Clip foot : aucun international muzz n’a rendu hommage à Samuel Paty

Articles  : Oct. 2020Sept 2020Août 2020juillet 2020

Clip étonnant qui sera présenté, demain, dans les classes de nos écoles, à l’occasion de la rentrée scolaire, pour rendre hommage à l’enseignant Samuel Paty. On y voit les rares Gaulois de l’équipe (Griezmann, Giroud, Lloris, Dubois, Pavard, Lenglet) et quelques métis gaulois, comme Raphaël Varanne, Corentin Tolisso ou Steven Nzonzi. Mais aucun international ne se revendiquant musulman, comme N’golo Kante, Paul Pogba, Ousmane Dembélé, Djibril Sidibé, Nabil Fékir, Adil Rami et Benjamin Mendy. Pire, Presnel Kimpembe, comme Benzema, a relayé sur les réseaux sociaux le tweet d’un boxeur islamiste appelant à s’en prendre à la France et à Charlie Hebdo.

Maître Di vizio et Pr Raoult attaquent l’ANSM sur la chloroquine

Articles  : Oct. 2020Sept 2020Août 2020juillet 2020

L’ANSM a interdit le Professeur DIdier Raoult et son IHU d’utiliser l’hydroxychloroquine pour traiter les patients atteints de la COVID.

Le Pr Raoult a donc demandé à Maître Fabrice Di Vizio de le représenter et d’attaquer en justice l’ANSM. Je rappelle que l’ANSM fut impliqué dans de nombreux scandales sanitaires dans le passé dont celui du Médiator.

Le Pr Raoult, par Maître Di Vizio les attaque au Conseil d’état ainsi qu’au pénal et il va également attaquer Sanofi pour refus d’approvisionner l’IHU en chloroquine. Partagez un maximum et signez tous la pétition pour soutenir le Professeur Raoult.

Offensive musulmane contre la France : le sale boulot des collabos

Articles  : Oct. 2020Sept 2020Août 2020juillet 2020

Les musulmans sont passés à l’offensive contre la France. Offensives intérieure (Turcs ratonnant les Arméniens, clandos couteau de boucher à la main pour découper du mécréant, prétendus Français musulmans posant en victimes de l’islamophobie) et extérieure (drapeaux français brûlés au Pakistan, déclarations de rois de pacotille comme ceux du Maroc et de Jordanie, pays miteux comme le Bangladesh hurlant leur rage).

Notre pays s’émiette.

Le Drian lèche toutes les babouches qui passent à sa portée. Il adresse un message de paix au monde musulman pendant que celui-ci nous lance des cris de guerre. Des avions et des frégates à vendre, Jean-Yves ?

« La religion et la culture musulmanes font partie de notre histoire française et européenne, nous la respectons », a-t-il sangloté. « Les musulmans appartiennent de plein droit à notre communauté nationale ». Il faut le dire vite.

Notre Daladier n’a pas à aller à Istanbul ou Doha, il courbe l’échine depuis son ministère.

Macron intervient sur les antennes d’Al-Jazeera (25 millions d’abonnés en djellaba et niqab de par la planète), chaîne qatari d’un émirat qui arrose copieusement de ses pétrodollars les djihadistes et les mosquées implantées sur notre sol. Se rend-il à Canossa pour dire qu’Al-Jazeera aurait mal interprété ses propos sur le séparatisme ? Ou alors, comme l’accuse toute l’islamosphère française, insistant sur le droit à la caricature en France, jette-t-il de l’huile sur le feu ?

Pascal Boniface, cet islamo-collabo de toujours gazouille : « En 2003 la France était le pays occidental le plus apprécié dans le monde musulman. Elle est aujourd’hui le plus impopulaire. What went wrong ? » “Qu’est-ce qui ne s’est pas bien passé ?” Culotté, Boniface. Quelques centaines de morts kouffar depuis Mérah, ça te va ? Une poussée des Frérots muzz dans tous les pays où hurlent des imams, ça te dit quelque chose ?

Boniface s’attendait certainement à des excuses de Macron. Il est déçu, l’islamophile?

Le Grand Remplacement n’est plus une idée farfelue de complotistes de droite. Il est une ligne claire pour les musulmans de France et d’Europe. Ils rêvent nos villes en Raqqa et sa place des décapitations.

Il suffit de comparer des photos et des films sur nos villes dans les années 50-60 avec ceux de 2020, pour comprendre que le Grand Remplacement n’est pas une vision délirante de beaufs avinés ou d’identitaires en mal d’amour de la patrie. L’Afrique subsaharienne et maghrébine s’est installée chez nous. Et elle impose chaque jour un peu plus sa loi.

Tout le monde a la capacité de le voir. Mais peu d’entre nous acceptent de le voir.

De Marine Le Pen à Mélenchon en passant par toutes les couleurs de la collaboration politique avec l’islam, aucun de nos politicards institutionnels n’ose affronter la réalité. Trop incertain. Si nous perdions la guerre, il ne faut pas risquer aussi de perdre la tête.

