Ce que révèle le déferlement de haine contre Eric Zemmour

PUBLIÉ PAR GUY MILLIÈRE LE 6 OCTOBRE 2019 dans DREUZ.INFO

J’ai regardé le discours d’Éric Zemmour à la grande réunion de la droite organisée par Marion Maréchal.


Je n’y ai rien trouvé qui soit différent de ce qu’il dit depuis des années. Je ne partage pas sa vision du libéralisme, de l’économie de marché, du progrès technologique, et des droits de l’homme : ce sont des visions qu’aux Etats-Unis on placerait pour partie du côté de la gauche, pour partie du côté du paléo-conservatisme, mais que nul ne placerait du côté du conservatisme, et elles sont sans doute ce qui sépare l’essentiel du conservatisme à la française du conservatisme américain, et je suis un conservateur au sens américain du terme.

Je ne partage donc pas une part importante de ce que pense Eric Zemmour. Mais je ne vois rien de scandaleux à ce qu’il puisse dire et écrire ce qu’il pense, bien au contraire.

Je considère que le débat d’idées est essentiel dans une société démocratique.

Je comprends par contre pleinement l’inquiétude d’Éric Zemmour concernant la destruction de l’identité française, et j’approuve entièrement ce qu’il dit sur l’islam et sur l’islamisation de la France, et sur la diabolisation de l’homme blanc. Et je le dis : sur ces points, il a entièrement raison. Or, c’est sur ces points qu’il est attaqué et bien davantage qu’attaqué, puisque des menaces de mort et des incitations au meurtre à son égard se sont multipliées, ainsi que des appels à son éviction de tous les lieux où il parle et où il écrit. Se sont ajoutées des poursuites du parquet, donc du gouvernement et de Macron.

Que des analyses et des prises de position fondées sur des faits que chacun peut constater quotidiennement, mais que chacun tait en se courbant sous le joug du politiquement correct puissent valoir à celui qui les énoncent menaces de mort, incitation au meurtre, appels à éviction et poursuite du gouvernement et de Macron montre à quel point la France est malade et glisse vers un totalitarisme qui ne dit pas son nom.

Qu’on accuse Eric Zemmour d’”injures publiques” et de “provocation publique à la discrimination, la haine ou la violence” confirme le glissement vers le totalitarisme. Il n’y a aucune injure dans ce qu’a dit Eric Zemmour, qui est un homme cultivé et ne pratique jamais l’injure. Il n’y a aucune provocation à la discrimination, la haine ou la violence, mais au contraire une dénonciation d’une discrimination qui gagne du terrain, et qui est discrimination envers les non Musulmans dans un nombre croissant de lieux et de zones passés sous contrôle de l’islam, une dénonciation de la haine et de la violence musulmanes qui prolongent trop souvent la discrimination. Qu’un gouvernement et un Président en France prononcent de tels propos et accusent un homme d’être coupable de la discrimination, la haine et la violence qu’il dénonce rappelle les propos et les accusations qui pouvaient être utilisées en Union Soviétique sous Joseph Staline.

Et il faut le dire : oui, il y a une menace pesant sur l’identité française, et plus largement sur les valeurs essentielles de la civilisation occidentale, et cette menace vient détruire la démocratie, les droits les plus fondamentaux de l’être humain, la liberté de parler, de penser, de choisir, de décider, de critiquer et d’accéder à la connaissance.

Oui encore : une colonisation musulmane s’opère à l’échelle de l’Europe. L’islam s’impose, intimide, censure, cherche la soumission, prend des territoires qui deviennent la base arrière d’actions de prédation, et l’islam contribue nettement à la menace susdite.

Oui, il pourrait, si l’on regarde les données de la démographie, être bientôt trop tard, si ce n’est pas d’ores et déjà le cas.

Et oui, il existe un racisme antiblanc qui monte dans l’atmosphère, et qui fait partie d’une volonté de détruire tout ce qui est occidental, et il existe une volonté de détruire les différences hommes-femmes qui s’en prend très largement à la masculinité, au nom d’un féminisme dévoyé, et très éloigné des buts originels et légitimes du féminisme.

Eric Zemmour est particulièrement attaqué parce qu’il est courageux, ce que ne sont pas du tout ceux qui l’attaquent, qui se contentent d’aboyer avec la meute du conformisme débile et suicidaire.

