Pourquoi les « jeunes de banlieue » se foutent du confinement

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Riposte Laïque

Cette période de confinement a eu quelques points positifs, notamment celui d’avoir provoqué une prise de conscience de l’opinion publique à la vue du non-respect du confinement et des incivilités en période de crise commises dans les banlieues à forte population issue de l’immigration.

Les vidéos-chocs pleuvent sur les réseaux sociaux : attaques au mortier, cocktails Molotov, incivilités…

Un exemple pris dans les dizaines de cas semblables hier

Les gens commentent, constatent.

Alors, forcément, le nombre d’amendes distribuées pour non-respect du confinement en Seine-Saint-Denis explose et est trois fois plus élevé qu’ailleurs, soit un taux de verbalisation de 17 % au lieu de 5,9 % pour la moyenne nationale.

POURQUOI ?

Il est très simple pour un non-gauchiste de l’expliquer avec de vraies raisons et sans invoquer les sempiternelles excuses-bidons du privilège blanc, du racisme systémique et des difficultés économiques et sociales.

La loi de la rue

La loi de la rue s’applique dans les cités et encourage les comportements violents (vol, agression, bagarre, etc.) tout en faisant l’apologie du crime et des hors-la-loi. En effet, un jeune qui rentre à la cité après une peine de prison est accueilli en « héros », quelqu’un qui vole, se bat ou tue impose le respect et est adoubé par ses pairs.

Facteur aggravant, la « culture » rap amplifie ce phénomène depuis des années et influence les plus jeunes à se soumettre à cette « loi de la rue » pour être un « thug », un dur, un rebelle.

À votre avis, quelle est la première idée qu’ont eue les jeunes de cités quand ils ont entendu parlé d’un confinement « obligatoire » ?

L’économie souterraine

Elle se présente sous plusieurs formes : le travail au noir, les délits économiques ou les activités criminelles ou délictuelles.

Elles sont légions en Seine-Saint-Denis, les économistes estiment que 100 000 personnes vivent du trafic de cannabis en Seine-Saint-Denis sur 240 000 au total en France.

Le confinement ne permet plus d’écouler les barrettes de shit, il ne met pas au chômage partiel un travailleur dissimulé, il rend plus difficile les délits de vol ou d’agression puisque les « victimes » sont confinées.

L’économie souterraine ou plutôt la « perte » de cette économie causé par le confinement explique en partie pourquoi les banlieues ne le respectent pas.

Le quotient intellectuel

Argument logique, certes souvent réfuté par les médias de gauche, les pays africains ont une population avec un QI moyen largement inférieur au reste du monde. Cela rend plus difficile pour eux le fait de « comprendre » que le confinement est dans leur intérêt afin de préserver les personnes à risque face au virus. La Seine-Saint-Denis étant particulièrement sujette à l’immigration, il y a relation de cause à effet…

Les médias de gauche tenteront de démontrer que le taux anormalement élevé d’infractions constatées en Seine-Saint-Denis s’explique par el famoso « contrôle au faciès ». Évidemment, cet argument est fallacieux puisque ces contrôles se basent sur du bon sens.

L’argument fallacieux du « contrôle au faciès »

À droite, Toufik, dans la rue à 3 h du mat, sweat à capuche, démarche racailleuse, fume et crache par terre, à gauche, Célestin, propre sur lui, part au travail à 7 h du matin. Sans réfléchir, qui contrôlez-vous et pourquoi ?

L’inverse est identique, foutez un Jean-Dylan, tatoué, casquette à l’envers avec une canette de bière dans la main, et Hicham, costume cravate qui commence sa journée de chauffeur UBER, qui contrôlerez-vous si n’êtes pas demeuré et que votre gradé vous demande un minimum de rendement ? Iriez-vous perdre votre temps avec Célestin et Hicham ?

La réponse est non bien évidemment, mais les gauchistes ont bouffé un anti-racisme outrancier depuis leur enfance et ne verront pas l’arnaque. Ce n’est pas leur faute, leurs arguments servent à défendre un paralogisme extrême, leur conditionnement les oblige à penser qu’ils sont de bonne foi, sans savoir qu’ils ont tort…

Rajoutez à cela le principe de preuve sociale* et vous obtiendrez une armée de zombies niant l’évidence malgré les preuves. À ceux-là, demandez-leur d’expliquer pourquoi le taux de décès est proportionnel au nombre de verbalisation pour non-respect du confinement dans le 93.

*Preuve sociale : la croyance majoritaire est une preuve suffisante aux yeux des moutons. Si 80 % des médias et des politiques disent qu’il n’y a pas de souci avec l’immigration, alors les gens vont adhérer beaucoup plus facilement à cette opinion et vont avoir plus de mal à se construire par eux-mêmes une opinion contraire.

Il n’y a pas de privilège blanc, il n’y a pas de racisme systémique. 

Les cités HLM des classes sociales ouvrières de Pologne ou de Hongrie ne brûlent pas de voitures et n’attaquent pas les policiers au cri de « Mort aux porcs ». Comme par hasard, dans ces cités HLM polonaises ou hongroises, il n’y a pas de non-Blancs, pas d’Africains, pas de musulmans. Les Français de souche pauvres de Creuse ou de Lozère ne caillassent pas les flics ou les pompiers.

Il n’y a pas de privilège blanc, il n’y a pas de racisme systémique : démonstration en vidéo.

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