Là, on est adepte de la pensée molle qui fait la différence entre islam et islamiste, ici on lance que ce sont des extrémistes de droite qui décapitent les enseignants et les catholiques, ailleurs on soutient le droit au blasphème avec si peu de vigueur qu’on sait que l’on est à son enterrement.

On ne cessera de le dire.

L’État français – et je ne désigne pas seulement sa version macronienne – est comme d’habitude fort avec les faibles, faible avec les forts.

Le “en même temps” porte ce gouvernement vers des génuflexions devant l’islam et à matraquer les rares opposants à la dictature sanitaire.

Parions que l’application pratique du confinement saison 2, comme celle de la saison 1, comme celle du couvre-feu, ou du port obligatoire du masque dans les rues, sera différente selon les endroits concernés. Mamie se prendra 135 € pour avoir oublié de signer son auto-autorisation de sortie tandis que Momo gambadera tranquillement sur nos territoires perdus.

La racaille intellectuelle islamo-gauchiste qui pourrit les médias et les ondes traitera comme à l’accoutumée les réalistes que nous sommes d’irrationnels (sur le nombre d’immigrés qui forment la cinquième colonne islamique sur notre sol, sur l’exagération du poids de la religion islamique dans notre société). Quand elle ne nous accusera pas d’être responsables de la colère des musulmans à cause de notre “dérive laïciste”.

Les gouvernements français ont laissé s’installer un autre monde sur notre sol. Aujourd’hui, celui-ci veut prendre le pouvoir sur nos vies.

Le pronostic n’est pas bon pour les mois et les années qui viennent.

Marcus Graven

Lien : https://marcus.tvs24.ru/

Assa Traoré : l’injure faite à Samuel Paty

Articles  : Oct. 2020Sept 2020Août 2020juillet 2020

C’est une information passée quasi inaperçue, ce qui est pour le moins étonnant en cette époque d’hypersensibilité médiatique à tout ce qui se rapporte, de près ou de loin, aux « propos de haine ». Ainsi, le 18 octobre dernier, alors que des milliers de personnes se pressent, place de la République, à Paris, afin de rendre un dernier hommage à Samuel Paty, ce professeur décapité, Assa Traoré et ses amis du comité Vérité et Justice pour Adama sont aussi de la fête.

Pour faire preuve de sa compassion, sans doute, l’un d’eux arbore fièrement une pancarte sur laquelle on peut lire ces mots : « RIP Samuel mort en saignant ! » À ce degré de tact, les mots manquent…

Hormis Le Figaro et Valeurs actuelles, qui ont relayé la chose sur leurs sites Internet respectifs, le silence médiatique est donc total. Du coup, l’écrivain Éric Naulleau doit se sentir bien seul lorsqu’il tweete : « Le véritable visage d’Assa Traoré qui vient prétendument manifester son soutien à Samuel Paty en tournant sa mort en dérision par un jeu de mots ignoble. Sans oublier le tee-shirt à la gloire d’un violeur. » Il est vrai que la république des Lettres a, évidemment, des occupations plus urgentes inscrites à son agenda : faire taire Éric Zemmour, on imagine.

Côté politique, seuls la macroniste Aurore Bergé et Florian Philippot, président des Patriotes, ont, à notre connaissance, fait part de leur indignation. C’est peu. De son côté, le NPA d’Olivier Besancenot, qui héberge le Comité Traoré sur son site Internet, n’est pas plus prolixe. Logique : il s’agit, bien sûr, de ne pas noircir le tableau, si l’on peut dire, à propos d’Assa Traoré. Surtout que, dans la foulée, y sont repris, presque mot pour mot, ceux du CCIF, qui évoquent une « offensive islamophobe, raciste et antisociale du gouvernement ». Voir des trotskistes, qui n’en sont plus à une contradiction dialectique près, voler au secours d’une religion naguère tenue pour « opium du peuple » : celui qui n’a pas vu ça à plus de quarante ans a raté sa vie.

En revanche, on notera que la condamnation la plus forte nous vient d’Afrique noire, du journal Cameroon Magazine, pour être plus précis, qui titre : « L’odieuse récupération d’Assa Traoré en hommage au professeur décapité. » Comme quoi les journalistes camerounais n’ont pas les pudeurs de leurs confrères français.

Quoi qu’il en soit, il va devenir compliqué, pour Assa Traoré, déjà plombée par le feuilleton judiciaire familial, de continuer à jouer à la Cosette des banlieues en proie au racisme systémique de l’État colonial français.

Déjà, elle fut salariée de l’OPEJ jusqu’en décembre 2019, anciennement Œuvre de protection des enfants juifs, fondée par le baron Edmond de Rothschild : comme précarité sociale, on a vu pire. Mais il faut encore savoir qu’elle est la vedette du prochain disque du rappeur Jok’Air, où ce dernier la présente comme présidente d’une future Sixième République. Puis, c’est l’actrice Adèle Haenel qui explique aux Inrockuptibles pourquoi elle rejoint le comité Vérité et Justice pour Adama : « Quand on prend la parole, on se radicalise dans ses choix artistiques. Cela ne permet plus vraiment une zone grise où le sens n’est pas très clair. » Sa déclaration non plus, par ailleurs.