Il est particulièrement attaqué parce qu’il est connu, et qu’il a réussi à échapper à la censure omniprésente qui sait très bien exclure, plonger la tête sous l’eau, et éliminer tous ceux qui déplaisent à la meute. Je pourrais expliquer en détail comment j’ai été éliminé des médias et des grandes maisons d’édition, mais je pourrais évoquer aussi ce qui est arrivé à d’autres, Georges Bensoussan, ou Renaud Camus, qu’on cite sans cesse quand on utilise l’expression “grand remplacement” tout en le tenant soigneusement éloigné de l’intégralité des médias, ce qui permet de lui cracher dessus impunément et sans risquer de se trouver face à une réponse.

Il n’y a quasiment plus de débats en France, car ce qu’on y appelle débats n’oppose, sur le mode du simulacre, que des gens qui pensent peu ou prou la même chose et qui ne connaissent rien aux sujets dont ils parlent.

Un strapontin est laissé à quelques personnes qui pensent différemment, à la stricte condition qu’elles sachent soigneusement s’autocensurer.

Il n’y a quasiment plus de pluralisme dans les médias français, qui sont désormais quasiment tous des organes de propagande, de désinformation et de falsification.

Il n’y a quasiment plus de pluralisme dans l’édition en France, et quiconque parcourt les rayons d’une librairie voit aisément le monolithisme qui s’installe.

Il n’y a quasiment plus de pluralisme politique, et Macron sera sans doute réélu, parce qu’il incarne la gauche, la droite et le centre. Marine Le Pen servira d’épouvantail.

Le travail des idées est très largement détruit, et je dois dire que cela s’est vu lors de la convention de la droite, et le discours d’Éric Zemmour était cent coudées au-dessus d’une mêlée assez médiocre.

J’avoue ne pas comprendre qu’ait été invité Raphaël Enthoven, qui a fait preuve d’une arrogance insultante et montré qu’il ne voit rien et ne comprend rien, et qui aurait été plus à sa place dans un diner mondain pour lecteurs du Nouvel Observateur. Son discours aux allures de dictionnaire des idées reçues a été reproduit dans Le Figaro. Hélas. Et des lecteurs l’ont trouvé remarquable. La France s’approche parfois dangereusement du moment où elle sera en état de mort cérébrale. Des gens comme Raphaël Enthoven lui montrent la voie.

Guy Millière pour Dreuz.info.

La démocratie de façade au service de l’islamisme

Publié le 5 octobre 2019 – par Hamdane Ammar (RL)

La démocratie des vaincus et des minorités agissantes est responsable de l’islamisation de la France. Cette démocratie de façade basée sur la repentance et les reculades permanentes a créé les conditions d’une guerre de civilisation au sein de la mère-patrie championne des droits de l’homme qu’elle exporte cyniquement à la terre entière mais qui est impuissante à faire régner l’ordre et la sécurité sur son propre territoire.

Avec une lobotomisation généralisée grâce au travail d’intoxication des médias aux ordres des puissants qui se réclament du progrès mais qui n’ont rien à envier aux méthodes des commissaires politiques du nazisme, du fascisme, du léninisme, du stalinisme, du maoïsme et surtout des gourous du salafo-wahhabisme, le peuple de France ingurgite tous les mensonges qu’on lui sert sur les plateaux de télévision, matin et soir.

Il ne se passe pas une journée sans qu’il ne soit influencé par des informations qui le font sombrer dans le défaitisme, le poussant à développer la haine de soi tout en demandant pardon pour des fautes qu’il n’a pas commises. Des fautes puisées dans l’histoire pour lui faire porter le fardeau de ses ancêtres. Et à tort ou à raison, il est devenu la risée du monde !
En construisant sa propre galère de la mort, il est déclaré coupable mais sans possibilité de se défendre, telle est la sentence prononcée à son encontre par le progressisme, cette nouvelle religion.

Au fil du temps, la mort dans l’âme, il a accepté son suicide. Il ne se passe pas un jour sans qu’il ne soit réprimandé et placé en résidence surveillée.
En haut lieu au nom de la démocratie qui est de fait une dictature cachée, il a été décidé qu’il est encore mineur, inapte à se faire une opinion par lui-même, alors on gouverne et on agit en son nom. Et tant pis pour sa gueule d’abruti !
La lâcheté, la mère de toutes les compromissions et des trahisons, sans oublier les défaites, est devenue au fil du temps sa compagne de route.

Après sa capitulation face à l’islamisme djihadiste, c’est la sanction de la double peine qui l’attend de pied ferme. Et cette double punition est voulue par ceux à qui il a donné les clefs de la cité.
Alors, pourquoi se plaint-il maintenant qu’il patauge dans la bouse de vache avant de passer à l’abattoir ?
N’est-il pas l’instigateur de son propre malheur ?
Vouloir faire porter le chapeau aux autres est un aveu de faiblesse et d’irresponsabilité.
A-t-il oublié qu’il est l’unique fautif du chaos auquel il est confronté et qui est en train de mettre son existence en péril ?
Il n’a qu’à s’en prendre à lui-même et à personne d’autre, car c’est lui, et lui seul, qui a fabriqué l’insécurité qui le menace quotidiennement.

