La démocratie de façade au service de l’islamisme

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Publié le 5 octobre 2019 – par Hamdane Ammar (RL)

La démocratie des vaincus et des minorités agissantes est responsable de l’islamisation de la France. Cette démocratie de façade basée sur la repentance et les reculades permanentes a créé les conditions d’une guerre de civilisation au sein de la mère-patrie championne des droits de l’homme qu’elle exporte cyniquement à la terre entière mais qui est impuissante à faire régner l’ordre et la sécurité sur son propre territoire.

Avec une lobotomisation généralisée grâce au travail d’intoxication des médias aux ordres des puissants qui se réclament du progrès mais qui n’ont rien à envier aux méthodes des commissaires politiques du nazisme, du fascisme, du léninisme, du stalinisme, du maoïsme et surtout des gourous du salafo-wahhabisme, le peuple de France ingurgite tous les mensonges qu’on lui sert sur les plateaux de télévision, matin et soir.

Il ne se passe pas une journée sans qu’il ne soit influencé par des informations qui le font sombrer dans le défaitisme, le poussant à développer la haine de soi tout en demandant pardon pour des fautes qu’il n’a pas commises. Des fautes puisées dans l’histoire pour lui faire porter le fardeau de ses ancêtres. Et à tort ou à raison, il est devenu la risée du monde !
En construisant sa propre galère de la mort, il est déclaré coupable mais sans possibilité de se défendre, telle est la sentence prononcée à son encontre par le progressisme, cette nouvelle religion.

Au fil du temps, la mort dans l’âme, il a accepté son suicide. Il ne se passe pas un jour sans qu’il ne soit réprimandé et placé en résidence surveillée.
En haut lieu au nom de la démocratie qui est de fait une dictature cachée, il a été décidé qu’il est encore mineur, inapte à se faire une opinion par lui-même, alors on gouverne et on agit en son nom. Et tant pis pour sa gueule d’abruti !
La lâcheté, la mère de toutes les compromissions et des trahisons, sans oublier les défaites, est devenue au fil du temps sa compagne de route.

Après sa capitulation face à l’islamisme djihadiste, c’est la sanction de la double peine qui l’attend de pied ferme. Et cette double punition est voulue par ceux à qui il a donné les clefs de la cité.
Alors, pourquoi se plaint-il maintenant qu’il patauge dans la bouse de vache avant de passer à l’abattoir ?
N’est-il pas l’instigateur de son propre malheur ?
Vouloir faire porter le chapeau aux autres est un aveu de faiblesse et d’irresponsabilité.
A-t-il oublié qu’il est l’unique fautif du chaos auquel il est confronté et qui est en train de mettre son existence en péril ?
Il n’a qu’à s’en prendre à lui-même et à personne d’autre, car c’est lui, et lui seul, qui a fabriqué l’insécurité qui le menace quotidiennement.

Maintenant qu’il est tenu en laisse tel un soumis par l’oligarchie politico-médiatique à laquelle il fait encore confiance, pourquoi se lamente-t-il ? Et pourquoi, déporte-t-il son incapacité d’agir contre les autres ? N’est-il pas schizophrène en essayant de trouver des boucs émissaires pour se disculper ?
Mais réellement, est-il en capacité de se libérer du carcan du vivre-ensemble à sens unique dans lequel il s’est enfermé ?
Cela ne tient qu’à lui. Il n’a qu’à se remettre en cause. Point barre !

Encadré par des lois qu’il a acceptées en toute connaissance de cause et qui font de lui un dangereux malfaiteur, il doit subir et se taire en attendant sa soumission totale. Toute autre gesticulation n’est que la poudre aux yeux. Sans lendemain.
En portant au pouvoir des gens qui le méprisent, mérite-t-il encore du respect et de la considération ?
Que lui reste-t-il comme solution face à ses dirigeants qui sont capables des turpitudes les plus ignobles, qui se couchent devant l’islamisme djihadiste au nom de la paix sociale et qui se font acheter par des pétrodollars ?
La question est posée et la réponse, c’est à lui et à lui seul de la trouver.

Pleurnicher telle une femme en instance de répudiation, en faisant la politique de l’autruche, ne le grandit pas, au contraire, il devient vulnérable et une proie facile face à la conquête de l’islamisme djihadiste.
Si rien n’est fait pour stopper la machine infernale de cette soumission qui est en marche, un jour viendra où le soleil d’Allah brillera au-dessus de sa tête mais ce jour-là, il sera déjà trop tard, car il n’aura plus droit à la parole, il sera qu’un vulgaire esclave enchaîné aux ordres d’Allah. Et on parlera de lui au passé comme Byzance qui fut jadis la perle de l’Orient.
Quant à Paris, la ville lumière, on se souviendra qu’elle était belle. Sans plus…

En attendant ce jour-là, il continuera à subir le djihad et le déshonneur mais aussi les attaques au couteau, comme à la préfecture de Paris. D’ailleurs les attaques des lieux de pouvoir vont s’amplifier car c’est la stratégie adoptée par l’islam politique pour faire plier la France officielle afin qu’elle sanctionne lourdement l’islamophobie en restaurant le délit de blasphème.

Il (le peuple de France) est le seul responsable de ce qui lui arrive parce qu’il a sécrété sa vulnérabilité par sa cécité politique en transformant la douce France, la patrie de ses ancêtres, en un bateau ivre où le coupable devient victime et vice versa, où la justice est laxiste et où le djihad judiciaire est devenu une redoutable arme de guerre pour le soumettre à l’islam.

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