Et, tant qu’à faire, Mathieu Kassovitz, le réalisateur du film La Haine, confie, au Point : « Il y aurait un film à faire sur l’histoire d’Assa Traoré, son combat, la violence étatique autour de cette histoire, le manque d’éthique et de respect pour les gens qui souffrent. »

Bref, ça roule pour elle. À croire que la France est une chance pour Assa Traoré. Il n’est pas sûr que l’inverse soit forcément vrai.

Boulevard Voltaire

En Syrie, l’aviation russe détruit un camp islamiste sous contrôle turc

Articles  : Oct. 2020Sept 2020Août 2020juillet 2020

Cette fois, la Russie a bougé. Alors que l’on s’inquiétait de son attentisme dans la guerre du Haut-Karabagh, elle a frappé un grand coup.

L’aviation russe a, en effet, attaqué et détruit un camp d’entraînement islamiste en Syrie, relate Le Monde. Dans ce camp s’entraînaient des volontaires islamistes de la milice Faylak al-Cham contrôlée par la Turquie. Le bilan est lourd : 78 morts et plus d’une centaine de blessés, dont beaucoup très grièvement atteints. Il s’agit d’un des raids les plus meurtriers contre les islamistes depuis le début de la guerre.

Cette cible a été soigneusement choisie : situé dans le chaudron islamiste de la province d’Idleb, à proximité de la frontière turque, le camp est en effet une plaque tournante de la rotation des islamistes pro-turcs en partance vers l’Azerbaïdjan. Peu avant l’attaque surprise russe, ces volontaires avaient, selon l’agence russe ANNA, citée par L’Orient-Le Jour, reçu leur diplôme de formation préalable à leur envoi sur le front du Haut-Karabagh.

C’est un rude coup pour la crédibilité turque. En effet, les Russes viennent de démontrer qu’ils peuvent frapper où ils veulent en Syrie et les volontaires islamistes qui affluaient vers ce camp (et d’autres, d’ailleurs) pourraient hésiter, se disant qu’ils peuvent être anéantis à tout moment.

Peut-être le moment va-t-il venir de reconquérir une fois pour toutes cette province d’Idleb où milices pro-turques et Hayat Tahrir al-Cham (l’ex Front Al-Nosra) cohabitent en bonne intelligence, contrairement aux engagements d’Erdoğan qui avait promis à Poutine de réduire cette milice particulièrement sanguinaire ?

Le ministre des Affaires étrangères russe, Sergueï Lavrov, a d’ailleurs déclaré, courant septembre, que « le travail devait être bientôt achevé » à Idleb.

En attendant, les combats se poursuivent dans le Haut-Karabagh, où le front s’est stabilisé. Les forces azéries ont conquis le sud de l’enclave, située en plaine, profitant de leur supériorité aérienne. Le terrain est maintenant plus accidenté, permettant aux forces arméniennes de résister.

Cet avertissement sans frais de Poutine à Erdoğan est le bienvenu, après un mois passé à tenter d’imposer un cessez-le-feu, sans succès. Seule une démonstration de force est susceptible d’arrêter le sultan. L’armée russe a également construit une nouvelle base militaire en Arménie, non loin du Haut-Karabagh. C’est un gage important et l’on sait bien que la Russie ne tolérera jamais une invasion de l’Arménie. Mais en est-il de même du Haut-Karabagh ?

L’attentisme russe qui prévaut depuis l’offensive azérie déclenchée le 27 septembre est largement lié au fait que Poutine ne veut pas se couper définitivement de l’Azerbaïdjan qui est tout de même un pays voisin : ce serait la jeter dans les bras d’Ankara et Erdoğan n’attend que cela.

Ce premier avertissement russe vaut son poids et les prochains jours seront décisifs.

Boulevard Voltaire

Le catéchisme islamique qui a légitimé la tuerie de Charlie Hebdo.

Articles  : Oct. 2020Sept 2020Août 2020juillet 2020

Bien connu des islamologues et des musulmans pratiquants, programmé à l’école d’imams de la Grande Mosquée de Paris (voir plus bas), présent dans toutes les librairies musulmanes de France jusqu’à celle de l’Institut du Monde Arabe (preuve vidéo), le compendium incontournable du sunnisme malékite -école islamique officielle dans tout le Maghreb- éclaire les motivations du meurtre de l’équipe de Charlie Hebdo. Explications:

Ibn Abî Zayd(922-996), dit Al-Qayrawânî car il passa la majeure partie de sa vie à Kairouan, est un des piliers de l’école sunnite malékite. Surnommé également « le petit Malik » car il est connu pour tenir la doctrine du fondateur de cette école Mâlik ibn Anas par voie de tradition orale de trois garants successifs, « ce qui donnait à son enseignement une valeur d’authenticité remarquable » précise son traducteur Léon Bercher (+) qui collabora avec Henri Pérès (+), professeur d’arabe et fondateur de la « Bibliothèque Arabe-Française » à Alger au début du XXème siècle.