Maintenant qu’il est tenu en laisse tel un soumis par l’oligarchie politico-médiatique à laquelle il fait encore confiance, pourquoi se lamente-t-il ? Et pourquoi, déporte-t-il son incapacité d’agir contre les autres ? N’est-il pas schizophrène en essayant de trouver des boucs émissaires pour se disculper ?
Mais réellement, est-il en capacité de se libérer du carcan du vivre-ensemble à sens unique dans lequel il s’est enfermé ?
Cela ne tient qu’à lui. Il n’a qu’à se remettre en cause. Point barre !

Encadré par des lois qu’il a acceptées en toute connaissance de cause et qui font de lui un dangereux malfaiteur, il doit subir et se taire en attendant sa soumission totale. Toute autre gesticulation n’est que la poudre aux yeux. Sans lendemain.
En portant au pouvoir des gens qui le méprisent, mérite-t-il encore du respect et de la considération ?
Que lui reste-t-il comme solution face à ses dirigeants qui sont capables des turpitudes les plus ignobles, qui se couchent devant l’islamisme djihadiste au nom de la paix sociale et qui se font acheter par des pétrodollars ?
La question est posée et la réponse, c’est à lui et à lui seul de la trouver.

Pleurnicher telle une femme en instance de répudiation, en faisant la politique de l’autruche, ne le grandit pas, au contraire, il devient vulnérable et une proie facile face à la conquête de l’islamisme djihadiste.
Si rien n’est fait pour stopper la machine infernale de cette soumission qui est en marche, un jour viendra où le soleil d’Allah brillera au-dessus de sa tête mais ce jour-là, il sera déjà trop tard, car il n’aura plus droit à la parole, il sera qu’un vulgaire esclave enchaîné aux ordres d’Allah. Et on parlera de lui au passé comme Byzance qui fut jadis la perle de l’Orient.
Quant à Paris, la ville lumière, on se souviendra qu’elle était belle. Sans plus…

En attendant ce jour-là, il continuera à subir le djihad et le déshonneur mais aussi les attaques au couteau, comme à la préfecture de Paris. D’ailleurs les attaques des lieux de pouvoir vont s’amplifier car c’est la stratégie adoptée par l’islam politique pour faire plier la France officielle afin qu’elle sanctionne lourdement l’islamophobie en restaurant le délit de blasphème.

Il (le peuple de France) est le seul responsable de ce qui lui arrive parce qu’il a sécrété sa vulnérabilité par sa cécité politique en transformant la douce France, la patrie de ses ancêtres, en un bateau ivre où le coupable devient victime et vice versa, où la justice est laxiste et où le djihad judiciaire est devenu une redoutable arme de guerre pour le soumettre à l’islam.

Islamisation, terrorisme : les responsables sont à l’Élysée !

Publié le 5 octobre 2019 – par Jean des Entamures (RL)

Ça n’a pas bougé après les attentats de Merah (tuerie d’enfants dans une école juive et assassinats de militaires français.)
Ça n’a pas bougé après les attentats de janvier 2015 (tuerie de Charlie Hebdo et de la supérette casher)
Ça n’a pas bougé après les attentats de novembre 2015 (Bataclan, Stade de France… 130 morts.)
Ça n’a pas bougé après l’attentat de Magnanville (un couple de policiers massacré à son domicile)
Ça n’a pas bougé après l’attentat de Nice (14 juillet 2016. 86 morts.)
Ça n’a pas bougé après l’attentat de l’église de Saint-Étienne-du-Rouvray (un prêtre égorgé en plein office religieux.)
Ça n’a pas bougé après l’attentat du marché de Noël à Strasbourg de décembre 2018 (5 morts).

 La liste est trop longue pour être détaillée en totalité et elle s’allonge mois après mois, écrite avec le sang de nos compatriotes massacrés au nom d’une idéologie génocidaire qui touche pour la première fois de notre histoire l’ensemble de notre population.

