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“Il faut que la justice puisse trancher” déclare Marine Le Pen à propos des élections américaines, dont l’issue reste des plus incertaines.
https://francais.rt.com/en-ce-moment/79189-elections-presidentielles-americaines-2020-actualites
Car contrairement au discours qu’on entend depuis le 4 novembre, niant farouchement la fraude gigantesque dans les États clés, ces élections pourraient bien se transformer en cataclysme pour Biden et tous les valets européens qui l’ont adoubé précipitamment.
À croire que tous ces idiots, en quatre ans, n’ont toujours pas compris que Trump était un battant bien plus rusé que tous ses adversaires.
Comme si on pouvait devenir milliardaire en étant un demeuré ! Trump a bien des défauts, mais il est loin d’être le niais inculte qu’on nous a vendu.
Marine a donc raison, tout comme Poutine, Xi Jinping et quelques leaders lucides, qui savent que notre “Rocky” de la Maison-Blanche est loin d’être KO.
Après l’euphorie de la “victoire volée”, le camp Biden se fait soudain plus discret, tout comme les médias français, d’ailleurs, qui ne disent pas un mot des procédures de justice qui s’annoncent.
Dans les chancelleries et les salles de rédaction européennes, sentirait-on le vent tourner ?
Après les images de la foule en liesse, claironnant “Fin de partie pour Trump”, le rideau est tombé. On s’interroge. Et si la justice donnait raison à Trump ? Aucunmondialiste, aux États-Unis comme en Europe, n’avait à ce jour envisagé cette hypothèse apocalyptique pour le camp démocrate.
La résistance de Trump désarçonne tout le monde.
“C’est embarrassant”, déclare pitoyablement Biden, soudain moins euphorique.
Il y aura des gens qui iront en prison pour malversations en tous genres et par conséquent les langues se délient…
Il est vrai que “Sleepy Joe” et les médias, anti-Trump à 95 %, ne s’attendaient pas à une telle déferlante d’avocats et de juristes républicains dans les États clés où la fraude a été massive.
Preuves et témoignages accablants affluent, annonçant un torrent de plaintes et d’actions en justice, dont nous verrons les premiers effets dès la semaine prochaine, car le temps est compté.
La méthode de Biden consistant à marteler avant l’heure qu’il est le nouveau président “élu”, afin de mettre le camp adverse devant le fait accompli et d’intimider les juges, n’a été qu’un feu de paille.
C’est l’artillerie lourde que Trump a sorti, pendant que les démocrates et la presse serinaient une douce musique le poussant à accepter la défaite et à jouer la transition en douceur.
Mais à ceux qui s’impatientent et attendent la capitulation de Trump, Mike Pompeo a répondu, moqueur.
“Il y aura bien une transition en douceur… mais pour un second mandat de Trump”.
Quant aux journalistes qui veulent nous faire croire que le camp républicain se délite et que bon nombre de proches de Trump prennent leur distance, c’est encore une fake new, propagée par des minables qui prennent leurs désirs pour des réalités.
Trump, que l’on nous présente isolé, est en réalité entouré de ses troupes en ordre de bataille.
Conscients de la ténacité et de la volonté de Trump, qui ne lâche rien face à des tricheurs sans foi ni loi qui lui ont volé la victoire au soir des élections, tous les républicains resserrent les rangs derrière leur leader.
Le monde entier sait que Trump a raison et que la fraude massive a faussé les élections, y compris Macron et la clique des valets mondialistes. Mais leur haine de Trump est telle que justice et vérité passent à la trappe.
Et pendant que Biden commence à rire jaune, se demandant comment cela va tourner, Poutine et Xi Jinping se marrent.
Les gêneurs ? Virés, comme le chef du Pentagone. Le patron du FBI et la directrice de la CIA pourraient bien suivre le même chemin
Ceux qui ont la fibre trumpiste un peu trop émoussée sont remerciés, ce qui calme les ardeurs défaitistes des plus faibles.
En fait, où en sommes-nous ?
Comme l’a si bien expliqué Maxime Lépante, qui suit l’affaire de très près, 44 États ne posent aucun problème.
Etats-Unis : 18 nouvelles infos capitales sur les fraudes électorales !
Pour ces 44 États, c’est Trump qui est gagnant, avec 232 grands électeurs contre 227 pour Biden. Total 459 grands électeurs.
Le litige vient donc des six États clés.
Ces six États sont la Pennsylvanie (20 grands électeurs) le Michigan (16) la Géorgie (16) le Wisconsin (10) le Nevada (6) et l’Arizona (11).
Total pour ces six États clés : 79 grands électeurs frauduleusement attribués à Biden.
Il manque donc à Trump 38 grands électeurs pour rafler la mise et atteindre le chiffre de 270. Il lui faut donc gagner la Pennsylvanie, où la fraude a atteint une échelle industrielle, la Géorgie qui semble à sa portée et un troisième État autre que le Nevada qui ne rapporte que 6 grands électeurs.
Mais Trump peut également tout rafler si la fraude est prouvée partout. Ce qui donnerait 321 grands électeurs au milliardaire.
Voilà pourquoi Trump se bat comme un lion et ne cède rien malgré les pressions. Parce que son combat est non seulement légitime mais il est surtout gagnable.
Avec des juges impartiaux, dignes d’une vraie démocratie, nous pouvons assister à un effondrement définitif du parti démocrate.
Déclaré vainqueur, la priorité de Trump devrait être de dissoudre à jamais ce parti d’escrocs et de tricheurs.
Quoi qu’il en soit, Trump reste encore le président des États-Unis pour deux mois, avec un pouvoir intact. Nul doute qu’il saura s’en servir.
Et tous ceux qui ont cru pouvoir l’enterrer vivant vont s’en souvenir…
Certains feraient bien de faire leur valise pour le Mexique !
Jacques Guillemain, Riposte Laïque