L’Epître (risâla) de Qayrawânî, une sorte de condensé de doctrine destiné à vulgariser simplement le droit islamique, fut commandé par Sîdî Mahriz qui dirigeait une école islamique (Zâwiya) célèbre à Tunis, et est passé à la postérité comme étant un manuel incontournable pour les fidèles, notamment les plus jeunes, de par sa construction en petits chapitres thématiques de prescriptions limpides. Ce manuel comprend 4000 prescriptions juridiques (masaâla) et quatre cent hadith (propos de Mahomet rapportés par ses contemporains).

Le ministère des Affaires religieuses du Maroc rend compte que « Elle (la Risâla)est programmée dans les établissements de l’enseignement traditionnel et elle est hautement considérée par les oulémas » (source : habous.gov.ma).

Il est programmé comme « référence » par « Le guide de l’étudiant » de l’institut al-Ghazâli (photo ci-dessous) , école d’imâm de la Grande Mosquée de Paris. Nous l’avions trouvé à l’Institut du Monde Arabe. Plus généralement, étant aussi connu chez les musulmans que le catéchisme chez les catholiques, il se trouve dans toutes les librairies musulmanes.

Nous avions déjà dans des articles précédents cité cet ouvrage qui recommande de tuer les homosexuels, d’attaquer les non musulmans qui refusent la conversion ou l’impôt islamique (jizya). Nous tenions à publier le scan de la page 266 de l’édition d’al Maktaba al Assyria (Beyrouth, 2004) qui explique que ceux qui insultent ou injurient le « Prophète » doivent être tués. Ceux qui négligent la prière et les apostats sont aussi condamnés à mort. Aussi, on appréciera la prescription de tuer ceux qui se disent musulmans en public sans l’être en privé, précaution dont on comprend aisément les raisons dans les zones musulmanes de France et d’ailleurs.

Dans l’exemplaire de l’Office des Publications universitaires d’Alger de l’Institut du Monde Arabe, éditions Dar Al-Kitab Al-Masri-Cairo, page 85, on trouve cette page consacrée au jihâd qui n’a rien de spirituel ou de simplement défensif malgré ce que veut nous faire croire la propagande médiatique :

Observatoire de l’islamisation

Trump va gagner, parce que, face au corrompu Biden, il incarne l’Amérique

Articles  : Oct. 2020Sept 2020Août 2020juillet 2020

Nous saurons dans la nuit du 3 au 4 novembre si Donald Trump a été réélu, déjouant tous les pronostics, ou bien si les États-Unis sont passés aux mains des démocrates. À quelques jours d’un scrutin décisif pour l’humanité, qui mieux que Guy Millière, universitaire français vivant aux États-Unis, pouvait nous apporter les derniers éclairages ?

Personne ne vote pour Biden, ses électeurs votent contre Trump

Riposte Laïque : Vous venez de publier un nouvel ouvrage sur Donald Trump et les États-Unis, dans le contexte électoral que tout le monde suit. Vous avez intitulé ce livre « Après Trump ? » ? Cela signifie-t-il que, comme les sondages semblent l’indiquer, vous pensez que Joe Biden va être élu ?
Guy Millière : Non, pas du tout. Je pense que les sondages n’ont pas plus de fiabilité aujourd’hui qu’il y a quatre ans. Ils sont utilisés comme une arme psychologique pour démotiver les électeurs de Trump, mais cela ne marche pas. Partout où Trump vient parler, il réunit entre 20 000 et 45 000 personnes, et il fait trois réunions publiques par jour. Joe Biden fait une réunion publique tous les deux jours et il attire, au mieux, quinze personnes, même Obama ne fait plus recette, et attire de quarante à cent personnes. En supplément, Joe Biden est sénile et très corrompu.

Quasiment personne aux États-Unis ne vote pour Joe Biden. Les électeurs votent pour Trump ou contre Trump. S’ils votent contre Trump, ils votent Joe Biden, mais c’est faute de mieux. Je pense que Trump a 99 chances sur cent d’être réélu, ce qui veut dire que je donne une chance sur cent à Joe Biden. J’ai appelé le livre Après Trump ? Parce que j’ai voulu évoquer les deux hypothèses, y compris celle à laquelle je ne crois pour ainsi dire pas, quand bien même elle a la faveur des médias français. Comme je le dis souvent, après Trump, il y aura encore Trump et des États-Unis dynamiques, défendant la liberté sur terre, ou après Trump, il y aura la gauche américaine, et ce sera une catastrophe pour tous les défenseurs de la liberté. Derrière Joe Biden, il y a toute la gauche et l’extrême gauche américaine, et, en supplément, des islamistes, Ilhan Omar et Rashida Tlaib.

