Éric Le Boucher : un c.. de raciste et un salaud de journaleux

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Éric Le Boucher (70 ans) est une journalope dont on pourrait dresser la statue sur les places publiques… pour lapidation.

L’homme mange aux râteliers du Monde, de Marianne, de Slate, d’Europe 1, des Échos, de L’Opinion… Il est bien sûr favorable à l’immigration dans laquelle il ne voit que des bienfaits pour la France, déteste les Gilets jaunes et se demande « en cette ère de grand infantilisme (…), comment éduquer le peuple et le « corriger de ses idées folles et inconsidérées » ».

Évidemment, il a soutenu Macron qu’il considère seul capable de tirer la France vers le haut par sa compétitivité et par une amélioration des compétences. Les réactivités du pouvoir macronien face à la pandémie nous ont montré toute la sagacité d’Éric Le Boucher.

L’homme est un con.

Un con et un salaud.

Il a confirmé sa dernière sortie dans L’opinion : « Coronavirus : tout ça pour des vieux blancs malades ! sur LCI.

Riposte Laïque

Il ne comprend pas les attaques qui lui sont faites. Selon Le Boucher, elles ne portent pas sur le fond des choses mais seulement sur les mots. « Il faut bien faire un titre, je suis journaliste et un journaliste ça fait des titres ».

Excuse formidable !

Il continue : « c’est une maladie qui tue peu de gens par rapport à d’autres, mais qui tue des seniors et on a bloqué l’ensemble de l’économie pour sauver des malades blancs déjà malades ».

Pour lui, quel intérêt d’essayer de sauver des vieux qui ont connu le plein emploi, la libération sexuelle et qui ont des retraites plus importantes que le revenu moyen des actifs d’aujourd’hui ? Il faut les laisser crever pour faire de la place à cette belle jeunesse qui débarque d’Afrique ?

Le Boucher, avec ses 70 ans, devrait se méfier. Je serais médecin et je verrais arriver ce vieux mâle blanc, je préparerais la seringue de Rivotril. Pas question de foutre en l’air l’économie pour ce type.

Quiconque voit du racisme dans les paroles de ce journaleux économique peut porter plainte. Mais un bon juge Mur du Con, persuadé que le racisme anti-Blanc n’existe pas, sachant qu’Éric Le Boucher est un immigrationniste comme lui, classera l’affaire.

Le Boucher c’est la caste, le compagnon de Barbier, de Calvi, cette pseudo-élite qui glaviote avec les racailles de banlieue sur les petits Blancs, sur Zemmour, sur tout ce qui ressemble encore un peu à la France qu’ils haïssent, la France du terroir, des racines, de l’histoire.

Entre cette journalope et une personne âgée confinée dans sa chambre d’Ehpad, une personne qui a travaillé toute son existence pour son pays et qu’on laisse mourir parce qu’il faut sauver le sans-papier fouteur de merde, il en est une qui mérite au moins notre mépris.

Mais au-delà, c’est l’inhumanité que symbolise ce pauvre type qui m’interroge.

La Shoah, l’antiracisme à main jaune, tous les phobes imaginables montrés du doigt, tous les récits d’Auschwitz pour en arriver à ça !

Nous avoir fait des leçons pendant des décennies, avoir encensé Primo Levi, Charlotte Delbo, Jorge Semprun, Robert Antelme, Bruno Bettelheim pour atteindre un tel degré de saloperie laisse pantois.

Ce n’était donc qu’une pièce de théâtre cynique. L’économie n’était pas en jeu. Quand elle l’est, il n’y a plus une once d’humanité.

Éric Le Boucher est une ordure.