordre de ne pas laisser la patrouille frontalière entrer par la porte ni de donner à la patrouille frontalière l’accès à Shelby Park”.

Le superviseur de la patrouille frontalière a ensuite demandé à parler avec un superviseur de la Garde nationale du Texas et a de nouveau relayé l’information selon laquelle trois migrants s’étaient noyés plus tôt dans la soirée et que deux migrants étaient en détresse du côté américain du Rio Grande, a déclaré Danley.

Le sergent d’état-major de la garde aurait déclaré que la patrouille frontalière n’était pas autorisée dans la zone, « même en cas d’urgence ». Au lieu de cela, le sergent d’état-major a envoyé des gardes du Texas pour enquêter, a écrit Danley.

Des soldats de la Garde nationale du Texas montent la garde sur les rives du Rio Grande à Shelby Park à Eagle Pass, au Texas, le 12 janvier.Brandon Bell/Getty Images

Samedi 13 janvier :

L’Institut national des migrations du Mexique a déclaré au secteur Del Rio de la patrouille frontalière que sept migrants – répartis en deux groupes – avaient tenté de traverser le Rio Grande la nuit précédente, a écrit Danley.

ARTICLE ASSOCIÉL’administration Biden poursuit le Texas pour la nouvelle loi sur l’immigration de l’État

Le premier groupe comprenait cinq migrants : une mère et deux enfants qui se sont noyés, ainsi que deux migrants secourus par l’Institut national des migrations du Mexique. “Les autorités mexicaines ont pu récupérer les corps de la mère noyée et de ses deux enfants”, a écrit Danley.

Le deuxième groupe de migrants comprenait deux hommes qui ont réussi à gagner la rive américaine du fleuve. Ces deux hommes ont été secourus par les autorités mexicaines.

Le 13 janvier également, le Texas a autorisé la patrouille frontalière à accéder à la rampe de mise à l’eau dans la région de Shelby Park, mais avec des restrictions, telles que l’exigence d’informations sur chaque agent de la patrouille frontalière entrant dans la zone et l’offre d’un accès limité à l’agence.

Lundi 15 janvier :

Un agent de la patrouille frontalière a traversé une route d’accès dans une zone d’environ 2,5 miles, a écrit Danley, mais l’agent a été arrêté et interrogé par un membre de la Garde nationale du Texas.

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Le 15 janvier également, l’administration Biden a soumis un dossier à la Cour suprême contenant des détails sur les noyades de migrants du 12 janvier.

Les noyades – ainsi que le sauvetage de deux autres migrants du côté américain du Rio Grande par les autorités mexicaines – « soulignent que le Texas est ferme dans ses efforts continus pour exercer un contrôle total de la frontière et des terres » dans la région « et pour bloquer l’accès de la patrouille frontalière à la frontière, même en cas d’urgence », a écrit l’administration.

« Il est impossible de dire ce qui aurait pu se passer si la patrouille frontalière avait eu accès à la zone comme auparavant – y compris grâce à ses camions de surveillance qui aidaient à surveiller la zone », a écrit la procureure générale des États-Unis, Elizabeth Prelogar, dans le dossier déposé devant la Cour suprême.

« Cependant, à tout le moins, la patrouille frontalière aurait eu la possibilité de prendre toutes les mesures disponibles pour s’acquitter de ses responsabilités et aider ses homologues du gouvernement mexicain à entreprendre la mission de sauvetage. Le Texas a rendu cela impossible.

Prelogar a exhorté la Cour suprême à intervenir.

Mercredi 17 janvier :

Le département américain de la Sécurité intérieure a fixé cette date comme date limite à laquelle les autorités texanes doivent mettre fin au blocus d’Eagle Pass et permettre aux agents fédéraux de reprendre leurs opérations dans la région. Si le Texas n’acceptait pas de se conformer d’ici la fin de la journée, le DHS a déclaré qu’il « soumettrait l’affaire au ministère de la Justice pour une action appropriée ». 

Mais le bureau du procureur général du Texas, Ken Paxton, a redoublé d’efforts en déclarant : « Le Texas ne se rendra pas ».

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Dans une lettre cinglante de trois pages adressée au conseiller juridique général du DHS, Paxton a réfuté certaines affirmations du gouvernement fédéral, les qualifiant de « fausses ». Paxton a déclaré que les agents de la patrouille frontalière avaient effectivement accès à Shelby Park pour répondre aux urgences médicales.

Et la nuit où les trois migrants se sont noyés, « le TMD (Département militaire du Texas) n’a pas empêché la patrouille frontalière américaine d’entrer dans Shelby Park pour tenter de sauver des migrants en détresse par l’eau », a écrit Paxton.

« Les agents fédéraux à la porte n’avaient même pas de bateau et n’ont demandé l’entrée sur la base d’aucune exigence médicale. Au lieu de cela, les agents fédéraux ont déclaré au sergent d’état-major du TMD que les autorités mexicaines avaient déjà récupéré des cadavres et que la situation était sous contrôle », indique la lettre de Paxton.