N’oublions pas que Trump a détruit l’État islamique

Riposte Laïque : Vous avez publié, après la victoire du candidat républicain, en 2017, un livre intitulé « La révolution Trump ne fait que commencer ». Considérez-vous vraiment qu’il y a eu une révolution aux États-Unis, durant les quatre années où Donald Trump a exercé le pouvoir ?
Guy Millière : La révolution est inachevée, mais sur de multiples plans, la réponse est oui. Donald Trump a replacé l’économie américaine sur la voie du dynamisme, et a attiré des centaines de milliards de dollars d’investissements, assuré le plein emploi, qui était là jusqu’à la pandémie de Covid-19, et qui revient à grande vitesse : la croissance au troisième trimestre de cette année se situe à un rythme annuel de 33,1 pour cent, ce qui est un chiffre sans précédent, et plus des deux tiers des emplois perdus en raison de la fermeture de l’économie ont été recréés. L’immigration clandestine a baissé de soixante-dix pour cent. Le parti républicain est désormais le parti de Trump : un parti patriotique défendant les valeurs de la civilisation occidentale, et plus le parti des grandes entreprises planétaires ouvertes au multiculturalisme. Le patriotisme a pu renaître dans tout le pays.

En politique étrangère, Trump a détruit l’État Islamique, qui était la principale base arrière du terrorisme islamique et a infligé à celui-ci une défaite majeure. Il a asphyxié la république islamique d’Iran, qui était devenue le principal financier du terrorisme islamique mondial. Il a commencé à mettre en place un endiguement de la Chine. Il a fait avancer la paix au Proche-Orient. Tout cela a été une révolution en politique étrangère. Et cela va se parachever si, comme je le pense, il est réélu : la paix au Proche-Orient viendra, et les pays arabes sunnites tiendront un discours hostile au djihad. Cela ne changera pas l’islam, certes, et il restera des criminels islamiques abjects qu’il faudra éliminer, mais ces criminels n’auront plus le soutien de l’essentiel des dirigeants du monde arabe. Si Trump est réélu, l’Iran des mollahs ne pourra plus déstabiliser le Proche-Orient, et la Chine verra son avancée vers l’hégémonie mondiale considérablement freinée. Trump devra réfréner les ardeurs d’Erdogan : il le fera. Il ne le fait pas en ce moment parce que nous sommes en période électorale, mais la période électorale sera bientôt achevée, et s’il est réélu, il agira.

Le seul argument des démocrates : la pandémie

Riposte Laïque : En France, les détracteurs du Président américain expliquent qu’il a très mal géré la crise, et lui attribuent la responsabilité des 200 000 morts du Covid. Joe Biden paraît avoir fait de cet argument un des points forts de la bataille. Pensez-vous que cela puisse être efficace, voire déterminant dans le prochain vote ?
Guy Millière : Les démocrates n’ont aucun argument en leur faveur. Ils ont tenté de déstabiliser Trump depuis 2016, sans y parvenir vraiment. Ils ont mené une procédure de destitution fondée sur rien, comme je l’explique dans le livre, et l’ont fait en violant le droit et les procédures établies, et ils ont échoué. Le peuple américain sait que Trump avait permis qu’existe une économie qui se portait extraordinairement bien jusqu’en mars, et les démocrates savent qu’ils n’ont aucune crédibilité en ce domaine. Ils savent que Trump a mené une politique étrangère très fructueuse. Il ne leur restait rien avant la pandémie.

Il ont choisi d’utiliser la pandémie contre Trump, en disant, sans la moindre justification, qu’il a très mal géré les choses et qu’il est responsable des morts. C’est un mensonge total. La pandémie est venue de Chine, et la Chine a menti pendant des semaines en janvier-février : la responsabilité des morts partout sur terre incombe à la Chine. Par ailleurs, les États-Unis sont une fédération de cinquante États, et la gestion d’une catastrophe relève de la responsabilité des gouverneurs. Certains d’entre eux ont bien géré les choses, d’autres beaucoup moins bien. Le rôle du Président est de fournir les moyens d’agir et de superviser. Trump a fait les deux très efficacement. Les deux États où des gouverneurs ont très mal géré les choses sont l’État de New York et le New Jersey, et dans ces deux États, le nombre de morts par millions d’habitants est le plus élevé au monde : plus de 1 700 morts par million d’habitants.

On a prêté à Trump des propos qu’il n’a jamais tenus, tels ceux sur l’eau de Javel. Les gouverneurs d’États démocrates maintiennent jusqu’à ce jour des fermetures économiques qui n’ont plus lieu d’être, ce aux fins de créer de la pauvreté et d’incriminer Trump pour celle-ci. Joe Biden n’a rien fait pendant la pandémie sinon rester dans le sous-sol de sa maison. Quand il y a une bataille à mener, un chef doit être au front. Trump a été au front. Il a pris des risques, est tombé malade, a guéri, et les médicaments qui l’ont guéri sont gratuitement à la disposition de tous les maladies touchés par la pandémie (je le précise, car ce n’est pas dit en France). Rester dans son sous-sol n’est pas l‘attitude d’un chef, mais celle d’un lâche. Et vouloir donner des leçons après coup et après avoir fui est lamentable. Les démocrates n’ont jamais expliqué en quoi ils auraient fait mieux que Trump : ce qu’ils proposent est ce que Trump a fait depuis longtemps. Ils font régner la peur. Ils reprochent à Trump d’avoir tenu des propos rassurants au mois de mars : qu’aurait-il dû faire ? Dire aux Américains qu’ils allaient tous mourir, créer la panique, et s’enfermer à la Maison Blanche ?