La liste est longue mais elle laisse de côté tous les attentats individuels commis presque chaque jour par des « désignés fous »  qui ne sont en réalité que musulmans mettant en action les préceptes des sourates 4, 5, 8, 9 ou 12 de « leur torchon sacré »…

La liste est longue, mais elle ne prend pas en compte toutes les agressions non létales, toutes les exigences sociétales, toutes les injures écrites et orales perpétrées par tous ceux qui, chez nous, se réclament de l’islam  introduit en France par des flux migratoires massifs ouverts par les Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande, Macron, et que symbolise l’imam salafiste de la mosquée de Gonesse, celle que fréquentait assidûment l’assassin de la préfecture de police de Paris, bien connu des services de police depuis des mois et même signalé !!!…

La liste est longue, même si elle omet volontairement les méfaits, exactions, actes de délinquance de toutes sortes, commis allègrement chaque jour dans les 1 500 zones de non-droit recensées en France par le gouvernement lui-même, où résident très majoritairement ces populations issues de l’immigration subie depuis 40 ans, taraudées par l’idéologie mortifère, sexiste, ségrégationniste de l’islam… et gavées d’assistanat social.

La liste est longue, même si elle ne recense pas ce qu’un rapport parlementaire (1)  vient de mettre en lumière tout récemment : la radicalisation islamique de masses d’individus dans les services publics (la RATP est bien en pointe là-dessus, nous le savons bien à RL !) , dans les petits clubs sportifs des banlieues, dans les prisons (où pullulent majoritairement des musulmans)… ou dans les services de sécurité comme vient de le montrer l’attentat islamique de Paris (Tiens, les « musulmans dits abusivement modérés » n’ont pas encore condamné ces meurtres…)

Ça ne bougera pas !

Écoutez bien le discours officiel : le « thon bariolé » qui sert de porte-parole au gouvernement s’est répandu en paroles lénifiantes pour nous imposer une version officielle de ce crime atroce, effaçant son aspect politico-religieux … « Ce n’est pas parce qu’on est musulman qu’on est un terroriste »… mais tous les terroristes qui ont agi dans notre pays depuis des années sont des musulmans… et le converti de Gonesse aussi ! Pas de chance, la bégueule !

C’est vrai que le joueur de poker, également danseur de slow langoureux, qui sert de ministre de l’Intérieur après avoir appris sa fonction dans les tripots de Manosque avec ses amis « zampaphiles », lui avait ouvert la voie en affirmant… « enfin, quoi, rien ne dit que c’est un terroriste, ce n’est pas écrit sur son front ! » Bouffon, va  !

Et que dire des discours pontifiants et complices des assassins islamiques de la valetaille journaleuse, dont la souplesse d’échine n’a d’égale que la faculté à lécher le fondement (au propre comme au figuré) des maîtres macroniens et financiers dominants, et dont la faculté à vilipender Zemmour et à détruire la liberté d’expression est portée au maximum de l’efficacité tandis que leur propension à l’immigration destructrice et à l’islamophilie mortifère est leur pain bénit quotidien !

Il ne faut pas s’y tromper : l’islam est incompatible avec les valeurs laïques et démocratiques de notre République.

En islam, il n’y a pas de liberté de conscience, l’apostasie est interdite, la liberté de dire et de penser est bannie, le libre arbitre de chacun est effacé au profit de la « parole divine » qui prétend tout régenter, l’égalité de l’homme et de la femme est ignorée, la seule loi dominante est celle « du prophète déclaré » et les lois démocratiques sont écartées, les autres fois et la non-croyance comme l’athéisme sont combattus férocement.

Toute l’histoire de l’islam n’est que guerres, agressions, destructions, soumissions violentes des individus, et ce, dès l’hégire… Tout n’est que conquête guerrière et écrasement génocidaire des populations autochtones, comme en Hindi Kouch, par exemple ! (2)

Aujourd’hui, dans les 57 pays musulmans qui ont la « charia » comme loi essentielle, chacun peut voir comment sont traitées des populations qui ne connaissent même pas le sens du mot « citoyen »…

Et ceux qui entrent chez nous, en masse, chaque jour, par la grâce de Macron et de son gouvernement, sont porteurs de ces déviances obsolètes qui nous projettent dix siècles en arrière et nous inoculent la métastase islamique.

Ça ne bougera pas avec l’immigrationniste et islamophile Macron, avec ses soutiens précieux que sont Mélenchon et sa clique, les reliquats de la « gauche socialo-coco-cégétiste et écolo, le Larcher comme le Juppé ou le Sarkozy, la Pécresse ou le Bertrand…

Vous êtes, Français, si l’on en croit les enquêtes d’opinion, près de 70 % à refuser l’immigration de masse et à réfuter les « valeurs islamiques »… à demander un « pouvoir fort » capable de régler les problèmes de l’insécurité, du terrorisme islamique et les dérives laxistes qui pourrissent notre vie…

Qu’attendez-vous pour le montrer dans les urnes ?