“Les gardes du Texas ont néanmoins effectué des recherches assidues, pour ensuite confirmer que les autorités mexicaines avaient retrouvé les corps des migrants, en aval de la rampe de mise à l’eau de Shelby Park et de leur côté de la rivière.”

Le 17 janvier également, les autorités du Texas ont commencé à arrêter des migrants à Shelby Park et à les accuser d’intrusion criminelle – ce qui constitue la première arrestation de migrants dans l’État depuis que le Texas a pris le contrôle de la région une semaine plus tôt, a déclaré un responsable.

Lundi 22 janvier :

Des membres du Congrès visitent une zone bordée de barbelés concertina à Eagle Pass le 3 janvier, une semaine avant que le Texas ne bloque les agents de la patrouille frontalière dans certaines parties de la ville.Éric Gay/AP

Le Texas avait intenté une action en justice l’année dernière pour empêcher les agents de la patrouille frontalière de couper le fil accordéon, affirmant que cela détruisait illégalement des biens de l’État et compromettait la sécurité.

Le ministère de la Sécurité intérieure a salué l’ordonnance de la Cour suprême.

« L’application de la loi sur l’immigration est une responsabilité fédérale. Plutôt que de contribuer à réduire la migration irrégulière, l’État du Texas a seulement rendu plus difficile pour le personnel de première ligne de faire son travail et d’appliquer les conséquences prévues par la loi », a déclaré un porte-parole du DHS.

« Nous pouvons appliquer nos lois et les administrer de manière sûre, humaine et ordonnée. »

Mais le gouverneur du Texas a déclaré qu’il ne reculerait pas.

« Ce n’est pas fini. Les barbelés du Texas sont un moyen de dissuasion efficace contre les passages illégaux encouragés par Biden », a publié le gouverneur du Texas, Greg Abbott, sur X . “Je continuerai à défendre l’autorité constitutionnelle du Texas pour sécuriser la frontière et empêcher l’administrateur Biden de détruire nos propriétés.”

Mardi 23 janvier :

Le département américain de la Sécurité intérieure a envoyé une lettre au procureur général du Texas réitérant la demande du gouvernement fédéral que les autorités de l’État rouvrent complètement la zone de Shelby Park aux agents de la patrouille frontalière.

Cette fois, l’avocat général du DHS a cité la décision de la Cour suprême autorisant les autorités fédérales à couper ou à retirer les barbelés et a fait valoir qu’il avait le droit légal d’accéder aux zones contestées d’Eagle Pass.

« Conformément à la loi fédérale autorisant le gouvernement américain à condamner les droits de propriété essentiels au contrôle et à la garde des frontières des États-Unis, 8 USC § 1103(b), le Département a acquis des intérêts immobiliers permanents dans et autour d’Eagle Pass en 2008 pour soutenir la construction et entretien de barrières frontalières dans et autour de la zone de Shelby Park », a écrit le DHS à Paxton.

« Pour une grande partie de la propriété… le ministère a acquis des intérêts en fief simple auprès de la ville d’Eagle Pass par le biais d’une condamnation ainsi que auprès de propriétaires fonciers privés. »

Mercredi 24 janvier :

Une équipe de CNN à Eagle Pass a vu des membres de la Garde nationale du Texas installer davantage de clôtures anti-escalade et de barbelés dans la région de Shelby Park. Le grillage a empêché les migrants et la patrouille frontalière d’accéder à la zone.

Le gouvernement fédéral n’a pas de plans immédiats pour un retrait massif des barbelés dans la région d’Eagle Pass, à moins que la situation ne change radicalement ou en cas d’urgence, a déclaré à CNN une source policière familière avec les opérations.

Mais après la récente décision de la Cour suprême, les forces de l’ordre fédérales couperont ou retireront les câbles si nécessaire pour faire respecter les lois sur l’immigration et en cas d’urgence médicale, a indiqué la source.

Une autre source policière a déclaré mardi à CNN que des agents fédéraux étaient prêts à franchir la clôture pour porter secours à toute personne en détresse ou si cela était jugé « nécessaire sur le plan opérationnel ».

Mercredi également, le gouverneur du Texas a publié une déclaration accusant Biden de ne pas avoir rempli son devoir constitutionnel de protéger les frontières du pays.

“En gaspillant l’argent des contribuables pour détruire l’infrastructure de sécurité des frontières du Texas, le président Biden a attiré les immigrants illégaux loin des 28 points d’entrée légaux le long de la frontière sud de cet État – des ponts où personne ne se noie – et vers les eaux dangereuses du Rio Grande”, a écrit Abbott. .

Vendredi 26 janvier :

Il s’agit de la deuxième date limite fixée par le ministère de la Sécurité intérieure au Texas pour accepter de rouvrir complètement les parties contestées de la zone de Shelby Park aux agents fédéraux de la patrouille frontalière.

“D’ici le 26 janvier 2024, veuillez confirmer que l’État fournira à la patrouille frontalière américaine l’accès décrit ci-dessus”, a écrit l’avocat général du DHS, Jonathan E. Meyer, dans une lettre à Paxton. “Si l’État refuse l’accès demandé en partie, mais pas en totalité, veuillez préciser quel accès vous comptez refuser.”

CNN