Aujourd’hui, Trump tient des propos très optimistes, les démocrates tiennent des propos très pessimistes et parlent d’un retour au confinement si Biden est élu : c’est sur ce seul plan qu’ils ajoutent quelque chose à ce que Trump a déjà fait. Les Américains ne veulent pas d’un retour au confinement, car ils savent ce que serait le prix économique à payer. Je ne pense pas que l’utilisation de la pandémie par les démocrates va les aider. La peur marche chez certaines personnes, pas sur d’autres. Cela ne marche visiblement pas sur les électeurs de Trump, et ils sont nombreux.

Les minorités ethniques voteront Trump

Riposte Laïque : Vu de France, la situation est étonnante. Avant l’épidémie, le bilan du Président paraissait exceptionnel, au niveau économique. Les démocrates avaient désigné un candidat peu charismatique. Trump avait été innocenté de trois ans de campagne. Et il y a le Covid, des émeutes raciales, une situation insurrectionnelle, et on donne Trump battu ! Pouvez-vous nous expliquer tout cela ?
Guy Millière : Comme je l’ai expliqué, les sondages ne sont pas fiables et sont utilisés comme une arme politique. Effectivement, avant la pandémie, les démocrates avaient perdu sur tous les tableaux. Ils ont utilisé cyniquement la pandémie, en mentant et en désinformant. Ils ont utilisé les émeutes ensuite, et ils ont une très lourde responsabilité dans celles-ci. Les émeutes ont eu lieu dans des villes démocrates, seulement dans des villes démocrates, et les maires des villes concernées ont demandé à la police de leur ville de ne pas intervenir, ou très peu, ce qui a permis aux émeutes de prendre de l’ampleur. Ils ont soutenu Black Lives Matter et dit que les États-Unis étaient racistes et que Donald Trump et la police étaient l’incarnation même du racisme. Cela n’a pas marché. Les émeutes ont détruit des commerces qui appartenaient à des Noirs, et tué des enfants noirs. Près de quatorze pour cent des policiers sont noirs. La majorité des Noirs veulent le retour à l’ordre. Trump devrait obtenir deux fois plus de votes de Noirs qu’il y a quatre ans. Les démocrates ont utilisé l’insurrection, et je pense qu’ils ont perdu. Je n’ai pas les résultats de l’élection, bien sûr, mais je pense que Trump va l’emporter avec un vote record des minorités ethniques. Les démocrates auraient besoin, pour gagner, d’une mobilisation très forte des Noirs, des Hispaniques et des jeunes de moins de vingt-cinq ans (à qui des professeurs gauchistes ont lavé le cerveau). Je doute que cette mobilisation très forte soit au rendez-vous, sauf , peut-être, chez les jeunes de moins de vingt-cinq ans.

Donald Trump n’a pas encore vaincu l’État profond

Riposte Laïque : Pouvez-vous expliquer aux Français ce qu’est, aux États-Unis, la réalité de l’État profond, dénoncé par Donald Trump ?
Guy Millière : L’État profond est constitué de tous les gens mis en place par Obama pendant ses huit années de présidence dans tous les rouages de l’administration, dans la justice, dans les services de sécurité et de renseignement, dans les grands médias. Ces gens sont au service du projet de transformation révolutionnaire d’extrême gauche dont Obama était porteur, et qu’Hillary Clinton devait continuer à mettre en œuvre. Donald Trump est venu contrecarrer le projet, et ces gens se sont donné pour mission de le détruire. Il est, pour eux l’ennemi à abattre. Donald Trump est entré en politique précisément pour contrecarrer et déjouer le projet qu’ils servent et pour les éliminer. C’est une lutte à mort qui est engagée.

Donald Trump a marqué des points, mais il n’a pu, pour l’heure, pleinement vaincre l’État profond. Il a pu évincer et remplacer des juges fédéraux, mais il reste de nombreux juges fédéraux membres de l’État profond. Il a évincé James Comey et Andrew McCabe de la direction du FBI, mais leur remplaçant, Christopher Wray se conduit comme un membre de l’État profond, et si Donald Trump est réélu, il devra le remplacer très vite. Gina Haspel, que Donald Trump a placée à la tête de la CIA, se conduit elle-même comme un membre de l’État profond et devra être remplacée elle aussi. Les immenses crimes commis par l’administration Obama finissante n’ont pas fait l’objet de condamnations en justice. Jeff Sessions, le premier ministre de la justice de Donald Trump, s’est fait intimider par l’État profonde et n’a rien fait pour que ces crimes, commis par des membres de l’État profond soient punis. Il a abandonné la gestion de son ministère à Rod Rosenstein, qui a nommé Robert Mueller pour mener une enquête sur une inexistante “collusion avec la Russie”, destinée seulement à abattre Trump. Rod Rosenstein et Robert Mueller sont membres de l’État profond.

