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Je suis tombé sur une vidéo de Vigné au titre prometteur : « J’ai écoute le TOP 50 Spotify : NULLITÉ et ABÊTISSEMENT de masse ! Comment en est-on arrivé là ? »
J’ai donné sa chance au produit malgré un fort degré de certitude d’être déçu. C’est confirmé.
Le sujet est sérieux, donc l’attente aussi. L’angle promis par le titre était bon, nous en avons nous-mêmes fait des articles depuis des années.
Hélas, Vigné ne parle jamais du fameux TOP 50 Spotify, ce qui est quand même problématique lorsque vous prétendez en faire une vidéo thématique.
Sa vidéo ne parle pas de ce que les masses écoutent, mais de ce qu’elles n’écoutent plus : de la guitare et des groupes d’instrumentistes. Le type est guitariste, c’est un métalleux, donc il épanche son amertume.
Dans ce que dit Vigné il y a quelques éléments techniques ou légaux pas totalement inintéressant qui peuvent expliquer à la marge la disparition du rock, de la guitare et de la musique instrumentale, notamment la loi Toubon, mais c’est partiel et ces données, prises en elles-mêmes, n’expliquent pas la situation. Quand il touche du doigt les quotas de musique fronssaise imposés à la radio par la loi Toubon au tournant des années 1995/1996, il s’approche du sujet, mais ne va pas plus loin.
Il reste sur son truc de gratteux, comme tout le temps avec tous les spécialistes sur n’importe quel sujet.
Alors, encore une fois, il faut dire ce que personne n’ose dire pour ne pas fâcher la faune sauvage environnante, : l’entièreté de ce qu’écoute les personnes de moins de 30 ans en France est de la musique afro à base de synthé sans aucun instruments !
Voici les 10 premiers titres (à oublier très vite, ce n’est pas de la musique !)
Voilà, vous avez vu le TOP 10.
Le TOP 50 est du même calibre.
Le TOP 100 aussi.
Le TOP 1,000 des 20 prochaines années.
Quand ce n’est pas du rap afro-algérien, c’est du rap pour femmes dilué, encore appelé « R’nb ». Et un tout petit peu de machin « latino » dégueulasse.
C’est ce qu’écoutent les Français (sur le papier) de moins de 30 ans, exclusivement. Si vous n’écoutez pas ça, vous êtes une exception et votre exception n’est pas la règle.
Ce son abrutissant et hypnotique de tamtam mêlé aux voix afro-orientales trafiquées par des ingénieurs son constitue 100% de la production fronssaise. Le reste est inconnu du grand public.
Donc Vigné m’emmerde avec ses histoires à propos de Kurt Cobain qui serait responsable du remplacement racial complet que nous subissons musicalement.
Ce qui a vraiment changé en France, c’est ceux qui font la musique et ceux qui l’écoutent et, surprise, ce sont des Noirs et des Maghrébins, avec des goûts de Noirs et de Maghrébins.
Essayez de demander à un de ces afros algériens de cité de jouer de quelque instrument que ce soit, juste pour voir. Ils en sont totalement incapables. Ils peuvent uniquement faire des bruits sinistres avec leurs bouches, complètement défoncés, et parler de dope, de flingues, de putes.
L’art, à commencer par la musique, est l’expression de ceux qui la font. L’art est racial par définition, Constater l’effondrement culturel qu’exprime le champ de ruines musical français sans opérer le lien logique avec le remplacement démographique qui le conditionne, c’est chercher en vain la sortie du labyrinthe dans lequel les “bien pensants” nous plongent avec leur antiracisme primaire
Cette basse humanité fait du surplace culturel parce qu’elle est attachée à son QI de 75 points comme un chien au poteau de sa niche. Dans un siècle, si aucune bombe nucléaire n’arrache l’IDF de la surface du globe, sa populace continuera de faire le même bruit de jungle et de souk passablement digitalisé par l’IA.
Le rap est un désastre industriel qui fait pâlir Tchernobyl par comparaison. […]
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Écouter du rap, c’est végéter mentalement et se préparer à ne jamais sortir de la prison mentale qu’est devenue la Fronsse.
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Lu sur D.P. (en partie)
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