Le remplaçant de Jeff Sessions au poste de ministre de la Justice, William Barr, est plus fiable, mais le procureur John Durham, qu’il a nommé pour enquêter sur les crimes commis par l’administration Obama finissante n’a toujours pas rendu son rapport, et il semble que Durham a subi des pressions et des intimidations. Outre leurs buts politiques les membres de l’État profond ont des activités de corruption, et se défendent les uns les autres. La corruption de Joe Biden et ses liens avec la Chine sont avérés, mais l’État profond fait tout pour le protéger. Des preuves accablantes sont entre les mains de Christopher Wray, qui ne les a pas utilisées et a, au contraire, tenté de les enterrer.

Imaginez que le corrompu Biden puisse devenir président des États-Unis…

Riposte Laïque : Joe Biden paraît au cœur d’un scandale énorme, mêlant escroqueries et affaires de mœurs sordides, autour de son fils, mais aussi de sa propre personne. Les médias paraissent vouloir le protéger jusqu’au bout, bien qu’en France, Charles Gave parle d’un Watergate puissance 40. Pensez-vous que cela puisse ruiner ses chances ?
Guy Millière : Charles Gave, que je connais bien depuis longtemps, et pour qui j’ai une immense estime, a raison. Joe Biden est l’un des personnages les plus corrompus de la scène politique américaine et il est à la tête de ce qu’on peut légitimement appeler une famille criminelle. Il ne s’agit pas d’escroqueries, mais de choses bien plus graves. Joe Biden a pratiqué le trafic d’influences. Il a conditionné l’aide américaine à certains pays au versement de dizaines de millions de dollars à son fils et parfois à son frère, qui lui reversaient de l’argent. Il a infléchi la politique américaine envers la Chine en échange de sommes plus importantes encore. Tout indique que la Chine dispose de beaucoup d’éléments compromettants pour lui, ce qui en fait un homme tenu par une puissance ennemie.

La débauche et les multiples perversions de son fils Hunter, sur qui la Chine dispose de documents accablants, font qu’existent des moyens supplémentaires de chantage sur Joe Biden qui, des documents le montrent, était au courant d’actes de pédophilie de son fils et n’a rien dit. L’ordinateur que Hunter a abandonné un soir où il était dans un état second chez un réparateur du Delaware a été remis au FBI en décembre 2019. Christopher Wray n’a pas voulu incriminer la famille Biden et a caché l’existence de l’ordinateur depuis décembre 2019. Une copie du disque dur a été transmise à Rudy Giuliani, ancien procureur et ancien maire de New York, qui a décidé de rendre les documents publics. Ces documents sont accablants. Le New York Post et Fox News les ont publiés. Les autres grands médias, liés à l’État profond, refusent d’en parler. C’est très grave. La presse française n’en parle pas non plus parce qu’elle voudrait absolument que Joe Biden gagne. Elle a publié des éléments faux sur Trump pendant des mois, sans le moindre scrupule, elle refuse de publier des éléments vrais sur Joe Biden.

Imaginer qu’un homme corrompu et tenu par la Chine puisse devenir président des États-Unis dépasse l’entendement. Le parti démocrate savait qui est Joe Biden, et sait, en supplément que Biden est sénile, mais le parti démocrate a présenté Joe Biden quand même parce que nombre de dirigeants démocrates sont corrompus aussi, et savent qu’un homme corrompu ne les dénoncera pas, et ils sont eux-mêmes tout à fait prêts à vendre les États-Unis à la Chine. Les grands médias américains refusent de parler parce que leurs journalistes sont membres de l’État profond, tout comme leurs propriétaires, qui sont tout à fait prêts à se vendre à la Chine. Tout cela est prouvé. Seuls ceux qui pratiquent l’aveuglement volontaire peuvent dire le contraire. Tout ce que je dis est prouvé et dans mon livre, je cite des centaines de sources.

Biden n’a qu’une chance sur cent d’être élu

Riposte Laïque : Comment voyez-vous les quatre prochaines années des États-Unis, avec Trump au pouvoir jusqu’en 2024, et Biden au pouvoir durant quatre ans ?
Guy Millière : Je pense que Trump sera réélu, et je donne, je l’ai dit, une chance sur cent à Biden. Si Trump reste au pouvoir, le plein emploi et le dynamisme vont revenir aux États-Unis : c’est déjà en cours. La révolution Trump se poursuivra, et à l’échelle mondiale, tout ce que j’ai évoqué plus haut se poursuivra. Ce sera une bonne chose pour de nombreux pays, et entre autres, pour l’Europe et pour la France : combattre l’islam qui assassine en France impliquerait un gouvernement très différent du gouvernement actuel, et ce sera aux Français de s’en doter. Mais organiser des attentats comme celui du Bataclan sera impossible. Trump devra se donner les moyens de combattre plus efficacement l’État profond. Si Biden passe, le crépuscule viendra pour les États Unis, et le monde connaîtra des moments très turbulents et très sanglants. Xi Jinping, les ayatollahs iraniens, Erdogan, les islamistes, pourront se réjouir. Des gens comme Macron se réjouiront aussi : ils rêvent de se vendre à l’Iran et à la Chine, sans aucun scrupule. Les journalistes français, pour la plupart, se réjouiront aussi : ils seront une fois de plus complices du pire. Je serai inquiet pour le futur de la civilisation occidentale.

Si les États-Unis tombent, tout est fini

Riposte Laïque : Question indiscrète, Guy. Vous avez quitté la France, avec votre épouse Keltoum, pour vivre aux États-Unis. Si Biden gagnait, quitteriez-vous ce pays ?
Guy Millière : Je ne peux répondre pour le moment. Je pense que les États-Unis sont la puissance majeure du monde occidental et qu’il faut se battre aux États-Unis pour s’efforcer de sauver le monde occidental. Si les États-Unis tombent, tout est fini. La vie aux États-Unis serait plus difficile que sous Donald Trump, mais il faudrait que la vie devienne intenable pour que je renonce et que je rentre en Europe. Cela, en tout cas, ne fait pas du tout partie de mes projets. Je voulais revenir en France pour rencontrer des amis et donner quelques conférences, la gestion de la pandémie m’en a empêché. Je pourrais sortir des États-Unis et y retourner, mais rentrer en France et en sortir ensuite pourrait être compliqué, ce qui est absurde à mes yeux, et je ne pourrais de toute façon ni rencontrer des amis ni donner des conférences.

Riposte Laïque : Quelle est la meilleure façon de se procurer votre dernier livre, « Après Trump ? » ?
Guy Millière : Le livre est en librairie, mais les conditions créées par les décisions ineptes et arbitraires prises par Macron font que c’est sans doute plus facile en commandant en ligne, outre Amazon, qui a ces derniers temps fait de la rétention, il y a la Fnac, d’autres sites, et le site de la maison d’édition, Balland.

Riposte Laïque : Souhaitez-vous ajouter quelque chose, Guy ?
Guy Millière : Je continuerai à soutenir le combat de Riposte Laïque, et je souhaite très vivement que les Français se dotent d’un Président digne de ce nom, qui agisse pour redresser la France, faire le nécessaire face à l’islamisation du pays, et réaffirme les valeurs de la civilisation occidentale. Si Trump est réélu, un tel Président sera très naturellement un ami des États-Unis sous une administration Trump. La civilisation occidentale est menacée, les forces pour la défendre doivent agir en synergie pour espérer gagner.

Riposte Laïque

La Hongrie ne veut plus laisser entrer de musulmans sur son territoire

Articles  : Oct. 2020Sept 2020Août 2020juillet 2020

Dans le cadre des attentats en France, Viktor Orban a déclaré que les Hongrois connaissaient les musulmans, ils avaient vécu avec eux pendant 150 ans.

Il est d’avis que si un pays les laisse entrer, il doit apprendre à vivre avec eux et leur religion. C’est pourquoi, malgré les pressions de Bruxelles, la Hongrie ne veut plus permettre l’entrée de musulmans ou de migrants.

« Si nous ne voulons pas voir cela en Hongrie, nous ne devons pas les laisser entrer », a déclaré le Premier ministre, précisant qu’en plus des quelques-uns déjà présents, « nous ne voulons pas en laisser entrer de nouveaux, surtout nous ne voulons pas permettre l’arrivée des migrants ».

Il a dit que nous ne devrions pas permettre à Bruxelles de forcer des règles en Hongrie qui entraîneraient l’autorisation d’entrer en Hongrie « ce que nous ne voulons pas et ensuite nous pourrons aller aux funérailles ».

Le gouvernement ne changera pas sa politique migratoire :

L’avenir des Africains est en Afrique, et l’avenir des Hongrois est en Hongrie.

Nous les aidons à faire tout ce que nous pouvons pour les aider à vivre mieux dans leur pays, mais nous ne les soutenons pas à venir en Hongrie.

Viktor Orban dévasté par les attentats

Il a déclaré que l’Europe occidentale devait accepter que nous devions protéger nos frontières. Auparavant la vie était calme et sûre et maintenant nous devons craindre pour nos proches.

Il est possible de dire si la liberté d’expression européenne est bien organisée – certainement pas – mais il n’y a certainement aucune raison pour que quelqu’un tue des gens dans une église, même en cas de tort légitime.

« C’est un péché méprisable de prendre la vie d’un autre juste parce qu’il n’est pas d’accord avec toi »

La souveraineté hongroise est basée sur la langue et la culture.

Le jour de la Réforme, il a dit que tout le monde a quelque chose à célébrer, parce qu’il y a eu un moment dans l’histoire où la Réforme a sauvé l’identité nationale hongroise en traduisant la Bible en hongrois. Nous avons besoin d’un fondement spirituel à partir duquel la souveraineté germe, c’est à faire à partir de la langue et de la culture hongroise.

Viktor Orban assistera à la consécration d’une Église réformée le 31 octobre.

Hirado.hu